Dernières actualités avec #portrait


Le Parisien
a day ago
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- Le Parisien
Bientôt adolescent, le prince George fête son 12e anniversaire avec une photo officielle partagée par Kate et William
Une nouvelle photo officielle pour son nouvel anniversaire. Comme le veut la tradition, la famille royale a publié un nouveau portrait de George à l'occasion de son douzième anniversaire ce mardi 22 juillet. Sur ce cliché posté sur les réseaux sociaux officiels du palais de Kensington , on peut voir le jeune prince heureux et décontracter poser sur un portillon ou une barrière en bois, dans un décor très rural. Très proche de l'adolescence, il apparaît vêtu d'une chemise blanche à carreaux et d'une polaire sans manches marron, avec un bracelet d'amitié autour de son poignet gauche. Le garçon appelé à devenir roi après son père William apparaît très décontracté sur ce cliché, du moins bien plus que lorsqu'il est habillé d'une chemise, d'une veste et d'une cravate comme à chaque événement officiel. Une photo sur laquelle il est difficile de ne pas voir la ressemblance avec le prince William. « Joyeux 12e anniversaire au prince George ! » peut-on lire en légende sur X , suivi d'un émoji représentant un gâteau d'anniversaire. Le prince et la princesse de Galles ont également partagé une courte vidéo des coulisses de ce cliché, dans laquelle leurs trois enfants apparaissent. Digne d'une publicité, le clip montre George, Charlotte et Louis très complices en train de rire et de jouer dehors, dans ce même décor très rural. La publication des photos de George, Charlotte et Louis à l'occasion de leurs anniversaires est devenue une tradition pour Kate et William . Si la plupart des portraits publiés par le passé ont été pris par Kate, grande amatrice de photographie, celui-ci est crédité au photographe britannique Josh Shinner, qui avait déjà pris la Louis lors de son septième anniversaire en avril dernier.


Le Figaro
17-07-2025
- Entertainment
- Le Figaro
À Londres, un rare portrait de Gandhi adjugé plus de 176 600 euros
Le portrait du héros de l'indépendance de l'Inde, peint en 1931 par l'artiste Clare Leighton, était estimé entre 58 000 et 82 000 euros. Un rare portrait du héros de l'indépendance de l'Inde, le Mahatma Gandhi, a été vendu aux enchères à Londres pour plus de 176 600 euros, deux fois plus qu'estimé, a annoncé la maison d'enchères Bonhams. À découvrir TV ce soir : retrouver notre sélection du jour Peint en 1931 par l'artiste britannico-américaine Clare Leighton, ce tableau est considéré comme le seul pour lequel le héros de l'indépendance de l'Inde ait posé. Initialement estimé entre 50 000 et 70 000 livres (entre 58 000 et 82 000 euros), il s'est envolé pour 152 800 livres (176 626 euros), a annoncé la maison des ventes mardi. Publicité Une rencontre lors d'une visite diplomatique Clare Leighton a rencontré Gandhi en 1931, lorsqu'il se trouvait à Londres pour des négociations avec le gouvernement britannique à propos de l'Inde. Elle appartenait à des cercles artistiques londoniens de gauche et a été présentée à Gandhi par son compagnon, le journaliste Henry Noel Brailsford. Gandhi a été tué par balles en 1948 par Nathuram Godse, un extrémiste qui l'accusait d'avoir trahi les hindous en acceptant la partition de l'Inde et la création du Pakistan à majorité musulmane. L'assassin de Gandhi est aujourd'hui vénéré par de nombreux nationalistes hindous qui militent pour que ses actes soient requalifiés. Selon la famille Leighton, la peinture de Gandhi avait elle-même été attaquée au couteau par un « extrémiste hindou » au début des années 1970.


La Presse
17-07-2025
- Entertainment
- La Presse
Un rare portrait de Gandhi vendu plus de 281 600 $
Un rare portrait de Gandhi vendu plus de 281 600 $ (Londres) Un rare portrait du héros de l'indépendance de l'Inde, le Mahatma Gandhi, a été vendu aux enchères à Londres pour plus de 281 600 $, deux fois plus qu'estimé, a annoncé la maison d'enchères Bonhams. Agence France-Presse Peint en 1931 par l'artiste britannico-américaine Clare Leighton, ce tableau est considéré comme le seul pour lequel le héros de l'indépendance de l'Inde ait posé. Initialement estimé entre 50 000 et 70 000 livres (entre 92 000 $ et 129 000 $), il s'est envolé pour 152 800 livres (281 609 $), a annoncé la maison des ventes mardi. Clare Leighton a rencontré Gandhi en 1931, lorsqu'il se trouvait à Londres pour des négociations avec le gouvernement britannique à propos de l'Inde. Elle faisait partie de cercles artistiques londoniens de gauche et a été présentée à Gandhi par son compagnon, le journaliste Henry Noel Brailsford. Gandhi a été tué par balles en 1948 par Nathuram Godse, un extrémiste qui l'accusait d'avoir trahi les hindous en acceptant la partition de l'Inde et la création du Pakistan à majorité musulmane. L'assassin de Gandhi est aujourd'hui vénéré par de nombreux nationalistes hindous qui militent pour que ses actes soient requalifiés. Selon la famille Leighton, la peinture de Gandhi avait elle-même été attaquée au couteau par un « extrémiste hindou » au début des années 1970.


