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« On se croirait dans le Sud, c'est chouette » : à Lyon, les cigales prolifèrent à cause du réchauffement climatique
« On se croirait dans le Sud, c'est chouette » : à Lyon, les cigales prolifèrent à cause du réchauffement climatique

Le Parisien

timea day ago

  • Science
  • Le Parisien

« On se croirait dans le Sud, c'est chouette » : à Lyon, les cigales prolifèrent à cause du réchauffement climatique

Elles sont partout à Lyon cet été… Qui ? Les cigales ! Pour les écouter, les habitants de la rue de Trion dans le quartier Saint-Just n'ont qu'à tendre l'oreille. Une véritable cacophonie observée également dans la montée de la Boucle qui mène à la Croix-Rousse, dans la grande rue d'Oullins et à La Mulatière, où les mâles cigales font vibrer leur abdomen pour le plus grand bonheur des habitants qui commencent à se familiariser avec cette cymbalisation — ce bruit modulé par l'insecte —, facilement reconnaissable. « C'est quand même plus agréable que le bruit des klaxons. Je suis assez impressionné par le bruit qu'elles peuvent faire en fin de journée », apprécie Mathieu, un habitant du quartier Saint-Just rencontré à la sortie du métro sur la place Varillon, où les cigales ont élu domicile.

Logement étudiant : conseils pour une recherche efficace cet été
Logement étudiant : conseils pour une recherche efficace cet été

Le Parisien

time2 days ago

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Logement étudiant : conseils pour une recherche efficace cet été

La recherche d'un logement étudiant demeure une étape essentielle avant d'effectuer votre rentrée dans de bonnes conditions. Il existe plusieurs moyens pour trouver un logement adapté à vos besoins. Internet constitue LA solution efficace pour dénicher des annonces qui correspondent à vos critères ! Ces critères peuvent porter sur la localisation géographique, le budget, la période de disponibilité, la nature du logement et les équipements proposés en meublé ou non meublé. Par exemple, une résidence étudiante ou un logement universitaire privé. Parmi les différentes plateformes, vous pouvez réaliser la recherche d'un logement étudiant sur les sites suivants : Avec une offre généraliste ou spécialisée, n'hésitez pas à consulter des sites d'agences immobilières ou même à vous rendre dans une agence immobilière de quartier ou à les appeler. Certaines agences auront peut être des conseils à vous proposer, ou des offres non encore publiées à vous proposer. Attention méfiez vous des vendeurs de listes d'annonces , il s'agit le plus souvent d'arnaques. Dans une démarche similaire, vous pouvez aussi vous tourner vers des applications dédiées, c'est le cas de Jinka et de La Carte des Colocs. Les réseaux sociaux constituent également une ressource pratique pour la recherche d'un logement étudiant. Servez-vous de vos contacts et rejoignez des groupes d'université. Avant de vous engager, vérifiez les antécédents de vos contacts, l'expérience de précédents clients ou locataires. Bien cibler sa période de recherche pour un logement étudiant demeure primordial. Trop tôt, les biens risquent de ne pas être disponibles. Les propriétaires ou les bailleurs n'ont pas encore le temps de préparer les annonces. Trop tard, le choix est plus restreint, surtout si vous vous focalisez sur un secteur géographique où la demande est supérieure à l'offre. C'est le cas, par exemple, des régions parisienne, lyonnaise et lilloise. Le mois d'avril demeure recommandé pour commencer votre recherche d'un logement étudiant. En complément d'une offre conséquente, vous évitez les concessions pour trouver un studio, un appartement ou une chambre dans l'urgence. Cela porte, entre autres, sur les spécificités suivantes : À partir de juillet, il est plus difficile de trouver un logement étudiant qui correspond à vos critères de base. En septembre et en octobre, les biens en disponibilité sont généralement pris. Cependant, il n'est pas toujours aisé d'anticiper votre recherche, car celle-ci peut dépendre de vos résultats d'examen ou de l'acceptation d'un établissement à intégrer un cursus. En parallèle de la recherche d'un logement étudiant, vous pouvez vous renseigner sur les différentes aides au logement de l'État . Celles-ci se basent souvent sur les conditions de ressources de votre foyer fiscal, de votre âge, de votre domiciliation en France. Cela vaut notamment pour l'octroi d'une bourse auprès du Crous. Les formalités demeurent similaires pour effectuer une demande de logement étudiant du Crous. Vous devez réaliser les démarches avant le mois de mai qui précède votre rentrée. Auprès de la caisse d'allocations familiales, vous pouvez bénéficier de l' allocation de logement à caractère social (ou ALS) . Cette dernière concerne les étudiants sans personne à charge. Ils peuvent être seuls ou vivre en couple. Avec une ou plusieurs personnes à charge, vous pouvez vous tourner vers l' allocation de logement à caractère familial (ou ALF) . En ce qui concerne l' aide personnalisée au logement (ou APL) , vous devez résider dans un logement conventionné. Dans l'éventualité où vous ne bénéficiez pas d'un garant ou ne disposez pas d'une caution suffisante, vous pouvez demander la garantie Visale. Il s'agit d'une garantie pour loyers impayés. Elle est réservée aux locataires âgés de 18 à 30 ans. À l'exception d'un dépôt de garantie, vous n'avez pas à fournir une caution supplémentaire au bailleur. Quant à l'avance Loca-Pass , elle se présente sous la forme d'un prêt pour financer un dépôt de garantie, remboursable sur 25 mois, sans application de taux d'intérêt. Si votre recherche d'un logement étudiant s'est avérée infructueuse, prenez contact avec les associations étudiantes de la ville ciblée ou de votre campus, par exemple, la Fage ou l'Unef. Une alternative consiste à solliciter les services sociaux. Pour les étudiants sans domicile, le Samu social peut proposer un accès aux structures de soin et la distribution d'aliments. Vous pouvez aussi disposer d'un accompagnement. Ces interlocuteurs sont susceptibles de vous présenter une solution d'hébergement d'urgence. Essayez d'autres pistes, comme : Pensez aussi à relancer vos contacts pour obtenir des réponses rapides et ne pas perdre d'autres opportunités.

