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«Sur les photos de famille, il n'y a plus d'enfant» : quand la baisse de la natalité inquiète les parents et les grands-parents
«Sur les photos de famille, il n'y a plus d'enfant» : quand la baisse de la natalité inquiète les parents et les grands-parents

Le Figaro

timea day ago

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«Sur les photos de famille, il n'y a plus d'enfant» : quand la baisse de la natalité inquiète les parents et les grands-parents

Réservé aux abonnés TÉMOIGNAGES - Maisons vides, arbres généalogiques qui perdent leurs ramifications, impossible transmission… Quel regard porte l'ancienne génération sur la faible fécondité des jeunes et le nouveau rapport à la parentalité ? « Fonder un clan », c'était le souhait de Jérôme quand il a eu ses quatre enfants. Cet entrepreneur a vu grandir avec bonheur sa descendance, aujourd'hui âgée de 28 à 33 ans. Mais à l'âge de la retraite, au moment où il s'attendait à devenir un grand-père débordé, un seul bébé est né. Un unique petit-enfant de 6 mois qui fait l'admiration de tous. «Ma fille de 32 ans est devenue maman au début de l'année. C'est la première petite-fille de toute la famille alors que ma femme et moi avons chacun une vingtaine de cousins. Si on prend l'arbre généalogique de nos familles, qui sont nombreuses, tout s'arrête à la génération de nos enfants . Dans nos cousinades, il n'y a que des adultes. Et sur nos photos de familles, il n'y a plus d'enfant. » Une « disparition » qui le laisse songeur. Ni ses deux fils ni son autre fille n'évoquent pour l'instant le projet de devenir parents. L'un est en couple depuis dix ans mais « rien ne se passe ». Les deux autres n'ont pas de relation stable…

« Je me trouve moche » : Mon enfant a un complexe physique, comme l'aider à mieux s'accepter ?
« Je me trouve moche » : Mon enfant a un complexe physique, comme l'aider à mieux s'accepter ?

Le HuffPost France

time3 days ago

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  • Le HuffPost France

« Je me trouve moche » : Mon enfant a un complexe physique, comme l'aider à mieux s'accepter ?

