Dernières actualités avec #F1


Le Figaro
2 days ago
- Entertainment
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Des escrocs surfent sur le succès mondial de «F1 : le film» avec Brad Pitt pour piéger les internautes
Une campagne propose de visionner le film gratuitement et parvient ensuite à subtiliser les données bancaires des victimes. Une autre arnaque capitalise sur un partenariat entre Apple et McDonald's pour piéger les fans du monde entier. Si vous êtes fan de Formule 1 ou simplement intéressé par «F1 : le film» avec Brad Pitt en acteur principal, gare aux arnaques qui pullulent sur les réseaux sociaux. Sorti le 25 juin dernier, le long-métrage a déjà dépassé le million d'entrées au box-office français selon Allociné et suscite un fort engouement à travers le monde entier. L'entreprise spécialisée en cybersécurité, Kaspersky, a identifié deux types d'arnaques qui se multiplient sur les réseaux sociaux. À découvrir PODCAST - Écoutez le dernier épisode de notre série Questions Tech L'une des premières escroqueries vise à diffuser de faux liens de streaming gratuit. Concrètement, un internaute est attiré avec un soi-disant un «abonnement gratuit» qui va lui permettre de visionner le film en ligne sans débourser un euro. Une fois que les internautes ont cliqué sur ce lien ils se retrouvent sur un faux site web au design sombre et soigné qui met en avant une large fenêtre de lecture avec une photo de Brad Pitt issue de la campagne promotionnelle officielle. Ils doivent ensuite se créer un compte pour accéder au contenu et lors de l'inscription, les escrocs demandent d'enregistrer une carte bancaire, qu'ils utilisent ensuite pour vider le compte associé. «Le film, bien sûr, ne sera jamais accessible», insiste le communiqué de Kaspersky. Le site frauduleux qui propose de regarder «gratuitement» «F1 : le film» avec une photo de Brad Pitt tirée de la campagne officielle. Kaspersky Publicité «Pour votre sécurité, vérifiez toujours attentivement l'adresse du site web : les escrocs emploient fréquemment des noms très similaires aux noms légitimes pour abuser les victimes. Il est préférable de saisir directement l'adresse du site web dans la barre de recherche de votre navigateur plutôt que de cliquer sur des liens douteux. Méfiez-vous également des offres qui semblent trop belles pour être vraies : il s'agit souvent d'escroqueries. Lorsque vous payez en ligne, il est également conseillé d'utiliser des cartes virtuelles avec des limites de dépenses», conseille Olga Altukhova, experte en sécurité dans l'entreprise russe. «L'escroquerie est assez bien conçue» Une autre arnaque vise, elle aussi, à subtiliser les données bancaires des victimes. Encore plus maligne, elle exploite un partenariat signé entre Apple (qui produit le film) et la chaîne de restauration rapide McDonald's. Dans certains pays d'Amérique latine, une opération promotionnelle existe bel et bien et permet aux fans d'obtenir des mini-voitures de course exclusives en achetant un menu à thème. Les cybercriminels ont ainsi lancé un faux site web qui propose des figurines gratuites en échange de réponses à un quiz sur le film. Une fois ce quiz terminé, les utilisateurs sont invités à régler les frais de livraison, moment où les pirates subtilisent les données bancaires et personnelles. Ces données peuvent ensuite «être utilisées dans des attaques d'ingénierie sociale ou vendues sur le dark web», souligne le communiqué. Si Kaspersky n'a, pour l'heure, identifié qu'un site portugais, l'entreprise s'attend à ce que l'arnaque soit étendue à d'autres pays. «La page de l'escroquerie est assez bien conçue : le quiz comporte plusieurs questions liées au thème du film, avec des choix de réponses plausibles qui renforcent la crédibilité de l'escroquerie. Par exemple, on demande qui joue le rôle principal, où ont été tournées les scènes avec de vraies voitures, ou quels sont les coureurs célèbres qui ont été consultés pour la production. Toutefois, le quiz frauduleux offre un nombre illimité de tentatives. Les victimes potentielles accèdent à la page des prix, qu'elles connaissent les bonnes réponses ou non», précise Olga Altukhova. Le site portugais qui propose de recevoir «gratuitement» les voitures de course conçues dans le cadre du partenariat entre Apple et McDonald's. Kaspersky Pour éviter ce genre d'escroqueries, l'entreprise conseille de toujours vérifier l'authenticité du site web, son URL ainsi que les avis des clients avant d'effectuer des achats en ligne. «Méfiez-vous également des offres non sollicitées» car les escrocs utilisent souvent des publicités ou des mails de phishing pour diriger les internautes vers des sites frauduleux. Les informations sensibles, comme les données bancaires, doivent enfin n'être partagées que sur des plateformes sécurisées et vérifiées.


