Dernières actualités avec #rappeur


Le Parisien
5 days ago
- Entertainment
- Le Parisien
« L'ambiance était incroyable » : malgré quelques « bousculades », le public de La Courneuve conquis par Tiakola
Il jouait à domicile et il était hors de question que ça ne se voie pas. Pour son concert gratuit à La Courneuve (Seine-Saint-Denis), point d'orgue des célébrations du premier anniversaire de Paris 2024 au parc Georges-Valbon, le rappeur Tiakola avait prévu quelques surprises pour ses fans. Il a par exemple invité sa mère à monter sur scène, ainsi que ses neveux et nièces. Mais la foule a surtout exulté quand sont apparus à ses côtés les membres du groupe 4Keus, avec lequel il a commencé sa carrière.


24 Heures
23-07-2025
- Entertainment
- 24 Heures
Macklemore livre une performance extatique pour l'ouverture du Paléo
Accueil | Culture | Festivals | Pour sa deuxième apparition sur la plaine de l'Asse, le rappeur américain a enflammé la grande scène dans un show survolté. Publié aujourd'hui à 08h20 Macklemore a littéralement enflammé la grande scène du Paléo. En bref: C'est sans aucun doute l'image qui va marquer cette première journée du Paléo: Macklemore, debout sur la foule, un drapeau palestinien à la main, faisant sauter la foule en délire du Paléo sur son tube «Can't hold Us». Avant cela, fort d'un flow inarrêtable et d'une énergie irrésistible, le rappeur américain a pendant plus d'une heure de show complètement galvanisé le public de la grande scène. Là où tout a démarré Deuxième concert de Macklemore à l'open air nyonnais, celui-ci risque de rester dans les annales du festival. Bien rares ont été les spectateurs à ne pas lever les mains en l'air et à ne pas succomber au charisme du chanteur. Tout a pourtant démarré dans une ambiance plutôt douce de coucher de soleil. Macklemore, attendu par un parterre complet, débarque et entonne «Fighter» avant d'appeler la foule à participer à un petit exercice de respiration avec lui. Visiblement très heureux de se reproduire au Paléo , le chanteur cite les bons points de l'Helvétie: chocolat et bonne manière. Le manteau léopard de «Thrift Shop» est de retour. «Et maintenant, lance-t-il dans un silence, pourquoi ne pas revenir là où tout a commencé?» C'est le moment d'enfiler son manteau de fourrure léopard pour envoyer «Thrift Shop», l'un de ses plus grands morceaux et surtout celui qui l'a fait connaître. Délire sur la plaine de l'Asse. Macklemore court, saute, gesticule dans tous les sens pour faire le show. Derrière lui, un duo de chanteur, des cuivres, un percussionniste et deux danseuses garnissent le tout. On connaissait le Macklemore qui nous faisait bouger en boîte de nuit, on rencontre maintenant celui qui fait sauter un public d'open-air en un claquement de doigts. Discutant longuement avec ses spectateurs, Macklemore mène le public à la baguette, le fait lever les mains en l'air et répéter des vocalises avec lui, et surtout chanter à tue-tête ses refrains. Pour «Same Love», son titre pour les droits LGBTQI+, il se fend d'un petit discours: «Brandissez votre poing en l'air si vous pensez que tous les êtres humains ont le droit d'aimer et d'être qui ils veulent». «Free Palestine» Vient alors le moment d'évoquer Gaza et surtout la famine qui fait rage en Palestine. Les drapeaux palestiniens du public s'agitent, et Macklemore les salue en scandant «Free Palestine». «Hind's hall», chante le plus engagé du rappeur, démarre, pendant qu'une partie de la foule semble embarrassée. «Y'en a marre des discours!» ou encore «pourquoi un chanteur doit toujours être politique!», peut-on entendre sur le parterre. Pendant ce temps, Nina Simone et John Lennon se retournent dans leurs tombes. Jouant avec le public, Macklemore mène la foule à la baguette. Une scission plus tard, le clou du spectacle. Sur «Dance of», Macklemore appelle deux personnes du public sur scène et démarre un battle de danse. Dans le feu de l'action, les heureux élus se trompent et s'élancent en même temps. Qu'à cela ne tienne, le chanteur rappelle deux nouvelles personnes et la danse continue. «En huit ans de concert, ça ne m'est jamais arrivé», sourit-il dans la rigolade générale. Tubes après tubes, le rappeur fait monter la température et tire le public de plus en plus loin dans l'euphorie. C'est le moment de se dire adieu. Après un premier rappel, «Can't Hold Us» met définitivement le feu aux poudres. Le temps de conclure sur un dernier «Free Palestine», la messe est dite. Les fidèles, eux, exultent, pendant que le roi s'éclipse sur «I Feel Good» de James Brown. Durant près d'une heure et demie, on était de retour en 2016, de préférence en boîte de nuit, à une époque qui semblait peut-être connaître moins de soucis. Paléo 2025 Andrea Di Guardo est journaliste RP à la Tribune de Genève depuis mars 2024. Attaché à la rubrique culturelle (pôle Vibrations), il écrit également pour 24 Heures et Le Matin Dimanche. Il s'intéresse aussi aux sujets locaux et internationaux. Il est titulaire d'un Master en journalisme et communication et d'un Bachelor en sciences politiques. Plus d'infos Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.


