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Jusqu'à 3000 euros dans cette ville du sud : une mention au bac peut rapporter gros aux lauréats
Jusqu'à 3000 euros dans cette ville du sud : une mention au bac peut rapporter gros aux lauréats

Le Figaro

timean hour ago

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Jusqu'à 3000 euros dans cette ville du sud : une mention au bac peut rapporter gros aux lauréats

Les résultats au bac tombent et l'argent qui va avec. En 2025, ils seront sans doute comme l'an dernier plus de la moitié des bacheliers à obtenir une mention au bac. Très bien, bien, assez bien... Selon leur commune, leur département ou leur région de résidence, ces bacheliers peuvent prétendre à des bourses au mérite plus ou moins généreuses. Alors que les résultats du bac approchent à grand pas, le Figaro Étudiant publie une liste (non exhaustive) des récompenses attribuées aux bacheliers. Jusqu'à 160 euros de la part des banques Les bacheliers sont de potentiels nouveaux clients des banques. Pas étonnant qu'elles offrent de généreuses primes à l'ouverture d'un compte. La SG (ex Société générale) récompense par exemple tous les bacheliers en leur distribuant 60 euros à l'ouverture d'un compte jusqu'au 2 novembre 2025. Une prime qui peut aller jusqu'à 220 euros pour ceux qui rapatrieraient leurs comptes dans cette banque. BNP Paribas propose elle aussi une offre de bienvenue à 80 euros, offerte sur le compte bancaire à l'ouverture. Elle ne nécessite pas l'obtention d'une mention. Seule condition pour y souscrire: s'inscrire avant le 23 septembre 2025 et avoir moins de 30 ans. La bourse s'élève à 50 euros du côté de la Banque populaire, mais elle n'est pas réservée aux lauréats du bac : elle s'adresse aussi aux étudiants qui auraient décroché un CAP, un BTS, une licence, ou un master. De son côté, le CIC gradue la bourse offerte à l'ouverture d'un nouveau compte en fonction de la mention du bachelier : 40 euros pour une mention «assez bien», 80 euros pour une mention «bien», 160 euros pour une mention «très bien». Certaines aides sont réservées aux boursiers sur critères sociaux Un montant de 900 euros : la bourse au mérite du Crous est délivrée aux titulaires d'un bac mention «très bien». Pour la percevoir, ils doivent s'inscrire dans un établissement d'enseignement supérieur et être boursier sur critères sociaux. Cette bourse est versée en neuf mensualités de 100€. Depuis 2016, pour compenser la division par deux de la bourse au mérite du Crous (passée de 1800 € à 900 €), l'Île-de-France a lancé son propre dispositif d'aide au mérite. Il s'agit donc d'une aide régionale au mérite qui récompense le mérite des étudiants franciliens ayant obtenu la mention «très bien» au baccalauréat, en leur décernant une bourse au mérite fixée à 1000 euros. Pour y prétendre, ils doivent bénéficier de la bourse sur critères sociaux versée par les Crous des académies de Paris, Versailles et Créteil. La région Auvergne-Rhône-Alpes dispose d'une bourse similaire d'un montant de 500 euros. Même dispositif en Provence-Alpes Côte d'Azur (PACA) avec une bourse de 300 euros. Dans tous les cas, le demandeur doit résider dans la région. Des primes qui peuvent se cumuler L'Indre attribue une bourse de 150 euros aux mentions «bien» et de 200 euros aux mentions «très bien», résidant dans ce département. Attention, nouveauté en 2025, les bacheliers concernés devront faire une demande dématérialisée sur le site une fois les résultats tombés. Jusqu'ici, la bourse était automatiquement attribuée par le département à partir des listes transmises par le rectorat. Les jeunes habitants des Yvelines peuvent prétendre à une bourse de 500 euros à condition d'avoir obtenu la mention «très bien», de poursuivre ses études et de justifier de faibles revenus. Ils peuvent donc obtenir 2400€ en tout: 900 € du Crous, 1000€ de l'Île-de-France et 500€ de leur département. Jusqu'à 3000 euros dans cette ville du sud Certaines communes bichonnent leurs jeunes habitants. Depuis 1995 à Montrouge (Hauts-de-Seine), les bacheliers peuvent obtenir entre 400 euros (mention «bien») et 800 euros («très bien») sans conditions de ressource, pour financer un séjour linguistique, le permis de conduire ou l'achat de matériel informatique. Cette année, ils pourront aussi s'en servir pour poursuivre leurs études, et régler leurs frais d'inscription à la fac ou dans une école supérieure. Dans le même département, Puteaux (Hauts-de-Seine) attribue une aide au permis de conduire de 610 euros à tous les bacheliers avec mention (moyenne générale égale ou supérieure à 12 sur 20). À Cannes (Alpes-Maritimes), les mentions «très bien» peuvent espérer bénéficier du prix d'excellence éducative Jacqueline de Romilly. Son montant ? De 500… à 3000 euros, en fonction du prestige de la formation supérieure qu'ils préparent (prépa, école de commerce, etc.). Depuis sa mise en place en 2015, 298 élèves ont reçu ce prix qui encourage la performance éducative. Autre ville généreuse, Villemomble, en Seine-Saint-Denis. La mairie offre 300 euros pour une mention «Très bien» et 150 euros pour la mention «bien». Dans le même département, la ville de Drancy offre aussi 50 euros pour la mention «assez bien», 100 euros pour la mention «bien» ou 150 euros pour la mention «très bien». Ou encore Nice ou Mougin (Alpes-Maritimes) qui offrent une prime de 150 euros pour la mention «très bien».

