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« Il est mon ami » : Emmanuel Macron estime que François Bayrou a « les capacités » pour tenir jusqu'en 2027 à Matignon
« Il est mon ami » : Emmanuel Macron estime que François Bayrou a « les capacités » pour tenir jusqu'en 2027 à Matignon

Le Parisien

time14 hours ago

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« Il est mon ami » : Emmanuel Macron estime que François Bayrou a « les capacités » pour tenir jusqu'en 2027 à Matignon

François Bayrou « est mon ami… Mon compagnon de route. Il a les capacités pour tenir ce gouvernement qui n'est pas habituel ». C'est par ces mots qu'Emmanuel Macron a fait l'éloge de son Premier ministre dans un entretien pour Paris Match publié mardi, déclarant « espérer » qu'il reste en poste jusqu'à 2027. Le président français estime que François Bayrou « a les capacités » pour tenir le gouvernement jusqu'à la fin de son mandat et répète qu'il ne veut pas de nouvelle dissolution, estimant que c'est « aux responsables politiques de savoir travailler ensemble ». VidéoBudget 2026 : Macron s'exprime sur les pistes d'économies de Bayrou Il a également défendu le plan d'économies budgétaires « lucide et courageux » du Premier ministre « que nous avons longuement préparé ensemble ». Budget contesté par les oppositions mais assumé par le président Ce plan prévoit notamment le gel de la plupart des dépenses de l'État en 2026 au niveau de 2025, une « année blanche » gelant le barème des impôts, des prestations sociales et des retraites ou encore la suppression de deux jours fériés. Face au risque d'une censure du gouvernement par le Rassemblement national et la gauche sur le budget à l'automne, le chef de l'État avertit que « les responsables politiques doivent vraiment faire attention à ce qu'ils feront ». À lire aussi Budget 2026 : après les annonces d'économies, les oppositions remontent le son de la censure

«Bloquons tout» : «Après avoir laissé passer les gilets jaunes, LFI ne veut pas rater le train de la colère»
«Bloquons tout» : «Après avoir laissé passer les gilets jaunes, LFI ne veut pas rater le train de la colère»

Le Figaro

time17 hours ago

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«Bloquons tout» : «Après avoir laissé passer les gilets jaunes, LFI ne veut pas rater le train de la colère»

