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24 Heures
37 minutes ago
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Ce petit village bernois touche près de 244'000 francs grâce à une série coréenne
Près de 50'000 passages ont été enregistrés sur le ponton d'Iseltwald en 2024, grâce à un portique payant. Vingt-six mois après son installation, l'affluence ne semble pas diminuer. Publié aujourd'hui à 18h31 Un visiteur coréen paie 5 francs pour monter sur la jetée d'Iseltwald dans le canton de Berne. KEYSTONE/Peter Klaunzer Depuis qu'une scène emblématique de la série coréenne «Crash Landing on You» y a été tournée, le ponton d'Iseltwald (BE) est pris d'assaut par les touristes, générant près de 244'000 francs de recettes. Située au bord du lac de Brienz, la commune bernoise a tenté de réguler sa fréquentation en installant un portique payant devant la jetée en 2023. Résultat: le portail a enregistré près de 50'000 passages en 2024 et a rapporté plus de 200'000 francs au village, a révélé vendredi la « Berner Zeitung ». Le tourniquet, qui offre l'accès au ponton pour 5 francs, n'a pas empêché les nombreux touristes , principalement originaires de Corée du Sud, de Thaïlande, de Malaisie, d'Indonésie, de Chine, du Japon et des Philippines, de venir immortaliser le paysage rendu célèbre dans l'épisode 3 de la série. Une scène emblématique Diffusée sur Netflix en 2019, «Crash Landing on You» raconte l'histoire d'une riche héritière sud-coréenne qui, à la suite d'un accident de parapente, atterrit en Corée du Nord et tombe amoureuse d'un officier nord-coréen. L'un des moments clés de la série se déroule justement sur le ponton d'Iseltwald, où le protagoniste joue du piano pour sa bien-aimée. Les autorités locales s'attendaient à recueillir environ 10'000 francs, écrit « 20 minutes ». Mais la somme récoltée dépasse largement les espérances. Des visiteurs coréens s'amassent sur le ponton et prennent des photos. KEYSTONE/Peter Klaunzer Un afflux de touristes stable Gabriela Blatter, secrétaire communale d'Iseltwald, estime que «l'afflux de visiteurs est resté stable». Il convient de préciser que les 50'000 tickets ne reflètent pas le nombre réel de visiteurs, car plusieurs personnes peuvent passer le tourniquet avec un seul paiement. Selon Gabriela Blatter, les places de stationnement sont trop peu nombreuses lors des jours de forte affluence et les transports en commun peuvent être saturés. Malgré cela, les autorités locales semblent satisfaites de l'introduction du tourniquet et de la fréquentation touristique sur le ponton. De plus, les touristes semblent très respectueux des lieux et se montrent généralement très disciplinés. La secrétaire communale ajoute que les autorités du village ne «prévoient pas de mesures de contrôles supplémentaires pour le moment». Sur le tourisme en Suisse Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters Mathilde Schott est journaliste au sein de la cellule numérique de Tamedia. Elle a obtenu son Master à l'Académie du journalisme et des médias (AJM) de l'Université de Neuchâtel en 2024. Elle a auparavant travaillé pour Keystone-ATS, la RTS, Blick et le Quotidien Jurassien. Plus d'infos Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.


Le HuffPost France
3 hours ago
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Sur Netflix, un abonné sur deux consomme ce type de contenu
STREAMING - Vous aimez regarder des animés sur Netflix? Ça tombe bien, puisque vous faites partie du groupe pas si restreint d'abonnés à en visionner sur la plateforme de streaming. Conviée a l'Anime Expo de Los Angeles pour annoncer ses futurs projets, la plateforme de streaming américaine en a profité pour dévoiler quelques chiffres. Et autant dire que le nombre de consommateurs d'animés a explosé au cours des dernières années. L'entreprise a dévoilé ses résultats, affirmant que l'audience des animés sur la plateforme a triplé au cours des cinq dernières années avec une année record en 2024. En effet, plus de 33 titres d'animés différents ont été dans le top 10 (non anglophone) de la plateforme au cours de l'année, soit plus du double comparé à 2021. De très bon augure pour la suite. Autrefois, la consommation d'animé était bien plus niche, réservée à un certain type de fans. Aujourd'hui, la bulle « otaku » a éclaté et le public s'est très largement diversifié. Cela est du en grande partie à l'avènement des plateformes de streaming qui ont grandement contribué a sa diffusion, comme le rapporte The Hollywood Reporter. Cette exposition a travers le monde a fait de l'animé l'un des genres le plus rentables. Dans ce sens, Netflix ne s'y trompe pas et continue de s'investir pleinement dans cette branche. À ce jour, parmi les plus de 300 millions d'utilisateurs déclarés par le géant du streaming, la moitié d'entre eux regardent de l'animation. Parmi les plus gros succès récents, l'animé japonais Sakamoto Days, adapté du manga du même nom. L'histoire d'un ancien tueur à gage devenu papa poule a côtoyé les sommets de la plateforme pendant 10 semaines dans plus de 54 pays, notamment au Japon, en Corée du Sud et bien évidemment en France. Un été animé À l'occasion de l'Anime Expo, à Los Angeles, la plateforme de streaming en a profité pour diffuser de nouveaux trailers. Avec notamment l'annonce d'une nouvelle série Cyperpunk Edgerunners inspirée du jeu vidéo du studio CD Projekt, des suites de Valkyrie Apocalypse et Beastars mais aussi de l'arrivée de l'adaptation du manga Bloom, une romance good vibes dans ce monde de brutes. S'il faudra attendre quelques mois pour ces sorties, le catalogue Netflix ne manquera pas de s'étoffer au cours de l'été. En plus de la seconde partie de la saison de Sakamoto Days, en juillet arriveront My Melody & Kuromi (série en stop-motion) racontant l'histoire de petits chats trop mignons qui doivent sauver leur village et The Summer Hikaru Died, un thriller fantastique bien plus sombre dans la campagne japonaise.


