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« Jurassic World : Renaissance » : à partir de quel âge voir le film avec ses enfants ?
« Jurassic World : Renaissance » : à partir de quel âge voir le film avec ses enfants ?

Le Parisien

time5 days ago

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« Jurassic World : Renaissance » : à partir de quel âge voir le film avec ses enfants ?

Tout le monde veut voir « Jurassic Park : Renaissance » ! Après un démarrage phénoménal un jour peu habituel, le vendredi - le film est sorti le 4 juillet - le septième opus de la saga créée en 1993 par Steven Spielberg a séduit pratiquement un million de Français - 917 182 exactement - en cinq petites journées d'exploitation. Mais justement, tout le monde peut-il voir le film ? S'il n'est, comme les volets précédents, assorti d'aucune interdiction en termes d'âge minimal ni d'aucun avertissement, la question se pose car ce sont eux, les plus jeunes, fans de dinosaures, qui entraînent leurs parents en salles pour se régaler avec le long-métrage de Gareth Edwards. Pourtant il comporte des séquences très anxiogènes. Or, si la saga « Jurassic Park » a toujours mis en avant des personnages d'enfants, c'est un peu moins le cas avec « Renaissance », même si une jeune comédienne, Audrina Miranda, tient l'un des rôles principaux aux côtés de Scarlett Johansson. Pour bien savoir qui peut voir ou non le film pour les plus jeunes, nous le recommandons à partir de 10 ans… Mais avec une mise en garde pour les parents qui les accompagneront pour certaines scènes tout de même assez angoissantes, qui peuvent occasionner des sueurs froides et nécessiteront d'en parler avec eux après la projection. Attention, spoilers… Le film s'ouvre sur un flash-back, avec une séquence sur l'île laboratoire où des chercheurs créent des dinos mutants. À la suite d'un problème technique, l'un des scientifiques se trouve coincé derrière une porte vitrée avec un monstre qui s'apprête à le dévorer, et ses collègues ne peuvent se résoudre à lui ouvrir pour le sauver sous peine de faire échapper la bête féroce dans la nature. Lors de séances parisiennes, certains petits spectateurs ont trouvé ce passage « injuste » pour le malheureux qui finit entre les dents du dino cloné. Il faut leur expliquer que ses pairs n'ont pas le choix et que la perte sacrificielle d'un homme est ici nécessaire pour sauver tous les autres… Vous êtes en vacances à la plage avec vos enfants ? Vous n'allez pas être dépaysé avec la première heure du film, qui se déroule presque intégralement en mer. Mais attention aux attaques du gigantesque mososaure sur les bateaux Vous êtes en vacances à la plage avec vos enfants ? Vous n'allez pas être dépaysé avec la première heure du film, qui se déroule presque intégralement en mer. Mais attention aux attaques du gigantesque mososaure sur les bateaux ! Ce géant préhistorique des mers, déjà vu dans la saga, s'acharne ici sur les héros, et ça donne des palpitations aux spectateurs, surtout s'ils séjournent dans une station balnéaire. Heureusement, cet animal aussi vindicatif que puissant a disparu depuis longtemps, on peut rassurer les plus jeunes sur ce point. L'une des séquences-clé du film montre Scarlett Johansson et quelques autres, en train d'escalader une falaise, face à des quetzalcoatlus. Kézaco ? Un immense volatile bien plus grand que le ptérodactyle , aux ailes surdéveloppées et au bec aussi long qu'acéré. Lors de ce passage, les plus petits ont le droit de mettre leurs mains devant leurs yeux… C'est sans doute la séquence à laquelle les enfants vont le plus s'identifier, puisqu'elle met en scène l'une d'entre eux, interprétée par la jeune Audrina Miranda. La gamine, coincée sous un canot pneumatique secoué sur une rivière, est prise en chasse par le plus dangereux prédateur de la préhistoire, le T-Rex. Après de telles émotions, les petits spectateurs auront peut-être du mal à grimper à bord d'un bateau durant leurs vacances… Ou pas : car eux savent mieux que quiconque que le T-Rex - comme d'autres monstres du film - a disparu depuis 65 millions d'années. L'ultime scène du film voit l'apparition d'un « D-Rex », fruit d'une manipulation génétique qui le fait passer pour un xénomorphe tel que la créature d'« Alien ». Animal imaginaire géant, féroce et d'apparence hideuse, c'est sans doute lui qui pourra le plus hanter les cauchemars des jeunes spectateurs. Les adultes, s'ils ne sont pas aussi effrayés que les enfants - ça n'est pas gagné ! - pourront toujours les apaiser en leur expliquant que ce dino-là n'a jamais existé et qu'il est juste présent dans le film pour leur faire peur.

Regarder 230 millions d'années dans le passé pour préparer l'avenir
Regarder 230 millions d'années dans le passé pour préparer l'avenir

La Presse

time05-07-2025

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Regarder 230 millions d'années dans le passé pour préparer l'avenir

