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Yvelines : un début d'incendie maîtrisé à la prison centrale de Poissy
Yvelines : un début d'incendie maîtrisé à la prison centrale de Poissy

Le Parisien

timean hour ago

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Yvelines : un début d'incendie maîtrisé à la prison centrale de Poissy

Les pompiers sont intervenus ce vendredi en milieu de journée au sein de la prison centrale de Poissy (Yvelines) après un départ de feu de détritus issus de toiture. À leur arrivée sur place, les flammes avaient déjà été éteintes par le personnel de l'établissement pénitentiaire. Les professionnels du feu ont surtout veillé à ce que ce début d'incendie n'en couve un autre. Ils ont également acheminé vers l'hôpital un agent qui avait inhalé des fumées. Transporté en urgence relative, il a été pris en charge pour subir des examens par simple mesure de précaution. Si l'incident n'a pas causé de drame, il a engendré sur le moment une certaine pagaille au sein de la prison puisque 55 détenus ont dû être déplacés le temps de l'intervention. Il s'inscrit aussi dans une longue série au sein de cet établissement situé en plein cœur du centre-ville accueillant des détenus de longue peine (240 places). Le plus spectaculaire de ces dernières années remonte à 2019 avec l'effondrement d'un mur d'enceinte. Le dernier en date remonte au mois d'octobre. Un détenu avait alors refusé de regagner sa cellule et s'était hissé sur le toit, ce qui avait provoqué une importante opération policière et le ras-le-bol des élus , à commencer par celui du député (Renaissance) Karl Olive qui appelle régulièrement au déménagement de l'établissement pénitentiaire.

Emprisonné en Algérie, l'écrivain Boualem Sansal n'a pas reçu la grâce présidentielle d'Abdelmadjid Tebboune
Emprisonné en Algérie, l'écrivain Boualem Sansal n'a pas reçu la grâce présidentielle d'Abdelmadjid Tebboune

Le Figaro

timean hour ago

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Emprisonné en Algérie, l'écrivain Boualem Sansal n'a pas reçu la grâce présidentielle d'Abdelmadjid Tebboune

L'écrivain franco-algérien, qui s'est vu infliger une peine de cinq ans de prison, avait été condamné pour «atteinte à l'intégrité nationale» par un tribunal algérien. L'écrivain franco-algérien Boualem Sansal, emprisonné en Algérie depuis plus de sept mois et au cœur d'une grave brouille diplomatique entre l'Algérie et la France, n'a pas reçu la grâce présidentielle d'Abdelmadjid Tebboune à l'occasion de la Fête de l'indépendance, annonce le journaliste Mohamed Sifaoui sur X. Une décision qui pourrait encore envenimer la crise entre Paris et Alger. À découvrir PODCAST - Écoutez le club Le Figaro International Le romancier et essayiste avait été condamné le 27 mars à cinq ans de réclusion en première instance, notamment pour des déclarations en octobre 2024 au média français identitaire Frontières, où il estimait que l'Algérie avait hérité sous la colonisation française de territoires appartenant jusque-là au Maroc. Publicité Mardi, le premier ministre français François Bayrou avait espéré «des mesures de grâce» du président algérien après la décision de la cour d'appel d'Alger de l'écrivain franco-algérien Boualem Sansal à cinq ans d'emprisonnement ferme pour «atteinte à l'unité nationale». «La situation que Boualem Sansal subit est une situation que tous les Français et le gouvernement français trouvent insupportable, à juste titre. Maintenant qu'il y a eu condamnation, on peut imaginer que des mesures de grâce, notamment en fonction de la santé de notre compatriote, soient prises», avait déclaré le chef du gouvernement français. L'écrivain, âgé de 80 ans et atteint selon ses proches d'un cancer de la prostate, fait l'objet d'une âpre lutte diplomatique entre l'Algérie et la France depuis son arrestation à Alger le 16 novembre. Plus d'informations à suivre...