Youtube, WhatsApp, Facebook, TikTok, LinkedIn… bons ou mauvais conseillers pour votre argent ?
Youtube, WhatsApp, Facebook, TikTok, LinkedIn… bons ou mauvais conseillers pour votre argent ?

Les Echos

timean hour ago

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Youtube, WhatsApp, Facebook, TikTok, LinkedIn… bons ou mauvais conseillers pour votre argent ?

Promesses de gains faramineux, témoignages d'investisseurs inventés de toutes pièces, faux articles de presse, plateformes factices de cryptomonnaies… Les récits d' escroqueries en ligne sont devenus réguliers, reflétant la place prise par les contenus numériques, en particulier sur les réseaux sociaux, dans la manière dont les Français apprennent à gérer leur argent. Concrètement, comment ces réseaux, blogs, podcasts et autres contenus en ligne influencent-ils les arbitrages des Français pour placer leur argent ? Qui sont les internautes les plus susceptibles de suivre les conseils qu'ils véhiculent ? Un sondage réalisé par l'institut Opinionway pour Nalo, site spécialisé dans le conseil en investissement, publié cette semaine, apporte des éléments de réponse chiffrés. · Une habitude devenue majoritaire C'est devenu une habitude couramment répandue : une majorité de sondés (63 %) disent consulter des contenus dédiés à l'argent sur les réseaux sociaux, dont 45 % au moins une fois par semaine, selon ce sondage réalisé en ligne au mois de juin auprès d'un échantillon représentatif de 2.117 personnes. « Il y a bel et bien une dynamique à l'oeuvre », constate Clément Nouvet, dirigeant de Nalo, qui a voulu mener cette étude après avoir constaté l'émergence d' « influenceurs finances » (aussi appelés les « finfluenceurs »). Des internautes qui viennent chercher avant tout des outils en ligne comme les simulateurs, puis des vidéos pédagogiques et des témoignages d'investisseurs, selon le sondage. En tête des sites ou plateformes les plus cités par les sondés : Youtube, et son lot de chaînes consacrées à l'épargne et à l'investissement, consultées par près de la moitié des Français (47 %), et même chaque semaine par plus d'un quart des sondés. Viennent ensuite les réseaux du groupe Meta - Facebook, puis Whatsapp et Instagram - suivis des podcasts. En général, malgré son déclin ces dernières années, c'est pourtant Facebook qui supplante encore Youtube parmi les sources d'information générale, comme l'a confirmé récemment une vaste étude internationale du Reuters Institute sur le secteur des médias. Dans le cas des contenus dédiés à l'argent, la plateforme vidéo de Google reste cependant indétrônable. « Youtube se prête mieux que Facebook à du contenu poussé sur les sujets », souligne Clément Nouvet. La plateforme a « bénéficié de l'essor du format vidéo, et continue de s'adresser à des générations très différentes », poursuit-il. Le réseau social professionnel LinkedIn n'arrive qu'en 7e position, talonné par Tiktok, souvent considéré comme l'application préférée des ados. Contrairement à Youtube, la plateforme de vidéos d'origine chinoise ne touche quasiment que les plus jeunes : elle est citée par 82 % des sondés âgés de 18 à 24 ans, contre 13 % des 50-64 ans. Elle pâtit aussi de « son format court qui permet moins d'aller en profondeur sur les sujets que Youtube », note Clément Nouvet. · Des bons… et des mauvais conseils Au total, 15 % des sondés rapportent avoir déjà suivi un conseil financier obtenu en ligne - et environ la même proportion estime qu'ils pourraient le faire. Avec un écart frappant entre les générations : les trois-quarts des jeunes (18-24 ans) l'ont déjà ou estiment qu'ils pourraient