L'Équipe
3 days ago
- Sport
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Isack Hadjar va défier Sébastien Loeb lors d'un festival à Magny-Cours
Le samedi 13 septembre, dans le cadre d'un festival de sports mécaniques organisé par leur sponsor commun Red Bull, Isack Hadjar et Sébastien Loeb se mesureront en piste. L'un au volant d'une F1, l'autre à bord de la voiture avec laquelle il s'est imposé à Pikes Peak en 2013. Isack Hadjar « a hâte d'y être ». où ça ? À Magny-Cours, la piste qui accueillit le GP de France de F1 de 1992 à 2008 et que le pilote Racing Bulls connaît pour y avoir roulé dans le cadre du Championnat de France F4. Quand ça ? Le samedi 13 septembre, entre les GP de Monza (le 7) et de Bakou (le 21). Pour faire quoi ? Pour participer au « Red Bull Motormania », festival dédié aux sports mécaniques et aux pilotes soutenus par la firme autrichienne. Au menu : des parades, des shows en tout genre (drift, moto freestyle, Stunt, voltige aérienne) et des rencontres avec Hadjar, Loeb, Despres, Alphand ou encore Buemi. « Malheureusement pour lui (Loeb), je serai au volant d'une F1 donc je devrais le battre » Isack Hadjar Hadjar pilotera une Red Bull RB7 de 2011. « J'ai hâte de rouler avec une voiture championne du monde », salive déjà le rookie 2025, impatient de partager ce moment avec le nonuple champion du monde WRC Sébastien Loeb, « le meilleur pilote toutes catégories confondues », selon lui. « Malheureusement pour lui, je serai au volant d'une F1 donc je devrais le battre », s'amusait le Parisien ce jeudi lors d'une conférence de presse pour présenter cet évènement et durant laquelle il n'était pas permis de l'interroger sur la chaude actualité Red Bull avec le limogeage de Christian Horner et son remplacement par Laurent Mekiès, jusque-là patron du Français chez Racing Bulls. Loeb sera lui au volant de la Peugeot 208 T16 Pikes Peak (875 chevaux, 875 kilos) avec laquelle il avait battu en 2013 le record de la célèbre course de côte américaine, avant de voir sa marque effacée par Romain Dumas. Grand fan de MotoGP, Hadjar rêve de profiter de ce festival pour être « passager de Dani Pedrosa sur la moto », une KTM de MotoGP en l'occurrence. « Ça doit être terrifiant », anticipe le Français, qui a déjà testé la voltige aérienne en avion et en hélicoptère grâce à son employeur autrichien et les ''Flying Bulls''. Le paddock de Magny-Cours sera entièrement ouvert au public pour l'occasion.


