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Rebecca Marino avance au deuxième tour des qualifications
Rebecca Marino avance au deuxième tour des qualifications

La Presse

time2 hours ago

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Rebecca Marino avance au deuxième tour des qualifications

La Canadienne Rebecca Marino s'est approchée d'une place dans le tableau principal des Internationaux des États-Unis, jeudi soir, à Flushing Meadows. La Presse Canadienne Marino a pris la mesure de la Japonaise Mai Hontoma 6-1, 2-6, 6-1 en 1 h 33 de jeu. Au tour suivant, la Canadienne de 34 ans affrontera la Tchèque Dominika Salkova, qui a vaincu la Biélorusse Kristina Dmitruk en trois manches de 6-3, 5-7, 7-6 (8). Marino a claqué sept as contre aucun pour son adversaire, qui, elle, a commis six doubles fautes. Marino n'a mis que 56 % de ses premières balles en jeu, mais elle a remporté 61 % des points disputés sur son premier service et surtout 66 % des points joués sur sa deuxième balle. Les deux autres Canadiennes qui tentaient de se tailler une place dans le tableau principal des Internationaux des États-Unis ont été éliminées, jeudi. Cadence Brace a été battue 6-4, 6-4 par la Tchèque Veronika Erjavec, alors que Carol Zhao a été vaincue 6-1, 6-4 par l'Italienne Lucrezia Stefanini.

Lausanne se prépare à un cortège de plus de 1000 fans de Besiktas en centre-ville
Lausanne se prépare à un cortège de plus de 1000 fans de Besiktas en centre-ville

24 Heures

time13 hours ago

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Lausanne se prépare à un cortège de plus de 1000 fans de Besiktas en centre-ville

Un cortège défilera depuis la place du Tunnel. Les maillots du club stambouliote seront d'ailleurs interdits en Tribune D. Publié aujourd'hui à 14h47 Le cortège des fans de Besiktas partira à 18 h ce jeudi depuis la place du Tunnel. IMAGO/ANP Avant même que le Lausanne-Sport ne se défasse d'Astana, le club était prévenu: en cas de qualification, le LS affronterait Besiktas et sa horde de supporters . Pour tenter de les contrer, les Lausannois ont échelonné leur billetterie . Conséquence heureuse: le stade sera bel et bien à majorité bleu et blanc ce jeudi soir. Il sera par contre difficile d'en dire autant des rues de la ville. Si le secteur visiteur de la Tuilière peut accueillir approximativement 700 fans de Besiktas, ils devraient être davantage à arpenter les rues de la ville en fin d'après-midi. Comme nous l'écrivions mercredi, des cars venus de toute l'Allemagne s'apprêtent à débarquer dans la capitale olympique. Et contrairement à Skopje ou Astana, leur terminus ne sera pas à la Tuilière. Non, les fans du club stambouliote vont se rassembler à la place du Tunnel, dès 18 h. Les TL pas mis au courant du défilé de Besiktas Un cortège se mettra alors en route. L'itinéraire devrait les faire remonter la Borde, arriver aux Casernes, passer devant la Pontaise avant de finalement arriver au stade. Au même moment, les fans du LS partiront de la Pontaise pour rejoindre la Tuilière, à pied également. «Des perturbations du trafic sont à prévoir jusqu'à 18 h 45», annonce le Lausanne-Sport. Du côté de la police, on nous affirme que «le dispositif policier est adapté pour ce type de rencontre sportive», mais on ne nous donne aucune information sur ledit cortège. Idem du côté des Transports publics lausannois, qui nous indiquent ne pas avoir reçu d'information à l'heure actuelle. «Nous allons gérer les éventuelles perturbations en temps réel en coordination fine avec la police. Pour être le plus réactif possible, les effectifs ont été renforcés au centre de gestion du trafic», ajoutent les TL. Pas de maillots de Besiktas en Tribune D «Les supporters ayant acheté des billets dans les tribunes de l'équipe locale ne seront pas admis au stade», informe également le communiqué officiel de Besiktas, afin de prévenir les supporters turcs. Les fans du club stambouliote s'étant procuré des billets sur les plateformes de revente pour les tribunes A, B ou C ne pourront donc pas rentrer dans le stade? Le LS rectifie: «Les maillots de Besiktas seront bien acceptés dans tout le stade, sauf dans la Tribune D», explique Guillaume Katz, qui gère l'organisation du match au sein du Lausanne-Sport. Si le match ne débute qu'à 20 h 15, la tension pourrait bien commencer à monter un poil avant. LIRE AUSSI SUR LE LAUSANNE-SPORT Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