Perquisition à la prison de la Brenaz: ce que révèle l'enquête interne
Perquisition à la prison de la Brenaz: ce que révèle l'enquête interne

24 Heures

time2 hours ago

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Perquisition à la prison de la Brenaz: ce que révèle l'enquête interne

Après des arrestations musclées, un fonctionnaire, travaillant derrière les écrans de vidéosurveillance, avait adressé une dénonciation à Pierre Maudet. Publié aujourd'hui à 17h35 Les faits, qui ont eu lieu à La Brenaz, ont été dénoncés par un fonctionnaire qui travaillait derrière les écrans de vidéosurveillance de la prison. LAURENT GUIRAUD/TAMEDIA En bref: Une prison genevoise perquisitionnée, un gardien qui alerte directement un conseiller d'État, des années de procédures pénales et de suspicions dans la troupe des matons: tout est insolite dans cette affaire de prétendues violences à l'endroit d'un détenu. Selon nos renseignements, en 2022, la police genevoise a procédé à une étrange perquisition à la prison de La Brenaz, à Puplinge. À l'intérieur de l'armoire d'un sous-chef se trouvait une clé USB dans laquelle ce fonctionnaire, qui travaillait derrière les écrans de vidéosurveillance de l'établissement, dénonçait au conseiller d'État Pierre Maudet des violences sur un détenu quatre ans plus tôt. «Personne n'a frappé M.» À la fin du mois dernier, après notamment une enquête de l'inspection générale des services (IGS, la police des polices), le Ministère public a rendu une ordonnance de non-entrée en matière, a appris la «Tribune de Genève». Selon le procureur général, Olivier Jornot, les gardiens mis en cause n'ont rien fait de mal du point de vue pénal: «Il a été retenu que personne n'a frappé M. le 29 juin et le 1er juillet 2016», conclut aujourd'hui le Ministère public. Le dénonciateur dit avoir alerté directement le ministre de tutelle, car il ne faisait pas confiance à sa hiérarchie. Dans le fameux message saisi par les enquêteurs, il présente «les faits tels qu['il] les [a] perçus». Il explique d'abord que, le 1er juillet 2016, le détenu a tenté d'agresser un sous-chef venu l'emmener à la promenade, «une intervention musclée a été nécessaire pour le maîtriser, dit-il. Jusque-là, rien de particulier à signaler.» «Coup de pied» «Là où la situation m'interpelle, c'est qu'une fois maîtrisé, menotté et à terre, le prisonnier a été d'abord soulevé par les menottes, projeté à l'intérieur de la cellule, puis passé à tabac par plusieurs gardiens, dont un coup de pied donné dans la cage thoracique par le surveillant-chef.» Le message suggère à Pierre Maudet de s'intéresser à un enregistrement vidéo plus ancien, du 29 juin, «où on voit un sous-chef donner un coup sur le même détenu dans les mêmes circonstances», soit avec un prisonnier «déjà maîtrisé et au sol». Mais aujourd'hui, concernant ces deux épisodes, le Ministère public ne suit pas cette version dénoncée à l'époque. Sur les faits du 29 juin 2016, «les images de vidéosurveillance ne montrent aucun coup, tout au plus le fait que le gardien a baissé et levé son bras droit. Les images ne sont pas incompatibles avec ses déclarations, confirmées par un collègue, qui affirme qu'il a été déséquilibré par le détenu qui se débattait au sol et qu'il ne lui a porté aucun coup.» Sur le deuxième événement, le Parquet relève que le prévenu, un Guinéen rapatrié dans son pays en 2017, a tenté de frapper un fonctionnaire au visage. À peine sorti de cellule, le prisonnier a tenté d'asséner un coup de poing au visage du maton, avant d'être maîtrisé, amené au sol et menotté dans le dos, puis conduit en cellule forte. Il n'a donc pas été «passé à tabac» par le personnel, conclut le Ministère public. «Détenu agressif» L'ordonnance relève là aussi l'absence d'une quelconque lésion constatée par le service médical et l'absence d'une plainte du détenu de lLa Brenaz . Par ailleurs, les images de vidéosurveillance ne montrent rien d'autre qu'un attroupement de gardiens, excluant toute rixe. Aucun coup de pied à la cage thoracique n'est visible sur les vidéos, conclut le Parquet. «Face à un détenu agressif et violent, mon client a gardé son calme et est intervenu de manière professionnelle et proportionnelle, relève Me Robert Assaël. Aucun fonctionnaire n'a donné un quelconque coup, ce que confirment les images de vidéosurveillance. D'ailleurs, le détenu ne s'est plaint de rien et aucune lésion n'a été constatée par le psychiatre et l'infirmier qui ont échangé avec lui. Le courriel du gardien à M. Maudet relève, ni plus ni moins, de la dénonciation calomnieuse.» Violences derrière les barreaux Newsletter «La semaine genevoise» Découvrez l'essentiel de l'actualité du canton de Genève, chaque semaine dans votre boîte mail. Autres newsletters Fedele Mendicino est journaliste à la rubrique genevoise depuis 2002. Il couvre en particulier les faits divers et l'actualité judiciaire. Plus d'infos @MendicinoF Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

