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Wimbledon : quand l'acteur britannique Hugh Grant s'endort devant le quart de finale entre Djokovic et Cobolli
Wimbledon : quand l'acteur britannique Hugh Grant s'endort devant le quart de finale entre Djokovic et Cobolli

Le Figaro

time3 days ago

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  • Le Figaro

Wimbledon : quand l'acteur britannique Hugh Grant s'endort devant le quart de finale entre Djokovic et Cobolli

LE SCAN SPORT - Filmé par le diffuseur du tournoi londonien, l'acteur de 64 ans a été pris en flagrant délit en train de roupiller dans les tribunes du court central. Depuis le début de la quinzaine à Wimbledon, les personnalités défilent dans la Royal Box du court central. Ce mercredi, c'était au tour de l'acteur britannique de 64 ans Hugh Grant de s'y installer pour les quarts de finale du tournoi. Visiblement, il a connu un moment de faiblesse dans le tie-break du premier set entre Novak Djokovic et Flavio Cobolli puisqu'il s'est assoupi sous ses lunettes fumées. Un moment évidemment capté par les caméras du diffuseur, qui a beaucoup amusé les internautes sur les réseaux sociaux.

« Un acte ignoble et déshumanisant » : en Irlande du Nord, des mannequins représentant des migrants installés sur un bûcher
« Un acte ignoble et déshumanisant » : en Irlande du Nord, des mannequins représentant des migrants installés sur un bûcher

Le Parisien

time3 days ago

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« Un acte ignoble et déshumanisant » : en Irlande du Nord, des mannequins représentant des migrants installés sur un bûcher

Polémique en Irlande du Nord . Une barque contenant des mannequins à l'effigie de migrants a été installée sur un bûcher érigé à l'occasion de célébrations traditionnelles loyalistes, suscitant des réactions indignées, quelques semaines après des émeutes anti-immigration dans cette province britannique. La mise en scène a été réalisée dans le village de Moygashel (sud), à quelques jours des feux de joie allumés chaque année les nuits des 10 et 11 juillet par les communautés unionistes ou loyalistes protestantes, qui défendent l'appartenance au Royaume-Uni . Au total, 12 mannequins grandeur nature, à la peau noire et vêtus de gilets de sauvetage, ont été placés dans ce canot, installé tout en haut d'une pile de palettes de plusieurs mètres, où ont été accrochées des pancartes « Arrêtez les bateaux » ou « Stop à l'immigration illégale ». Ces brasiers, au nombre d'environ 300, sont allumés à l'approche des parades de l'ordre d'Orange, célébrées tout les 12 juillet en mémoire de la victoire du roi protestant Guillaume III d'Orange sur les troupes de Jacques II le catholique en 1690. Le député local siégeant à l'Assemblée d'Irlande du Nord et appartenant au parti républicain Sinn Fein, Colm Gildernew, a réclamé sur X le retrait immédiat de l'installation, dénonçant « un acte répugnant, alimenté par des attitudes racistes révoltantes ». Patrick Corrigan, directeur de l'ONG Amnesty International pour l'Irlande du Nord, a aussi dénoncé un « acte ignoble et déshumanisant attisant la haine et le racisme ». Le militant unioniste Jamie Bryson, lui, a défendu une forme de « protestation artistique ». Dans un communiqué, la police d'Irlande du Nord a dit « enquêter » sur la présence de cette installation. Le mois dernier, des émeutes anti-immigration ont éclaté dans des zones loyalistes de cette province britannique , après l'inculpation de deux adolescents - qui s'expriment en roumain, selon la presse - pour la tentative de viol d'une jeune fille à Ballymena, au nord de Belfast. Situé à 65 kilomètres à l'ouest de la capitale de la province, le feu de joie de Moygashel a déjà fait l'objet de controverses, notamment en 2023 quand une fausse voiture de police y avait été brûlée.

