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Le Figaro
6 days ago
- Entertainment
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Meghan Markle a-t-elle envoyé un message crypté à la reine Camilla pour son anniversaire ?
Meghan Markle a peut-être glissé un mot doux à sa belle-mère, la reine Camilla, pour ses 78 ans. Un message de paix écrit depuis la Californie qui pourrait marquer le début du dégel entre les Sussex et les Windsor ? Des mots qui sentent bon le rosé et la réconciliation. C'est par le biais d'une story Instagram que Meghan Markle a choisi de tendre une branche d'olivier à la reine Camilla ce jeudi 17 juillet. L'occasion ? Les 78 ans de sa belle-mère longtemps honnie par son époux, le prince Harry. La duchesse de Sussex a profité de la promotion du nouveau rosé de sa marque As Ever pour glisser un intrigant message : «Envoyer de l'amour pour l'anniversaire de mes dames (proches et lointaines).» Dans une story Instagram, Meghan Markle présente son nouveau rosé. Une séquence accompagnée de ces mots : «Envoyer de l'amour pour l'anniversaire de mes dames (proches et lointaines).» Capture d'écran Instagram / @meghan Buckingham reste de marbre La famille royale, qui excelle dans l'art de la communication subliminale, n'a pas réagi officiellement à ce message californien. Le compte Instagram officiel de la monarchie s'est contenté de publier un nouveau portrait de Camilla, photographiée dans sa propriété du Wiltshire. La souveraine y apparaît rayonnante dans une chemise à motifs tropicaux. Loin du style guindé qu'on lui connaît. Publicité Un timing qui ne doit rien au hasard La main tendue de Meghan Markle ne doit rien au hasard. Elle intervient pile une semaine après des retrouvailles inédites. Non pas entre Harry et son père mais entre leurs équipes respectives. Selon des informations du Daily Mail, les assistants du roi Charles III et du prince Harry ont organisé un sommet secret à Londres à la mi-juillet. La rencontre, capturée par le photographe Steve Burton comme en témoigne une photo dans l'article du tabloïd, s'est tenue dans un club privé londonien dédié à l'amitié internationale. C'est donc là que Meredith Maines, cheffe de la communication du prince Harry et responsable de sa «maison royale» à Montecito, a rencontré Tobyn Andreae, secrétaire aux communications du roi, et Liam Maguire, responsable des relations presse des Sussex au Royaume-Uni. «Il n'y avait pas d'agenda formel, juste des verres partagés et une volonté d'avancer», a ainsi confié une source proche. «Un canal de communication est enfin rouvert après des années de silence.» Le prince Harry avait toutefois déjà préparé le terrain. En mai, dans un long entretien à la BBC où il était apparu affecté, il était ouvert à la réconciliation. Et disait avoir «pardonné» à son père, son frère et sa belle-mère, la reine Camilla, constatant que «la vie est trop courte pour rester dans le conflit permanent».

Le Soir
14-07-2025
- Entertainment
- Le Soir
Des infos fuitent sur le « sommet royal pour la paix », le prince Harry « frustré »
Les équipes de communication du prince Harry et du roi Charles se sont rencontrées. Mais les détails ont fuité dans la presse britannique. La presse britannique a révélé qu'une rencontre secrète entre les équipes de communication du prince Harry et du roi Charles a eu lieu. Cette réunion était qualifiée de « sommet royal de la paix » par nos confrères britanniques. Mais la rencontre n'est pas restée « secrète ». D'après The Telegraph, le prince Harry est « frustré » de voir les détails de l'échange en une de la presse britannique. Cette rencontre devait constituer une première étape discrète vers une réconciliation. Des sources proches d'Harry l'affirment : elles n'ont transmis aucune information concernant le lieu, la date ou le contenu de l'échange au Mail on Sunday, qui a publié des photos de la réunion. Ainsi, cette rencontre s'est déroulée à Londres le 9 juillet dernier. Cette réunion visait à explorer des pistes pour apaiser le conflit entre Harry et son père. Un éventuel retour du prince à un rôle officiel au sein de la monarchie n'était toutefois pas à l'ordre du jour. L'équipe du prince William n'était pas présente.


