Dernières actualités avec #télévision


Le Figaro
7 hours ago
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«Je suis désolé, fausse joie» : Nagui annonce par erreur le gain d'une croisière à un téléspectateur dans «Intervilles»
En fin d'émission jeudi soir en direct de Beauvais, l'animateur de France 2 a accordé la victoire à un participant contacté par téléphone avant que Camille Cerf lui signale son erreur. Moment insolite jeudi soir dans les derniers instants d' « Intervilles », Nagui permettait à deux téléspectateurs de participer au duel entre la ville de Beauvais et celle de Coulanges-lès-Nevers. « Cela n'a jamais été fait dans 'Intervilles', vous allez pouvoir, de chez vous, influencer le score », a signalé l'animateur avant d'écouter Marie et Anthony. Les deux participants devaient deviner combien de pas Camille Cerf et Valérie Bègue avaient parcouru durant la soirée. Les deux anciennes Miss France avaient été équipées d'un podomètre dont le cumul a donné un total de 3467 pas. D'un côté, la supportrice de Beauvais avait parié sur 1500 pas tandis que celui de Coulanges-lès-Nevers avait vu large avec 8000 pas. À lire aussi Retailleau accusé de tricherie, Foucault à l'eau, l'épisode des lunettes cassées... «Intervilles» en 5 moments cultes « Nagui, je sais que vous avez un petit peu de mal avec le calcul mental » Camille Cerf Publicité « C'est vous Anthony qui gagnez la croisière », s'est exclamé Nagui sous les encouragements du public. « Yes ! Merci », a réagi le téléspectateur, ravi de cette bonne nouvelle. « Mais vous êtes sûr ? Nagui, je sais que vous avez un petit peu de mal avec le calcul mental, est intervenue Camille Cerf avec humour. Il me semble que c'est plus près de 1500 que de 8000. » « Je suis désolé Anthony, fausse joie », a réagi l'animateur avant de se faire chambrer. « C'est du direct, elle est là la magie du direct, a lancé Bruno Guillon. Le voilà notre bêtisier. » C'est finalement Marie qui a eu la (vraie) joie de se voir attribuer le gain de cette croisière et la ville de Beauvais a été créditée d'un point supplémentaire. « Tant pis », a déclaré Anthony. Malgré les critiques des téléspectateurs, ce retour d' « Intervilles » sur France 2 a enregistré d'excellentes audiences avec une moyenne de 3.352.000 téléspectateurs (22% de PDA) selon Médiamétrie. À la fin de l'émission, c'est Coulanges-lès-Nevers qui a gagné contre Beauvais. La semaine prochaine, Bourgoin-Jallieu sera face à Gap.


Le HuffPost France
10 hours ago
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« Intervilles » n'a pas eu besoin de ses vachettes pour faire un carton sur France 2
TÉLÉVISION - Décor en carton, et vachettes rangées à l'étable… Si le retour d' Intervilles sur France 2 n'a semble-t-il pas convaincu tous les téléspectateurs, d'après leurs remarques acides sur les réseaux sociaux, ils se sont tout de même retrouvés en très grand nombre devant leur télévision, ce jeudi 3 juillet, selon les audiences. De retour après douze ans d'absence, le jeu culte des étés français depuis 1962 a réuni 3,35 millions de curieux entre 21 h 07 et 23 h 22, d'après les chiffres de Médiamétrie relayés par Puremédias. Cela équivaut à une part d'audience de 22,0 %, précise le site d'info spécialisé qui rappelle que le dernier numéro diffusé en 2013 avait fait un tout petit peu plus (3,8 millions de téléspectateurs). Le premier épisode du jeu, qui voyait s'affronter Beauvais (Oise) et Coulanges-lès-Nevers (Nièvre), s'est ainsi classé en première position, devant Le dîner de cons sur TF1 (2,94 millions), la rediffusion d'un épisode de la série de France 3 La doc et le véto (2,26 millions) et un numéro inédit d' Arnaques ! avec Julien Courbet sur M6 (999 000 en première partie). Modernisé et piloté par Nagui, Intervilles 2025 est un pari pour France Télévisions, qui a plusieurs fois repoussé le projet, notamment à cause de la pandémie de Covid-19. Interrompu au bout de 10 ans, le jeu a fait un premier retour en 1985 sur FR3, avant de basculer sur TF1 de 1986 à 1991, toujours avec le trio originel, puis de 1995 à 1999 avec Jean-Pierre Foucault aux commandes. Adieu les vachettes, bonjour Topa Par la suite, le jeu, créé par Guy Lux qui le coprésentait avec Léon Zitrone et Simone Garnier initialement, a fait plusieurs retours sporadiques, avec d'autres présentateurs dont, déjà, Nagui. Il n'est plus diffusé sous une forme pérenne depuis 2009. Contrairement à la version originelle, il n'y a pas de vachettes pour corser les épreuves. Elles ont été remplacées par Topa, mascotte à l'effigie d'une vache conçue par le dessinateur Zep, père de Titeuf. Une décision qui a courroucé les villes taurines de Bayonne, Dax et Mont-de-Marsan. Elles ont décidé de ne pas participer à cette édition 2025. Qu'en sera-t-il du public ? Les bonnes audiences sont-elles le fruit d'un effet de curiosité ou d'un véritable intérêt pour le programme ? La réponse à l'issue de la prochaine soirée prévue le 10 juillet, la deuxième d'une série de quatre numéros qui doivent se conclure par la grande finale, le 24 juillet à Wallers-Arenberg.