Wimbledon : Swiatek pour une première, Sinner et Djokovic veulent se donner rendez-vous... Le programme du mercredi 9 juillet
Wimbledon : Swiatek pour une première, Sinner et Djokovic veulent se donner rendez-vous... Le programme du mercredi 9 juillet

Le Figaro

time4 days ago

  • Sport
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Wimbledon : Swiatek pour une première, Sinner et Djokovic veulent se donner rendez-vous... Le programme du mercredi 9 juillet

C'est la fin des quarts de finale à Londres, ce mercredi, et Sinner et Djokovic affrontent respectivement Shelton et Cobolli, avant de se retrouver, peut-être, en demi-finales vendredi. Cela sonnait comme une évidence. Ca l'était moins ces dernières heures. Jannik Sinner, au coude peut-être douloureux, et le septuple lauréat Novak Djokovic, qui a alterné le bon et le moins bon en 8es contre Alex De Minaur, vont-ils se retrouver vendredi pour la demie-finale choc que tout Londres attend ? Le Serbe de 38 ans affronte pour la deuxième fois - il a gagné le premier face-à-face au Masters 1000 de Shanghai en 2024 - l'Italien Flavio Cobolli, 24e au classement ATP et novice à ce stade de la compétition. Avantage évidemment au «GOAT», en quête d'une septième finale d'affilée à Wimbledon (quatre gagnées puis deux perdues), lui qui vise un 25e titre record en Grand Chelem. En plaisantant, Le «Djoker» a assuré qu'il comptait bien profiter des conseils de Stefan, son fils de dix ans, lequel a tapé quelques balles avec l'Italien la semaine dernière : «Bien sûr, je vais discuter avec mon fils et voir ce qu'il a remarqué dans son jeu l'autre jour». Publicité Le 10e mondial Ben Shelton, qui dispute à 22 ans à Church Road son premier quart et qui a déjà participé à deux demi-finales en Grand Chelem, à l'US Open en 2023 et à l'Open d'Australie en 2025, compte bien poser des problèmes à Jannik Sinner, touché au coude droit en glissant au tout début d'un match lors de son 8e de finale gagné un miraculeusement contre Grigor Dimitrov, contraint à l'abandon après avoir remporté les deux premières manches (6-3, 7-5). S'il retrouve 100% de ses moyens, le numéro 1 mondial s'impose comme le favori contre le premier membre du top 10 à se présenter sur sa route et contre il reste sur cinq victoires consécutives, sans perdre un set, dont un succès au 3e tour l'an dernier à Wimbledon. Swiatek en levée de rideau La Polonaise Iga Swiatek, cinq titres en Grand Chelem, sera la première à entrer sur le court mercredi sur le court. Deux ans après sa première apparition en quarts de finale sur le gazon anglais, la 8e mondiale défiera à partir de 14h la 19e au classement WTA Liudmila Samsonova pour tenter de se hisser dans le dernier carré au All England Lawn tennis club pour la première fois. Alors que la Russe de 26 ans dispute son premier quart dans un Grand Chelem, l'ex-numéro 1 mondiale, quintuple lauréate en Grand Chelem, détrônée en octobre par sa grande rivale Aryna Sabalenka, n'a plus soulevé de trophée depuis sa quatrième victoire à Roland-Garros en juin 2024. Une éternité. La Polonaise a la faveur des pronostics, elle qui mène 4-0 dans ses confrontations avec la Russe, avec un seul set de concédé seulement. Une demi-heure plus tard sur le Central, Mirra Andreeva (7e mondiale) et Belinda Bencic (35e) tenteront à leur tour de se hisser pour la première fois de leur carrière en demi-finales sur le gazon londonien. Mirra Andreeva, élève de Conchita Martinez, est à 18 ans et 75 jours, la plus jeune quart-de-finaliste de Wimbledon depuis la Tchèque Nicole Vaidisova, en 2007. La prodige n'avait encore jamais atteint ce stade de la compétition dans un autre Grand Chelem que Roland-Garros (demi-finaliste en 2024 et quart-de-finaliste cette année). Belinda Bencic, 28 ans, va tenter de faire parler son expérience. Quatorze mois après avoir donné naissance à une fille, la Suissesse atteint son premier quart à Londres. Revenue sur le circuit en octobre dernier, elle avait échoué par le passé à trois reprises en quarts à l'US Open (2014, 2019 et 2021). Court central (à partir de 14h30) : Mirra Andreeva (Rus/tête de série 7) - Belinda Bencic (Sui) suivi de Flavio Cobolli (Ita/22) - Novak Djokovic (Srb/6) Court 1 (à partir de 14h00) Iga Swiatek (Pol/8) - Liudmila Samsonova (Rus/19) suivi de Jannik Sinner (Ita/1) - Ben Shelton (E-U/10)

