Dernières actualités avec #Hollywood


Le Parisien
8 hours ago
- Le Parisien
Design rétro, robots-serveurs et burger sauce « électrique » : Tesla ouvre son premier restaurant
Le voile est tombé, le mystère est levé et des robots font bien le service ! Le premier restaurant de Tesla a ouvert lundi 21 juillet, sur le Santa Monica Boulevard, à Los Angeles. Un nouveau concept qu' Elon Musk , à la tête du constructeur automobile, envisage de développer dans le monde entier. Les plus fervents passionnés ont fait la queue plusieurs heures. « J'espère que le robot sera là. J'ai vraiment envie de tester les toilettes, parce qu'on en a vu de super photos, s'impatientait le YouTubeur Everyday Chris, spécialiste de Tesla, interrogé par NBC News . Le sandwich au poulet et les gaufres sont censés être bons, tout comme les frites. » Dans la file d'attente, les aficionados du constructeur automobile avaient des étoiles dans les yeux. « J'aime ce restaurant rétro. L'assemblage de tout cela est vraiment unique », s'émerveille Vera, qui a spécialement parcouru 130 km avec son mari et sa fille, dans l'un des quatre (!) véhicules Tesla qu'ils possèdent. Les portes du tout premier « Tesla Diner » ont ouvert à 16h20, une référence au cannabis régulièrement utilisée par Elon Musk — il s'agirait du moment le plus propice dans une journée pour fumer un joint, sans qu'on sache en déterminer précisément l'origine. Ce restaurant niché dans un quartier d'Hollywood, à Los Angeles, semble tout droit sorti d'une scène de « Star Wars ». Il a des faux airs de soucoupe volante, surmontée d'une terrasse sur le toit. À l'extérieur comme à l'intérieur du restaurant, les formes circulaires prédominent : portes, vitres, canapés, etc. La décoration est épurée, le style minimaliste. Un élément rappelle où l'on met les pieds : 80 bornes de recharge Tesla sont disposées sur le parking, les fameux V4 Superchargeurs . « Business is business » : pendant que la batterie de la voiture électrique se recharge, l'automobiliste n'a qu'à se rendre au restaurant — s'il ne veut pas manger dans sa voiture. « Je suis prête à dire Elon, j'ai besoin d'une recharge ici. Je suis en train de mourir. Je dois être la première à charger », s'amusait Tracy, une retraitée, auprès de NBC, avant l'ouverture. Ouvert 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, le restaurant propose l'option drive-in, une livraison à la vitre du conducteur. Autour du bâtiment, deux écrans géants diffusent un épisode des « Jetsons », ce dessin animé américain des années 1960 qui dépeint la vie au XXIe siècle avec des voitures volantes et un robot ménager. À l'intérieur, dans une atmosphère rétro-futuriste à la gloire de Tesla, plus de 250 places assises sont disposées. Côté cuisine, le menu créé par le chef Éric Greenspan est un véritable hommage à la gastronomie américaine : burgers, hot-dogs, gaufres, poulet frit… Le « Tesla burger », ses frites et sa sauce « électrique » sont servis dans des boîtes en carton à l'effigie des Cybertrucks. Le prix des plats varie entre 9 et 15 dollars. Dans un coin de la salle, un robot humanoïde Optimus distribue des pop-corn pour le plus grand plaisir des enfants. Même les toilettes donnent l'impression d'un voyage dans l'espace, le plafond étant peint sur le thème des vaisseaux spatiaux. L'établissement accueille aussi une boutique de produits dérivés où sont vendus tee-shirts, casquettes et autres figurines. Selon le New York Times , une nouvelle technologie devrait être mise en place dans l'établissement : la géolocalisation des clients à proximité du restaurant pour déclencher la préparation de leur commande. Elon Musk rêvait d'ouvrir ce restaurant rétro-futuriste, mêlant esthétique des diners américains des décennies d'après-Seconde Guerre mondiale et technologies du XXIe siècle. « Je vais lancer un drive-in à l'ancienne, avec des rollers et un restaurant rock dans l'un des nouveaux emplacements des super-chargeurs à Los Angeles », avait-il prévenu en 2018. Lundi dernier, le magnat des technologies a pu tester son propre produit. Il semble en être plus que satisfait : « Je viens de dîner au restaurant rétro-futuriste Tesla diner and supercharger . L'équipe a réalisé un très bon travail, créant l'un des lieux les plus cool de LA ! » Ce restaurant incarne les passions de l'ancien proche de Donald Trump, dont il s'est depuis éloigné . Avec ce concept novateur, il pourrait chercher à reconquérir une partie de l'opinion publique américaine, ébranlée par ses larges coupes budgétaires . Musk a d'ores et déjà annoncé sa volonté d'implanter ses restaurants dans le monde entier.


