Dernières actualités avec #vestiaire


Le Figaro
3 days ago
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Mercato : voie sans issue pour Vinicius à Madrid, le Real prêt à le vendre ?
La situation semble se tendre du côté de Madrid autour de la prolongation de l'ailier international brésilien de 25 ans. Vinicius, stop ou encore ? Sous contrat jusqu'en 2027, l'ailier international brésilien (41 sélections, 7 buts) de 25 ans ne s'est toujours pas entendu avec le Real pour une prolongation. À en croire Radio Marca, «Vini» souhaite obtenir le meilleur salaire du vestiaire madrilène. Mundo Deportivo va plus loin ce lundi, assurant que le Brésilien et Kylian Mbappé touchent 15 M€ annuels. Sauf que le Français a bénéficié d'une prime à la signature de 40 M€ sur cinq ans, soit huit millions d'euros annuels en plus pour «KM». «Des montants que le club n'envisage pas pour le moment concernant Vinicius», promet-on dans les colonnes du journal barcelonais, ajoutant que «le club n'exclut pas de vendre le Brésilien si une offre importante arrive». Recruté en 2018 à Flamengo pour 45 M€, Vinicius Jr a inscrit 106 buts en 322 matchs sous les couleurs madrilènes. Brillant lors de la campagne 2023-24, avec le sacre en Ligue des champions à la clé, le natif de Sao Gonçalo n'a pas reproduit les mêmes performances en 2024-25, après l'arrivée de l'attaquant français Kylian Mbappé, avec 22 buts et 19 passes décisives en 58 matchs.


Le Parisien
6 days ago
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T-shirt UNIQLO : ces 2 basiques pour les outfits d'été sont 19,90 euros
Le t-shirt est un basique du vestiaire masculin qui peut se porter tout au long de l'année, mais c'est surtout en été que vous pouvez avoir envie d'étoffer votre collection. UNIQLO propose des prix intéressants sur de nombreuses pièces du dressing estival, disponibles sur son site de vente en ligne. Voici deux modèles de t-shirts, proposés dans de nombreuses tailles, qui s'affichent à 19,90 euros. Le t-shirt 100% coton Supima® est disponible pour 19,90 euros. Ce modèle est disponible dans onze coloris, ainsi que dans huit tailles qui vont du XXS au 3XL. Il est fabriqué à l'aide de coton 100 % Supima® de qualité supérieure et profite de belles finitions, notamment grâce à des coutures élégantes. À la fois simple et étudié, ce t-shirt est agréable à porter et il convient à de nombreuses situations : il peut aussi bien s'associer à un pantalon qu'à un short. Cliquez ici pour profiter de l'offre sur le t-shirt Supima De son côté, le t-shirt DRY-EX profite lui aussi d'un prix de 19,90 euros. Sept tailles et six coloris sont proposés pour ce modèle conçu dans un matériau léger et respirant, doté de la technologie DRY-EX. Grâce à des mailles respirantes sur le dos et sur les côtés, il limite les effets de la transpiration. Vous pouvez aussi bien le porter pour la vie quotidienne que pour faire du sport si vous le désirez. Cliquez ici pour profiter de l'offre sur le t-shirt DRY-EX