Royaume-Uni: Premier jour de la visite d'État d'Emmanuel Macron
Royaume-Uni: Premier jour de la visite d'État d'Emmanuel Macron

24 Heures

time4 days ago

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Royaume-Uni: Premier jour de la visite d'État d'Emmanuel Macron

Faste royal et «entente amicale» étaient au programme ce mardi pour le premier jour de la visite d'Emmanuel Macron au Royaume-Uni. Publié aujourd'hui à 00h49 Mis à jour il y a 9 minutes La reine Camilla, le roi Charles III, le président Emmanuel Macron et Brigitte Macron posent lors d'un banquet d'État au château de Windsor, le 8 juillet 2025. AFP Le roi Charles III et Emmanuel Macron ont célébré mardi «l'entente amicale» liant leurs deux pays, lors d'un dîner à Windsor au premier jour de la visite d'État au Royaume-Uni du président français. L'amitié entre le Royaume-Uni et la France «est essentielle à la préservation des libertés et de la paix en Europe», a déclaré le souverain dans son discours prononcé en partie dans la langue de Molière, avant le dîner. «Aujourd'hui nos deux pays sont confrontés à une multitude de menaces complexes, provenant de multiples directions. En tant qu'amis et alliés, nous les affrontons ensemble», a aussi affirmé Charles III, ajoutant que la France et le Royaume-Uni devaient «montrer la voie». Elton John et Mick Jagger au banquet Le banquet, qui a réuni plus de 150 convives dans l'impressionnant St George's Hall à Windsor, parmi lesquels Elton John et Mick Jagger, a achevé une journée essentiellement dédiée au faste royal, avec une procession en calèche à Windsor et une cérémonie d'accueil dans la cour du château, où le roi Charles, la reine Camilla et le couple Macron ont multiplié les gestes et échanges chaleureux. Dans son discours, le président français s'est dit «ambitieux et confiant pour l'avenir» de la relation bilatérale, ajoutant que Paris et Londres étaient «aux avant-postes de la défense de la sécurité de notre continent et de ses valeurs démocratiques». Il a salué l'«entente amicale» entre les deux pays, expression également utilisée par le roi dans son discours en référence à «l'Entente cordiale» conclue par les gouvernements britannique et français en 1904. Un honneur rare Dans l'après-midi, Emmanuel Macron, qui s'exprimait, honneur rare, devant le Parlement au palais de Westminster, avait déjà appelé la France et le Royaume-Uni à «travailler ensemble» pour protéger l'ordre mondial hérité de 1945, à commencer par l'Ukraine, en renforçant les liens entre Londres et l'Union européenne. «Le Royaume-Uni et la France doivent aujourd'hui de nouveau montrer au monde que notre alliance peut faire toute la différence», a-t-il lancé, au premier jour de cette visite d'État de trois jours, la première d'un président français depuis 2008. Dénonçant la «résurgence des pulsions impériales», Emmanuel Macron a assuré que les Européens, Français et Britanniques en tête, «n'abandonneront jamais l'Ukraine», s'exprimant durant environ 30 minutes en anglais, sous les applaudissements nourris des députés et des lords. Une réunion de la «coalition des volontaires» pour l'Ukraine Le chef de l'État français coprésidera jeudi avec le premier ministre britannique Keir Starmer une réunion de la «coalition des volontaires», qui réunit les pays engagés dans le renforcement des capacités de défense de l'Ukraine, et à terme la constitution d'une force de réassurance pour dissuader la Russie de reprendre l'offensive, une fois un cessez-le-feu conclu. Il a aussi salué «les efforts du premier ministre Keir Starmer pour restaurer la confiance» entre Londres et l'UE, soulignant au passage que le Brexit avait été «profondement regrettable». Longuement applaudi, il a manié l'humour à l'anglaise. «Nous adorons la monarchie, surtout lorsqu'elle n'est pas chez nous», a-t-il dit, déclenchant les rires, tout en remerciant le roi pour son hospitalité. La célèbre tapisserie de Bayeux prêtée au Royaume-Uni Comme un symbole du lien entre les deux pays, Emmanuel Macron a aussi annoncé que la France allait prêter au Royaume-Uni la célèbre tapisserie de Bayeux. Elle sera exposée au British Museum entre septembre 2026 et juin 2027. En échange, le musée britannique, où Emmanuel Macron doit se rendre mercredi, va prêter à la France des pièces issues notamment du trésor de Sutton Hoo, un des joyaux de sa collection. Le couple Macron avait d'abord été accueilli dans la matinée par le prince héritier William et son épouse Kate, habillée en Dior, sur le tarmac de la base militaire de Northolt, à l'ouest de Londres. Emmanuel et Brigitte Macron avaient ensuite rejoint à Windsor le roi Charles III et la reine Camilla, près de deux ans après la visite d'État du couple royal en France. Un climat qui s'est réchauffé entre les deux pays Après avoir écouté la Marseillaise, tous avaient pris place dans des calèches royales, qui ont remonté la rue principale de Windsor pavoisée de drapeaux britanniques et français, jusqu'au château, où réside le couple présidentiel. Après le froid qui a caractérisé les relations franco-britanniques depuis la sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne en 2020, la visite d'État du président français a lieu dans un climat qui s'est réchauffé entre les deux pays, avec l'arrivée du travailliste Keir Starmer à Downing Street il y a un an. La guerre en Ukraine, qui a remis les enjeux de défense et de sécurité au centre des préoccupations en Europe, a encore rapproché les deux alliés, principales puissances militaires du continent et détentrices de l'arme nucléaire. Un sommet bilatéral prévu jeudi Sur le front économique, l'Élysée a annoncé mardi que l'énergéticien public EDF allait prendre une participation de 12,5% dans la future centrale nucléaire britannique de Sizewell C, dans l'est de l'Angleterre. Sur le volet politique, un sommet bilatéral jeudi devrait acter un renforcement de la coopération en matière de défense et de lutte contre l'immigration illégale. Le président français a promis des résultats «tangibles» sur ces deux sujets. Côté britannique, les attentes sont fortes sur la lutte contre l'immigration clandestine, après un nombre record d'arrivées par la Manche depuis janvier (plus de 21'000). Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters AFP Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