Le Parisien
9 hours ago
- Entertainment
- Le Parisien
« Les Quatre Fantastiques : Premiers pas » : des superhéros toujours à la peine
Cette nouvelle tentative, portée par deux stars hollywoodiennes en plein boom ( Pedro Pascal et Vanessa Kirby), sera-t-elle la bonne ? Ça fait longtemps que Marvel rêve de faire briller au cinéma « Les Quatre Fantastiques », créé en BD en 1961 par Stan Lee (scénario) et Jack Kirby (dessin). Et de faire oublier les échecs des versions précédentes sur grand écran. Car si le quatuor figure parmi les vétérans des personnages Marvel (ils sont nés un an avant Spider-Man, Hulk et Thor, deux ans avant les X-Men et Iron Man), ils n'avaient été jusqu'à présent pas vraiment gâtés par le 7e Art. Un premier opus, réalisé en 1994, n'est carrément jamais sorti en salles. Trop mauvais, avaient jugé les producteurs de l'époque, même si la rumeur raconte que le long-métrage, tourné avec un budget riquiqui, n'aurait vu le jour que pour permettre de garder les droits des personnages. Deuxième tentative en 2005, avec Jessica Alba et Chris Evans, la Torche, qui reviendra dans l'univers Marvel sous l'uniforme de Captain America. Un essai démoli par la critique, mais qui rapportera suffisamment d'argent pour qu'une suite sorte deux ans plus tard, « Les Quatre Fantastiques et le Surfer d'argent », encore moins bon, et qui interrompt la saga provisoirement. Une remise à zéro est cependant tentée dès 2015, avec Michael B. Jordan et Kate Mara, et fait un bide, récoltant au passage 3 Razzies (les anti-Oscars), dont celui de « pire film ». Il fallait donc un certain courage pour repartir au charbon. Cette version 4.0 rebat totalement les cartes. Dans cette Terre alternative des années 1960, les Quatre Fantastiques sont des idoles absolues. Après un voyage dans l'espace où ils ont été saturés de rayons cosmiques, Reed Richards, sa femme Susan, son beau-frère Johnny et son meilleur ami Ben, ont vu leur ADN modifié, et chacun a acquis des super-pouvoirs. Reed, le plus intelligent du quatuor, peut s'allonger comme un élastique, Susan se rendre invisible, Johnny se transforme en torche humaine volante, et Ben est devenu la Chose, homme rocheux doté d'une force colossale. Alors que Susan vient de tomber enceinte, le danger arrive de l'espace : la Surfeuse d'argent, une extraterrestre, annonce que Galactus, une créature qui se nourrit en détruisant des planètes, a jeté son dévolu sur la Terre. Les Quatre Fantastiques vont devoir défendre leur monde… Des stars à l'affiche, une introduction rapide des protagonistes qui évite de reprendre, malgré les « Premiers pas » du titre, l'histoire à ses tout débuts, un univers rétro-futuriste années 1960 bien rendu, un Surfer d'argent féminisé, des effets spéciaux qui se tiennent… Autant d'atouts pour un film rythmé et grand public, qui laisse malgré tout le spectateur sur sa faim. Car les années 1960, pourquoi pas, mais à part montrer de jolis chapeaux et reconstituer les émissions de télé de l'époque, le réalisateur ne se sert pas vraiment du concept. En revanche, il use, il abuse - et nous du coup, on refuse -, ce panégyrique incessant et surchargé de guimauve de la famille et des valeurs familiales, servi jusqu'à la nausée. La séquence post-générique d'usage affiche un court instant d'ambiance un peu plus sombre. Une piste à suivre pour l'avenir ?


Le Figaro
12 hours ago
- Le Figaro
Design rétro-futuriste, robots servant du pop-corn... À quoi ressemble le premier restaurant Tesla à Hollywood ?
