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Le Figaro
a day ago
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Voici les numéros à jouer selon les experts pour toucher le jackpot EuroMillions ce vendredi 25 juillet
Même si l'EuroMillions est totalement un jeu de hasard, certains se sont amusés à répertorier les chiffres qui sortent le plus, et ont établi un classement qui intéressera les amateurs de statistiques ! On vous le fait découvrir. Ce vendredi 25 juillet, l'EuroMillions revient avec un jackpot de 138 millions d'euros. Et comme à chaque tirage, un joueur en France va forcément devenir millionnaire grâce à My Million. Ce jeu est inclus automatiquement quand vous jouez une grille EuroMillions, en ligne ou en point de vente. Envie de tenter votre chance ? Il y a deux tirages chaque semaine, le mardi et le vendredi. Et pour vous inspirer, la FDJ partage quelques infos intéressantes sur une page dédiée. On y découvre par exemple que le numéro 19 est celui qui est sorti le plus souvent (188 fois), juste devant les numéros 23 (186 fois) et 21 (185 fois). Côté étoiles, ce sont les numéros 3, 2 et 8 qui reviennent le plus souvent. Évidemment, cela ne garantit rien : les chances de gagner le jackpot restent les mêmes. Mais si vous aimez jouer avec les chiffres, ces données peuvent vous donner des idées ! Qui sait ? La prochaine combinaison gagnante sera peut-être dans votre grille… Mais comment tenter sa chance à l'EuroMillions en ligne ? Remporter le jackpot de 138 millions d'euros, ce vendredi 25 juillet, passe par une condition simple : cocher les 5 bons numéros et les 2 étoiles gagnantes sur votre grille EuroMillions – My Million. Chaque grille simple coûte 2,50 euros et comprend un code My Million, qui vous inscrit au tirage complémentaire réservé aux joueurs français. Celui-ci garantit à chaque session un gagnant d'un million d'euros. Bonne nouvelle : la participation à l'EuroMillions peut se faire très facilement en ligne, en point de vente et sur l'appli Pour jouer sur Internet, il vous suffit de vous connecter au site officiel de la Française des Jeux ou de télécharger l'application FDJ sur votre mobile ou tablette. L'inscription se fait en seulement quelques clics, et vous pouvez ensuite choisir vos 5 numéros et vos 2 étoiles en quelques clics aussi. Enfin, vous avez jusqu'à 20h15 le jour du tirage pour participer. Les résultats sont ensuite dévoilés à partir de 21h45 sur le site de la FDJ, et diffusés aux alentours de 21h50 sur TF1. Cliquez ici pour jouer à l'EuroMillions en ligne La loi interdit la vente de jeux d'argent aux moins de 18 ans, dans les points de vente comme en ligne. Jouer comporte des risques : isolement, dépendance… Appelez le 09 74 75 13 13 (appel non surtaxé), si vous souhaitez une aide. Contenu conçu et proposé par nos Experts Shopping. L'équipe Shopping du Figaro est indépendante de la rédaction. Les prix mentionnés dans cet article le sont à titre indicatif. Lorsque vous achetez via nos liens de vente, nous pouvons percevoir une commission d'affiliation.


Le Figaro
17-07-2025
- Entertainment
- Le Figaro
Voici les numéros à jouer selon les experts pour toucher le jackpot EuroMillions ce vendredi 18 juillet
Même si l'EuroMillions est totalement un jeu de hasard, certains se sont amusés à répertorier les chiffres qui sortent le plus, et ont établi un classement qui intéressera les amateurs de statistiques ! On vous le fait découvrir. Ce vendredi 18 juillet, l'EuroMillions revient avec un jackpot de 111 millions d'euros. Et comme à chaque tirage, un joueur en France va forcément devenir millionnaire grâce à My Million. Ce jeu est inclus automatiquement quand vous jouez une grille EuroMillions, en ligne ou en point de vente. Envie de tenter votre chance ? Il y a deux tirages chaque semaine, le mardi et le vendredi. Et pour vous inspirer, la FDJ partage quelques infos intéressantes sur une page dédiée. On y découvre par exemple que le numéro 19 est celui qui est sorti le plus souvent (188 fois), juste devant les numéros 23 (186 fois) et 21 (185 fois). Côté étoiles, ce sont les numéros 3, 2 et 8 qui reviennent le plus souvent. Évidemment, cela ne garantit rien : les chances de gagner le jackpot restent les mêmes. Mais si vous aimez jouer avec les chiffres, ces données peuvent vous donner des idées ! Qui sait ? La prochaine combinaison gagnante sera peut-être dans votre grille… Mais comment tenter sa chance à l'EuroMillions en ligne ? Remporter le jackpot de 111 millions d'euros, ce vendredi 18 juillet, passe par une condition simple : cocher les 5 bons numéros et les 2 étoiles gagnantes