PARENTALITÉ - « Je ne veux pas mettre celui-là, je suis grosse dedans. » Quand ma fille a lâché cette phrase un matin où je lui proposais de porter un pull (adorable, au demeurant) par-dessus son tee-shirt, je n'ai pas su quoi répondre. À cinq ans seulement, comment peut-elle exprime un tel jugement dépréciatif sur elle-même ? Lui ai-je malgré moi transmis cette hantise vis-à-vis du poids que partagent tant de femmes de ma génération ? Et surtout, comment puis-je l'aider à s'aimer telle qu'elle est ? Je ne suis pas le seul parent, loin de là, à me demander comment aider mon enfant surmonter ses complexes. « Je me trouve moche », « j'aime pas mon nez », « on me traite de minipouce » … Autant de phrases que des enfants, confrontés au regard des autres, peuvent confier à leurs parents une fois rentrés à la maison. Reste à savoir quoi leur répondre pour les rassurer. Une question qui taraude aussi Margaux depuis que son fils de 10 ans lui a confié être complexé par sa petite taille. « Il est tout en bas de la courbe de croissance. Mais il le vit mal parce qu'il subit des regards et des paroles méchantes des autres enfants de l'école, et que sa sœur de CE2 est plus grande que lui. Je vous avoue que je redoute l'entrée au collège sur ce sujet… », souffle la mère de famille. La souffrance de ne pas se conformer à la norme « Les enfants ont conscience très tôt du rapport au corps et de la façon dont il peut être perçu par les autres, enfants comme adultes », nous confirme Virginie Piccardi, psychologue clinicienne pour enfants, qui rappelle que c'est vers l'âge de 6 ans que l'on commence à se comparer aux autres, à devenir soucieux de l'image que l'on renvoie aux autres. « De là peut naître un complexe, c'est-à-dire le fait de souffrir de l'écart par rapport à ce qu'on souhaiterait. » Être plus grand, moins rond, plus fort en sport ou avoir les cheveux moins frisés… Est-ce que les complexes naissent forcément du regard de l'autre ? « Il arrive aussi qu'un complexe naisse de lui-même, estime Virginie Piccardi. Il y a des enfants qui ne s'aiment pas en se regardant dans le miroir, qui portent un regard dépréciatif sur eux-mêmes parce qu' ils ne correspondent pas aux normes qu'ils voient dans la rue, à la télé, sur internet. J'ai le souvenir d'avoir rencontré une petite fille qui avait les oreilles décollées et qui, sans qu'on lui ait fait de remarque, était en grande souffrance. Et puis parfois, il suffit de pas grand-chose - un regard un peu insistant ou une remarque anodine - pour déclencher un complexe. » Pour le fils de Margaux, ce sont les moqueries de ses camarades qui ont déclenché son mal-être vis-à-vis de sa taille. Mais il arrive aussi les parents soient, malgré eux, à l'origine du trouble que ressentent leur enfant. Cela peut être le cas, par exemple, d'une mère ayant souffert plus jeune du regard des autres sur son poids, et qui transmet par capillarité cette peur à son enfant. « L'enfant absorbe non seulement ce que ses parents disent, mais aussi leur comportement. C'est pour cela qu'il faut faire attention dont on aborde le sujet des complexes avec lui », souligne Virginie Piccardi. É couter et accompagner sans minimiser Quand on est parent, on peut se sentir démuni quand son enfant nous avoue se sentir complexé par son physique. Que lui dire pour qu'il apprenne à s'aimer ou, du moins, à s'accepter ? Pour Virginie Piccardi, il y a deux écueils à éviter. D'abord, minimiser ou banaliser la souffrance que ressent son enfant. « Pour le préserver, on peut être tenté de lui dire 'mais non, tu es super beau' ou 'accepte-toi comme tu es'. Mais c'est nier ce qu'il ressent, considère la psy. Il a le droit de ne pas se trouver beau et de se comparer aux autres. Il sait aussi que les parents ne sont pas objectifs, qu'ils le trouvent toujours beau. Cela ne l'aide donc pas à restaurer l'estime de soi. » L'autre piège serait, au contraire, de donner trop d'importance à ce complexe. « Il faut prendre acte que c'est une préoccupation de l'enfant sans en faire des tonnes ou en faire une vendetta personnelle », poursuit Virginie Piccardi, qui conseille plutôt de se montrer ouvert à la discussion. « On peut lui dire que tout le monde a des petits complexes, même nous. Que c'est frustrant de ne pas ressembler à ce qu'on aimerait être, et qu'apprendre à s'aimer, ça prend du temps », suggère l'experte, qui propose aussi de mettre son enfant au cœur du processus de résolution en lui posant la question : « Est-ce que toi, tu vois des choses à faire pour mieux t'aimer ? » Des conseils qu'a mis en pratique Margaux avec son fils même si elle a bien conscience qu'il n'y a « pas de recette miracle ». « À force de discussion, il a fini par intégrer que chacun a ses propres complexes, mais que certains sont bien plus visibles que d'autres et bien plus faciles à moquer. On lui rappelle aussi que chacun grandit à son rythme, que la valeur des gens ne se mesure pas à leur taille. » Quand le complexe demande un coup de pouce extérieur Il arrive aussi que, pour se sentir mieux, notre enfant nous demande ce que Virginie Piccardi appelle une « remédiation corporelle » : un rendez-vous chez le nutritionniste par exemple, ou une opération de chirurgie pour recoller les oreilles. « Le parent doit alors l'accompagner et se rendre disponible. Mais attention, il ne faut pas que cette remédiation devienne une réponse rapide et systématique. Elle doit au contraire être mûrement réfléchie », prévient la psychologue, qui insiste sur « le temps long » que prend le cheminement d'acceptation de soi. « Ce n'est pas marrant de voir son enfant en souffrance, mais il faut d'abord l'aider à s'accommoder de son physique. Et lui rappeler qu'une opération, c'est douloureux, et qu'on n'est pas sûr que ça résolve son problème d'estime de soi », ajoute Virginie Piccardi, qui plaide plutôt pour une valorisation du corps par le sport en « mettant à l'épreuve ce corps qu'il n'aime pas, par exemple devant le miroir si on fait de la danse, en maillot à la piscine… L'idée n'est pas de le surexposer, mais de le voir comme un outil de travail dont on prend soin ». Enfin, il ne faut parfois pas hésiter à consulter quand ce complexe prend trop de place dans la vie de son enfant, par exemple s'il « refuse de vivre des expériences normalement plaisantes pour un enfant de son âge, comme la piscine ». « Voir quelqu'un de neutre pour entendre ses émotions négatives peut l'aider à restaurer sa confiance en soi et lui permettre d'avoir une vision plus complexe et nuancée de lui-même », conclut Virginie Piccardi.