L'Équipe
3 days ago
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« C'est avec le coeur lourd que je dis aujourd'hui au revoir à l'équipe que j'ai aimée d'un amour absolu » : l'émotion de Christian Horner après son départ de Red Bull
Christian Horner, désormais ex Team Principal de Red Bull, a publié un message mercredi soir sur son compte Instagram pour raconter ses vingt ans à la tête de l'écurie autrichienne. Quelques heures après l'annonce de son éviction de Red Bull, vingt ans après avoir pris les commandes de l'écurie, Christian Horner a publié un message sur son compte Instagram mercredi soir. Le Britannique, qui a été remplacé par Laurent Mekies, qui occupait la même fonction de Team Principal chez Racing Bulls, raconte en quelques mots les deux décennies passées dans l'écurie autrichienne, à qui il a dit au revoir dans la matinée, à Milton Keynes. « Après un incroyable voyage de vingt ans ensemble, c'est avec le coeur lourd que je dis aujourd'hui au revoir à l'équipe que j'ai aimée d'un amour absolu. Chacun d'entre vous, ces magnifiques personnes à l'usine, vous avez été le coeur et l'âme de tout ce que nous avons accompli. Victoire ou défaite, à chaque étape de cette aventure, nous sommes restés unis et je n'oublierai jamais ça. Ce fut un privilège de faire partie de cette équipe, de la mener, et je suis très fier de tout ce que nous avons accompli, et de vous. Une publication partagée par Christian Horner (@christianhorner) Merci à nos incroyables partenaires et fans qui nous ont permis de prendre part à ce Championnat. Votre soutien a permis à l'équipe de grandir, depuis nos humbles débuts jusqu'à la domination qui nous a menés à six titres des constructeurs et huit chez les pilotes. Merci également à nos rivaux, sans qui il n'y aurait pas eu du tout de compétition. Vous nous avez poussés, vous nous avez défiés et vous nous avez permis d'accomplir des choses que nous n'aurions jamais cru possible. La compétition a rendu chaque victoire plus douce et a transformé chaque revers en opportunité de faire mieux. « Les rivalités ont été féroces mais notre envie commune d'innover et d'aller toujours plus haut a rendu ce voyage très spécial » Christian Horner La F1 est un sport basé sur l'ambition, la passion et le respect. Les rivalités ont été féroces mais notre envie commune d'innover et d'aller toujours plus haut a rendu ce voyage très spécial. Ce fut un honneur de faire partie de cette ère incroyable de l'histoire du sport automobile. Je pars avec une fierté immense et beaucoup de respect pour tous ceux qui ont permis à la F1 devenir ce qu'elle est aujourd'hui, le pinacle du sport automobile. Merci. »

L'Équipe
4 days ago
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De la toute-puissance à un remerciement sans ménagement, une fin brutale pour Christian Horner après vingt ans chez Red Bull
Mercredi matin, à la surprise générale, un simple communiqué a mis fin à vingt ans de vie commune. Pour la première fois de son histoire, Red Bull n'est plus dirigée par Christian Horner, remercié, et remplacé par le Français Laurent Mekies. La loi du talion reste toujours valable. Et cette fois, c'est Christian Horner qui en a subi les douloureuses conséquences. Lui qui faisait et brisait les carrières au coeur de l'été vient de voir la sienne subir un sacré coup d'arrêt, avant même la trêve estivale. Lui qui surprenait souvent les pilotes, leur promettant la clémence pour mieux les exécuter, a reçu un sévère choc, apprenant peu après son Grand Prix national qu'il n'en connaîtrait plus d'autres... avec Red Bull. Horner (51 ans), celui qui a fait débuter Red Bull en F1 en 2005 et qui l'a menée au sommet, avec huit titres pilotes et six constructeurs, ne fait donc plus partie de l'entreprise. Il l'a annoncé lui-même à ses troupes au coeur de l'énorme usine qu'il a contribué à créer dans la banlieue de Milton Keynes, entre Oxford et Cambridge. Quelques minutes plus tard, une information venant de la petite soeur, Racing Bulls, annonçait la nomination de leur ancien boss, Laurent Mekies, à la tête de l'équipe autrichienne. Un communiqué de Red Bull arrivé en fin de journée venait ajouter que le Français occuperait également les fonctions de PDG. Pour en savoir plus, il a fallu quémander quelques explications à la direction de l'entreprise Red Bull. C'est par l'un des