sur votre grille EuroMillions – My Million. Chaque grille simple coûte 2,50 euros et comprend un code My Million, qui vous inscrit au tirage complémentaire réservé aux joueurs français. Celui-ci garantit à chaque session un gagnant d'un million d'euros. Bonne nouvelle : la participation à l'EuroMillions peut se faire très facilement en ligne, en point de vente et sur l'appli Pour jouer sur Internet, il vous suffit de vous connecter au site officiel de la Française des Jeux ou de télécharger l'application FDJ sur votre mobile ou tablette. L'inscription se fait en seulement quelques clics, et vous pouvez ensuite choisir vos 5 numéros et vos 2 étoiles en quelques clics aussi. Enfin, vous avez jusqu'à 20h15 le jour du tirage pour participer. Les résultats sont ensuite dévoilés à partir de 21h45 sur le site de la FDJ, et diffusés aux alentours de 21h50 sur TF1. Cliquez ici pour jouer à l'EuroMillions en ligne La loi interdit la vente de jeux d'argent aux moins de 18 ans, dans les points de vente comme en ligne. Jouer comporte des risques : isolement, dépendance… Appelez le 09 74 75 13 13 (appel non surtaxé), si vous souhaitez une aide. Contenu conçu et proposé par nos Experts Shopping. L'équipe Shopping du Figaro est indépendante de la rédaction. Les prix mentionnés dans cet article le sont à titre indicatif. Lorsque vous achetez via nos liens de vente, nous pouvons percevoir une commission d'affiliation.


Le HuffPost France
17-07-2025
- Business
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Monétiser les vacances, jours fériés... Le gouvernement a-t-il raison de dire que les Français travaillent moins ?
POLITIQUE - L'avantage des statistiques c'est qu'on peut parfois leur faire dire ce qu'on veut. Ce mercredi 16 juillet Amélie de Montchalin, la ministre des Comptes publics, a assuré que les Français travaillaient 100 heures de moins que les Allemands. De quoi justifier dans la logique gouvernementale la suppression de deux jours fériés et mettre sur la table la monétisation de la cinquième semaine de congés payés ? La ministre Astrid Panosyan-Bouvet a évoqué mardi la possibilité pour les salariés de ne pas prendre leur 5e semaine de congés, mise en place sous Mitterrand en 1982, et de bénéficier en échange d'un coup de pouce financier. Sauf que comme l'ont repéré nos confrères de franceinfo, le chiffre avancé par Amélie de Montchalin provient d'une étude de l'OCDE trompeuse qui calcule le temps de travail sur le nombre total d'habitants. Enfant, étudiants, et retraités compris, donc. « Le temps de travail c'est de toute façon très compliqué à évaluer. Et si vous lisez bien les études de l'OCDE, les petites lignes précisent qu'on ne peut pas comparer les pays, et qu'il s'agit plutôt de comparer les données d'un pays dans le temp s », explique Éric Heyer au HuffPost, directeur à l'Observatoire français des conjonctures économiques. « Travailler deux jours gratuitement pour l'État » Un autre indicateur de l'OCDE, prenant cette fois en compte le nombre d'heures travaillées par travailleur montre que si la France est légèrement en dessous de la moyenne européenne, elle est en revanche devant l'Allemagne. Éric Heyer abonde, pointant que « la grande généralité c'est qu'entre 25 et 55 ans, en France, un salarié travaille comme tout le monde, sans grande différence avec les Italiens, les Allemands ». De quoi faire dire au spécialiste que la suppression des deux jours fériés - alors qu'avec 11 jours fériés la France se situe en dessous de la moyenne européenne qui est de 12 - est tout simplement un impôt déguisé : « L'entreprise ne va pas vous payer plus, mais l'État va taxer ces jours travaillés, c'est comme si vous alliez travailler deux jours gratuitement pour l'État ». En matière de congés payés en revanche, il est vrai, précise le spécialiste, que la France se situe plutôt au-dessus de la moyenne européenne. Même si, là encore met-il en garde, les chiffres cachent une hétérogénéité des situations, entre ceux qui sont au forfait jour, ceux qui n'ont pas de RTT, ceux qui travaillent en vacances, les autoentrepreneurs… « L'idée de parler de temps de travail, c'est un débat d'une autre époque. Depuis les années 2000, tous les pays ont réduit leur temps de travail, c'est le progrès social. Et la baisse a été plus forte par exemple en Allemagne et aux Pays-Bas qu'en France », ajoute Éric Heyer. Accepter de ralentir pour mieux repartir Néanmoins, admet le spécialiste, il y a bien en France un véritable besoin d'améliorer le taux d'emploi des jeunes et des séniors, plutôt que de jouer sur la durée du travail : « En France, on entre