Poule, tigre, gendarme… les risques des étiquettes parentales
Poule, tigre, gendarme… les risques des étiquettes parentales

La Presse

time3 days ago

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Poule, tigre, gendarme… les risques des étiquettes parentales

« Être parent, c'est vivre des joies, des doutes, des défis et des ajustements. Au fil du temps, les parents adoptent différents styles parentaux selon les contextes », écrivent les auteurs. Hélicoptère, drone, tigre, curling, pompier, gendarme… Qu'ont ces mots en commun ? À première vue, difficile d'établir un lien entre eux. Pourtant, tous sont des adjectifs utilisés pour décrire des styles parentaux. Si cette catégorisation vise à mieux comprendre le sujet, elle peut aussi entraîner des effets inattendus, voire néfastes, pour les parents. Rima Habib Professionnelle de recherche et en implantation de programmes parentaux, Triple P Canada Dr Alexandre Hubert Pédopsychiatre, Paris Depuis quelques années, des termes ont émergé pour expliquer les différentes façons d'être parent. On les retrouve dans les médias, sur les réseaux sociaux, et dans certains discours professionnels. Cette tendance répond à un besoin collectif de mieux comprendre un rôle complexe en constante évolution. Le récent article de La Presse, « Le règne de l'enfant dieu, l'enfant qui fait la loi⁠1 », en est un bon exemple : il aborde des enjeux familiaux à travers des images fortes. C'est compréhensible : l'éducation des enfants n'est pas chose simple et les repères d'autrefois ne suffisent pas toujours. Cela nous invite justement à faire preuve de plus de nuance et de bienveillance envers les parents. Le rôle de parents ne se résume pas à une image Être parent, c'est vivre des joies, des doutes, des défis et des ajustements. Au fil du temps, les parents adoptent différents styles parentaux selon les contextes. La parentalité ne saurait donc se résumer à une seule image. En cherchant trop à classer les parents par des étiquettes, on risque de réduire leur vécu à une seule facette. Même bien intentionnées, les étiquettes peuvent peser lourd sur les parents. Ce ne sont pas tant les mots eux-mêmes, mais plutôt le sentiment d'insuffisance ou de jugement qu'ils pourraient induire. Elles désignent souvent des styles parentaux perçus comme peu optimaux, accentuant la culpabilité et ajoutant à la pression qu'ils subissent déjà. Selon l'Enquête québécoise sur la parentalité de 2022, 80 % des parents s'imposent une pression, en plus de celle de leur entourage et des réseaux sociaux2. De plus, les étiquettes ont tendance à définir la personne plutôt que son comportement. À force d'entendre ces généralisations, certains parents finissent par s'autostigmatiser, intériorisant les messages sociaux négatifs, ce qui peut nuire à l'estime de soi et à la recherche d'aide. D'autres parents peuvent également se rattacher à un courant éducatif pour se rassurer. Ce phénomène, visible sur les réseaux sociaux, alimente parfois les divisions plutôt que la compréhension. En France, les débats entre partisans de l'approche Montessori et ceux qui la critiquent, les « Ghettossori », en sont un exemple. Enfin, l'utilisation d'étiquettes peut figer des réalités parentales jusque-là fluides. En consultation, une mère nous confiait : « Je sais, je suis une maman poule, alors je demande au papa d'être plus autoritaire. » En s'identifiant ainsi, elle se cantonne à un rôle permissif et projette sur le père celui de la fermeté. Ces représentations peuvent engendrer des tensions, surtout si elles ne correspondent pas aux préférences des parents. Viser les pratiques plutôt que l'identité La catégorisation peut s'avérer utile pour mieux comprendre et intervenir, notamment en santé mentale. Cependant, même dans ce domaine, les pratiques évoluent : on privilégie de plus en plus de parler de personnes vivant avec un trouble afin de reconnaître leur vécu dans sa globalité, au-delà du diagnostic. Et si nous faisions de même dans notre manière de parler des parents ? Au lieu de dire qu'un parent est ceci ou cela, intéressons-nous à ce qu'il fait. Mettre l'accent sur ses pratiques lui redonne le pouvoir d'agir : celui d'un adulte capable de s'ajuster pour mieux répondre aux besoins de son enfant. Il peut ainsi mieux identifier ses difficultés et choisir les pratiques qu'il souhaite renforcer ou améliorer. Éviter d'étiqueter ne signifie pas tout excuser ni écarter les discussions difficiles. On tente plutôt de considérer le parent dans sa globalité, avec ses forces, ses limites, ses valeurs, et surtout, avec la possibilité de progresser. Et les étiquettes positives ? Souligner les qualités d'un parent, comme lui dire qu'il est « patient » ou « sécurisant » peut lui faire du bien. Mais l'aider à décrire précisément ce qu'il fait bien est encore plus bénéfique, car cela lui donne des repères clairs à reproduire. Un parent qui se sent soutenu, respecté et compris est plus enclin à demander de l'aide et à éduquer son enfant avec bienveillance. Il sera également moins tenté d'étiqueter son enfant, et plus enclin à l'apprécier tel qu'il est. Décoller les étiquettes, ensemble La parentalité est un parcours fait d'ajustements constants. Les mots que nous utilisons pour parler des parents comptent : ils peuvent soutenir ou fragiliser. En évitant les étiquettes parentales, nous laissons place à la nuance, à la compréhension et à la confiance. Si nous voulons que les enfants grandissent dans un climat sain et sécurisant, créons ensemble ce climat pour les adultes qui les élèvent. 1. Lisez « Après le roi et le tyran – Le règne de l'enfant dieu, l'enfant qui fait la loi » 2. Consultez l'enquête « Être parent au Québec en 2022 » Qu'en pensez-vous ? Participez au dialogue