Foot : toujours privé de Messi, l'Inter Miami se qualifie pour les demi-finales de Leagues Cup grâce à un doublé de Suarez
Foot : toujours privé de Messi, l'Inter Miami se qualifie pour les demi-finales de Leagues Cup grâce à un doublé de Suarez

Le Figaro

time18 hours ago

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Foot : toujours privé de Messi, l'Inter Miami se qualifie pour les demi-finales de Leagues Cup grâce à un doublé de Suarez

Les Floridiens se sont imposés 2-1 face aux Tigres d'André-Pierre Gignac. Ils affronteront Orlando au prochain tour pour un derby qui s'annonce bouillant. Sans Lionel Messi, blessé, mais avec Luis Suarez, auteur d'un doublé, l'Inter Miami s'est qualifié mercredi pour les demi-finales de la Leagues Cup en battant les Mexicains de Tigres 2-1. Lionel Messi, victime d'une «blessure musculaire mineure à la jambe droite» à la suite d'une précédente rencontre de cette compétition mêlant équipes de MLS et mexicaines, était forfait pour ce quart de finale. Mais Luis Suarez a parfaitement pallié l'absence de la star argentine de 38 ans en inscrivant deux penalties (23e, 89e) face aux Tigres d'André-Pierre Gignac. L'ancien joueur de l'Atlético Madrid Ángel Correa avait égalisé à la 67e minute. L'Inter Miami affrontera jeudi prochain en demi-finales son rival floridien d'Orlando, qui a écarté aux tirs au but le club mexicain de Toluca (0-0, 6 tab à 5). L'autre demi-finale opposera le Los Angeles Galaxy de Marco Reus à Seattle. Publicité À VOIR AUSSI - Ligue 1 : le premier but de Maghnes Akliouche cette saison avec l'AS Monaco face au Havre AC (3-1)

Timothé Cognat: «J'ai dû travailler sur mon leadership avec la voix»
Timothé Cognat: «J'ai dû travailler sur mon leadership avec la voix»

24 Heures

time20 hours ago

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Timothé Cognat: «J'ai dû travailler sur mon leadership avec la voix»