Le « Distortus Rex » est un nouveau dinosaure qui s'ajoute à l'univers des films Jurassic Park. On divise l'ère mésozoïque en trois : le trias, le jurassique et le crétacé. On la surnomme aussi l'ère des dinosaures. Et comme Hollywood le fait à répétition depuis 1993, c'est dans cette époque, 230 millions d'années dans le passé, que pige le studio de jeu vidéo montréalais Ludia pour assurer son avenir. C'est un moment pivot pour Ludia. Le studio montréalais a retrouvé en mars dernier des propriétaires québécois et canadiens, trois années et demie après être passé sous contrôle américain. En septembre 2021, le créateur de jeux vidéo mobiles californien Jam City avait fait l'acquisition de Ludia pour 165 millions de dollars. Le retour en giron québécois s'est fait en mars, quand des investisseurs qui incluent notamment le Fonds de solidarité FTQ, Investissement Québec, BDC Capital, EDC et la Banque Nationale ont proposé de racheter pour une somme non divulguée le studio en tant que tel, ses employés, ainsi que son catalogue de jeux déjà existants. Y compris Jurassic World : The Game et Jurassic World Alive. PHOTO ROBERT SKINNER, ARCHIVES LA PRESSE Le fondateur et président du conseil d'administration de Ludia, Alexandre Thabet Dans la foulée, Jimmy Gendron est passé de directeur général et vice-président exécutif à président-directeur général de Ludia. Il a rapatrié le fondateur du studio Alexandre Thabet, qui a pris la tête du conseil d'administration. Jurassic World : Renaissance Le moment choisi pour la transaction ne pouvait pas mieux tomber. Ludia procède ces jours-ci à une importante mise à jour de ses deux titres phares inspirés du monde jurassique, pour leur incorporer des éléments du film Jurassic World : Renaissance, qui a pris l'affiche au cinéma le mercredi 2 juillet dernier. « Ça va amener de nouveaux joueurs, c'est sûr », lance à La Presse le producteur exécutif pour Ludia Romain Godart, à propos du film que le studio Universal vient de mettre à l'affiche. Ça va avoir un effet important sur nos jeux. C'est aussi un moment pour discuter avec Apple et Google, qui vont vouloir mettre la marque Jurassic World en avant-scène [dans leurs boutiques de jeux mobiles], car eux aussi vont vouloir tirer profit de ça. Romain Godart, producteur exécutif pour Ludia, à propos de la sortie du film Jurassic World : Renaissance Le scénario d'un film de la série Jurassic Park s'écrit presque tout seul, puisque la prémisse ne change à peu près jamais : il y a toujours au moins un dinosaure qui décide de s'attaquer à des humains, et ce dinosaure est toujours plus ou moins proche dans l'arbre généalogique des sauropsidés du Tyrannosaurus rex, le carnivore le plus grand de son époque. Dans Jurassic World : Renaissance, c'est un Distortus rex qui apparaît et qui devient un des deux antagonistes au cœur de l'histoire (avec un petit « h »). Il s'agit d'un tyrannosaure mutant. Naturellement, il fallait l'intégrer aux jeux de Ludia, ce qui n'est peut-être pas aussi simple que ça en a l'air, même si l'animatrice en chef Hilary Boarman laisse entendre que la capture de mouvements initiale a été plutôt amusante. « Nous avons essayé de soutirer le plus d'information d'Universal qu'on a pu, mais ils ne veulent pas trop en dire, alors on doit se fier au gros bon sens, mais c'est quoi, du gros bon sens, quand on doit animer un dinosaure mutant ? s'interroge-t-elle, philosophe. Nous nous rabattons alors sur la science et l'évolution, mais c'est de la fiction, alors nous essayons d'avoir du plaisir durant la création. » L'évolution, cette science inexacte Sans doute que le plaisir est double chez Ludia, ces jours-ci. L'industrie du jeu vidéo est plutôt morose depuis un an, et le secteur montréalais a traversé quelques mises à pied et des fermetures de studios. Pendant ce temps, Ludia a ajouté 20 nouveaux postes aux 120 déjà occupés à Montréal. Il lui a fallu rebâtir certaines de ses divisions pour se réapproprier son indépendance. L'embauche pourrait se poursuivre. Ses jeux occupent chaque mois quelque 3,5 millions de joueurs, qui lui ont permis de générer 1,3 milliard en revenus totaux depuis sa création en 2007. Ludia a d'autres projets pour la suite. « Il est trop tôt pour dire de quelle créature il sera question, mais c'est une des raisons derrière notre indépendance retrouvée : on entre dans une nouvelle phase de croissance et il y aura de nouveaux jeux », dit Romain Godart. Manifestement, Ludia souhaite éviter de subir le même sort que les dinosaures…

Avec Scarlett Johansson, la saga « Jurassic World » vit bien une « Renaissance » !
Avec Scarlett Johansson, la saga « Jurassic World » vit bien une « Renaissance » !

Le Parisien

time04-07-2025

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  • Le Parisien

Avec Scarlett Johansson, la saga « Jurassic World » vit bien une « Renaissance » !

On commençait à désespérer, et il est arrivé tel un sauveur. Brillamment lancée par Steven Spielberg en 1993, la saga fantastico-préhistorique « Jurassic Park », devenue « Jurassic World » en 2015, devenait, au fil des films, de plus en plus molle du genou ou donnait dans la surenchère infantile bêta. Mais voici, avec « Jurassic World : Renaissance », très attendu grand blockbuster de l'été en salles ce vendredi, le temps du renouveau, qu'il faut attribuer à un homme brillant dans tout ce qu'il touche : Gareth Edwards, le très doué réalisateur de « Godzilla », « Rogue One » et « The Creator ». Aux manettes de ce « Renaissance », il nous en met plein les yeux et signe l'un des meilleurs volets de la saga. Le récit suit de près une équipe de scientifiques et de mercenaires tentant de récupérer l'ADN de dinosaures mutants sur une île laboratoire, tandis qu'une famille de touristes s'égare dans ses dangereux parages. Les deux groupes finiront par se rejoindre pour lutter ensemble contre les monstres démesurés qui les pourchassent…

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