Financée par l'extrême droite, comment l'association de parents traditionaliste tisse sa toile à l'ouest de Paris
Financée par l'extrême droite, comment l'association de parents traditionaliste tisse sa toile à l'ouest de Paris

Le Parisien

time6 days ago

  • Science
  • Le Parisien

Financée par l'extrême droite, comment l'association de parents traditionaliste tisse sa toile à l'ouest de Paris

En se rendant à un café des parents organisé par une association de soutien à la parentalité, au collège des Ormeaux, Astrid Brobecker n'avait aucune arrière-pensée. Cette mère de famille, élue d'opposition (EELV) à Fontenay-aux-Roses (Hauts-de-Seine), a pourtant très vite déchanté. « Avec d'autres parents, on s'est vite senti mal à l'aise, se souvient-elle. Il n'y avait rien de choquant mais la présentation faisait très surannée et genrée : les garçons ceci, les filles cela… » L'intervenante de l'association qui se présente sur LinkedIn comme « consultante formatrice et psychopraticienne » adepte d'une « approche intégrative » fait défiler des diapositives devant une quinzaine de parents. Le thème de la séance de ce 10 avril 2025 : « L'hygiène de vie des ados ». À en croire la présentation, les garçons ont besoin de « produits tout-en-un pour aller plus vite » et les filles ont un « intérêt pour les parfums, les soins, etc. » Dans une autre diapositive, il est indiqué que la dysphorie de genre est un des risques liés à la surexposition aux réseaux sociaux.