le faire, contre seulement 13 % des seniors (plus de 65 ans). Mais le retour d'expérience est bien mitigé. Même si les jeunes affichent un taux de satisfaction supérieur à celui de leurs aînés, près de la moitié de ceux qui ont suivi un conseil estiment a posteriori que celui-ci était mauvais ! Le clivage se situe surtout entre les internautes qui se disent déjà informés sur les sujets financiers et les autres : les déçus sont surtout ceux qui jugent leur culture financière « faible ou inexistante », tandis que ceux qui la jugent « bonne ou excellente » sont globalement satisfaits des conseils qu'ils ont suivis. Ces disparités sont moins marquées selon le niveau de revenus. De quoi confirmer qu'il est essentiel d'avoir acquis une culture financière par ailleurs pour savoir distinguer les bons des mauvais conseils relayés en ligne… · L'écart hommes-femmes atténué sur les réseaux sociaux Plusieurs études ont montré qu'hommes et femmes ont des comportements d'épargne différents. En moyenne moins rémunérées, plus inquiètes des conséquences de leurs décisions financières, les femmes osent moins les placements risqués, voire ne se sentent pas légitimes pour investir et se cantonnent traditionnellement à la gestion du budget quotidien tandis que les hommes assument les grandes décisions d'investissement. « On retrouve cette répartition dans le sondage », s'étonne Clément Nouvet. Quelque 58 % hommes disent consulter les sites, blogs ou forums spécialisés sur l'épargne et l'investissement, soit 12 points de plus que les femmes. « Ce sont des sites qu'on consulte souvent lorsqu'on est dans une démarche d'investissement, par exemple ouvrir une assurance-vie », note le dirigeant de Nalo. L'écart entre les sexes s'atténue lorsqu'il s'agit de s'informer sur les réseaux sociaux, qui « relaient davantage de conseils sur la gestion de budget », poursuit-il : 65 % des hommes y consultent des contenus sur l'argent, soit seulement 4 points de plus que les femmes. Sur Facebook et Instagram, l'écart a même complètement disparu. Des contenus qui restent donc assez « genrés », mais qui pourraient représenter une porte d'entrée pour les femmes vers des contenus plus consacrés à l'investissement. · Une démocratisation de l'éducation financière De même, le sondage montre un net écart entre les CSP + et les CSP- lorsqu'il s'agit de consulter des sites, blogs ou forums spécialisés sur l'argent (respectivement 63 % et 49 %), tandis que les réseaux sociaux jouent un rôle de « démocratisation auprès des CSP- », commente Clément Nouvet. Le rapport est en effet inversé : 70 % des CSP- y consultent des contenus financiers, contre 68 % des CSP+. Facebook contribue le plus à diffuser l'éducation financière vers les CSP-. Le réseau social historique de Meta est cité par 55 % d'entre eux, soit 9 points de plus que les CSP +. Quid des moteurs de recherche en intelligence artificielle ? Le sondage ne les a pas inclus. « Nous les voyons davantage comme un concurrent de Google que des réseaux sociaux », justifie Clément Nouvet. Autrement dit, l'usage de l'IA par les internautes consiste aujourd'hui davantage à y chercher des renseignements précis sur un investissement, renvoyant vers des contenus spécialisés, qu'une source d'information générale et de conseil sur la gestion de son épargne.

Pluxee-T3 globalement conforme aux attentes et objectifs confirmés, le titre monte
Pluxee-T3 globalement conforme aux attentes et objectifs confirmés, le titre monte

Les Echos

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Pluxee-T3 globalement conforme aux attentes et objectifs confirmés, le titre monte