plus tard sur le marché du travail et on en sort plus tôt, c'est quelque chose qu'il faut améliorer ». C'est aussi en ce sens que les différents gouvernements depuis 2017 ont tour à tour mis en place la réforme des retraites, du RSA, ou encore de l'assurance chômage. Attention toutefois, pointe le chercheur, car derrière ces enjeux se trouve notamment le critère de la productivité. Entre 2019 et 2023 elle a certes baissé de manière générale en Europe, mais elle a décroché un peu plus en France. La notion peut apparaître comme un peu complexe, mais elle est particulièrement chérie par François Bayrou, dont la logique budgétaire, rappelons-le, vise à ce que les Français produisent plus pour faire rentrer plus de recettes dans les caisses de l'État. À en croire Éric Heyer, le gouvernement ouvre en réalité un œil pour fermer l'autre, et offre donc une vision partiale. Pour bien comprendre la situation, et comme Bercy est un paquebot, l'économiste prend l'image d'un bateau type aviron : dedans les 25-55 ans rament vite, mais si on y ajoute des rameurs moins efficaces (jeunes et séniors) alors le bateau, dont le poids est alourdi, avance d'abord moins vite. Dans le marché du travail, c'est pareil : l'intégration de jeunes en apprentissage, à l'égard duquel la macronie a multiplié les coups de pouce, fait baisser la moyenne de la productivité. « Il faut accepter ce jeu, c'est punitif de dire à ceux qui travaillent qu'ils ne travaillent pas assez. Il faut accepter que la baisse de productivité soit temporaire, en se disant par ailleurs qu'avec ces nouveaux rameurs-travailleurs, on enrichit la croissance en emploi », analyse le spécialiste qui avance une solution : « Il faut que quelqu'un paye pour former ces rameurs à aller plus vite, et il faut que ça soit l'État, parce que c'est un investissement ». Problème, dans le budget de François Bayrou, la dépense publique est désormais un gros mot. Quant au temps, il lui est largement compté.


Le Figaro
17-07-2025
- Politics
- Le Figaro
Les femmes ont en moyenne leur premier enfant à 29 ans, indique l'Insee
«L'âge conjoncturel moyen des mères à la naissance de leur premier enfant atteint 29,1 ans en 2023, soit 0,9 an de plus qu'en 2013, 5,1 ans de plus qu'en 1974 et 4,9 ans de plus qu'en 1967», précise l'institut national de la statistique et des études économiques. Les femmes ont en moyenne leur premier enfant à 29 ans, soit cinq ans plus tard qu'en 1974, selon une étude publiée ce mercredi 16 juillet par l'Insee qui confirme une tendance observée depuis la fin des années 1970 en France et dans l'Union européenne. «L'âge conjoncturel moyen des mères à la naissance de leur premier enfant atteint 29,1 ans en 2023, soit 0,9 an de plus qu'en 2013, 5,1 ans de plus qu'en 1974 et 4,9 ans de plus qu'en 1967», précise l'institut national de la statistique et des études économiques. Du milieu des années 1970 à la fin des années 1990, ce recul de l'âge pouvait s'expliquer par la diffusion des méthodes de contraception, l'allongement des études et «la participation croissante des femmes au marché du travail», souligne l'institut. D'autres facteurs ont depuis pris le relai, comme le contexte socio-économique, politique ou environnemental qui a pu «conduire à reporter des décisions de fécondité», ou encore une durée de scolarisation accrue. Publicité Une tendance à l'échelle européenne La hausse de l'âge à la première maternité décale sans surprise l'âge aux maternités suivantes, relève l'Insee : les mères qui mettent au monde leur deuxième enfant en 2023 sont âgées de 31,6 ans en moyenne, soit 4,8 ans de plus qu'en 1967. Quant au délai entre les naissances, il n'augmente «que très légèrement», à 4,2 années en moyenne, soit 0,1 an de plus qu'en 2013. Loin d'être une exception française, cette hausse de l'âge au premier enfant concerne l'ensemble des pays de l'Union européenne. En 2023, il était en moyenne de 29,8 ans parmi les 27 États membres, avec d'importantes disparités d'un pays à l'autre. Les femmes dans les pays de l'est de l'UE et dans les pays baltes ont tendance à faire des enfants plus tôt (entre 26,9 ans et 28,9 ans) quand la première maternité est à l'inverse plus tardive, à plus de 31 ans, dans une partie du sud de l'Europe, notamment en Italie où l'âge du premier enfant atteint 31,8 ans.

L'Équipe
17-07-2025
- Sport
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DIRECT. Philadelphia Union-CF Montréal (MLS 2025) en direct
Suivez en direct l'évolution du score et les statistiques du match opposant Philadelphia Union - CF Montréal qui se déroule au Subaru Park à Chester, Pennsylvania