«J'ai le cœur brisé tous les matins» : Camille Combal évoque sa vie de père
«J'ai le cœur brisé tous les matins» : Camille Combal évoque sa vie de père

Le Figaro

time22-07-2025

  • Entertainment
  • Le Figaro

«J'ai le cœur brisé tous les matins» : Camille Combal évoque sa vie de père

L'animateur, habituellement très discret sur son intimité, s'est confié sur son rôle de père au média Lou consacré à la parentalité. Voilà presque une décennie que Camille Combal coule des jours heureux auprès de sa compagne Marie Treille Stefani. L'animateur de «Mask Singer» et «Danse avec les stars» sur TF1 et la chroniqueuse de «Bel & Bien» sur France 2 se sont mariés le 12 juillet 2019 et sont les heureux parents de Pio, né en juin 2022. Habituellement très discret sur sa vie privée, Camille Combal a accepté d'en dire plus sur son rôle de père lors d'une interview au média Lou, centré sur la parentalité. L'animateur revient ainsi sur l'accouchement de son épouse. Il précise, avec l'humour qu'on lui connaît, qu'il a eu le temps de réaliser qu'il allait devenir père puisque ça a duré « onze jours ». À lire aussi «Ça fait longtemps que l'on me propose des rôles» : Camille Combal de retour à la comédie avec Ghosts Publicité Il livre ensuite des anecdotes sur ce moment unique, dont l'une concerne une star de la chanson. « La chambre à côté, accouchait Vitaa et ça allait hyper vite. Tout s'est hyper bien passé, le petit fait des tierces quand il pleure (rires). Et nous, à côté, c'était vraiment la galère. Cela fait partie de la beauté du moment mais en vrai, waouh... », s'est-il souvenu. Le présentateur de 43 ans évoque également les nuits blanches et le manque de sommeil. Il raconte ainsi qu'il ne maîtrise désormais plus l'heure à laquelle il se lève, cette fonction revenant désormais exclusivement à son fils. « C'est lui qui décide du réveil. Tu ne peux pas mettre d'alarme c'est lui qui dit 'C'est 5 h 30, pour moi c'est la bonne heure'. Pour lui, il n'y a pas de 'On se réveille doucement tranquille'. Lui tout de suite c'est 'Est-ce qu'on fait un accrobranche ?' 'Est-ce qu'on fait des kaplas ?' 'Est-ce qu'on fait des trucs ?' Ça démarre tout de suite donc tu ne peux pas émerger », confie-t-il encore le sourire aux lèvres. À lire aussi Ornella Fleury, chroniqueuse de Camille Combal sur NRJ, est maman pour la première fois Camille Combal est aussi revenu sur les relations que le couple entretient avec son fils et a mis en lumière le lien très fort qui unit le petit Pio à sa maman. « Mon fils c'est 100% sa daronne. Moi, je suis toléré un petit peu dans la maison mais il ne faut pas non plus que j'exagère. Il ne faut pas que je rentre dans leur cercle qui n'est qu'à eux bien sûr », a-t-il livré, toujours sur le ton de l'humour. « Et moi, de temps en temps, j'ai le droit de passer une petite tête comme ça. Le matin, je ne peux pas rentrer dans sa chambre. Si c'est moi qui rentre, c'est 'Non tu sors de là, c'est pas toi, c'est maman !' Allez, bel ego boost en tous les cas dès le matin 6 heures, c'est cool », a-t-il encore livré. Camille Combal parle aussi des premiers mois du bébé, expliquant qu'il avait tendance à s'inquiéter rapidement dès que son fils pleurait la nuit. « Tu as quand même un côté 'Est-ce que je fais bien?' », confie-t-il. Le jeune papa raconte aussi les difficultés qu'il rencontre désormais lorsqu'il emmène son fils en classe. « Franchement, c'est trop dur l'école. Tous les matins, tu vois ton enfant qui ne veut pas y aller et qui dit 'Non mais je veux rester avec toi'. Il reste comme ça tout seul, il marche tout doucement, il est avec son doudou. Et donc j'ai le cœur brisé tous les matins », relate l'animateur. Publicité Au cours de cet entretien sur la parentalité, Camille Combal révèle surtout vivre un bonheur fou auprès de son fils. « C'est vraiment magique parce que, déjà, ça te décentre à fond, ça rééquilibre tout dans ta vie (...) Donc j'ai trouvé ça vraiment génial et j'aime ça de plus en plus », explique-t-il avant de conclure en donnant un conseil maison aux futurs papas : « Quand vous avez l'occasion de dormir, dormez !»

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