Le Figaro
13-07-2025
- Entertainment
- Le Figaro
Vers la paix ? À Londres, cette discrète réunion entre les émissaires de Charles III et du prince Harry
Cinq ans après son départ pour la Californie et une relation toujours glaciale, les choses semblent bouger enfin entre le prince Harry et la famille royale. Serait-ce le début d'une réconciliation entre le monarque et son fils ? Selon les révélations du Mail on Sunday, les plus proches collaborateurs du roi Charles III et du prince Harry auraient organisé un sommet secret à Londres, marquant, on l'espère, la première étape concrète d'un processus… vers la paix. La rencontre, capturée par le photographe Steve Burton comme en témoigne une photo dans l'article du tabloïd, s'est tenue dans un club privé londonien dédié à l'amitié internationale – un choix hautement symbolique, puisque le souverain en serait le parrain. C'est dans ce cadre, donc, que Meredith Maines, cheffe de la communication du prince Harry et responsable de sa «maison royale» à Montecito, a rencontré Tobyn Andreae, secrétaire aux communications du roi, et Liam Maguire, responsable des relations presse des Sussex au Royaume-Uni. «Il n'y avait pas d'agenda formel, juste des verres partagés et une volonté d'avancer», a ainsi confié une source proche. «Un canal de communication est enfin rouvert après des années de silence.» Publicité Alors que les tensions restent vives depuis le départ du prince et de son épouse, Meghan Markle, avec leurs deux enfants, pour les États-Unis en 2020, cette initiative semble illustrer une volonté commune de tourner la page des rancunes publiques. À lire aussi «C'était un 4 juillet» : Meghan Markle dévoile des photos de son second rencard avec le prince Harry «La vie est précieuse» Le 2 mai 2025, lors d'une interview accordée à la BBC, le frère du prince William avait déjà exprimé son souhait de stopper les conflits. Il parlait alors d'un espoir d'apaisement malgré ses reproches envers la Couronne, évoquant la maladie de son père, âgé de 76 ans et atteint d'un cancer : «J'aimerais me réconcilier avec ma famille. Ça ne sert à rien de continuer à se battre (…) La vie est précieuse. Je ne sais pas combien de temps mon père a encore à vivre.» Pour l'heure, aucune des deux parties n'a commenté officiellement cette rencontre.


24 Heures
10-07-2025
- Politics
- 24 Heures
Srebenica: trente ans après le massacre, l'impossible mémoire commune
Massacre en Bosnie en 1995 – Trente ans après le génocide de Srebrenica, l'impossible mémoire commune La contestation du génocide de Srebrenica par les nationalistes serbes empêche toujours la réconciliation de la société bosnienne. Louis Seiller - Envoyé spécial à Srebenica Le génocide de Srebenica est le plus important massacre commis sur le sol européen depuis 1945. Louis Seiller Abonnez-vous dès maintenant et profitez de la fonction de lecture audio. S'abonnerSe connecter BotTalk En bref : Trente ans après le massacre, la ville de Srebrenica peine à reconstruire une coexistence paisible entre communautés. Les Serbes continuent de nier le génocide malgré les preuves internationales. L'identification des victimes dans les fosses communes se poursuit encore aujourd'hui. Les discours nationalistes des dirigeants serbes freinent la réconciliation en Bosnie. «Je me bats pour ce pays! Je me bats pour tous ses habitants: les Serbes, les Bosniaques, les Croates… Je me bats pour une Bosnie multiethnique, multiculturelle!» À l'étroit, dans son petit bureau situé au rez-de-chaussée de la mairie de Srebrenica, Muhizin Omerovic s'efforce de rester optimiste. Carrure imposante et sourire enfantin, ce survivant du génocide, que tout le monde surnomme «Djilé», veut croire au vivre-ensemble entre Bosniaques musulmans et Serbes orthodoxes, trois décennies après la fin d'une guerre qui a fait plus de 100'000 morts et 2 millions de réfugiés. Le 11 juillet 1995, «l'enclave» de Srebrenica, pourtant déclarée «zone de sécurité de l'ONU» deux ans auparavant et protégée par un