Attentat de la prison de Condé : la perpétuité incompressible requise contre Michaël Chiolo
Attentat de la prison de Condé : la perpétuité incompressible requise contre Michaël Chiolo

Le Parisien

time20 hours ago

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Attentat de la prison de Condé : la perpétuité incompressible requise contre Michaël Chiolo

La réclusion criminelle à perpétuité assortie d'une période de sûreté incompressible, souvent appelée perpétuité réelle, à été requise jeudi contre Michaël Chiolo , jugé pour tentative d'assassinat sur deux surveillants de la prison de Condé-sur-Sarthe (Orne) le 5 mars 2019. « Aucune autre peine que la peine maximale est envisageable », a dit l'avocate générale à la fin de son réquisitoire. Michaël Chiolo, 33 ans, qui revendique haut et fort l'attaque contre les surveillants de la prison ultra-sécurisée de Condé-sur-Sarthe , l'expliquant notamment par sa haine du système carcéral, a accueilli par un sourire les réquisitions à son encontre. Une deuxième peine de réclusion à perpétuité, assortie d'une période de sûreté de 30 ans, a été requise contre Abdelaziz Fahd, 39 ans, poursuivi pour complicité de tentative d'assassinat. Présenté par l'accusation comme le « leader charismatique religieux » et « véritable instigateur des faits », il a soutenu durant l'audience être totalement étranger aux faits, rejetant l'entière et unique responsabilité sur Michaël Chiolo. Le parquet antiterroriste a requis des peines de 15 à 20 ans de réclusion contre les trois autres accusés (dont un, en fuite à l'étranger, est jugé par défaut) poursuivis pour association de malfaiteurs terroriste (AMT). Le 5 mars 2019, Michaël Chiolo et sa compagne Hanane Aboulhana, qui lui rendait visite, avaient gravement blessé deux surveillants avec deux couteaux en céramique dans l'enceinte du centre pénitentiaire de Condé-sur-Sarthe. Le couple s'était ensuite retranché pendant près de dix heures dans l'unité de vie familiale (UVF) de l'établissement pénitentiaire. Après plusieurs tentatives de négociations, les forces d'intervention de la police avaient lancé l'assaut, blessant Michaël Chiolo et tuant Hanane Aboulhana, 34 ans.

Cécile Kohler et Jacques Paris détenus en Iran : derrière l'inculpation pour espionnage, « une méthode de chantage »
Cécile Kohler et Jacques Paris détenus en Iran : derrière l'inculpation pour espionnage, « une méthode de chantage »

Le Parisien

timea day ago

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Cécile Kohler et Jacques Paris détenus en Iran : derrière l'inculpation pour espionnage, « une méthode de chantage »

Les proches de Cécile Kohler et Jacques Paris ne connaissent pas de répit dans l'inquiétude qui les ronge . Après avoir été sans nouvelle pendant plusieurs jours à la suite du bombardement israélien sur la prison d'Evin où ils se trouvaient, l'angoisse a pris, mercredi soir, une nouvelle source. Les deux Français, âgés de 40 et 72 ans, ont été inculpés pour « espionnage pour le Mossad ( le service de renseignement extérieur israélien ) » , « complot pour renverser le régime » et « corruption sur terre ». Des faits « passibles de la peine de mort », précise Me Chirinne Ardakani, avocate de Cécile Kohler, auprès du Parisien, qui n'ont depuis fait l'objet d'aucun commentaire de la part de Téhéran.

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