Dabrowski et Routliffe s'inclinent en quarts de finale du double féminin
Dabrowski et Routliffe s'inclinent en quarts de finale du double féminin

La Presse

time4 days ago

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Dabrowski et Routliffe s'inclinent en quarts de finale du double féminin

La Canadienne Gabriela Dabrowski (à droite) et sa partenaire de jeu néo-zélandaise Erin Routliffe Dabrowski et Routliffe s'inclinent en quarts de finale du double féminin (Londres) La Canadienne Gabriela Dabrowski et sa partenaire de jeu néo-zélandaise Erin Routliffe ont plié l'échine 7-5, 7-6 (4) devant Elise Mertens et Veronika Kudermetova en quarts de finale du tournoi de double féminin à Wimbledon, mardi. La Presse Canadienne Les deuxièmes têtes de série ne sont parvenues qu'à éviter un seul bris en trois occasions contre la Belge et la Russe. Mertens et Kudermetova, huitièmes têtes de série du tournoi, ont aussi dominé Dabrowski et Routliffe 7-2 au chapitre des as. Dabrowski et Routliffe avaient atteint la finale au All England Club l'année dernière, mais les championnes des Internationaux des États-Unis en 2023 s'étaient inclinées devant la Tchèque Katerina Siniakova et l'Américaine Taylor Townsend. Dabrowski, qui est âgée de 33 ans, a aussi baissé pavillon en finale de ce tournoi du Grand Chelem sur gazon en 2019 avec sa partenaire de l'époque, la Chinoise Xu Yifan. Dabrowski était la dernière représentante de l'unifolié en lice à Wimbledon. Aucun des six Canadiens inscrits en simple n'a franchi le deuxième tour.

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