porte-paroles du fabricant de boissons énergisantes que l'on a obtenu quelques mots fugaces d'Oliver Mintzlaff, l'homme qui a succédé à l'historique fondateur Dietrich Mateschitz, disparu en 2022. « Nous tenons à remercier Christian pour tout le travail fourni inlassablement pendant vingt ans. Vous ferez toujours partie de notre histoire. » Horner, qui avait réussi à survivre à la tempête de l'an dernier, au lendemain de l'enquête pour comportement inapproprié à l'égard de l'une de ses assistantes, et à la guerre que lui menait le père de son champion de pilote, Jos Verstappen, vient donc de tomber sans que l'on sache vraiment pourquoi. Max Verstappen n'a pas précipité sa chute Est-ce lié aux rumeurs de plus en plus puissantes à propos d'un possible départ de Max Verstappen pour Mercedes ? Une tentative désespérée pour empêcher le Néerlandais de partir ? Les résultats, de plus en plus décevants, qui placent Red Bull en quatrième position au Championnat constructeurs ? Les choix plus que discutables de se séparer de Sergio Pérez cet hiver et de ne pas lui trouver un remplaçant ? Son comportement quelque peu autocratique ? Difficile de répondre aujourd'hui à ces questions avec précision, mais sans doute un peu de tout. Une chose est sûre : le champion néerlandais n'a pas demandé la tête de son boss. Il n'aurait, selon nos informations, pas encore décidé de son avenir. D'abord parce que la clause qui lui permettrait de partir (s'il est en dessous de 3e au classement pilotes lors de la trêve estivale) ne peut encore être activée. Ensuite parce que les décisionnaires, les dirigeants du groupe, ne sont pas réputés pour laisser filtrer d'infos. On sait toutefois que la direction est venue il y a dix jours au Red Bull Ring assister à la débâcle de son équipe (aucun point marqué). Même le copropriétaire thaïlandais, Chalerm Yoovidhya, pourtant grand soutien de Horner, avait fait le déplacement et a manifestement été convaincu. Vraisemblablement, c'est en Autriche que la décision de se séparer d'Horner a été prise, même si l'annonce définitive n'est arrivée qu'après la course en Angleterre, sans doute lundi ou mardi. Le Britannique, comme chaque année depuis son arrivée en F1, aurait organisé son barbecue annuel avec ses troupes au soir de la course, dimanche. Les fuites, de plus en plus nombreuses, sur la possibilité que Mercedes viennent recruter Verstappen, seul à permettre l'équipe de surnager en ce début d'année, ont sans doute accéléré la prise de décision, d'autant que selon la Gazzetta dello Sport, le grand patron de Mercedes, Ola Källenius, aurait donné son accord pour un chèque astronomique (on parlerait d'une centaine de millions de dollars, soit environ 85 millions d'euros) afin de s'offrir le champion néerlandais de 27 ans. Un futur chez Alpine ? La coordination des nouvelles donnerait du sens à l'action surprise, à moins que les patrons de Red Bull aient été fatigués de cette lente descente aux enfers de l'écurie, privée depuis dix-huit mois de deux autres de ses éléments clés, Adrian Newey, parti chez Aston Martin, et Jonathan Wheatley, devenu boss de Kick Sauber. Reste le futur de Horner, que certains verraient à tort chez Ferrari. La marque italienne n'a jamais songé à le recruter. Il serait plus probable que le désormais ex-boss de Red Bull rejoigne une autre équipe anglaise en mal de chef ou de propriétaire. Le rêve d'Horner était de devenir son propre boss. Alpine, en déliquescence, pourrait lui offrir une porte de sortie... plus tard. Une fois que la surprise aura été digérée. À lire aussi Le carnet de notes de Silverstone Verstappen, le tour de magie à Silverstone Gasly : «On avait besoin de ce coup de boost» Piastri, une erreur en forme de cadeau à Norris


L'Équipe
4 days ago
- Sport
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Podcast « Undercut » - Pierre Gasly : seule éclaircie dans la tempête Alpine ?
Auteur de son meilleur résultat de la saison à Silverstone (6e), Pierre Gasly s'offre une bouffée d'air frais dans un environnement compliqué chez Alpine. Entre énième remaniement de l'organigramme avec un Flavio Briatore tout puissant, pression sur les épaules des jeunes pilotes, séparation en fin de saison avec Renault, Alpine se classe à la dernière place du Championnat du monde constructeurs. « Undercut » décrypte la situation chez l'écurie française.