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« Après l'individuel, on avait vraiment la dalle » : toujours aussi impériales par équipes, les sabreuses bleues sacrées championnes du monde
« Après l'individuel, on avait vraiment la dalle » : toujours aussi impériales par équipes, les sabreuses bleues sacrées championnes du monde

L'Équipe

time3 hours ago

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« Après l'individuel, on avait vraiment la dalle » : toujours aussi impériales par équipes, les sabreuses bleues sacrées championnes du monde

Frustrées en individuel, les sabreuses bleues ont honoré leur statut de favorites ce mercredi en décrochant le titre mondial par équipes, avec la manière, symbole d'un groupe renouvelé mais toujours aussi dominateur. Leur regard malicieux en disait long sur le plan méticuleusement préparé. Après avoir attendu patiemment leur tour, Sara Balzer, Faustine Clapier, Sarah Noutcha et Toscane Tori ont pris soin, grand sourire dehors, d'embrasser la première marche du podium avant de l'envahir à grandes enjambées, bras dessus, bras dessous, une fois arrivées au sommet du sabre féminin mondial. Et leur joie, qui vient conclure en beauté des Mondiaux réussis pour le clan bleu, tranchait sans l'ombre d'un doute avec les mines déconfites aperçues dimanche après l'épreuve individuelle, rendant ce sacre collectif doublement savoureux. Présent en quarts de finale et en passe de réaliser un inédit tir groupé, le trio Balzer-Noutcha-Tori avait vu le podium se dérober sous ses pieds en simultané, avec seulement de la frustration et des regrets à ramener dans le sac en rentrant à l'hôtel. Après deux jours de décompression, les Bleues étaient donc de retour, mercredi, surmotivées, déterminées à ne pas passer une deuxième fois à côté de médailles qui leur tendaient les bras. « Les conditions étaient réunies, on a tiré divinement bien malgré un tableau tellement compliqué avec quatre Everest devant nous. Franchement, c'est incroyable » Sara Balzer Ultra-dominateur, numéro 1 mondial et tout juste sacré champion d'Europe pour la quatrième fois de suite le mois dernier à Gênes (Italie), le groupe de Matthieu Gourdain et Damien Touya se savait attendu et n'avait pas le droit à l'erreur. Et d'accroc il n'y a pas eu. D'alerte non plus, ou peut-être ce petit trou d'air face à la Hongrie en demi-finales, avec un passage à vide (14-20) finalement vite rattrapé (45-41). Mais c'est tout. Contre l'Ouzbékistan en ouverture (45-36) et un quart de finale face à la Chine (45-31), rien à signaler, avec une agressivité constante et aucun répit. Alors que les têtes auraient pu tourner en finale en retrouvant la Corée du Sud, qui avait mis fin au rêve de sacre olympique des Bleues l'an dernier en demi-finales au Grand Palais (36-45), la revanche fut éclatante, construite grâce à trois premiers relais parfaits (15-6). Le plus dur était fait et l'avance suffisamment importante pour profiter des derniers instants pour s'enlacer, relâcher la pression et sauter sur Balzer à l'unisson une fois la dernière touche balancée (45-37). « Je ne saurais pas expliquer pourquoi, mais j'avais un petit sentiment que ça allait bien se passer, qu'on allait le faire, confiait la vice-championne olympique, qui avait déjà deux médailles d'argent mondiales par équipes au compteur. On a quatre jeux totalement différents et ça complique tout pour nos adversaires. Et puis, après l'individuel, on avait vraiment la dalle. Les conditions étaient réunies, on a tiré divinement bien malgré un tableau tellement compliqué, avec quatre Everest devant nous. Franchement c'est incroyable. » « Chacune a tenu son rôle et les plans ont été respectés à la lettre, c'est une vraie fierté, encore plus avec une belle harmonie d'équipe » Matthieu Gourdain Dans un collectif où la concurrence est féroce, les pauses maternités de la championne olympique Manon Apithy-Brunet et de Cécilia Berder ont laissé une opportunité à Tori et Clapier, qui fêtaient leur première sélection chez les séniors, de s'illustrer et de former un quatuor complémentaire avec les deux Sara (h). « Elles le savaient, avec un groupe aussi dense, quand le train passe, il faut monter dedans, image Gourdain, fier de l'alchimie de ses troupes. L'après-JO n'a pas été évident à digérer pour tout le monde mais ça fait partie de la construction d'un collectif et ça s'inscrit dans ce qu'on met en place depuis trois ans. C'est dense, on gagne beaucoup, régulièrement, et il y a une forme de logique sur ce résultat. Chacune a tenu son rôle et les plans ont été respectés à la lettre, c'est une vraie fierté, encore plus avec une belle harmonie d'équipe. » Plus que jamais en haut de l'échiquier mondial, le sabre femmes français n'a fait que confirmer mercredi une mainmise quasi-totale depuis plus de huit ans, constamment sur le podium planétaire depuis 2017 et de retour au sommet après le dernier sacre de Wuxi (Chine) en 2018. Les têtes changent mais les résultats ne cessent de s'empiler. Et maintenant, ils sont même dorés.