bataillon de casques bleus néerlandais, tombe aux mains des Serbes de Bosnie. Les femmes et les enfants sont expulsés, et 8372 hommes et adolescents sont massacrés en quelques jours par l'armée du général Ratko Mladic. Pendant deux mois, Djilé se cache dans les denses forêts de la région avant d'atteindre la zone contrôlée par l'armée de la République de Bosnie-Herzégovine. Des lieux encore marqués par le génocide Trois décennies après, des maisons en ruine sont toujours visibles entre les vergers et les fermes familiales, mais Serbes et Bosniaques vivent à nouveau côte à côte sur les collines autour de Srebrenica. «Les gens sont bien conscients que nous ne pouvons pas vivre autrement qu'ensemble», veut croire Djilé, 50 ans, dans un français parfait, lui qui a été réfugié en Suisse après le conflit. «Nous n'avons pas d'autres options parce qu'il n'existe pas de pays «ethniquement pur». C'est le mélange qui fait la richesse d'une nation.» Comme la plupart des Bosniaques chassés par les nettoyages ethniques de 1992, Djilé est revenu vivre sur ses terres dans les années 2000 avec sa famille. Les débuts n'ont pas été faciles dans une République serbe de Bosnie (RS) alors largement hostile au retour des réfugiés. La RS est l'une des deux entités politiques créées par les Accords de Dayton qui ont mis fin aux hostilités en 1995. Son drapeau aux couleurs serbes s'affiche partout le long des routes qui surplombent la Drina. Il flotte notamment à quelques centaines de mètres du mémorial de Potocari et ses milliers de stèles blanches musulmanes. À l'entrée du cimetière, Fadila Efendic, 74 ans, tient un petit kiosque de souvenirs. «J'y ai d'abord enterré mon mari, on a retrouvé ses restes dans une première fosse commune, mais pas son crâne. On a retrouvé sa tête que deux ans plus tard quand une deuxième fosse a été ouverte. De mon fils, je n'ai retrouvé que deux os des jambes.» Présidente de l'association des Mères de Srebrenica, Fadila Efendic se bat depuis des années pour exhumer la vérité des charniers qui se sont multipliés dans la région à l'été 95. Un génocide pas reconnu par la Serbie Dans les semaines qui suivent le massacre, les forces serbes tentent de maquiller leurs crimes et ensevelissent les dépouilles dans différentes fosses communes le long de la Drina. Encore aujourd'hui, des centaines de personnes sont toujours portées disparues, et les restes des victimes identifiées durant l'année écoulée sont enterrés chaque 11 juillet, au cimetière de Potocari. «Il n'a pas été facile de mener notre combat pour la vérité parce que les auteurs du génocide le nient, et ils font une intense propagande contre nous, raconte Fadila Efendic, les mains jointes et un foulard clair sur les cheveux. Ils auraient voulu que la vérité ne soit jamais révélée… Mais tant que je vivrai, tant que je pourrai marcher, je dirai toujours la vérité. Je n'ai peur de personne.» Plus important massacre perpétré sur le sol européen depuis la Seconde Guerre mondiale, la tuerie de Srebrenica a été qualifiée de génocide par la Cour internationale de justice en 2006. Mais en Serbie voisine comme dans l'entité serbe de Bosnie, les dirigeants rejettent les conclusions de la justice internationale, qui a également condamné à perpétuité les responsables de guerre bosno-serbes. Certains collègues serbes de Djilé partagent cette relecture de l'histoire. «Les ambassades et les médias occidentaux disent que le général Ratko Mladic est un criminel de guerre, mais c'est un héros! s'emporte ainsi Branimir Kojic, également employé à la mairie de Srebrenica. Les musulmans avaient un plan pour nettoyer ethniquement toute la région. Si Ratko Mladic n'avait pas été là, il n'y aurait pas de Serbes ici.» Surnommé à l'époque «le boucher des Balkans» par la presse, Mladic est détenu à La Haye depuis 2011. Bataille de la mémoire Au pouvoir depuis presque vingt ans, le dirigeant de la RS, Milorad Dodik, nie ouvertement le génocide et il menace régulièrement de faire imploser le fragile État fédéral