Avant d'affronter le Shakhtar Donetsk jeudi soir en barrage de Conference League, Timothé Cognat raconte ses défis personnels et ceux de son équipe. Publié aujourd'hui à 08h03 Timothé Cognat a de grandes ambitions pour le Servette FC. Cela passe par une qualification en Coupe d'Europe. BASTIEN GALLAY / GALLAYPHOTO Guerre en Ukraine oblige, c'est à Cracovie, en Pologne, que le Servette FC jouera le match aller de son barrage qualificatif pour la Conference League face au Shakhtar Donetsk. Un contexte pesant, dont les Servettiens devront faire abstraction sur le terrain, pour rêver encore à un automne européen cette saison. Flanqués d'un nouveau coach, en la personne de Jocelyn Gourvennec, et requinqués par une victoire au premier tour de la Coupe de Suisse, dimanche, face à Dardania Lausanne (0-5), les Grenat doivent désormais se relancer après un début de saison décevant. Timothé Cognat raconte les nouvelles ambitions de son équipe. Comment se sent le groupe avant ce déplacement capital pour l'avenir européen du Servette FC? Écoutez, le groupe, il est comme toujours, il est confiant, il est bien, il peut s'appuyer sur une bonne ambiance. Après, on sait l'importance de ce match, donc on va essayer d'être préparé au mieux pour jeudi soir et de faire le meilleur match possible. L'idée, c'est d'avoir encore toutes les cartes en main lors du match retour et d'aller chercher une qualification pour la suite de la compétition, la semaine prochaine, à domicile. La victoire en Coupe de Suisse, dimanche, ça a fait du bien au moral? Oui, bien sûr. C'est clair qu'une victoire, ça fait toujours du bien. On la cherchait depuis notre premier match face à Plzen. On l'a enfin eu, même si on peut dire qu'il était contre une équipe de cinquième division, mais ça fait quand même du bien à la tête de regagner. Les jambes sont moins lourdes tout de suite le lendemain, donc oui, c'est sûr que cette victoire a été appréciée. Comment se passe l'adaptation avec le nouveau coach, Jocelyn Gourvennec? On continue toujours d'apprendre à se connaître. On a eu le temps maintenant pour travailler, pour le coach d'expliquer son plan de jeu et sa philosophie. Ce n'est que le début, on a encore de nombreuses semaines pour développer ces nouveaux principes et affiner les automatismes. On vous a vus beaucoup discuter ensemble, notamment lors des premières séances d'entraînement. C'est juste? Je pense qu'il discute avec tout le monde. C'est normal, au début, de faire connaissance avec l'ensemble du groupe. Maintenant, si vous voulez parler de tactique, de savoir comment on joue, comment on s'organise, il faut demander directement au coach. À 27 ans, vous êtes un taulier de l'équipe. Ce serait assez logique que le nouvel entraîneur s'appuie sur vous comme un relais sur le terrain. C'est sûr qu'après sept saisons passées ici. à Genève, je commence à être un ancien de l'équipe. Néanmoins, chaque joueur a son importance, notamment dans les moments difficiles. Ce n'est pas vraiment une personne qui doit prendre le lead, c'est tout le monde qui doit se sentir concerné. Oui, il y a forcément des personnes qui sortent un peu plus du lot. Mais on a la chance d'avoir une équipe qui est forte collectivement. Donc c'est sur ça, surtout, qu'il faut s'appuyer. De l'extérieur, vous donnez l'impression de prendre du plaisir à vous affirmer comme leader. Cette faculté, c'est venu avec l'expérience ou c'est quelque chose que vous avez dû travailler? J'ai dû travailler sur mon leadership avec la voix. Je suis plutôt un joueur qui montre son leadership par l'énergie qu'il met sur le terrain. Ce n'était pas forcément naturel de donner de la voix. Après, ça s'est fait de fil en aiguille, avec l'ancienneté, on acquiert aussi la légitimité pour s'affirmer de plus en plus. Comme évoqué, vous êtes un joueur d'intensité, dans les déplacements notamment. Maintenant que vous arrivez dans la deuxième partie de votre carrière, est-ce qu'il faudra adapter votre style de jeu? L'intensité, ça reste ma marque de fabrique. Je ne vais pas changer de profil du jour au lendemain. Évidemment, il faut que je m'améliore sur d'autres points, ça, c'est sûr. Mais sur l'intensité, non, je vais essayer de la bichonner. C'est sûr que je commence gentiment à être plus proche de la fin que du début. À un moment donné, il faudra peut-être que je m'adapte, mais je n'en suis pas encore là. Je vais continuer à être comme je suis actuellement. Depuis son arrivée, le coach a établi une hiérarchie claire entre les gardiens. C'est une bonne chose, selon vous? La situation qu'on a connue par le passé n'était pas cool pour les gardiens, avec toute cette incertitude. Le coach a tranché et je pense que c'est mieux ainsi, même s'il y a forcément un des deux gardiens qui est un peu plus déçu que l'autre. Cela donne de la clarté, car la situation ne devait pas être simple pour eux au quotidien, dans leur gestion de la performance. Vous affrontez ce jeudi soir à Cracovie le Shakhtar Donetsk, une équipe marquée par la guerre, qui ne peut plus jouer à domicile. Est-ce qu'on y pense avant un tel match? On essaye de faire abstraction du contexte, pour se concentrer sur le match. C'est sûr que pour eux, ça ne doit pas être facile de jouer ce genre de match, de ne pas pouvoir évoluer devant leur public, de sentir l'atmosphère si particulière de la Coupe d'Europe. Parce que quand on parle de Coupe d'Europe, on parle aussi de fête, notamment pour les clubs qui reçoivent, qui se réjouissent d'accueillir des équipes qui viennent parfois de loin… Oui, le sport, en temps normal, c'est surtout un moment de partage, de joie et de fête. Je n'ai jamais joué contre une équipe qui était dans une telle situation de guerre, comme le football ukrainien en ce moment. Je ne peux pas vous dire si on va le ressentir sur le terrain. Mais notre objectif c'est de gagner et de ne pas penser à tout ce qu'il y a autour. Le derby face à Sion , qui était initialement prévu samedi, a été reporté au 17 septembre. C'est un avantage de pouvoir vous concentrer uniquement sur la Coupe d'Europe durant la prochaine semaine? Oui, je pense que c'est un plus, surtout dans la période que l'on traverse. Avec ce changement d'entraîneur, ça nous permet d'avoir plus de temps pour pouvoir travailler avec le coach. D'autant plus que, depuis le début de la saison, on enchaîne des matches tous les trois jours. C'est sûr qu'avoir un petit moment où on peut enfin se poser et se reconcentrer, ça fait du bien. À lire également sur le Servette FC Florian Müller est journaliste et chef de la rubrique sports de 24 Heures, de la Tribune de Genève et du Matin Dimanche. Après des études de Lettres à l'Université de Genève, il rejoint les rédactions du groupe Tamedia en 2010. Plus d'infos @FloMul Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