FIGAROVOX/ENTRETIEN - Dans La Tribune dimanche, ce 17 août, Jean-Luc Mélenchon a appelé les Insoumis à rejoindre les appels à manifester de «Bloquons tout» le 10 septembre prochain. Le politologue Antoine Bristielle explique en quoi cette stratégie semble cohérente avec le fonctionnement de LFI. Antoine Bristielle est docteur en science politique et directeur de l'Observatoire de l'opinion de la Fondation Jean-Jaurès. À découvrir PODCAST - Écoutez le club Le Club Le Figaro Idées avec Eugénie Bastié LE FIGARO.- Ce dimanche, Jean-Luc Mélenchon a appelé ses militants à se mettre au service du mouvement «Bloquons tout» pour contrer le budget du gouvernement Bayrou. Quel est donc ce mouvement ? Publicité Il est toujours difficile de caractériser les mouvements de ce type, gazeux, aux revendications diverses, peu centralisé et donc sans mot d'ordre commun. De manière générale, il s'agit d'une opposition déterminée à la politique du gouvernement Bayrou. Cette absence de figure centrale a-t-elle de quoi faire penser aux «gilets jaunes» ? La structuration du mouvement évoque les «gilets jaunes» : né sur les réseaux sociaux, on ne sait pas très bien qui en est à l'origine. Ces mouvements s'agrègent à des discussions sur les réseaux sociaux - plutôt des groupes sur Facebook s'agissant des «gilets jaunes» et Telegram pour «Bloquons tout». Dans les deux cas, ces groupes ne sont pas nécessairement nationaux ; ils s'organisent par région ou département. Il y a également un lien dans la mise en avant de problématiques économiques, contre la vie chère... Pour autant, on se rappelle essentiellement la puissance des «gilets jaunes», qui est encore loin d'être atteinte par «Bloquons tout». Dépourvu d'étiquette partisane, «Bloquons tout» agrège plusieurs revendications. La date du 10 septembre rejoint d'autres appels à manifester, ceux des anti-ZFE avec Alexandre Jardin et des anti-pression fiscale avec «Nicolas Qui Paie». Comment expliquez-vous cet amoncellement de revendications ? La population a atteint un niveau important de déception, de peur et d'inquiétude que les dernières élections - présidentielle ou législatives - n'ont pas permis de tempérer. Nombre de revendications restent dépourvues de débouché politique concret. Le gouvernement Bayrou agit avec difficulté au vu du fonctionnement actuel du Parlement. La France est un peu une cocotte-minute... Jean-Luc Mélenchon a toujours été attaché aux liens entre organisations politiques et syndicats et comprenait mal qu'un mouvement comme les « gilets jaunes » puisse éclore en dehors de ces structures. Il s'en était donc tenu à l'écart, l'empêchant d'en récolter le moindre dividende politique Antoine Bristielle Publicité Chaque rentrée promet d'être tendue sur le plan social. Vous semble-t-il y avoir un climat plus encore propice à la contestation qu'habituellement ? Toutes les enquêtes démontrent une grande insatisfaction dans le pays. Mais les mouvements sociaux qui fonctionnent naissent plutôt sur des mesures très concrètes - par exemple le mouvement contre la réforme des retraites ou celui des «gilets jaunes» contre la taxe d'Édouard Philippe sur les carburants. «Bloquons tout» se positionne contre un budget tout entier, ce qui est moins facile à saisir. D'un côté, il semble donc peu probable d'aboutir à un mouvement social d'ampleur. Mais de l'autre, les Français ne se sentent plus représentés par leurs institutions - le gouvernement ne s'appuie que sur une minorité d'entre eux -, ce qui peut s'avérer abrasif. Pourquoi La France insoumise mise-t-elle sur «Bloquons tout» plutôt que d'appeler directement à manifester ? Au moment des «gilets jaunes», La France insoumise était restée en retrait, sans savoir comment se positionner. Jean-Luc Mélenchon a toujours été attaché aux liens entre organisations politiques et syndicats et comprenait mal qu'un tel mouvement puisse éclore en dehors des structures partisanes ou syndicales. Il s'en était donc tenu à l'écart, l'empêchant d'en récolter le moindre dividende politique. En outre, on a récemment assisté à une rupture assez nette entre La France insoumise et les mouvements syndicaux, en particulier la CGT. Pendant la réforme des retraites, la convergence souhaitée par LFI entre les partis de gauche et les mouvements syndicaux n'avait pas eu lieu, en raison de divergences de vues sur la participation politique et militante. Depuis, Jean-Luc Mélenchon a donc tendance à considérer que ce sont finalement les mouvements sociaux nés en dehors des organisations syndicales qui ont une chance de réussir. Enfin, cela traduit la volonté de LFI de reprendre la main sur le calendrier politique. Depuis les dernières législatives où les Insoumis pensaient former un gouvernement avec le NFP, le parti était dans une situation complexe : leur appel à la destitution d'Emmanuel Macron, par exemple, n'avait pas été suivi par les autres partis... À lire aussi Mouvement du 10 septembre : le gouvernement dans le flou face au spectre du retour des « gilets jaunes » «Bloquons tout» est tiraillé entre des appels à rester chez soi pour paralyser l'économie et d'autres appels à manifester physiquement. Comment LFI peut-elle s'imbriquer dans ce clivage ? Publicité Ce type de mouvements est dénué d'organisation. Tout le monde peut donc proposer son mode opératoire, exprimer ses revendications... D'ailleurs, au cours du mois précédant la première manifestation des «gilets jaunes», il n'y avait pas non plus de consensus sur la méthode à adopter. La France insoumise est née en réaction au Front de gauche de 2012 - qui réunissait les diverses formations de gauche radicale - dans l'ambition de dépasser les partis pour être dans l'entrecroisement entre un parti politique et un mouvement social. Dès lors, il y a une cohérence avec un mouvement par nature gazeux comme «Bloquons tout». De plus, c'est cohérent avec la logique militante de LFI : pour être militant insoumis, il suffit d'entrer son adresse mail sur le site de la formation. La multiplicité des engagements, tant qu'ils vont dans une même direction validée par LFI et Jean-Luc Mélenchon, est donc plutôt plébiscitée. La coloration politique de «Bloquons tout» pose aussi question. Manuel Bompard a déclaré sur France Info le 18 août qu'il ne croyait pas «que les revendications qui émergent de ce mouvement soient positionnées à l'extrême droite». Qu'en pensez-vous ? Au début, le mouvement des «gilets jaunes» avait lui aussi tendance à être caractérisé comme un mouvement d'extrême droite. Or les enquêtes sur la sociologie des «gilets jaunes» indiquaient qu'environ six sur dix ne se reconnaissaient ni dans la gauche ni dans la droite, tandis que les autres se reconnaissaient plus dans la gauche que l'extrême droite. La France insoumise souhaite donc éviter de voir ce mouvement discrédité par l'idée selon laquelle il serait sclérosé par l'extrême droite. En outre, quand on regarde les vidéos publiées sur les groupes de «Bloquons tout», la rhétorique est éloignée de celle de l'extrême droite ; elle semble presque «inclusive», assez proche de ce que pourrait déployer LFI.