24 Heures
12-07-2025
- Entertainment
- 24 Heures
Le regard unique du photographe Anoush Abrar sur les musiciens du Montreux Jazz
Accueil | Culture | Festivals | Une douzaine de photographes quadrillent le festival, mais un seul immortalise les artistes. Rencontre avec le portraitiste. Noémie Desarzens Publié aujourd'hui à 11h17 Le trio britannique London Grammar, quelques minutes avant de monter sur la Scène du Lac mardi 8 juillet. Anoush Abrar En bref: «Un shooting de cinq minutes? C'est du grand luxe! En règle générale, j'ai plutôt une à deux minutes pour une séance avec les artistes, voire moins! La séance avec Sting, elle m'a pris trente secondes!» Tout en mesurant la luminosité et en ajustant la position du diffuseur, Anoush Abrar nous demande de prendre la pose pour tester des cadrages. Objectif: maximiser le peu de temps à disposition pour tirer le portrait des stars dans les coulisses, peu avant leur entrée sur scène. Ce mardi 8 juillet, il commence sa soirée de travail avec le groupe pop London Grammar. Lorsque le trio britannique arrive sur la rampe d'accès de la Scène du Lac, Anoush Abrar a trois minutes pour l'immortaliser. Dans la seconde qui suit, il lui partage ses images en direct. Avec cette seconde édition «hors les murs», les portraits d' Anoush Abrar visent à capter le pouls du festival. «Nous avons toujours eu un photographe backstage, détaille l'attaché de presse Eduardo Mendez. Le travail d'Anoush vise à montrer une autre expérience des coulisses.» Anoush Abrar au service des stars Dans un cagibi, parmi les caisses de tournée ou à côté de la régie: les musiciens sont inscrits dans leur environnement. Avec une émotion palpable, il se remémore sa rencontre avec la chanteuse londonienne Raye , lors de sa première performance au festival l'an dernier. «Toute sa famille était présente. C'était la première fois qu'elle chantait devant son grand-père suisse, originaire d'Appenzell. Je leur ai proposé de les prendre les deux en photo, et c'était un moment très intense. Raye a utilisé ce portrait pour en faire la couverture de son album «Live at Montreux Jazz Festival.» Anoush Abrar, le temps d'un clin d'œil, avant de concentrer son regard sur ces images qui font aussi le Montreux Jazz Festival. Noémie Desarzens S'il ne force pas les stars, Anoush Abrar sait les convaincre de passer devant son flash. «Ce festival a une histoire singulière. Mon but est de leur donner envie de faire partie de cette histoire plus grande qu'elles, qu'elles s'inscrivent, elles aussi, dans cette lignée musicale.» Moins habitué à être sous les spots, l'entourage des musiciens passe aussi devant l'objectif du photographe. «En 2019, l'équipe de Quincy Jones venait me voir tous les soirs. Et finalement, ils ont réussi à le convaincre. C'était magique! Il m'a demandé comment on disait nice booty en iranien, pour ensuite le noter dans un petit carnet…» Studio photo du Belvédère Tout a commencé en 2018, dans ce lieu emblématique du festival où les artistes ont l'habitude de se rejoindre après les concerts. Après avoir réussi à convaincre le directeur Mathieu Jaton, il y installe son studio de photo. «J'ai remarqué que ces séances photos improvisées leur faisaient du bien, parce qu'elles fixent des instants de joie. Je suis là pour les stars, je ne les force jamais.» «Il y a toujours eu beaucoup d'images de concerts, mais je voulais faire des portraits d'artistes. Je savais que je voulais faire ce projet sur dix ans. Tout était à faire! Au fil des éditions, on m'a donné plus de place. Jusqu'à me laisser photographier en backstage.» Discret et fin observateur, il capte l'être humain avant toute autre considération. «La majeure partie du temps, je ne connais pas les artistes qui sont devant moi. Je découvre leur musique après coup. Je préfère ne pas savoir qui ils sont, mes photos n'en sont que meilleures.» Jon Batiste Ibrahim Maalouf encore Leon Bridges: les séances photos ont chaque fois été des moments mémorables. Dans un autre registre, sa rencontre avec Alain Berset, alors conseiller fédéral, dans ce bar VIP du festival a marqué le début d'une amitié. «Par la suite, il m'a mandaté pour ses photos officielles.» Jon Battiste posant devant le lac: une des photos «qui a explosé», ayant capté un «moment de grâce». Anoush Abrar Aligner neuf heures d'improvisation D'origine iranienne, cet enfant de l'ECAL aime ce défi de portrait express et rempile pour une septième édition. «Réaliser des portraits est un travail exigeant, car j'ai très peu de temps à disposition, et il faut savoir être créatif pour amener une plus-value.» Pour garantir une concentration optimale, il se fixe une discipline de fer. Car de 18 h à 3 h du matin, tous les jours, son flash fuse. «Je dois être au taquet, car c'est tout le temps de l'improvisation!» «Ces prises de vues sont non seulement offertes aux artistes, mais elles permettent de cristalliser la magie du Montreux Jazz. Elles laissent une trace dans l'histoire du festival. Par ricochet, je fais, moi aussi, partie d'un événement qui me dépasse.» La chanteuse londonienne Raye, avec son grand-père d'origine appenzelloise. Une photo qui figure sur la couverture de son dernier album. Anoush Abrar L'actualité du Montreux Jazz Festival Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.