Les sabreuses françaises championnes du monde à Tbilissi
Les sabreuses françaises championnes du monde à Tbilissi

L'Équipe

time8 hours ago

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Les sabreuses françaises championnes du monde à Tbilissi

Les sabreuses françaises ont conclu les Mondiaux de Tbilissi (Géorgie) en beauté en décrochant le titre mondial par équipes ce mercredi, impériales en finale face à la Corée du Sud (45-37). Sara Balzer, Faustine Clapier, Sarah Noutcha et Toscane Tori permettent au clan bleu de terminer en tête du classement des médailles avec six podiums dont deux titres. Le meilleur pour la fin. Pour la dernière finale des Mondiaux de Tbilissi (Géorgie), les sabreuses françaises ont terminé en beauté en décrochant le titre planétaire grâce à une nette victoire face à la Corée du Sud (45-37). Sara Balzer, Faustine Clapier, Sarah Noutcha et Toscane Tori permettent au clan bleu de terminer en tête du classement des médailles avec six podiums. Frustrées dimanche lors de l'épreuve individuelle, avec le trio Balzer-Noutcha-Tori présent en quarts de finale sans réussir à se hisser sur la boîte, les Bleues ont pris une éclatante revanche et permettent au sabre femmes français de signer un sixième podium mondial de suite, sept ans après le dernier sacre de Cécilia Berder, Manon Apithy-Brunet, Charlotte Lembach et Caroline Quéroli en 2018 à Wuxi (Chine). C'est la quatrième fois dans l'histoire que le sabre femmes français se pare d'or mondial depuis l'entrée de l'arme au programme en 1999, après le doublé de 2006-2007. Une seule alerte en demi-finales Exemptées de tableau préliminaire mardi grâce à leur statut de numéro 1 mondiales, les Bleues ont vécu un premier tour maîtrisé mercredi matin face à l'Ouzbékistan (45-36) et un quart de finale sans encombres contre la Chine (45-31). Le groupe de Matthieu Gourdain et de son adjoint Damien Touya avait en revanche eu à s'employer en demi-finales face aux Hongroises. Après un trou d'air en milieu de rencontre (14-20), les récentes championnes d'Europe avaient su redresser la barre et l'emporter dans la douleur (45-41). En finale, les Françaises retrouvaient la Corée du Sud, un an après leur revers en demi-finales des Jeux de Paris (36-45), et ont tout de suite dicté leur rythme en prenant un très bon départ après les trois premiers relais (15-6). Une avance rondement gérée par la suite, les Bleues ne connaissant ensuite aucune alerte pour se ruer vers la plus haute marche du podium. Le clan français repart donc de ces Mondiaux avec six médailles, dont deux titres avec les sacres par équipes du sabre femmes et de l'épée femmes, les médailles d'argent du fleuret femmes, de Pauline Ranvier (fleuret) et de Jean-Philippe Patrice (sabre) et le bronze de Maxime Pauty (fleuret). Un bilan comptable semblable à celui des Mondiaux de Milan (Italie) en 2023 mais un petit cran en dessous des Jeux de Paris l'été dernier et des sept médailles du Grand Palais.

Escrime : après les épéistes, les sabreuses françaises sacrées championnes du monde
Escrime : après les épéistes, les sabreuses françaises sacrées championnes du monde

Le Figaro

time8 hours ago

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Escrime : après les épéistes, les sabreuses françaises sacrées championnes du monde

L'équipe de France féminine de sabre a décroché le graal aux championnats du monde, mercredi à Tbilissi, après avoir vaincu la Corée du Sud en finale. L'équipe de France féminine de sabre a décroché l'or mercredi aux championnats du monde à Tbilissi, en battant la Corée du Sud 45-37. Sara Balzer, Sarah Noutcha, Toscane Tori et Faustine Clapier offrent à la délégation tricolore un deuxième titre, après celui des épéistes françaises, et une sixième médaille avec celles en bronze de Maxime Pauty au fleuret et en argent de Pauline Ranvier au fleuret, de Jean-Philippe Patrice au sabre en individuel et des fleurettistes féminines par équipes.