Violent incendie à Paris : les constructions en bois sont-elles dangereuses ?
Violent incendie à Paris : les constructions en bois sont-elles dangereuses ?

Le Parisien

time6 days ago

  • Business
  • Le Parisien

Violent incendie à Paris : les constructions en bois sont-elles dangereuses ?

Un immeuble en construction dans le futur quartier des Messageries , dans le XIIe arrondissement de Paris, a été ravagé par les flammes ce mardi 15 juillet. Autrement dit, des centaines de milliers d'euros partis en fumée en quelques heures. Heureusement sans faire de victime. Alors que la structure de cet immeuble avait été pensée en bois biosourcé, cet incident a relancé une question sensible : ces bâtiments sont-ils suffisamment sécurisés face au risque d'incendie ? Une interrogation loin d'être anodine, alors que ce matériau est de plus en plus prisé dans la capitale pour des raisons environnementales évidentes, et que les constructions se multiplient donc.

Vente à la sauvette, prostitution, trafic… Une journée au cœur de Château-Rouge
Vente à la sauvette, prostitution, trafic… Une journée au cœur de Château-Rouge

Le Parisien

time15-07-2025

  • Politics
  • Le Parisien

Vente à la sauvette, prostitution, trafic… Une journée au cœur de Château-Rouge

Château-Rouge. Une station de métro, mais surtout un quartier, dans le XVIIIe arrondissement de Paris. Et, au cœur de celui-ci, trois rues : Poissonniers , Dejean et Poulet. Elles forment un triangle de 150 m de côté, tout au plus. Où la densité de population est telle qu'on ne peut parfois plus marcher sur la chaussée. Une sorte de triangle des Bermudes où toutes les lois, normes, règles d'hygiène et du commerce semblent avoir disparu. Déjà, en 2018, l'État et la Ville de Paris avaient été condamnés pour « faute en matière de salubrité et de sécurité vis-à-vis des habitants du quartier ». Depuis, rien n'a vraiment changé. Y passer une journée permet de mesurer l'ampleur du phénomène.

Qui veut renouer avec la lecture ?
Qui veut renouer avec la lecture ?

La Presse

time12-07-2025

  • Entertainment
  • La Presse

Qui veut renouer avec la lecture ?