Mouvement du 10 septembre : le gouvernement dans le flou face au spectre du retour des « gilets jaunes »
Mouvement du 10 septembre : le gouvernement dans le flou face au spectre du retour des « gilets jaunes »

Le Figaro

timea day ago

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Mouvement du 10 septembre : le gouvernement dans le flou face au spectre du retour des « gilets jaunes »

Réservé aux abonnés DÉCRYPTAGE - Un appel à « tout bloquer » le 10 septembre se répand sur les réseaux sociaux depuis l'annonce des efforts budgétaires par François Bayrou. Une initiative gazeuse, soutenue par Jean-Luc Mélenchon, et observée avec prudence par l'exécutif. « Le 10 septembre, on bloque tout ! » C'est l'un des mots d'ordre du mouvement qui a pris de l'ampleur en ligne, depuis l'annonce par François Bayrou, à la mi-juillet, d'un plan budgétaire comportant 44 milliards d'euros d'économies en 2026 par rapport à l'évolution prévue de la dépense publique. Alors que la rentrée politique et sociale s'annonce déjà électrique, le pouvoir exécutif doit composer en plus avec le spectre d'une potentielle mobilisation en dehors des canaux traditionnels, soutenue depuis dimanche par l'Insoumis Jean-Luc Mélenchon. Même si aucun événement concret n'émerge pour l'instant, les membres du gouvernement tentent de saisir la tonalité de ce qui rappelle les débuts des « gilets jaunes », à l'automne 2018. Une nébuleuse numérique sans leader identifié, où se multiplient les appels à « mettre la France à l'arrêt » ou à déclencher un « confinement national ». À lire aussi « Bloquons tout » : les syndicats méfiants face à la mobilisation sociale du 10 septembre Une multitude de groupes Facebook appelant à des actions de toute sorte - rassemblements…

Le PSG 34 fois plus riche que Le Havre : le classement des budgets des clubs de Ligue 1 en 2025-2026
Le PSG 34 fois plus riche que Le Havre : le classement des budgets des clubs de Ligue 1 en 2025-2026

L'Équipe

time3 days ago

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Le PSG 34 fois plus riche que Le Havre : le classement des budgets des clubs de Ligue 1 en 2025-2026