Le Parisien
10 hours ago
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- Le Parisien
Audiences TV : « Intervilles » leader en forme pour son grand retour
C'est le lancement de l'été. Jeudi soir, France 2 a diffusé le grand retour d'« Intervilles » , le célèbre jeu imaginé par Guy Lux il y a près de 60 ans. Désormais sans vachettes et doté d'un nouveau générique, le format est animé par Nagui, entouré de Bruno Guillon, Valérie Bègue, Camille Cerf, Magali Ripoll ou encore Yoann Riou. Se déroulant à Beauvais, ce premier numéro sur les quatre attendus sur la chaîne publique cet été a suscité la curiosité de 3,4 millions de téléspectateurs selon Médiamétrie, une bonne performance. Cela représente 22,0 % de l'ensemble du public. France 2 est ainsi leader du palmarès des audiences de la soirée. L'émission est aussi un carton sur la cible commerciale des Femmes responsables des achats âgées de moins de cinquante ans (FRDA-50) avec une part de marché de 27,5 %, permettant à la Deux d'être, une fois n'est pas coutume, leader sur cet indicateur. Il y a 12 ans, le samedi 29 juin 2013, la précédente diffusion d'« Intervilles » sur France 2 à l'occasion des 50 ans du programme avait rassemblé 3,8 millions de téléspectateurs, soit 20 % du public. TF 1 suit en misant sur une valeur sûre du cinéma : « Le dîner de cons ». La célèbre comédie avec l'inoubliable Jacques Villeret et Thierry Lhermitte a fait rire 2,9 millions de fans de François Pignon, pour une part d'audience (PDA) de 17,6 %. Sur la cible commerciale des FRDA-50, la part de marché atteint 21,2 %. France 3 est derrière avec « Le doc et le véto », sa série incarnée par Michel Cymes. Le premier épisode en rediffusion de la soirée a attiré jusqu'à 22h40 2,3 millions d'amateurs, ce qui équivaut à 13,5 % du public. M 6 suit avec un nouveau numéro d'« Arnaques ! », le magazine de Julien Courbet venant en aide aux particuliers. Consacré à la guerre des voisins, ce dernier a intrigué seulement 1 million de téléspectateurs (5,8 % de PDA), tandis que la part de marché FRDA-50 s'élève à 10,0 %. Du côté du reste des chaînes, TMC s'impose avec « Jurassic World », le blockbuster américain avec Chris Pratt. Le long-métrage a fait frissonner 987 000 cinéphiles, soit 6,7 % de l'ensemble du public. France 5 n'est pas loin avec son documentaire sur l'histoire du Concorde qui a intrigué 826 000 passionnés d'aviation (4,9 %).


L'Équipe
12 hours ago
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- L'Équipe
L'Équipe du Soir du 3 juillet
Retrouvez L'Équipe du Soir, orchestrée par Olivier Ménard qui pose les questions et provoque les duels. Discussions ardentes et débats passionnés rythment l'émission, le tout avec une savante dose de partis pris et jamais de langue de bois.


