Dernières actualités avec #servicepublic
Le Soir
3 hours ago
- Entertainment
- Le Soir
RTBF : un feuilleton culte bientôt déprogrammé de La Une
Une petite page se tourne dans les grilles de la RTBF. Diffusé depuis 1998 sur les antennes du service public belge, le feuilleton « Les Feux de l'amour » va poursuivre sa diffusion quotidienne en exclusivité sur Auvio à partir de ce 11 juillet. Les épisodes y seront disponibles durant un an, rapporte la RTBF sur son site Internet. Pour quelle raison ? La RTBF précise : « Ce changement s'inscrit dans la stratégie numérique de la RTBF, qui accompagne l'évolution des usages. En télévision, les téléspectateurs seront accompagnés dans cette démarche afin de retrouver leur rendez-vous quotidien sur Auvio, au sein d'un catalogue de fictions riche et varié. »
Le Parisien
12 hours ago
- Entertainment
- Le Parisien
« Je m'épuisais » : Stéphane Bern quitte Europe 1 pour la matinale radio d'Ici
À la télévision, Stéphane Bern est fidèle au service public depuis près de vingt ans. À la radio, l'animateur de 61 ans a la bougeotte. France Inter, RTL puis Europe 1, qu'il quitte cette semaine faute d'avoir été reconduit formellement à temps. À la rentrée, il va donc changer de crémerie et rejoindre Ici, le nouveau nom de France Bleu , pour une chronique matinale à 7h55, diffusée simultanément dans les 44 matinales du réseau local de Radio France. Europe 1, c'est fini ?
Le Parisien
13 hours ago
- Business
- Le Parisien
« C'est à ça que servent les impôts » : ces villes où la journée en centre de loisirs coûte 10 euros maximum
« C'est ça le service public ! » Pour le maire communiste de Montataire ( Oise ), il n'y a pas de débat sur les tarifs des centres de loisirs . « Ils doivent être accessibles à tous, y compris ceux qui ont moins de difficultés financières. C'est à ça que servent les impôts », martèle Jean-Pierre Bosino, en poste depuis 1995 dans ce bassin ouvrier de près 15 000 habitants du sud du département. Ici, le prix maximal d'une journée en centre de loisirs avec repas est à 10,80 euros, et à 4,46 euros si l'enfant ne mange pas sur place. « Un peu comme la restauration scolaire ou la piscine intercommunale, poursuit l'édile. C'est un choix politique, si on faisait le prix de revient, cela serait insupportable pour les habitants. »