Annoncé en 2018 par Elon Musk, un «Tesla Diner» a ouvert ses portes lundi 21 juillet à Los Angeles. Un établissement qui ressemble à «une énorme publicité pour tout ce qui concerne Tesla», rapporte la presse américaine. Tesla se diversifie et s'attaque à... la restauration. Le constructeur de véhicules électriques d'Elon Musk a ouvert lundi à Los Angeles (Californie), dans le quartier d'Hollywood, son tout premier «Tesla Diner». Un drive-in à l'américaine, mais au design rétro-futuriste, tout droit sorti d'un film Star Wars ou de la série Fallout. Avec sa structure en acier inoxydable de deux étages et sa terrasse panoramique sur le toit, l'établissement a même des airs de soucoupe volante. Un élément rappelle où l'on met les pieds : le parking du restaurant est doté de 80 bornes de recharge Tesla, les fameux «superchargeurs », ouvertes aux propriétaires de la marque mais aussi à tous les autres véhicules compatibles. De quoi en faire «la plus grande station Superchargeur urbaine au monde», affirme Tesla. Publicité Côté cuisine, le menu - créé par le chef Eric Greenspan - propose de la gastronomie américaine classique : burgers, hot-dogs, poulet frit, gaufres... On retrouve notamment à la carte un «Tesla Burger», à la «sauce électrique». Les prix des plats varient entre 9 et 15 dollars. Si le restaurant, ouvert 24 heures sur 24 et sept jours sur sept, propose l'option drive-in, c'est-à-dire la livraison à la vitre du conducteur, l'établissement contient également plus de 250 places assises, dans un décor épuré et minimaliste, truffé de références à l'univers de Tesla. Contenants en forme de Cybertruck et écrans géants Les contenants alimentaires sont en forme de Cybertruck, le pick-up électrique XXL de Tesla. Des vidéos partagées sur les réseaux sociaux montrent un robot humanoïde Optimus servir du pop-corn. Les toilettes imitent l'intérieur d'un vaisseau spatial, avec un plafond en forme de fenêtre avec vue sur la Terre. L'établissement accueille même une boutique de produits dérivés exclusifs de Tesla (figurines, t-shirts, bonbons, casquette...). Autour du bâtiment, deux immenses écrans géants LED de 20 mètres doivent permettre de regarder des films tout en rechargeant son véhicule. «En gros, on dirait une énorme publicité pour tout ce qui concerne Tesla», résume le média américain spécialisé dans la tech The Verge. Elon Musk a abondamment fait la promotion de l'établissement sur X ces derniers jours. «Je viens de dîner au restaurant rétro-futuriste Tesla Diner and Supercharger. L'équipe a fait un excellent travail pour en faire l'un des endroits les plus cool de Los Angeles !», s'est-il félicité sur son réseau social X. Il faut dire qu'il s'agit d'un projet de longue date du milliardaire, ex-proche de Donald Trump, mais qui a pris du retard. En 2018, il avait annoncé vouloir «lancer un drive-in à l'ancienne, avec des rollers et du rock, dans l'un des nouveaux emplacements de Superchargeurs Tesla à Los Angeles». En 2023, il avait même annoncé son ouverture «dans l'année». Ce restaurant Tesla pourrait bien être le premier d'une longue série. Sur X, Elon Musk a déclaré que s'il rencontrait le succès, son entreprise en implanterait «dans les grandes villes du monde entier, ainsi que sur les sites de Superchargeurs sur les lignes longue distance». Le magazine économique américain Forbes parle même d'«un prototype d'une nouvelle génération de bornes de recharge Tesla haut de gamme». Ce lancement tombe en cas assez bien pour Elon Musk, qui espère peut-être grâce à cela faire oublier ses déboires récents, entre sa brouille avec Donald Trump, les polémiques liées aux propos de son assistant IA Grok ou encore la mauvaise passe traversée par Tesla.


Le Parisien
17 hours ago
- Entertainment
- Le Parisien
« Accusations à Hollywood » sur HBO Max : que contient le documentaire sur l'affaire Blake Lively-Justin Baldoni ?
