Dernières actualités avec #référendum


Le Figaro
3 days ago
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Nouvelle-Calédonie : Emmanuel Macron évoque l'option d'un «État associé»
Réservé aux abonnés DÉCRYPTAGE - Le chef de l'État a proposé mercredi, à l'Élysée, une « transition » de 15 à 20 ans avant de redéfinir l'avenir de l'archipel par référendum. Une idée dont les élus calédoniens, réunis en sommet, doivent débattre au moins tout ce week-end. Ce n'est qu'une option parmi d'autres pour la Nouvelle-Calédonie, mais elle doit être versée aux discussions, selon Emmanuel Macron. En ouvrant mercredi un sommet sur l'avenir de l'archipel, à l'Élysée, le chef de l'État a demandé aux forces politiques et économiques de réfléchir à un nouveau statut institutionnel, un an après les graves violences qui ont causé la mort de 14 personnes. À découvrir PODCAST - Écoutez le club Le Figaro Politique avec Yves Thréard Au cours des deux heures de pourparlers, introduits par une coutume kanake, il leur a proposé de travailler à une « transition » de quinze à vingt ans pour stabiliser le territoire. Après quoi un projet d'avenir consensuel pourra être soumis à une consultation, à condition qu'il échappe au caractère binaire et clivant des trois derniers référendums (2018-2021) d'autodétermination. Ce projet pourra aller jusqu'à une plus large autonomie, voire un « État associé », si tel est le statut retenu, a précisé le président de la République. Les indépendantistes et les non-indépendantistes doivent en débattre…


Le Figaro
3 days ago
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François d'Orcival: «Le 7 juillet, Emmanuel Macron retrouvera un pouvoir, mais pas de crédit»
Réservé aux abonnés CHRONIQUE - Le chef de l'État retrouvera lundi le droit de dissolution que lui accorde la Constitution. Mais quel usage en fera-t-il alors que l'opinion lui a enlevé tout crédit ? Lundi prochain, nous serons le 7 juillet. Cette date figure dans l'agenda personnel du président de la République. Elle n'intéresse que lui. Parce qu'il aura retrouvé, conformément au dernier alinéa de l'article 12 de notre Constitution, la liberté de dissoudre l'Assemblée nationale élue il y a un an, le 7 juillet 2024. Utilisera-t-il ce pouvoir ? Il aura surtout recouvré cette liberté. Parallèlement à une autre, dont il peut user à tout moment quand le Parlement est en session : celle qui, à l'article 11, lui donne le pouvoir de soumettre « au référendum tout projet de loi portant sur l'organisation des pouvoirs publics, sur des réformes relatives à la politique économique, sociale ou environnementale de la nation »… À découvrir PODCAST - Écoutez le club Le Club Le Figaro Idées avec Eugénie Bastié À la vérité, on en parlerait moins si lui-même n'avait pas évoqué le sujet, il y a six mois, lors des vœux qu'il avait présentés, le 31 décembre, aux Français. Pourquoi avait-il décidé la dissolution de l'Assemblée au mois de juin 2024 ? « Pour éviter l'immobilisme…