L'Équipe
13-07-2025
- Sport
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« On se demandait comment on allait survivre à ça » : la mi-temps vue par la vice-capitaine des Bleues, Sandie Toletti
Vice-capitaine de l'équipe de France et milieu du Real Madrid, Sandie Toletti évoque la mi-temps. Quinze minutes « qui passent très vite », notamment lorsque le contexte est défavorable. « Quinze minutes de pause, c'est trop ou trop peu ?Cela passe très vite. J'entends surtout le bruit des crampons, dans le tunnel, quand on rentre au vestiaire. Le contexte du match est important, si on est menées ou pas, comme les émotions ou le ressenti de chacune. Cela peut être très bruyant ou très calme, tout le monde se regarde ou tout le monde a les yeux au sol quand ça ne va pas. L'ambiance est vraiment changeante d'un match à l'autre. J'analyse ce qu'il se passe. « J'aime bien regarder les autres, observer, ressentir la dynamique » Sandie Toletti Quelles sont vos habitudes ?Je rentre dans le vestiaire, je prends une bouteille d'eau, une compote. Je m'assois, je bois, j'enlève mes protège-tibias. J'aime bien regarder les autres, observer, ressentir la dynamique. Je me calme et j'essaie de calmer les autres, faire retomber une euphorie naissante ou au contraire remonter le moral. J'apporte de l'équilibre, comme sur le terrain (rires). Votre attitude change-t-elle avec le brassard de capitaine ?Non, pas vraiment. Je laisse le coach parler, donner ses points à corriger. Après, j'essaie de parler avec les autres milieux pour régler les soucis qu'on a pu avoir si on avait une joueuse dans notre dos, par exemple, ou un problème de connexion avec les attaquantes concernant le pressing. On n'a pas beaucoup de temps pour trouver des solutions. Avez-vous déjà vécu une analyse marquante d'un coach à la pause ?Récemment, je repense à deux choses, coup sur coup : quand on menait 1-0 à Barcelone en Liga (3-1, le 23 mars) et 1-0 contre Arsenal en Ligue des champions (2-0, le 18 mars, quarts de finale aller), alors que nous n'étions pas du tout favorites. On était toutes très excitées, super contentes. Alberto Toril (l'entraîneur du Real Madrid la saison dernière) a calmé les choses, nous a dit de rester concentrées. Il restait quarante-cinq minutes, il nous a dit de ne pas sortir du match. Il appuyait son propos avec des pions aimantés sur le tableau blanc. Il a parfaitement géré la tactique mais aussi l'émotionnel en seulement dix minutes. « Quand tu entres à la pause, c'est pour changer quelque chose à la rencontre. Il y a une pression différente » Et une mi-temps ratée ?En décembre, dans le froid, on rentre en menant 1-0 contre Chelsea. Au retour des vestiaires, on prend deux buts coup sur coup, 51e et 56e. Cela nous a tuées, alors qu'on sait très bien que les dix premières minutes de chaque période sont cruciales. D'ailleurs, ce n'est pas facile de remettre la machine en route après la pause. Là, nous étions vraiment trop relâchées, trop euphoriques et on a très mal géré cette pause. Le coach adverse fait rentrer Catarina Macario qui nous plante un doublé, sur deux penalties concédés par Olga Carmona (1-2, le 17 décembre). Une gueulante mémorable ?Hervé Renard à Saint-Etienne contre l'Angleterre. Je m'en souviens très bien, les murs ont tremblé. Il était dur, mais on sentait qu'il était très ému de cette contre-performance en première période (2-0 pour l'Angleterre, 2-1 score final, le 4 juin 2024). C'était vraiment sur notre engagement, il sentait qu'on ne donnait pas tout pour le maillot, donc il était super énervé. Il disait que c'était normal de rater des choses. Mais pas mettre d'envie, cela lui faisait péter les plombs. Parce que lui, il donnait tout sur le côté. Êtes-vous déjà arrivée épuisée à la pause ?Contre le Barça, tu rentres et t'es lessivée. Mais ce dont je me rappelle surtout, c'est la mi-temps à Arsenal. Pourtant, il y avait 0-0. On ne touchait pas un ballon alors qu'on a toujours la possession, en général. L'ambiance au stade était dingue, on était étouffées, on entendait les chants depuis le vestiaire. Personne ne bronchait. On se demandait comment on allait pouvoir revenir sur le terrain, comment on allait survivre à ça. C'était vraiment dur. La preuve : on coule dès la reprise puisqu'on encaisse deux buts à la 46e et 49e (3-0, le 26 mars, quarts de finale retour). Est-il plus dur d'être remplacée ou d'entrer à la pause ?Entrer dans le match ! Tes coéquipières ont déjà joué la première période, elles n'ont pas le même niveau de fatigue que toi. Il faut vraiment surveiller leurs énergies, presser ou pas pour ne pas y aller seule. Avec l'expérience, tu arrives à comprendre les dynamiques. Et puis quand tu entres à la pause, c'est pour changer quelque chose à la rencontre. Il y a une pression différente. Il faut aussi bien s'échauffer, autour de la 35e, rester sur le terrain pendant la pause pour accélérer, mais du coup tu rates toute l'analyse du coach. En général, je demande un résumé aux adjoints. Cela fait beaucoup d'informations à collecter et digérer en peu de temps. Tout en restant focus sur sa performance personnelle. Avez-vous déjà retourné une situation en entrant après la mi-temps ?À La Corogne, le 15 mars, en Liga. On perd 0-1 chez nous. J'entre à la pause et tout de suite, je donne une passe décisive pour l'égalisation. Là, on se dit qu'on a fait le boulot (2-2, score final). « L'intendant nous a demandé ce qu'on préférait mais on a toutes dit qu'on préférait que les places ne soient pas fixes afin de créer encore plus d'émulation » Êtes-vous assise à côté des mêmes personnes au Real Madrid ?Dans le vestiaire d'entraînement, j'étais à côté d'Olga Carmona, qui a signé au PSG. En match, ils mettent ensemble celles qui parlent la même langue. Je suis à côté de Naomie Feller et de Maëlle Lakrar, car je me charge de la traduction. Et chez les Bleues ?Cela change à chaque fois. L'intendant nous a demandé ce qu'on préférait mais on a toutes dit qu'on préférait que les places ne soient pas fixes afin de créer encore plus d'émulation. Seules les gardiennes restent ensemble. » À lire aussi Un travail à finir Geyoro, le facteur X qui change les ambitions des Bleues Le mois américain de Luis Enrique Pour le PSG, dernier étage avant les nuages