Les sabreurs français éliminés dès les quarts de finale des Mondiaux de Tbilissi
Les sabreurs français éliminés dès les quarts de finale des Mondiaux de Tbilissi

L'Équipe

time3 days ago

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Les sabreurs français éliminés dès les quarts de finale des Mondiaux de Tbilissi

Énorme déception pour le clan français ce lundi aux Mondiaux de Tbilissi (Géorgie) avec l'élimination des sabreurs en quarts de finale de l'épreuve par équipes, battus par la Roumanie (39-45). L'histoire se répète. Comme aux Championnats d'Europe de Gênes (Italie), les sabreurs français n'ont pas su concrétiser par équipes leurs excellents résultats individuels ce lundi aux Mondiaux de Tbilissi (Géorgie). Alors que Jean-Philippe Patrice a décroché l'argent mondial vendredi, le collectif complété par son frère Sébastien, Rémi Garrigue et Maxime Pianfetti sont tombés dans le piège tendu par la Roumanie en quarts de finale (39-45) et ne monteront pas sur le podium. Cette nouvelle contre-performance est une grande déception pour le groupe mené par Vincent Anstett, qui s'avançait en favori sur les deux derniers rendez-vous majeurs de l'année après une excellente saison de Coupe du monde, marquée par trois victoires sur cinq possibles. Une entame ratée qui coûte cher Après une entrée en matière sans accroc en début de matinée face à la Turquie (45-34), les Bleus ont très rapidement couru après le score face aux Roumains après l'entame manquée de Pianfetti (0-5). Si Rémi Garrigue, révélation de la saison dans le clan français, a un temps remis les troupes devant (20-19) après un excellent quatrième relais remporté 11-4, l'élan n'a pas été confirmé derrière, avec les quatre relais suivants empochés par les Roumains. Avec neuf touches de retard sur le dernier relais, Sébastien Patrice est revenu à -4 mais le Marseillais partait de trop loin. Les Roumains défieront les Hongrois en demi-finales.

Pas de podium individuel pour les sabreuses françaises aux Mondiaux de Tbilissi malgré trois tireuses en quarts de finale
Pas de podium individuel pour les sabreuses françaises aux Mondiaux de Tbilissi malgré trois tireuses en quarts de finale

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time3 days ago

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Pas de podium individuel pour les sabreuses françaises aux Mondiaux de Tbilissi malgré trois tireuses en quarts de finale

Grosse frustration pour le clan français ce dimanche aux Mondiaux de Tbilissi (Géorgie), avec les éliminations en quarts de finale de l'épreuve individuelle des sabreuses Sara Balzer, Sarah Noutcha et Toscane Tori, qui passent à une marche d'un sacré tir groupé. Coup d'arrêt pour les Bleus aux Mondiaux de Tbilissi (Géorgie). Alors que les médailles s'enchaînaient depuis le début de la compétition, avec quatre podiums en autant de journées, le clan français n'a pas réussi à placer ses représentantes sur la boîte ce dimanche. Si les épéistes ont été rapidement mis hors-jeu, les sabreuses étaient encore trois en quarts de finale et la perspective de frapper un grand coup était à portée de main. Mais les machines se sont déréglées au pire moment. Vice-championne olympique à Paris il y a tout juste un an, Sara Balzer n'a jamais trouvé la solution face à l'Ukrainienne Alina Komachtchouk (7-15). Menée de bout en bout, la Strasbourgeoise de 30 ans, 8e mondiale, termine donc cette saison sans podium individuel. Elle avait déjà frôlé la sortie en huitièmes de finale, s'en sortant sur le fil contre l'Italienne Michela Battiston (15-14). Tori très en vue pour sa première participation Championne d'Europe à Gênes (Italie) le mois dernier, Sarah Noutcha nourrissait de grandes ambitions sur ces Mondiaux, mais la 4e sabreuse mondiale a passé son quart de finale à courir derrière le score face à la Polonaise Zuzanna Cieslar sans réussir à renverser la situation (15-12). Une défaite d'autant plus frustrante qu'elle n'avait connu aucune alerte en seizièmes de finale (15-9) comme en huitièmes (15-6). Une manifestation contre la participation des Russes et Biélorusses aux Mondiaux de Tbilissi Très en vue pour sa première participation aux Mondiaux, Toscane Tori, 21 ans et 32e mondiale, est celle qui peut avoir le moins de regrets. La jeune Française a créé la première sensation de la journée en sortant d'entrée la numéro 2 mondiale, la Sud-Coréenne Hayoung Jeon (15-11). Elle n'a cédé qu'en quarts de finale face à la championne olympique 2016, la Russe Yana Egorian (9-15), qui a bénéficié de l'assouplissement des règles de neutralité pour faire son retour après trois ans d'absence. Malgré la frustration, le groupe de Matthieu Gourdain a tout de même montré une belle densité en plaçant trois de ses quatre éléments dans le top 8, Faustine Clapier (42e) ayant elle cédé au premier tour face à l'Espagnole Araceli Navarro (10-15). Les Bleues seront attendues et candidates plus que sérieuses au titre par équipes, avec les qualifications mardi et le tableau final mercredi.

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