Ligue des Champions: Le FC Bâle tenu en échec par Copenhague
Ligue des Champions: Le FC Bâle tenu en échec par Copenhague

24 Heures

timea day ago

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Ligue des Champions: Le FC Bâle tenu en échec par Copenhague

Les Rhénans ont concédé un match nul 1-1 face aux Danois. La qualification pour la phase de ligue passera par un exploit au match retour à l'extérieur. Publié aujourd'hui à 23h06 Mohamed Elyounoussi, de Copenhague, à gauche, et Moritz Broschinski, de Bâle, en action lors du match aller des barrages de l'UEFA Champions League. La qualification du FC Bâle pour la phase de ligue de la Ligue des Champions passera par un exploit la semaine prochaine à Copenhague. Les Rhénans sont, en effet, en ballottage défavorable à l'issue du match aller face au Champion du Danemark. Dans un Parc Saint-Jacques qui n'avait pas fait le plein, le FC Bâle a été tenu en échec 1-1 par le FC Copenhague dans une rencontre qu'il a terminée à dix contre onze après l'expulsion de Jonas Adjetey à la 82e minute. Sauvé par la VAR qui a annulé un but d'Andreas Cornelius pour un hors-jeu de quelques centimètres, il peut même s'estimer heureux de ce résultat. Le FC Bâle avait eu, pourtant, le bonheur d'ouvrir le score dans le premier quart d'heure. Xherdan Shaqiri transformait à la 14e un penalty provoqué par Albian Ajeti. La réussite du capitaine récompensait la belle entame de la formation de Ludovic Magnin . Seulement, les Rhénans n'ont pas été en mesure de poursuivre sur leur lancée face au collectif très bien huilé de l'adversaire. Le FC Copenhague pouvait, ainsi, égaliser sur l'ultime action de la première période par Gabriel Pereira. Le défenseur brésilien marquait de la tête après une erreur d'appréciation de Marwin Hitz. Malgré toute son expérience, le portier rhénan s'est fait piéger comme un junior sur le centre du Péruvien Marcos Lopez. A l'image d'un Shaqiri qui a peiné pour trouver son second souffle, les Bâlois n'ont pas été en mesure de reprendre la main. L'absence pour blessure de Bénie Traoré a vraiment pesé. Il n'empêche que l'équipe dans son ensemble, de Hitz à Ajeti, ne fut pas vraiment à la hauteur de l'événement. Ludovic Magnin a une semaine devant lui pour corriger le tir. Football ATS Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

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