Pendant longtemps, le seul débat à propos des lectures d'été se résumait à ceci : faut-il lire léger ou lire du lourd ? C'était le bon vieux temps où la chicane portait surtout sur les goûts, car de nos jours, on se demande plutôt si l'on sera capable d'aller au bout d'un seul livre pendant les vacances, en laissant de côté nos bébelles technologiques. Du plus loin que je me souvienne, les discours sur la lecture ont toujours été alarmistes. Les gens ne lisent pas, ne lisent plus – les jeunes surtout, sur qui reposent sans cesse nos espoirs de rédemption ou la menace d'un effondrement de la civilisation. Cela ne m'a jamais inquiétée, peut-être parce que je viens d'un milieu où il y avait plus de téléviseurs que de livres dans mon entourage, une réalité que je trouvais normale, et c'est pourquoi la bibliothèque de mon quartier était si importante. J'ai compris très tôt dans la vie que les « grands lecteurs », ces adeptes de la lecture « profonde » qui lisent au moins 12 livres par année, ont toujours été minoritaires. Personne ne me fera croire qu'il y a 100 ans, nos ancêtres passaient leur temps le nez dans un livre. Il faut des conditions et un penchant pour ça. D'abord être alphabétisé, contrairement au sport ou à la musique qui viennent à nous sans avoir un code à maîtriser. D'où peut-être aussi notre propension à offrir des funérailles nationales aux sportifs et aux chanteurs, plutôt qu'aux écrivains. Je sais que ceux qui ont vraiment lu les briques de Victor-Lévy Beaulieu et les romans sans point de Marie-Claire Blais forment une secte trop petite pour être intéressante sur le plan politique. Par contre, et cela me fait plaisir, je suis persuadée que la population en général n'a probablement jamais autant lu qu'à notre époque. Pas forcément des livres, mais des articles, des statuts Facebook ou Instagram, des textos, n'importe quoi qui passe par l'écrit. Nous lisons probablement plus, sauf que la nature de la lecture a changé. Dans un article très intéressant du New Yorker publié en juin, le journaliste Joshua Rothman pose la question : What's Happening to Reading ? (Qu'est-ce qui est en train d'arriver à la lecture ?). Il explique qu'aujourd'hui, on peut commencer un livre sur une tablette, le poursuivre dans le métro sur son iPhone et embarquer dans la version audio en conduisant sa voiture, mais que lire un bon vieux bouquin, avec des pages en papier, est sur le point de devenir un anachronisme. « Il y a quelque chose à la fois de diffus et de concentré à propos de la lecture maintenant ; cela implique un flot de mots aléatoires qui défilent sur un écran, tandis que la présence sournoise de YouTube, Fortnite, Netflix et autres fait en sorte que, dès que nous avons commencé à lire, nous devons continuellement choisir de ne pas arrêter. » Lisez l'article du New Yorker « What's Happening to Reading ? » (en anglais) C'est vrai. Je ne peux pas plonger sérieusement dans une lecture, surtout sur ma tablette, si les notifications de mes applications sont actives, car je ne peux résister à l'envie d'aller vérifier qui a liké la superbe photo de mon chat. Ces notifications qui m'interpellent ne peuvent cohabiter avec la lecture de Proust, qui demande une concentration de tous les instants. D'ailleurs, je n'ai toujours pas fini À la recherche du temps perdu. Comme il me semble loin le temps où, au contraire, je devais résister à la tentation de lire un autre chapitre, en cachette de mes parents, sous la couverture avec une lampe de poche à 2 h du matin. Rappelons que je ne suis en aucun cas une référence pour évaluer le temps de lecture de la population. C'est mon travail, je reçois les livres gratuitement, il est évident que je lis plus que la moyenne des ours. Et même dans ces circonstances idéales, ma concentration de lectrice a diminué, je suis obligée de le reconnaître. Je pensais que je pouvais maintenir mon rythme de « lecture traditionnelle » tout en scrutant les réseaux sociaux et en m'informant sans arrêt. Ce n'est pas possible, et il n'est pas étonnant que je fasse des migraines ophtalmiques, non plus. Dans son article, Joshua Rothman pose d'excellentes questions : « Si nous dévorons Stranger Things plutôt que de lire Stephen King, ou écoutons des balados de croissance personnelle plutôt que d'acheter des livres de croissance personnelle, est-ce la fin de la civilisation ? À un certain niveau, le déclin de la lecture traditionnelle est connecté à l'efflorescence de l'information à l'âge du numérique. Voulons-nous vraiment retourner à une époque où il y avait moins à lire, à regarder, à écouter et à apprendre ? » Non, bien sûr. Cependant, je crois que le lectorat « traditionnel » demeurera ce qu'il a toujours été : un noyau dur, pas une norme. Paradoxalement, l'industrie du livre est celle qui s'en tire le mieux au Québec depuis la pandémie, comparativement aux autres secteurs culturels comme les arts vivants. Qui sait si, pendant les heures sombres du confinement, des gens exaspérés de regarder Netflix n'ont pas donné une chance à un bouquin qui traînait depuis longtemps ? Je fantasme, sans aucun doute. Les ventes de livres se maintiennent, soit, mais est-ce que les acheteurs les lisent ? Nous sommes nombreux à avoir sur nos tables de chevet des piles qui penchent comme la tour de Pise, en sachant très bien qu'il n'y aura que quelques élus dans le lot. Malgré ceux qui déplorent qu'on publie trop, je persiste à croire que chaque être humain sur cette planète devrait avoir droit au miracle de la rencontre avec un livre qui changera sa vie. Les bouquins ne seront donc jamais assez nombreux face au vortex infini du numérique. À moins qu'on ne finisse par déléguer la tâche de lire des romans complexes à l'intelligence artificielle, qui nous fera des résumés assez riches pour briller dans les soirées mondaines ou performer sans trop se forcer lors des examens de fin d'année. Au moment où vous lisez ces lignes, je suis en vacances, mais pour un projet à l'automne, je suis à la recherche de personnes qui lisent moins de livres qu'elles en lisaient autrefois, et qui ont envie de renouer avec cette habitude. Racontez-moi comment cela vous est arrivé, si cela vous manque ou pas, et par quoi ce temps que vous consacriez avant à la lecture a été remplacé. J'aimerais vous lire là-dessus. En vous souhaitant un bel été, avec ou sans livres. Écrivez à notre chroniqueuse

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