bosnien. Ses discours négationnistes sont largement partagés au sein de la population serbe, qui cultive une autre mémoire que celle des Bosniaques. «Srebrenica n'est pas un génocide, la science a prouvé que ce n'était pas un génocide, affirme ainsi Branimir Kojic, qui préside une association de victimes civiles serbes. Quelque 3267 Serbes ont été tués par les musulmans dans la région. Tant que les musulmans n'auront pas reconnu que mon père a été assassiné lui aussi, et tant que nous ne regarderons pas toutes les victimes de la même manière, il n'y aura pas d'avenir en Bosnie-Herzégovine.» Cette bataille des mémoires éloigne chaque jour un peu plus les peuples de Bosnie-Herzégovine. Absent des manuels scolaires de la RS, le génocide de Srebrenica est nié ou minimisé presque tous les jours dans les médias locaux. Beaucoup de Bosniaques accusent l'actuel président serbe, Aleksandar Vucic, d'attiser le nationalisme serbe dans toute l'ex-Yougoslavie en appuyant sur les plaies mal cicatrisées des conflits. «Nous n'avons pas de problème avec nos voisins serbes, mais avec la politique, se désole Djilé. La politique de Vucic est la même que celle de Milosevic en 1992: l'idée de la grande Serbie. La clé de tous nos problèmes, c'est Belgrade.» Trente ans après le génocide de Srebrenica, les divisions politiques empêchent toute réconciliation des peuples de Bosnie-Herzégovine autour d'une mémoire commune. Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. 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Le Figaro
09-07-2025
- Entertainment
- Le Figaro
Malgré leur séparation, Orlando Bloom partage des photos de ses vacances avec Katy Perry
Réconciliation ou simple bonne entente pour le bien de leur fille ? Moins d'une semaine après l'officialisation de leur séparation le 3 juillet dernier, Orlando Bloom a partagé des clichés de ses vacances en compagnie de son ex, Katy Perry. De la réconciliation dans l'air ? L'histoire entre Orlando Bloom et Katy Perry est difficile à suivre ces dernières semaines. Après plusieurs semaines de spéculations autour de tensions et d'une éventuelle rupture, le couple a confirmé sa séparation via un communiqué commun publié le 3 juillet dernier, avant de réapparaître finalement quelques jours plus tard sur le yacht de Jeff Bezos. «En raison de l'abondance de l'intérêt autour de la relation d'Orlando Bloom et de Katy Perry, leurs représentants ont confirmé qu'ils ont modifié leur relation au cours des derniers mois pour se concentrer sur la coparentalité», indiquait l'écrit, précisant qu'ils continueraient toutefois «à être vus ensemble en tant que famille» pour le bien de leur fille, Daisy Dove, âgée de 4 ans et demi. Une déclaration qui explique alors les dernières photos publiées ce mercredi par Orlando Bloom sur son compte Instagram. Parmi la dizaine de clichés partagés par l'acteur de 48 ans, l'un d'eux le montre aux côtés de sa famille recomposée au grand complet : son ex-fiancée dans son bras droit, sa fille sur ses épaules et son fils, Flynn, 14 ans, né de sa relation avec le mannequin Miranda Kerr, dans son autre bras. À lire aussi «Leur priorité commune sera toujours leur fille» : Katy Perry et Orlando Bloom confirment officiellement leur rupture Publicité Une priorité commune Les deux ex n'ont donc a priori aucune intention de se remettre ensemble. «Leur priorité commune est, et sera toujours, d'élever leur fille avec amour, stabilité et respect mutuel», indiquait également le communiqué officiel. Mais quelques jours plus tôt déjà, des proches du couple avaient confirmé leur volonté mutuelle de rester de bons parents malgré la séparation. «Katy a la ferme intention de maintenir une relation de coparentalité positive et respectueuse avec Orlando, a déclaré une source à People . Il est le père de leur fille et cela passera toujours en premier pour elle. (...) Ils sont toujours très en contact et pour le bien de leur fille, ils se sont engagés à garder les choses à l'amiable.» Des parents modèles.