Dernières actualités avec #témoins

Le Parisien
3 days ago
- Politics
- Le Parisien
Paris : l'enfant de trois ans grièvement blessé après avoir été écrasé par un camion poubelle est mort
Il avait été conduit à l'hôpital dimanche en urgence absolue. Selon nos informations, le petit garçon de trois ans grièvement blessé après avoir été écrasé par un camion poubelle est mort. L'accident est survenu ce dimanche en fin de journée rue Claude-Decaen, dans le XIIe arrondissement de Paris. Selon plusieurs témoignages, l'enfant aurait déboulé avec sa trottinette sur la chaussée, à quelques mètres du passage piéton avant d'être happé par un camion poubelle, dont le conducteur n'aurait pas eu le temps de freiner. >> Plus d'informations à venir


Le Parisien
5 days ago
- Le Parisien
Le Pin: après la relaxe du suspect, qui a attaqué la gérante du centre équestre ?
Coups de fouet, coups de pelle, coups de fourche : trois semaines après la terrible agression dont elle a été victime, le traumatisme de la gérante de ce centre équestre est immense. En témoignent ses larmes devant le tribunal correctionnel de Meaux qui jugeait, vendredi, l'homme qu'elle a formellement reconnu au commissariat de police de Villeparisis, derrière une vitre sans tain, mais aussi à l'audience. Aucun doute pour elle : c'est bien lui qui, au Pin, le 28 juin dernier, a tenté de… voler une jument. La jeune femme, qui avait tenté d'intervenir, avait subi des violences. Des témoins, entendant ses cris, étaient arrivés à sa rescousse et avaient fait déguerpir l'inconnu. La victime, blessée physiquement et choquée psychologiquement, a bénéficié d'une ITT pénale (incapacité totale de travail) de dix jours. La gérante du centre équestre était allée déposer plainte avec en poche un portrait-robot de son agresseur, qu'elle avait elle-même établi grâce à l'intelligence artificielle.

Le Figaro
6 days ago
- Politics
- Le Figaro
Disparition de Delphine Jubillar : la «nouvelle petite amie» de Cédric ne devrait pas témoigner lors du procès
Alors que deux avocats des parties civiles ont formulé des demandes de supplément d'information, la jeune femme ne fait pour l'instant pas partie de la liste de témoins cités à la barre. La liste actualisée des témoins a été transmise par le parquet aux différentes parties et l'ancienne «nouvelle petite amie» de Cédric Jubillar n'y figure pas, a indiqué au Figaro une source proche du dossier, confirmant une information du Point . Sera-t-elle entendue avant le procès, dans le cadre de la demande de supplément d'information déposée par deux avocats de la partie civile, Me Mourad Battikh et Me Pauline Rongier ? Ou ne sera-t-elle pas entendue tout court, alors qu'il ne reste plus que deux mois avant le début du procès, prévu pour le 22 septembre ? Confidences lors de parloirs La question se pose depuis le 10 juillet dernier, date à laquelle Le Parisien a publié une longue interview de cette jeune femme. Elle affirme que le peintre plaquiste lui aurait fait des confidences lors de plusieurs parloirs à la prison de Seysses. Il lui aurait notamment décrit avec précision comment il aurait, dans la nuit du 15 au 16 décembre 2020, étranglé sa femme, Delphine Jubillar. Publicité Dans cet entretien, celle que la presse surnomme «Justine» raconte également que Cédric Jubillar aurait imité sur sa personne le geste qui aurait été fatal à l'infirmière tarnaise : «Il s'est placé dans mon dos. Il a posé une main sur mon front et a fait une clé de coude avec l'autre bras disponible. Il m'a expliqué avoir ensuite serré tellement longtemps que cela aurait provoqué une petite blessure sur son bras». Cédric Jubillar lui aurait aussi affirmé avoir caché le corps dans «une exploitation agricole», «pas très loin d'un chantier sur lequel il aurait travaillé, à proximité d'une route», au sud d'Albi. Il aurait «préparé le lieu» bien avant les faits, où il aurait enterré la mère de famille à l'aide «d'une pioche». À lire aussi «Dans les cours d'assises, les monstres n'existent pas» : Me Emmanuelle Franck, l'une des avocates de Cédric Jubillar, se livre au Figaro Face à ces révélations, l'avocate d'une amie de Delphine Jubillar, Me Rongier, ainsi que l'avocat de l'oncle, la tante et la cousine de la disparue, Me Battikh, ont déposé une demande d'actes pour obtenir un supplément d'information. «Les éléments rapportés sont essentiels dans le cadre de la manifestation de la vérité, tant les détails donnés sont circonstanciés et correspondent à des éléments démontrés durant l'enquête et l'instruction», écrit Me Rongier dans ce courrier, que Le Figaro a pu consulter. À première vue, ce témoignage paraît donc capital. Difficile d'imaginer que cette jeune femme puisse ne pas être entendue par les enquêteurs. Or, à en croire nos confrères de BFMTV, il semblerait que cette jeune femme ait déjà été, à sa demande, entendue par les gendarmes de la section de recherches de Toulouse, en mai 2021. Pourtant, selon Le Point, elle n'aurait jamais abordé avec les enquêteurs la nature des aveux recueillis lors de ces parloirs, puisque Cédric Jubillar n'aurait fait ces confidences qu'en mars et avril 2025. Est-il nécessaire d'entendre à nouveau cette jeune femme, alors que l'instruction est close ? Si l'on s'en tient à la liste transmise par le parquet, il semblerait que non. Mais, dix semaines avant l'ouverture des débats, la présidente de la cour d'assises du Tarn a, en vertu de son pouvoir discrétionnaire, la possibilité d'en décider autrement. Et d'exiger de nouveaux actes d'enquête.


