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Suriname : le parlement élit Jennifer Geerlings-Simons, la première femme présidente de ce pays
Suriname : le parlement élit Jennifer Geerlings-Simons, la première femme présidente de ce pays

Le Figaro

time2 hours ago

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Suriname : le parlement élit Jennifer Geerlings-Simons, la première femme présidente de ce pays

L'ancienne colonie néerlandaise, minée depuis son indépendance par des rébellions et des coups d'État, dispose d'importantes réserves pétrolières offshore découvertes récemment. Le Parlement du Suriname a élu présidente dimanche Jennifer Geerlings-Simons, âgée de 71 ans, la première femme à diriger ce petit pays sud-américain, le parti au pouvoir ayant renoncé à nommer un candidat en face d'elle. À découvrir PODCAST - Écoutez le club Le Figaro International Le parti de l'opposante Geerlings-Simons, le Parti National Démocratique (NDP), a obtenu 18 des 51 sièges lors des élections législatives du 25 mai et a formé une alliance avec cinq petits partis, ce qui lui a permis d'obtenir la majorité des deux tiers nécessaire pour accéder à la présidence. L'élection de la présidente s'est faite par acclamation. Publicité Investiture le 16 juillet L'investiture de Mme Geerlings-Simons est prévue le 16 juillet, lorsque le mandat de cinq ans du président Chan Santokhi prendra fin. Le parti de ce dernier, le Parti progressiste de la réforme (VHP), qui a obtenu 17 sièges, avait annoncé cette semaine avoir décidé de ne pas présenter de candidats aux postes de président et de vice-président. «Nous sommes sortis des élections en tant que deuxième parti le plus important mais nous devons conclure que, dans les circonstances actuelles, cela ne fournit pas un mandat viable pour assumer des responsabilités gouvernementales», avait-il avancé. Le Suriname, une ancienne colonie néerlandaise minée depuis son indépendance en 1975 par des rébellions et des coups d'État, dispose d'importantes réserves pétrolières offshore découvertes récemment.

Une France sans voiture ? « Il ne suffit pas de vivre en ville pour pouvoir s'en débarrasser »
Une France sans voiture ? « Il ne suffit pas de vivre en ville pour pouvoir s'en débarrasser »

Le Parisien

time2 days ago

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Une France sans voiture ? « Il ne suffit pas de vivre en ville pour pouvoir s'en débarrasser »

La place de la voiture dans nos villes pourrait être un sujet majeur des prochaines élections municipales, alors que les experts prônent pour en réduire son emprise. Dans les grandes villes, mais aussi dans les plus petites, et plus généralement dans la vie des gens. Le sujet est d'autant plus majeur qu'une partie de la population est exclue aujourd'hui du système voiture, comme le rappelle une récente étude du Centre de recherche pour l'étude et l'observation des conditions de vie (Crédoc) menée pour le Forum Vies Mobiles.

Albert Zennou : «Aux élections municipales, les différents partis devront clarifier leur position»
Albert Zennou : «Aux élections municipales, les différents partis devront clarifier leur position»

Le Figaro

time2 days ago

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Albert Zennou : «Aux élections municipales, les différents partis devront clarifier leur position»

Réservé aux abonnés CHRONIQUE - Les Français sont à la recherche de projets politiques clairs et lisibles. Aucun candidat, aucun parti ne pourra échapper à cette exigence de transparence idéologique et programmatique. En ces temps de macronisme finissant, l'heure est plus que jamais à la clarification politique. Aucun parti, aucun candidat ne pourra y échapper, tant les Français ont compris l'enjeu politique et même civilisationnel qui se cache derrière les alliances possibles, les contenus programmatiques et les doctrines défendues. Clarifier ne signifie pas seulement s'accorder sur les désistements réciproques ou la répartition de circonscriptions en fonction du poids de chacun. À découvrir PODCAST - Écoutez le club Le Club Le Figaro Idées avec Eugénie Bastié La clarification signifie que les électeurs sont à la recherche d'offres politiques lisibles. Comme l'exigeaient les militants de gauche après Mai 68 : « D'où parles-tu camarade ? », il fallait alors décliner son identité administrative mais également sociale et politique, qu'on sache qui était celui qui voulait prendre la parole. C'est un peu à l'image des partis d'aujourd'hui, les électeurs veulent savoir « d'où parlent les partis ». C'est que les municipales de 2026 arrivent à grands pas, suivies un an…