La Presse
a day ago
- Entertainment
- La Presse
Inspirez expirez 2
Il existe un noyau de jeunes femmes hyper douées qui écrivent de la maudite bonne télé pour la plateforme Crave depuis quelques saisons déjà. Bien sûr, il y a Florence Longpré et sa série bijou Empathie – quelle œuvre forte, remuante et émouvante. Il y a aussi le premier trio qui propulse la rigolote comédie Gâtées pourries, formé par Pascale Renaud-Hébert, Anne-Élisabeth Bossé et Suzie Bouchard. Il y a Sarah-Maude Beauchesne – et son mari Nicola Morel, ne l'oublions pas – qui cultive Bellefleur, dont la deuxième saison surpasse la première, parce que plus réaliste et plus incarnée. Et il y a la talentueuse Sonia Cordeau, membre du collectif humoristique Les Appendices, qui signe la deuxième saison de l'incisive comédie noire Inspirez expirez, dont les cinq premiers épisodes sortent ce jeudi sur Crave. Les cinq derniers suivront le jeudi 7 août. Comme ses camarades féminines citées plus haut, Sonia Cordeau possède une voix singulière et originale, qui s'entend dans les dialogues modernes, cruels et percutants d'Inspirez expirez. Avec ses répliques crues et mordantes, souvent enrobées d'un sacre ou d'un gag scatologique, la scénariste et actrice livre un deuxième chapitre encore plus étoffé et réussi de son thriller comique, qui égratigne l'industrie fumeuse du bien-être, namatasse-toi ! Entendez-vous ce son de bol tibétain et le soupir accompagnateur d'émerveillement d'un Marc dans Si on s'aimait Célébrités ? PHOTO FOURNIE PAR CRAVE Virginie Fortin, Sonia Cordeau et Alice Pascual dans une scène d'Inspirez expirez La deuxième saison d'Inspirez expirez décolle trois mois après la retraite de yoga meurtrière de la première saison, où (nom supprimé pour éviter un divulgâcheur) a assassiné des clientes d'Antara Yoni (Édith Cochrane) à coups de boule de billard, au fin fond des bois. Nos deux protagonistes et « enquêtrices de salon » Sophie (Sonia Cordeau) et Vicky (Virginie Fortin) vivent maintenant en colocation, dans un bungalow de banlieue, et elles reçoivent un message angoissant, glissé sous la carcasse d'un écureuil éventré. Quelqu'un les menace, mais qui au juste ? Rapidement, les deux rivalamies découvrent que plusieurs survivants de la retraite de yoga ont reçu les mêmes notes lugubres et inquiétantes. Encore pire : le chat Pistache de la timide Lou (Raphaëlle Lalande) a été assassiné. Le chien que gardait le policier nono Damien (Steve Laplante) a également été tué. Bref, quelqu'un a peur que les secrets du domaine s'ébruitent. Et cette personne mystérieuse panique. PHOTO FOURNIE PAR CRAVE Katherine Levac (au centre) dans une scène d'Inspirez expirez En parallèle, une deuxième investigation s'ouvre. L'amie de Sophie et Vicky, Geneviève (Katherine Levac), maman de quatre enfants, change radicalement de comportement. Autrefois sarcastique et très terre à terre, Geneviève a été ensorcelée par la gourou Étincelle (Émilie Bibeau), qui dirige une secte de femmes à la recherche de leur propre lumière et qui ne portent que des vêtements blancs et amples. La motivatrice et conférencière Étincelle, qui ne boit que du café de céréales, s'attribue le titre de « femme étoile en chef ». Et ses disciples se déplacent en émettant des bruits de clochette, ding, ding, ding. Plusieurs personnages connus réapparaissent dans la suite d'Inspirez expirez, dont la boomer colérique Manon (Chantal Baril), le pseudo-surfeur Marc-Antoine (François Ruel-Côté) et la cadette de la SQ Andréa (Melania Balmaceda Venegas), qui suit maintenant « un cours d'ordinateur ». PHOTO FOURNIE PAR CRAVE Sonia Cordeau et François Ruel-Côté dans une scène d'Inspirez expirez Ça ne nuit pas d'avoir visionné la première saison pour apprécier les clins d'œil de la deuxième. Mais ce n'est pas 100 % nécessaire : on peut embarquer dans la saison 2 d'Inspirez expirez complètement vierge et se raccrocher à l'intrigue principale sans problème. Le personnage défendu par Sonia Cordeau, soit Sophie, une intervenante volcanique de la DPJ, demeure le plus payant de cette comédie qui jongle avec les codes du true crime et ceux des films d'horreur classiques. Abrasive, cartésienne et épuisée par son travail, Sophie sacre beaucoup et pogne souvent les nerfs. Au point que sa patronne à la DPJ la force à suivre des ateliers « pour mieux gérer ses interactions » avec le motivateur Bruno S. Marcotte (Simon Lacroix), qui lâche des petits pets aigus pendant ses rencontres de groupe. Et comme Sophie, 37 ans, a mis une croix sur le tabac, son caractère ne s'adoucit pas, loin de là. « Crisse que j'ai le goût de fumer une tope ou de casser quelque chose », râle-t-elle au deuxième épisode. J'adore quand des scénaristes comme Sonia Cordeau, Pascale Renaud-Hébert ou Sarah-Maude Beauchesne s'écrivent des rôles de femmes imparfaites, difficiles et peu aimables qui risquent de déplaire aux téléspectateurs. Dans Inspirez expirez, Sophie prenait la pilule en cachette de son copain Sam (Étienne Lou), qui espérait – et croyait – fonder une famille avec elle. Trahi et brisé, Sam a évidemment rompu avec Sophie, qui continue de l'espionner de façon peu subtile et de s'humilier devant lui. Malgré son caractère merdique, on finit par l'aimer, cette Sophie explosive. Parce qu'elle est authentique et qu'elle parle sans filtre. Parce qu'on se reconnaît dans ses maladresses et ses imperfections. Et parce qu'elle est très drôle, ce qui n'est pas à négliger. C'est la lucidité exacerbée de Sophie qui fait ressortir l'ésotérisme farfelu du discours nouvel-âgeux auquel s'attaque Inspirez expirez. La belle Étincelle (Émilie Bibeau) plaide pour que ses adeptes scintillent de l'intérieur. En langage de Sophie, dénué de nuances, Étincelle est une « estie de niaiseuse qui se crosse avec de la luzerne ». C'est peut-être vulgaire, mais je reste #teamsophie. Et fuck les cristaux chargés d'énergie vitale et autres ateliers quétaines de croissance personnelle.