(Actualisé tout du long avec cours en Bourse, analystes, détails) 2 juillet (Reuters) - Pluxee a fait état jeudi de résultats globalement en ligne avec les attentes au troisième trimestre, tout en confirmant ses objectifs, une publication saluée comme positive par les analystes et qui a entraîné une nette hausse du titre à la Bourse de Paris. L'ancienne division d'avantages aux salariés de Sodexo enregistre un chiffre d'affaires opérationnel de 270 millions d'euros au troisième trimestre, en hausse de 11,1% sur un an mais légèrement en-dessous des attentes des analystes, qui tablaient en moyenne sur 271 millions d'euros, selon un consensus fourni par le groupe. Vers 07h45 GMT, l'action prend 8,30% à 20,74 euros. Citant une croissance tirée par les régions "Amérique Latine" et "Reste du monde", le groupe affiche sur ces marchés des chiffres d'affaires opérationnels en hausse de 13,6% et 11% sur le trimestre. Sur le marché "Europe continentale", le principal pour Pluxee, le chiffre d'affaires opérationnel augmente de 8,8% sur un an. "Dans l'ensemble, nous considérons le rapport d'aujourd'hui comme favorable, en particulier dans le contexte d'un cours de l'action relativement faible", écrivent les analystes de JPMorgan dans une note. Le chiffre d'affaires opérationnel de la principale activité de Pluxee - "Avantage aux salariés" - croît de 12,8%, tandis que l'activité "Autres produits et service" affiche une légère hausse de 0,5%. Pour l'exercice en cours, Pluxee confirme ses perspectives, dont une augmentation de la marge d'Ebitda récurrent de 150 points de base. "Sur la base des très bonnes performances des neufs premiers mois, et tout en demeurant vigilants face aux tendances macroéconomiques, nous restons confiants dans notre capacité à atteindre nos ambitions sur l'année", a déclaré Aurélien Sonet, directeur général de Pluxee, dans un communiqué. Les analystes de Stifel considèrent eux aussi les prévisions 2025 comme "réalisables", compte tenu de la performance du groupe au cours des trois premiers trimestres. Le groupe confirme également ses objectifs pour 2026, à savoir une augmentation de la marge d'Ebitda récurrent de +75 points de base et un taux de conversion de trésorerie récurrente supérieur à 75% en moyenne. Pluxee a par ailleurs annoncé l'acquisition au cours du troisième trimestre de la société roumaine MyBenefits, une opération qui devrait, selon le groupe, contribuer positivement à la marge d'Ebitda récurrent à partir de l'exercice 2026. Le chiffre d'affaires total de Pluxee s'établit à 310 millions d'euros sur le troisième trimestre, alors que les analystes s'attendaient à 309 millions d'euros.

Levée des restrictions aux exportations de logiciels pour puces vers la Chine, les développeurs grimpent
Levée des restrictions aux exportations de logiciels pour puces vers la Chine, les développeurs grimpent

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time2 hours ago

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Levée des restrictions aux exportations de logiciels pour puces vers la Chine, les développeurs grimpent

3 juillet (Reuters) - Synopsys et Cadence Design Systems progressent jeudi dans les échanges en avant-Bourse à New York après que les États-Unis ont levé les restrictions à l'exportation de logiciels destinés aux fabricants de semi-conducteurs vers la Chine, un signe supplémentaire d'une désescalade des tensions commerciales entre Washington et Pékin. Les deux sociétés américaines, ainsi que le groupe allemand Siemens, ont annoncé la reprise de l'accès à leurs outils d'automatisation de la conception électronique (EDA) pour les clients chinois. Synopsys et Cadence avancent de 5,9% et de 5,4% en avant-Bourse respectivement. La hausse de Siemens est toutefois plus limitée, l'action gagnant environ 1% vers 09h54 GMT à la Bourse de Francfort. Ces trois entreprises contrôlent ensemble plus de 70% du marché chinois d'EDA, selon un rapport publié en avril par l'agence de presse officielle Chine nouvelle. Les logiciels EDA sont essentiels à la conception des semi-conducteurs utilisés dans les smartphones, les voitures et les appareils informatiques. "Cela marque un net réchauffement des relations et un petit cessez-le-feu dans la guerre des semi-conducteurs", a déclaré Susannah Streeter, analyste chez Hargreaves Lansdown, tout en précisant que rien n'indiquait que les contrôles imposés pour des raisons de sécurité nationale seraient assouplis pour des entreprises telles que Nvidia et ASML. Le Département du Commerce des États-Unis a également décidé de retirer l'obligation d'obtenir une licence pour les exportations d'éthane vers la Chine, une condition qui avait été imposée au début de l'année. Ces deux mesures faisaient partie d'une série de restrictions commerciales initiées par l'administration du président Donald Trump à la suite de la suspension par la Chine des exportations de terres rares, en avril dernier, dans le cadre des représailles contre les droits de douane imposés par Washington. Les tensions entre les deux pays se sont calmées après qu'ils sont parvenus en juin dernier à un accord sur une accélération des exportations d'un large éventail de minéraux et d'aimants critiques, sur lesquelles Pékin exerce un quasi-monopole.

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