24 Heures
15-07-2025
- Science
- 24 Heures
Une intrigante cascade nuageuse sur les Dents-du-Midi, un phénomène rare?
Un voile nuageux a dévalé les pentes nord du massif valaisan le 1ᵉʳ juillet. Cette manifestation exceptionnelle était due aux orages du jour. Publié aujourd'hui à 12h33 La cascade nuageuse du 1er juillet sur les Dents-du-Midi sublimée par le soleil couchant. MétéoSuisse En bref: Une cascade nuageuse spectaculaire s'est formée sur les Dents-du-Midi le 1er juillet, créant un spectacle naturel rare observé par de nombreux témoins en Valais. Selon les informations de MétéoSuisse , ce phénomène atmosphérique exceptionnel s'est manifesté en soirée après une journée marquée par des chaleurs et des orages dans la région. La merveille s'est produite entre 21 h 20 et 21 h 45, comme le confirment les quatorze photographies transmises via l'application météorologique et les archives des webcams environnantes. Cette formation nuageuse singulière, ressemblant à une cascade dévalant les pentes nord du massif montagneux, a captivé l'attention des observateurs dans toute la vallée du Rhône. Un écoulement d'air L'analyse météorologique suggère que cette cascade résulte d'un courant d'air descendant le long des faces nord des Dents-du-Midi. En s'écoulant sur les pentes, l'air se comprime, se réchauffe et s'assèche, provoquant la dissipation du nuage avant qu'il n'atteigne le fond de la vallée. Ce mécanisme caractéristique correspond très probablement à un effet de foehn local. Le phénomène observé depuis Veytaux le 1er juillet à 21 h 37. MétéoSuisse La rareté de ce phénomène s'explique par les conditions très spécifiques nécessaires à sa formation. L'air doit être forcé au-dessus du massif des Dents-du-Midi, alors que normalement il contourne cette barrière montagneuse haute et isolée. De plus, l'humidité atmosphérique à l'altitude du sommet doit être suffisante pour permettre la condensation et révéler visuellement l'écoulement de l'air. À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. Les archives météorologiques du 1er juillet montrent des vents faibles d'ouest en altitude, une orientation inadéquate pour expliquer un écoulement sur les faces nord du massif. Les relevés radar révèlent cependant la présence d'orages circulant au sud des Dents-du-Midi d'ouest en est au moment de l'apparition de la cascade nuageuse. L'hypothèse privilégiée suggère que l'air froid descendant des cellules orageuses s'est répandu vers le nord depuis leur base. Cet air froid et humide, plus dense, s'est retrouvé piégé dans le bassin du lac de Salanfe. Ne pouvant s'évacuer suffisamment par le vallon de Van, il a été contraint de déborder au-dessus du massif montagneux. L'éloignement progressif de l'orage vers l'est aurait ensuite stoppé l'afflux d'air froid, expliquant la brève durée du phénomène observé entre 21 h 20 et 21 h 45. Un phénomène rare dont vous avez été témoin? Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters Claude Béda est journaliste à la rubrique vaudoise de 24 heures. Licencié en sciences sociales et politiques, passionné par les sujets de société et la vie des gens d'ici, il a couvert plusieurs régions du canton, avant de rejoindre la rédaction lausannoise. Plus d'infos Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.