Disponible à partir de ce mardi 22 juillet sur la plate-forme de streaming HBO Max, « Blake Lively vs Justin Baldoni : Accusations à Hollywood » propose pendant 52 minutes de revenir en détail sur l'une des affaires les plus sulfureuses de l'industrie du cinéma en 2024. À travers des archives inédites et des témoignages exclusifs, ce programme lève le voile sur le conflit explosif entre les deux têtes d'affiche de l'adaptation best-seller de Colleen Hoover « Jamais plus », Blake Lively et Justin Baldoni. À sa sortie, le film a rencontré un succès commercial fulgurant, porté par une campagne marketing calibrée à la « Barbie » , avec un univers floral tout en couleur. Pourtant, derrière cette façade se cachait une réalité plus sombre. Très vite, le long-métrage a été accusé par de nombreux internautes de « romantiser », voire d'invisibiliser la thématique (centrale) du film, celle des violences conjugales, sous couvert d'un amour passionnel. Décembre 2024, l'affaire éclate lorsque Blake Lively dépose plainte et accuse Justin Baldoni d'avoir proféré des « commentaires déplacés à caractère sexuel » pendant le tournage de « Jamais plus ». Si l'actrice affirme avoir été « réduite au silence » et manipulée, de son côté Justin Baldoni rejette les accusations, les qualifiant de tentative opportuniste visant à « capter l'attention médiatique au moment où le film est au sommet du box-office ». Le documentaire de HBO Max se distingue par sa volonté d'explorer les deux versions du conflit. Il donne la parole aux proches, aux membres de l'équipe du film et à plusieurs experts juridiques. Parmi les séquences les plus marquantes : la diffusion de documents officiels liés à l'enquête, et le témoignage d'une ancienne doublure de Blake Lively sur un autre tournage en 2016, qui décrit une actrice « exigeante mais profondément bienveillante ». Dans le documentaire, Blake Lively est dépeinte par certains comme une figure de pouvoir excessif sur le plateau, d'autres la décrivent comme une mère de famille essayant de concilier tournage et maternité dans un climat toxique. Le documentaire laisse planer le doute : comportement de diva ou simple quête de respect dans un environnement toxique ? La figure de Justin Baldoni , elle, se fissure au fil du récit. D'anciens collaborateurs évoquent une personnalité « à double visage » : d'un côté, un réalisateur engagé dans la représentation positive des femmes à l'écran. De l'autre, un homme obsédé et parfois déroutant dans ses prises de position sexuelles. Une ancienne stagiaire de production l'accuse même d'avoir alimenté des campagnes de cyberharcèlement contre Lively via de faux comptes anonymes. Les parallèles avec l'affaire Johnny Depp – Amber Heard sont inévitables : guerre d'image, accusations croisées, réseaux sociaux déchaînés… Le documentaire n'épargne aucune zone d'ombre. Alors que les fans des deux acteurs se déchirent toujours les réseaux, le procès final est attendu en mars 2026. Pour patienter, « Accusation à Hollywood » offre une plongée passionnante dans les coulisses d'un drame de l'industrie cinématographique.


Le Figaro
18 hours ago
- Entertainment
- Le Figaro
Avatar 3 dévoile son affiche, la bande-annonce projetée avant Les Quatre Fantastiques
Le troisième volet de la saga de James Cameron diffusera ses premières images avant la projection du film de super-héros de Matt Shakman, attendu dans les salles américaines, le 25 juillet. La promotion d'Avatar 3 se profile lentement mais sûrement. Lundi 21 juillet, la production a enfin dévoilé sur les réseaux sociaux l'affiche du troisième volet, intitulé Fire and Ash (en français : Feu et Cendres). On y découvre un visage, qui semble être très probablement celui de Neytiri, l'héroïne de la saga (incarnée par Zoe Saldaña). Le personnage, à l'œil incandescent, prend un air déterminé. De la fumée et des éclats de braise l'entourent, ce qui semble indiquer que le troisième épisode laissera la part belle aux scènes de combats. À découvrir TV ce soir : retrouver notre sélection du jour Surtout, l'affiche est accompagnée d'un court texte qui révèle que la bande-annonce sera diffusée dans les salles obscures, dès le 25 juillet : « Soyez parmi les premiers à découvrir le trailer en exclusivité au cinéma ce week-end, juste avant Les Quatre Fantastiques : Premier Pas ». Publicité Stratégie marketing ? Cette annonce peut au premier abord surprendre, car les deux longs-métrages ne sont pas produits par la même société : Avatar 3 est le fruit du travail des studios de James Cameron, Lightstorm Entertainment, tandis que le film de super-héros appartient à Marvel Studios et 20th Century. La superproduction du cinéaste américain veut-elle voler la vedette aux Quatre Fantastiques ? Ou serait-ce une stratégie marketing pour attirer le jeune public qu'elle sait friand de science-fiction comme de super-héros ? Peut-être un peu des deux. Pour rappel, les premières images d'Avatar 3 ont été dévoilées à la convention du CinemaCon de Las Vegas, en avril. Selon Variety, elles révélaient l'existence de deux nouvelles tribus Na'vi [le nom des peuples d'Avatar] et représentaient des scènes d'affrontements. Doté d'un budget de 250 millions de dollars, le troisième épisode de la saga est attendu dans les salles de cinéma, le 17 décembre.