Le RN fait appel à une entreprise spécialisée pour identifier ses «brebis galeuses» qui dérapent sur Internet
Le RN fait appel à une entreprise spécialisée pour identifier ses «brebis galeuses» qui dérapent sur Internet

Le Figaro

time2 days ago

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Le RN fait appel à une entreprise spécialisée pour identifier ses «brebis galeuses» qui dérapent sur Internet

Affaibli par les scandales à répétition, le parti nationaliste entend faire le tri parmi ses futurs candidats. Alors qu'Emmanuel Macron va récupérer son droit de dissolution le 8 juillet, le RN se prépare déjà à un hypothétique renouvellement de l'Assemblée nationale. D'après les informations de France Info, le parti présidé par Jordan Bardella s'est offert récemment les services d'une entreprise spécialisée dans le but d'analyser les profils de ses futurs candidats pour de potentielles élections législatives. L'objectif visé est d'éviter de se retrouver dans l'embarras comme lors des législatives anticipées de 2024, où des ex-candidats avaient mis en cause pour des propos racistes ou antisémites. Le dernier épisode en date en date, la révélation de groupes Facebook sur lesquelles des propos racistes étaient tenus, avait fait grand bruit. La décision du RN s'inscrit dans la volonté de remodelage du parti, en témoigne la recherche d'un nouveau directeur général pour orchestrer le mouvement à compter de septembre prochain. À découvrir PODCAST - Écoutez le club Le Figaro Politique avec Yves Thréard Une «fouille intégrale» Le RN travaille désormais avec une entreprise spécialisée dans la réputation numérique. L'objectif ? Identifier et écarter ceux que Jordan Bardella avait alors qualifiés de «brebis galeuses» lors des dernières élections. Plus de 300 dossiers ont déjà été passés au crible avec plusieurs filtres : les propos racistes, homophobes et antisémites mais aussi les commentaires sur le conflit israélo-palestinien ou concernant la Russie de Vladimir Poutine. Avec cette pratique dite de «renseignement de source ouverte», notamment utilisée par les cabinets de recrutement, le RN entend dénicher la moindre photo, le moindre tweet qui pourrait s'avérer compromettant. Et donc éviter de potentiels scandales qui, comme les précédents feraient voler en éclat tout le travail effectué pour redorer l'image du parti. Selon un cadre contacté par France Info, pour le moment, seuls «quelques cas problématiques» seraient ressortis du lot. À lire aussi Nicolas Sarkozy-Jordan Bardella : «Un rendez-vous au nom du refus des interdits» Publicité Selon Aleksandar Nikolic, porte-parole du Rassemblement national, le but n'est pas «d'entrer dans la vie des candidats» mais d'appréhender de la meilleure des manières «leur ligne de pensée» en regardant «ce qu'ils ont pu dire dans le passé». Et ce système, qui utilise l'intelligence artificielle, n'est pas intrusif assure-t-il. «Tout le monde a accès à ces informations. C'est simplement pour être plus rapide». Le but affiché est donc simplement de se doter de candidats «qui représentent le mieux» le Rassemblement National. Une manière d'éviter de nouveaux scandales également ? «Simplement une question de performance pour se doter de la meilleure équipe possible», insiste le député européen. Le parti semble tout de même lassé des scandales à répétition, et a mis les moyens pour y remédier : le coût pour analyser le passé numérique d'un seul et unique candidat s'élève selon France info à «quelques centaines d'euros». Et il y a 577 députés à investir...

« C'est un champ de bataille » : élus depuis un an, les nouveaux députés de l'Essonne en apprentissage accéléré
« C'est un champ de bataille » : élus depuis un an, les nouveaux députés de l'Essonne en apprentissage accéléré

Le Parisien

time3 days ago

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« C'est un champ de bataille » : élus depuis un an, les nouveaux députés de l'Essonne en apprentissage accéléré

C'était il y a un an. À la surprise générale, Emmanuel Macron prononçait la dissolution de l'Assemblée nationale, provoquant de nouvelles élections législatives. En Essonne, six députés sur dix étaient réélus et quatre nouveaux faisaient leur rentrée en plein été au Palais-Bourbon. Un an après, nous leur avons demandé de faire le bilan de cette année écoulée au sein d'une Assemblée plus fracturée que jamais.

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