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Pollution intérieure : la qualité de l'air s'améliore dans les logements français
Pollution intérieure : la qualité de l'air s'améliore dans les logements français

Le Figaro

time17-07-2025

  • Science
  • Le Figaro

Pollution intérieure : la qualité de l'air s'améliore dans les logements français

Réservé aux abonnés DÉCRYPTAGE - Peu mesurées, les particules présentes dans les appartements et les maisons peuvent représenter une menace pour la santé. Contrairement à la pollution atmosphérique, qui est suivie jour après jour et donne régulièrement lieu à des alertes, les particules en suspension et les gaz ne sont quasiment jamais mesurés dans les logements. Nous passons pourtant quatorze heures par jour en moyenne à domicile, potentiellement exposés à des polluants chimiques issus de matériaux de construction et d'entretien, de meubles, des fumées de cigarette ou de cuisson, mais aussi de substances venues de l'extérieur. C'est pour combler cette lacune que deux grandes campagnes de prélèvements ont été menées dans des logements français, à quinze ans d'intervalle, par l'Observatoire de la qualité des environnements intérieurs (OQEI). Un bilan de la deuxième édition de ce programme de recherche a été rendu public la semaine dernière. Il montre une tendance à l'amélioration, grâce aux réglementations adoptées en France, tout en soulignant la nécessité de « renforcer les efforts » contre certains polluants aux effets cancérogènes…

Médicaments proscrits à l'étranger : les précautions à connaître avant de prendre l'avion
Médicaments proscrits à l'étranger : les précautions à connaître avant de prendre l'avion

Le Figaro

time16-07-2025

  • Science
  • Le Figaro

Médicaments proscrits à l'étranger : les précautions à connaître avant de prendre l'avion

Codéine, somnifères, antihistaminiques : vos médicaments ne sont pas toujours les bienvenus à l'étranger. Voici ce qu'il faut savoir pour partir serein en voyage. Avant de boucler vos valises, pensez à faire le tour de votre trousse à pharmacie. Car si l'oubli de votre chargeur peut se rattraper, celui d'une autorisation pour vos médicaments peut, lui, se terminer derrière les barreaux. Enfin... si les témoignages de voyageurs relayés récemment dans la presse britannique sont, pour certains, véridiques, ils ne concernent que des cas très spécifiques, souvent liés à l'absence de justificatifs médicaux ou à des quantités injustifiées. À découvrir Voyages sur mesure : découvrez les offres de nos partenaires Pour partir l'esprit tranquille, il est donc essentiel de vérifier les réglementations sanitaires du pays de destination. En France, l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM), les ambassades et les autorités locales sont vos meilleurs alliés pour éviter de graves déconvenues. Publicité Si certains pays européens imposent des procédures administratives strictes, ce sont surtout les destinations hors d'Europe qui présentent les plus grands risques. Ces différences réglementaires, parfois déconcertantes, visent avant tout à limiter les abus et l'importation illégale de substances pouvant être détournées. Quels médicaments font l'objet de contrôle ? L'ANSM rappelle que plusieurs familles de médicaments peuvent faire l'objet d'une réglementation stricte lorsqu'ils sont transportés à l'étranger, en raison de leur potentiel de dépendance ou d'usage détourné. Parmi eux figurent : Les médicaments stupéfiants ou soumis en partie à la réglementation des stupéfiants (notamment les médicaments opioïdes comme la morphine, certains antalgiques et ceux prescrits pour les troubles de l'attention) : encadrés par des règles différentes selon que la destination soit dans l'espace Schengen ou en dehors. Pour un voyage dans un pays Schengen, une autorisation de transport délivrée par l'ARS, accompagnée de l'original de la prescription, est obligatoire. Hors Schengen, une attestation émise par l'ANSM peut être exigée, selon les lois du pays de destination. Dans tous les cas, il est essentiel de vérifier les exigences locales bien avant le départ et de ne transporter que des quantités correspondant à la durée maximale autorisée de traitement. (notamment les médicaments opioïdes comme la morphine, certains antalgiques et ceux prescrits pour les troubles de l'attention) : encadrés par des règles différentes selon que la destination soit dans l'espace Schengen ou en dehors. Pour un voyage dans un pays Schengen, une autorisation de transport délivrée par l'ARS, accompagnée de l'original de la prescription, est obligatoire. Hors Schengen, une attestation émise par l'ANSM peut être exigée, selon les lois du pays de destination. Dans tous les cas, il est essentiel de vérifier les exigences locales bien avant le départ et de ne transporter que des quantités correspondant à la durée maximale autorisée de traitement. Les psychotropes : anxiolytiques (comme le diazépam), somnifères ou antidépresseurs font souvent l'objet d'un contrôle renforcé, notamment au Japon où 'L'importation de certains médicaments (psychotropes, stimulants, narcotiques...) est interdite ou restreinte quelle que soit la durée du séjour au Japon ou du traitement.' indique l'ambassade du Japon en France. : anxiolytiques (comme le diazépam), somnifères ou antidépresseurs font souvent l'objet d'un contrôle renforcé, notamment au Japon où 'L'importation de certains médicaments (psychotropes, stimulants, narcotiques...) est interdite ou restreinte quelle que soit la durée du séjour au Japon ou du traitement.' indique l'ambassade du Japon en France. Certains antihistaminiques (comme la diphénhydramine, utilisée contre les allergies, le Vicks ou le Sudafed) sont aussi restreints dans des pays comme le Japon. Ces formalités doivent être effectuées au moins dix jours avant le départ, car l'attestation a une validité limitée à 28 jours. Par ailleurs, certains pays hors Europe exigent des autorisations supplémentaires, qu'il convient de demander directement auprès de leur ambassade ou consulat. Médicaments solides ou liquides : des règles de transport différenciées Au-delà de la nature du médicament, la forme pharmaceutique influe également sur la réglementation. Transporter des comprimés, gélules ou plaquettes est généralement simple : ils ne sont pas limités en quantité et passent sans encombre les contrôles de sécurité dans les bagages à main, à condition parfois d'être accompagnés d'une ordonnance. En revanche, les sirops, sprays nasaux ou stylos injecteurs pour les diabétiques, sont soumis à un protocole plus strict, notamment dans les aéroports. La réglementation européenne limite la quantité de liquide transportable en cabine (généralement 100 ml par flacon, regroupés dans un sac en plastique transparent). Or, les médicaments liquides peuvent dépasser ces limites. Pour pallier cela, les voyageurs doivent impérativement présenter une ordonnance ou un certificat médical, parfois traduit en anglais, pour justifier la nécessité du traitement. Publicité Vous voilà paré pour profiter pleinement de votre séjour, loin des tracas… et surtout des barreaux.

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