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Aucun marin helvétique à bord: Holcim, l'autre bateau suisse en lice sur l'Ocean Race
Aucun marin helvétique à bord: Holcim, l'autre bateau suisse en lice sur l'Ocean Race

24 Heures

time2 days ago

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Aucun marin helvétique à bord: Holcim, l'autre bateau suisse en lice sur l'Ocean Race

L'entreprise Holcim sponsorise un équipage sur l'Ocean Race Europe, avec un certain Franck Cammas, mais aucun marin suisse. Publié aujourd'hui à 16h24 Franck Cammas (ici, lors de sa victoire à la Transat Jacques Vabre en 2021) navigue sous pavillon suisse cette année à l'Ocean Race Europe, au côté de la barreuse Rosalin Kuiper. AFP/Archive En bref: Montrez ce pavillon qu'on ne saurait voir: la Suisse s'affiche en force à Kiel. Sur les quais de la capitale allemande de la voile, le drapeau rouge à croix blanche est une étoffe à la mode. Si l'équipe d'Alan Roura s'affiche en duo avec le drapeau saoudien de son sponsor Amaala , le Team Holcim, lui, navigue pour les couleurs helvétiques uniquement. À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. Le leader mondial des matériaux de construction s'est engagé dans la voile il y a trois ans, lorsqu'il a racheté l'entreprise française PRB, sponsor actif dans le milieu depuis de très nombreuses années (victoire au Vendée Globe en 1996 avec Vincent Riou). Holcim et la voile, une histoire mouvementée Holcim a choisi de s'afficher en tant qu'équipe suisse depuis l'édition 2023 de l' Ocean Race dont le départ avait été donné à Alicante en janvier. Une première pour Holcim qui tourne très vite au cauchemar en raison d'accusations d'agressions sexuelles visant son skipper alors attitré, Kevin Escoffier . Le Breton qui a très vite été écarté de l'équipe sera jugé en mars 2026 pour des faits présumés sur quatre plaignantes. En 2024-2025, Holcim s'est aligné sur le Vendée Globe avec le Français Nicolas Lunven, excellent 6e de la course. Sur l' Ocean Race , cette course en équipage, la barre de l'Imoca suisse a été confiée à Rosalin Kuiper. La Néerlandaise sera épaulée par Nicolas Lunven et un certain Franck Cammas, qui possède l'un des plus beaux tableaux de chasse de la voile mondiale. «C'est un joli clin d'œil pour moi d'être sur ce bateau qui bat pavillon suisse, car j'ai toujours eu un lien fort avec la Suisse, dit-il. En juin encore, j'étais présent sur le Bol d'Or en M2! Et il y a peu de temps je suis passé voir mon ami Stève Ravussin, qui se remet d'un accident.» Avec Holcim et son équipage très expérimenté, la Suisse se place comme un sérieux prétendant de cette Ocean Race Europe. Ne manque qu'un marin suisse dans l'équipe pour que le drapeau colle parfaitement à la réalité du terrain. «Oui, concède Franck Cammas. Mais le sponsor est suisse et sans lui, nous ne serions pas là. Il est donc aussi compréhensible de naviguer sous ces couleurs-là!» À lire encore sur l'Ocean Race Grégoire Surdez est journaliste à Sport-Center depuis 2019. Après un stage en candidat libre de 2002 à 2004 au sein de la rubrique des sports de 24 heures, il y travaille 5 ans. En 2009, il rejoint la Tribune de Genève et se spécialise dans le suivi du ski alpin, de la voile et du hockey sur glace. En 2020, il est co-auteur du livre «Suisses en Mer» (éditons Favre). Plus d'infos Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

Pourquoi Rabobank, partenaire de Visma-Lease a bike, fait son retour dans le cyclisme
Pourquoi Rabobank, partenaire de Visma-Lease a bike, fait son retour dans le cyclisme

L'Équipe

time28-07-2025

  • Business
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Pourquoi Rabobank, partenaire de Visma-Lease a bike, fait son retour dans le cyclisme