La Presse
18-07-2025
- Politics
- La Presse
Un membre de gang vengé deux semaines plus tard ?
Le meurtre d'un rappeur montréalais survenu jeudi matin à North York, en banlieue de Toronto, pourrait être une réplique à l'assassinat d'un membre de gang commis il y a à peine deux semaines à Brossard, a appris La Presse, de sources des milieux policier et criminel. Kashif Jamal Bentley-Jean, 28 ans, alias Lil Bentley, tué par balles jeudi dans la région de la Ville-Reine, faisait, selon nos sources, l'objet d'un avis de recherche du Service de police de l'agglomération de Longueuil (SPAL) depuis le meurtre de Cédrick Bélizaire, 27 ans, commis le soir du mercredi 2 juillet dans un parc de Brossard, sur la rive-sud de Montréal. Dans cet avis, le SPAL aurait indiqué que Bentley-Jean se trouvait dans le parc au moment du meurtre de Bélizaire, et qu'il était une personne d'intérêt. Le corps de police aurait également ajouté que Bentley-Jean était armé et dangereux, qu'il faisait l'objet d'un mandat, et que s'il était localisé, il fallait exécuter le mandat, l'arrêter et le garder détenu. Un individu visiblement proche du milieu des gangs a confié à La Presse que Belizaire et Bentley-Jean auraient eu une altercation le soir du 2 juillet, lors d'une fête à Brossard, que c'est Bentley-Jean qui aurait commis le meurtre et qu'il l'a même annoncé sur les réseaux sociaux le lendemain du crime. Il semble que Bélizaire et Bentley-Jean étaient à couteaux tirés depuis longtemps, et que cela puisse avoir un lien avec le passage à tabac de Bentley-Jean par quelques individus, alors qu'il était incarcéré à l'Établissement de détention de Montréal (Bordeaux) en avril 2023. Une fois libéré, Bentley-Jean aurait fait régulièrement la navette entre l'Ontario et le Québec depuis cet évènement. Tué à l'aube Bentley-Jean a été tué de plusieurs balles vers 6 h 15 jeudi, alors qu'il se trouvait dans le stationnement du centre commercial Yorkdale, à proximité de l'entrée numéro 3. Un ou des individus se sont approchés de lui et ont ouvert le feu à une dizaine de reprises, selon des témoins. Le décès de la victime a été constaté sur place. Les suspects ont pris la fuite et sont toujours recherchés par la police. Bélizaire, quant à lui, a été atteint par balles vers 23 h le 2 juillet dans un parc situé près du boulevard Marie-Victorin. Il a succombé à ses blessures au courant de la nuit. Le crime est survenu peu après une fête tenue pour souligner l'anniversaire d'un membre influent des Zone 43, un gang de rue de Montréal-Nord considéré par la police comme un groupe émergent qui tente de prendre une place de plus en plus grande sur l'échiquier du crime organisé montréalais. PHOTO ALAIN ROBERGE LA PRESSE Les enquêteurs du Service de police de l'agglomération de Longueuil (SPAL) examinent minutieusement l'endroit où Cédrick Bélizaire a été tué le soir du 2 juillet dernier. Cédrick Bélizaire était connu des autorités et au cœur de tensions qui opposent deux gangs ennemis du nord-est de Montréal. Surnommé Ballout dans la rue, il était considéré par la police comme membre de Pop Team, un gang de Montréal-Nord. Il avait déjà fait face à la justice, notamment en matière de proxénétisme. Selon nos informations, Bentley-Jean aurait fondé, avec d'autres, un gang de rue d'allégeance rouge appelé A1 qui aurait été présent dans l'ouest de Montréal, mais également à Toronto. Avec la collaboration de Mayssa Ferah, La Presse Pour joindre Daniel Renaud, composez le 514-285-7000, poste 4918, écrivez à drenaud@ ou écrivez à l'adresse postale de La Presse.

Le Soir
13-07-2025
- Politics
- Le Soir
« Des douleurs que je n'oublierai jamais » : hospitalisé, le rappeur Anas donne de ses nouvelles (photos)
Il remercie aussi l'équipe médicale. « La route de la récupération est longue mais je suis entre de bonnes mains, entouré d'amour », conclut-il, avec une prière. Le rappeur avait été accidenté sur une route de Marrakech tandis qu'il se trouvait avec son épouse dans une voiture avec chauffeur. Sa femme, Fidji Ruiz, avait alors posté un message qui appelait à prier pour son mari.


Le Parisien
10-07-2025
- Entertainment
- Le Parisien
Incendie à Marseille : Jul apporte son soutien aux pompiers et aux victimes des flammes avec un joli message
Jul affiche sa solidarité avec le peuple marseillais. Alors qu'une partie de la cité phocéenne a été en proie aux flammes cette semaine, le célèbre rappeur marseillais a publié un message sur son compte Instagram pour apporter son soutien aux pompiers de la ville, ainsi qu'aux personnes directement touchées par la catastrophe. « Force à tous les pompiers de Marseille et à toutes les personnes qui vivent cette horreur », a écrit l'artiste de 35 ans ce mercredi. « Faites attention à vous », a ajouté « le J » dans les commentaires. Le message du rappeur arrivé au sommet du rap français a bien été reçu par les pompiers de la ville qui n'ont pas manqué de sobrement commenter sa publication avec un émoji les deux mains jointes en guise de remerciement. Cette « horreur » dont il parle, ce sont les 750 ha partis en fumées qui ont contraint 400 personnes à être évacuées, et à passer la nuit dans des gymnases mis à disposition par la municipalité. D'après la préfecture, 71 bâtiments - dont 68 maisons — ont été touchés dans la ville , dont dix détruits. Au total, plus de 1 000 pompiers ont été mobilisés au plus fort de l'opération pour stopper la progression des flammes. En très nette régression depuis mercredi matin, le feu a été « fixé » par les pompiers mercredi après-midi.