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L'Équipe
10-07-2025
- Sport
- L'Équipe
« Mes potes en avaient marre de mes célébrations différentes » : Viktor Gyökeres explique les secrets de sa célébration
Dans un entretien accordé à « France Football » et à paraître samedi 12 juillet, Viktor Gyökeres est revenu sur l'origine de sa célébration devenue iconique. L'attaquant suédois, meilleur buteur d'Europe sur la saison, aime garder le mystère sur la signification de ce geste qui a fait le tour du monde. Le phénomène Viktor Gyökeres, c'est 109 buts en deux saisons entre le Sporting Portugal et la Suède mais aussi et surtout une certaine célébration. Après chaque but, l'attaquant, ultra-prolifique cette saison avec 62 réalisations inscrites toutes compétitions confondues, croise ses dix doigts et les place devant la bouche. Ce geste a fait le tour du monde, sur tous les terrains de sport. Même en NBA, Giannis Antetokounmpo, la star des Milwaukee Bucks, l'a reproduit en plein match. Dans un long entretien accordé à France Football, le Suédois dévoile la genèse de ce geste iconique. « Je pense que c'était pendant la Coupe du monde 2022. La Suède n'était pas qualifiée, donc j'étais en vacances, contextualise-t-il. Je faisais beaucoup de célébrations différentes à l'époque et mes potes en avaient marre de me voir faire toutes sortes de gestes pour fêter mes buts. » Quant à sa signification, le joueur de 26 ans aime garder le mystère. Sur Instagram, il avait sous-entendu qu'elle viendrait de Bane, l'antagoniste masqué de Batman, en reprenant sa réplique : « Personne ne s'en souciait jusqu'à ce que je mette le masque. » Mais lorsqu'on lui demande, Gyökeres reste évasif : « Oui, peut-être », répond laconiquement l'attaquant suédois. Un mystère qui participe aussi à la légende de ce geste déjà culte.


L'Équipe
03-07-2025
- Sport
- L'Équipe
Podcast « Big 5 » - Plus outsiders que jamais, peut-on encore croire aux Bleues ?
L'équipe de France arrive en Suisse pour l'Euro, dans une poule compliquée composée notamment de l'Angleterre et des Pays-Bas, les deux derniers vainqueurs de la compétition. Sans Wendie Renard, Kenza Dali ou encore Eugénie Le Sommer, les Bleues, emmenées par Laurent Bonadei, n'ont jamais été aussi outsiders au début d'une compétition depuis longtemps. Un mal pour un bien, pour une équipe en quête de son premier trophée majeur ?