Le Parisien
a day ago
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- Le Parisien
« Mercredi », « Alien : Earth », « Too Much »… Les 10 séries les plus attendues de l'été 2025
L'année 2025 nous a déjà offert des bijoux en séries comme « Adolescence » sur Netflix , « The Pitt » sur Max ou « Bref 2 » sur Disney + . Cet été va encore être l'occasion de vibrer au rythme de nouvelles créations ou de suites très attendues sur les plates-formes.


Le Figaro
2 days ago
- Entertainment
- Le Figaro
«Je n'ai pas envie de le faire sous pression» : Kev Adams se livre sur son désir de fonder une famille
L'humoriste de 34 ans était l'invité d'Isabelle Ithurburu dans le portrait de la semaine de «50'Inside». L'occasion pour lui de se confier sur le temps qui passe et sur ses projets de vie. Celui qui ne voulait pas vieillir. Kev Adams a fêté le 1er juillet dernier ses 34 ans. Et l'humoriste n'apprécie pas particulièrement ni cette date ni l'âge qu'il a. «Ça marque le temps qui passe. On devrait rester un peu flou là-dessus. Ce serait génial de répondre au 't'as quel âge ?' par un 'j'en ai aucune idée' et d'être vraiment sincère», a-t-il philosophé face à Isabelle Ithuburu dans «50'Inside» ce samedi 5 juillet. Celui qui s'est fait connaître du grand public à seulement dix-huit ans a ensuite reconnu qu'un certain nombre de choses appuyait cet agacement du temps qui passe. «Il y a plein de petites bêtises. Déjà, j'adore sortir et faire la fête. Mais j'y arrive de moins en moins. L'autre jour j'étais dans une boîte techno avec des potes et pour la première fois de ma vie en entrant je me suis dit que la musique était super forte», a-t-il avoué tout en souriant. Et de poursuivre sur sa vie sentimentale : «Après un date, je dis à une fille de venir à la maison regarder un petit film sur Netflix et on regarde vraiment Netflix. Tu vois ce que je veux dire.» À lire aussi «J'ai eu ma période Miss France» : Kev Adams évoque sa relation avec Iris Mittenaere dans «C à vous» Publicité À côté de ses activités d'humoriste, Kev Adams développe également sa carrière de comédien. Il est à l'affiche du film Certains l'aiment chauve dans lequel il joue un trentenaire en pleine crise existentielle. Un personnage qui fait écho à sa propre vie sur de nombreux points dont la pression sociale exercée par certains parents à l'idée de devenir grands-parents. Curieuse, Isabelle Ithuburu a demandé à son invité s'il était aussi concerné par ce sujet. «Est-ce que c'est ma mère qui vous a soufflé cette question ? C'est ma mère qui envoie des questions à la télé comme ça en scred [en discret NDLR] [...] Bien sûr si, c'est normal j'y pense», a-t-il rétorqué avant d'ajouter : «Mais c'est drôle parce que je suis à un moment de ma vie où tous mes potes d'enfance, cousins se marient.» Pourtant, ce n'est pas encore le cas de l'humoriste à qui on ne connaît pas de relation sérieuse depuis quelques années. «C'est vrai que c'est une vie un peu décalée et en même temps il faut trouver la bonne personne avec qui on a envie de le faire ce qui n'est pas mon cas. Mais le jour où tu as envie de fonder une famille, il faut y dédier du temps», a-t-il déclaré tout en admettant que cela représentait tout de même une envie chez lui tout en émettant une réserve : «Je n'ai juste pas envie de le faire sous pression juste parce que tout le monde le fait.»


Le Parisien
2 days ago
- Entertainment
- Le Parisien
« Jarry revient sur TF1 » : Ara Aprikian, le numéro 2 du groupe, dévoile ses projets pour la rentrée
C'est un Ara Aprikian détendu que nous retrouvons cette semaine au dernier étage de la tour TF1 à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine). Le directeur des contenus du groupe privé boucle une saison marquant le 50e anniversaire de la Une , toujours large leader des audiences de la télévision française. Une année charnière lors de laquelle TF1 a encore accéléré la « plate-formisation » de son offre de programmes en lançant notamment un quatrième feuilleton quotidien pour booster son service TF1+ , tout en signant un partenariat de distribution inédit avec Netflix . Côté programmes, le groupe entend aussi miser sur plusieurs « séries de prestige » ou le grand retour de Jarry la saison prochaine. Quel bilan faites-vous de la saison écoulée ?