La banque néerlandaise, sponsor principal pendant seize ans de l'équipe avant de se retirer en 2012, touchée par les affaires de dopage, a fait son retour sur les maillots de Visma-Lease a bike en 2025. Avec beaucoup plus à gagner qu'à perdre, veut-elle croire. C'est un tremblement de terre qui s'est tenu en février et a eu des conséquences visibles en juillet, au départ du Tour de France. La banque néerlandaise Rabobank, retirée des pelotons professionnels depuis 2012 (et qui a sponsorisé la fédération néerlandaise de cyclisme jusqu'en 2015), allait revenir dans le cyclisme, selon les médias locaux, une information officialisée quelques jours plus tard et qui s'est concrétisée le 5 juillet. Au départ de Lille, les coureurs de Visma-Lease a bike, l'équipe de Jonas Vingegaard, portaient la marque au niveau de leurs côtes. Une opportunité, puisque la formation de Richard Plugge ne pouvait plus afficher Bet City en partenaire, les sites de paris n'étant plus autorisés dans les événements sportifs depuis le 1er juillet. Mais la conclusion d'une vraie volonté, aussi, à la fois du côté de Plugge et de la banque. « L'équipe de Richard Plugge cochait tous nos critères » Carlo van Kemenade, membre du board de Rabobank « Tout a commencé en 2023, avec un message de Richard au nouveau CEO de Rabobank Stefaan Decraene, explique à L'Équipe Carlo van Kemenade, membre du board de la banque. Puis, à mon arrivée en avril 2024, pour ma première réunion avec Stefaan, on a parlé sponsoring. La banque avait dû être remaniée en interne, restructurée, avec d'autres challenges, comme d'autres banques en ont connu. Mais il était le moment de revenir à l'aspect commercial du business. On a donc établi une liste de critères, pour prendre des décisions mesurées, par exemple l'aspect sport de masse aux Pays-Bas et pas seulement sport d'élite. » Une délégation, autour de Van Kemenade, a assisté aux Jeux de Paris l'été dernier, et discuté avec le comité olympique néerlandais. En interne, une étude menée auprès de la population montre que les Bataves associent Rabobank au cyclisme, malgré les treize années sans sponsoring. « Alors on s'est remis en relation avec Richard (Plugge) en décembre dernier, reprend le dirigeant. Son équipe cochait tous nos critères, avec une association liée, Ready2Race, qui organisait l'an passé près de 180 courses aux Pays-Bas pour les enfants, à laquelle on voulait associer notre nom, car cela crée de la visibilité, de l'activation pour toutes nos antennes locales, avec l'ambition commune de doubler le nombre de courses pour amener des gens au cyclisme et développer les talents. » Un deal, dont le montant n'a pas filtré, est signé jusqu'à fin 2028 car Plugge, évidemment, approuve. « Personnellement, ça a été un grand moment », sourit le patron, ex-responsable des relations publiques au sein de l'équipe orange et bleue. Rabobank, symbole des années noires Mais il y a un hic. Rabobank, l'une des meilleures équipes du peloton, a connu de nombreuses affaires de dopage, la plus emblématique étant la suspension du Danois Michael Rasumssen, en plein Tour 2007 dont il est le leader, car il s'est soustrait à des contrôles antidopage avant le départ de la course. Michael Boogerd, Erik Dekker, Rory Sutherland, Pedro Horillo, Denis Menchov : autant de noms liés de loin ou de très près au dopage et passés sous le maillot tricolore. « Le sport a évolué, l'AMA (agence mondiale antidopage) a écrit des rapports disant combien le cyclisme a extrêmement évolué, et si ce n'était pas le cas, il n'y aurait pas 22 ou 23 équipes avec de gros sponsors au départ du Tour, martèle Van Kemenade. On a regardé l'équipe Visma-Lease a bike, la manière dont elle est organisée, la partie médicale, comment elle surveille les coureurs, les valeurs de travail, la culture. C'est impressionnant. » Plugge, qui avait sauvé l'équipe de la disparition en 2013, en la renommant Blanco, « pour montrer qu'on repartait d'une feuille blanche, en laissant le passé derrière nous », valide également le concept de cyclisme propre. « Ils ont eu le courage d'arrêter il y a treize ans, et ils voient que le cyclisme et notre équipe ont beaucoup progressé. » Le même discours qui avait été tenu en février par Wout Van Aert, l'une des têtes d'affiche de l'équipe. Chacun y va de sa petite histoire, alors. Plugge a reçu « autant de messages, tous positifs, que quand on a gagné le Tour pour la première fois ». Carlo van Kemenade, lui, certifie que les 49 000 employés de la banque ont tous été ravis de ce retour, et glisse qu'il a revu des maillots Rabobank fleurir lors de ses sorties vélo aux Pays-Bas (on en a vu un seul en trois semaines sur les bords de route du Tour). Comme si le souvenir des années noires du cyclisme avait été enterré pour de bon. « Quand Simon Yates a gagné, Rabobank était le sponsor le plus visible, c'est extrêmement positif », apprécie le dirigeant. Cela dépend de l'angle de la photo, pour l'instant, et, quitte à être revenue, la marque Rabobank pourrait bien vouloir s'afficher à nouveau en grand, à l'avenir. « Nous sommes heureux de la situation actuelle, répond Van Kemenade. L'équipe a de grands sponsors avec Visma, Lease a bike, nous avons un engagement sur trois ans et demi, c'est cool comme ça. Nous n'excluons rien mais nous n'avons aucun plan pour la suite. » Plugge ne dit pas autre chose. Un discours parfaitement aligné.