Le Parisien
15-07-2025
- Politics
- Le Parisien
Disparition de Tiphaine Véron au Japon : son frère veut lancer un nouvel appel à témoins
Sept ans après la disparition inexpliquée de sa sœur, il est toujours déterminé à essayer de comprendre ce qu'il s'est passé. Damien Véron , le frère de Tiphaine Véron , disparue au Japon en 2018, va repartir pour la huitième fois à l'endroit où elle s'est volatilisée, à Nikko, a-t-il annoncé mardi sur France Inter . Sur place, Damien Véron souhaite « lancer un nouvel appel à témoins exclusivement en japonais », a-t-il expliqué. « Il va aussi y avoir une réunion avec la police de Nikko. Le but est toujours de les inciter à ouvrir une enquête criminelle », a ajouté le quadragénaire. Le 29 juillet 2018, cette auxiliaire de vie auprès d'enfants atteints de handicap, alors âgée de 36 ans, en vacances au Japon, avait quitté sa chambre d'hôtel, le Turtle Inn, sous les yeux de plusieurs témoins. Elle avait également été filmée par une caméra de vidéosurveillance de l'établissement. Elle n'est jamais rentrée et n'a plus donné aucun signe de vie . À l'époque, la police nippone avait conclu que la mort de Tiphaine Véron était accidentelle, la jeune femme aurait fait une chute dans une rivière. Malgré l'absence d'élément nouveau permettant d'étayer une autre piste sérieuse, la famille de la trentenaire n'y a jamais cru. « Nous pensons que Tiphaine a été agressée dans sa chambre d'hôtel, ou en tout cas dans les environs. C'est l'intime conviction de ma famille maintenant », a redit sur France Inter mardi Damien Véron, rappelant que « des traces de sang dans sa chambre n'ont jamais été expertisées ». Avec sa mère Anne Désert et ses frère et sœur, Stanislas et Sibylle , il poursuit inlassablement sa quête de vérité. À Nikko, Damien Véron entend bien continuer ses « investigations privées » pour « trouver des indices », même s'il est conscient que « ça devient de plus en plus difficile parce que le temps passe ». Néanmoins, « on a des suspects », a-t-il affirmé, sans en dire davantage. Avec l'aide de locaux mobilisés à aider la famille Véron , Damien va avoir « des accès que nous n'avons jamais eus jusqu'à présent », a-t-il indiqué. « Par exemple, on va aller directement au registre des corps retrouvés non identifiés où vous pouvez être en mesure d'avoir des photographies et les conditions dans lesquelles les corps ont été retrouvés. Cela peut permettre des avancées », a-t-il détaillé. Le quadragénaire sait qu'il y a probablement eu « une issue tragique » à la disparition de sa sœur mais tant qu'il n'en a pas la preuve, « c'est presque impossible de s'arrêter ».