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Les gloires déchues du PAF : Jean Yanne, le Français le plus insulté des médias
Les gloires déchues du PAF : Jean Yanne, le Français le plus insulté des médias

Le Figaro

time16 hours ago

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Les gloires déchues du PAF : Jean Yanne, le Français le plus insulté des médias

SÉRIE (13/13) - Ils sont rentrés dans nos foyers, ont été admirés, adulés même. Jusqu'à leur chute, souvent fatale, étalée dans la rubrique faits divers. Ce volet retrace la carrière de l'acteur. « Il est interdit d'interdire ». Ce slogan de mai 68 n'est pas né sur les murs du boulevard Saint-Germain, mais dans l'esprit de Jean Yanne . Il l'a lancé un matin sur les ondes sans imaginer qu'il entrerait un jour dans le langage courant. Cette formule correspond parfaitement à l'esprit d'un homme qui, tout au long de sa vie, ne s'est jamais rien interdit. Cela lui a parfois coûté cher, professionnellement mais aussi financièrement. L'acteur, au talent unanimement salué, a été récompensé, entre autres, par un prix d'interprétation à Cannes en 1972 pour Nous ne vieillirons pas ensemble. En revanche, son parcours d'homme de radio et de télévision ainsi que les films qu'il a mis en scène lui ont valu bon nombre de critiques et la traversée de pas mal de zones de turbulences professionnelles et financières. Son parcours dans les médias débute en 1959 quand il croise la route de Gérard Sire. Surnommé « le Simenon des ondes », ce dernier est capable de rédiger en un week - end, voire…

«La conclusion de 49 années de radio» les adieux de Jean-Jacques Bourdin à Sud Radio
«La conclusion de 49 années de radio» les adieux de Jean-Jacques Bourdin à Sud Radio

Le Figaro

time2 days ago

  • Politics
  • Le Figaro

«La conclusion de 49 années de radio» les adieux de Jean-Jacques Bourdin à Sud Radio

VIDÉOS - Vendredi matin, le journaliste a dit au revoir aux auditeurs de la station qu'il quitte après trois ans de bons et loyaux services. Entre rires et émotion. Vendredi matin, Jean-Jacques Bourdin présentait pour la dernière fois la matinale de Sud Radio. Après un best-of de ses interventions sur la station depuis trois ans, à encenser le Sud de la France, pousser des coups de gueule ou interviewer les politiques, le journaliste qui a fêté ses 76 ans le 15 juin dernier a déclaré a rendu hommage à ceux qui ont travaillé avec lui. «Bravo, je ne sais pas qui a eu cette idée et comment vous avez fait. Merci à vous tous, vous êtes tous là. Vraiment je vous remercie tous, ces trois années ont été formidables, c'est la conclusion de 49 années de radio», a-t-il déclaré d'emblée avant de mentionner ses anciennes maisons. «Je pense beaucoup à RTL, à Philippe Labro qui nous a quittés il y a peu et qui était mon mentor dans le journalisme. Tant d'années merveilleuses à RMC et BFMTV bien sûr et ici, les trois dernières années sur Sud où j'ai trouvé une équipe exceptionnelle. Vous êtes tous là et c'est un bonheur», poursuit-il. Publicité Jean-Jacques Bourdin tient à faire passer un message : «Et puis vous savez, face à la déferlante d'informations, aux fausses informations si vite répandues et trop vite commentées, je dis simplement gardons le contrôle de notre pensée et le bon sens qui permettent de n'être dupe de rien. Et c'est ce qui compte n'être dupe de rien», ajoute-t-il dans un franc-parler que les auditeurs lui connaissent bien. Ce départ n'est pas une retraite médiatique pour autant. Le mari d'Anne Nivat prévient qu'il sera bientôt de retour. «Je suis très heureux d'autant plus que j'ai d'autres projets, je ne peux pas trop vous en parler là mais qui vont faire du bruit dans le monde politique», promet-il. «Nous allons aborder deux années formidables en politique, qui vont être rudes, très dures, vous allez voir les municipales et la Présidentielle, ça va être terrible et bien nous vivrons ça ensemble. Merci encore à tout le monde, vraiment». La veille, son invité politique Jean-Philippe Tanguy lui avait adressé un message à la fin de leur entretien. «Je rends hommage à la liberté de parole que vous défendez, Jean-Jacques Bourdin. En 2012, j'ai travaillé avec Nicolas Dupont-Aignan, et nos idées souverainistes n'étaient pas populaires. On n'avait pas beaucoup la parole, mais on l'avait avec vous», confiait le député du Rassemblement national. À la rentrée dernière, Jean-Jacques Bourdin avait récupéré les commandes de la matinale de Sud Radio, proposée de 7 heures à 9 heures. Il était également à la tête de l'interview politique de 8h30. Ironie du sort, il s'était retrouvé en concurrence frontale avec celle qui lui a succédé sur BFMTV et RMC, Apolline de Malherbe.

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