«Gagner le Tour de France d'ici 2030» : CMA CGM rejoint Decathlon comme co-sponsor et affiche de grandes ambitions
«Gagner le Tour de France d'ici 2030» : CMA CGM rejoint Decathlon comme co-sponsor et affiche de grandes ambitions

Le Figaro

time21-07-2025

  • Sport
  • Le Figaro

«Gagner le Tour de France d'ici 2030» : CMA CGM rejoint Decathlon comme co-sponsor et affiche de grandes ambitions

CMA CGM a annoncé ce lundi qu'il allait devenir le co-sponsor dès la saison prochaine de l'équipe cycliste détenue par Decathlon. Avec des ambitions assumées. Une sacrée annonce. C'est officiel, alors qu'AG2R a annoncé la fin de son aventure sur le Tour de France et dans le peloton professionnel après cette édition 2025, le transporteur CMA CGM est le nouveau co-sponsor de Decathlon. Un partenariat ambitieux pour les deux entreprises françaises, qui placent Paul Seixas, 18 ans, au cœur du projet. À découvrir Le classement du Tour de France «Rivaliser avec Visma-Lease a Bike et UAE Team Emirates? C'est l'objectif, c'est l'ambition», lance CMA CGM sur RMC Sport. Après six mois de négociations, l'entreprise française a trouvé un accord avec l'équipe dirigée par Dominique Serieys, pour devenir son co-sponsor aux côtés de Decathlon. Alors que le partenariat est à peine signé, cette équipe qui va donc se construire autour du nouveau phénomène du cyclisme français Paul Seixas nourri déjà l'ambition claire de rivaliser avec les meilleurs et de gagner le Tour de France en 2030. Rien que cela. 'Lobjectif 2030, c'est de gagner le Tour de France Publicité «C'est une vraie construction, on voit que d'année en année, lance Dominique Serieys. L'équipe a fortement évolué et dans le plan stratégique, dès 2026, on va avoir des ambitions qu'on présentera ultérieurement parce qu'elles seront assez novatrices. Mais surtout, l'objectif 2030, c'est de gagner le Tour de France.» Pour cela, la nouvelle équipe Decathlon CMA CGM va se donner les moyens de réussir cet objectif. En effet, le budget de 28 millions cette saison devrait s'élever «au-dessus des 40 millions dès 2026» avait expliqué début juillet Céline Del Genes, responsable de la relation client chez Decathlon.

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