Cette saison encore, l'écart de budget est énorme entre les plus gros clubs de Ligue 1, le PSG en tête, et les autres, dans un contexte global d'austérité pour le foot français en raison de l'incertitude des revenus liés aux droits TV. Après le feuilleton des droits télé, qui a déstabilisé l'économie du foot français et abouti au lancement de la plateforme Ligue 1 + pour la saison 2025-2026, plusieurs clubs du Championnat ont dû entamer une cure d'austérité forcée. Passé tout proche de la rétrogradation et finalement maintenu de justesse en Ligue 1, l'OL en est l'illustration la plus marquante avec un budget amputé de moitié par rapport à l'an dernier. S'il y a une chose qui ne change pas, en revanche, c'est la forte disparité de moyens entre les formations de l'élite. Le PSG a ainsi un budget 34 fois supérieur à celui d'Angers ou du Havre, qui referment le classement. À lui seul, le club de la capitale a un budget plus élevé que les cinq autres clubs les plus riches du Championnat réunis... ou que les 13 clubs les moins riches. Le classement des budgets des clubs de Ligue 1 1. PSG (850 M€)2. OM (260 M€)3. Monaco (140 M€)*4. Paris FC (130 M€)5. Nice (120 M€)6. Lille (110 M€)- Lyon (110 M€)- Rennes (110 M€)9. Strasbourg (100 M€)10. Lens (60 M€)- Lorient (60 M€)12. Nantes (50 M€)- Toulouse (50 M€)*14. Auxerre (40 M€)- Metz (40 M€)16. Brest (35 M€)17. Angers (25 M€)- Le Havre (25 M€)

S'envoler pour New York sans se ruiner : l'astuce méconnue des points de fidélité
S'envoler pour New York sans se ruiner : l'astuce méconnue des points de fidélité

Le Figaro

time4 days ago

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S'envoler pour New York sans se ruiner : l'astuce méconnue des points de fidélité

Rêvez-vous de fouler le sol new-yorkais sans exploser votre budget ? C'est possible grâce aux cartes bancaires et aux programmes de fidélité bien exploités. C'est d'ailleurs le pari réussi de nombreux lecteurs avertis de : en utilisant habilement les programmes de fidélité, ils dénichent les meilleurs plans, économisent sur leurs voyages et s'offrent même parfois le luxe de la classe affaires pour une fraction du prix. Le sésame : les Miles Flying Blue d'Air France Le programme de fidélité Flying Blue d'Air France-KLM est un excellent moyen d'obtenir des Miles. En souscrivant une Carte co-marquée AIR FRANCE KLM - AMERICAN EXPRESS, vous bénéficiez d'un bonus de bienvenue attractif et cumulez des Miles à chaque achat quotidien. Comptez entre 23 500 et 92 000 Miles Flying Blue + 200 à 500 € de taxes pour un aller simple Paris-New York, selon la saison et la classe de réservation (de l'économique à l'affaire). Pour comparaison, les prix varient entre 1 200 € et 4 500 € environ pour un aller simple. Voyage à New York pour presque rien : le bon plan fidélité Accéder au diaporama (10) Accumuler des Miles Flying Blue En vous inscrivant au programme Flying Blue, vous ouvrez la porte à de nombreuses possibilités d'accumuler des Miles. Les voyageurs fréquents des compagnies Air France, KLM ou d'autres membres de l'alliance SkyTeam, accumulent automatiquement des Miles à chaque vol, calculés selon la distance parcourue et la classe de réservation. Il est aussi possible de cumuler des Miles Flying Blue sans prendre l'avion, en utilisant la bonne carte bancaire ou de paiement pour vos achats du quotidien. La stratégie classique consiste à cumuler des points Membership Rewards avec une Carte American Express, puis de les convertir en Miles Flying Blue. Pour plus d'efficacité, optez pour une Carte co-marquée AIR FRANCE KLM - AMERICAN EXPRESS (Gold, Platinum, etc.), qui offre non seulement un généreux bonus de bienvenue, mais permet aussi de cumuler des Miles à chaque transaction tout en offrant des avantages exclusifs. Multiplier les Miles : des pistes à explorer D'autres sources peuvent aussi enrichir votre solde, comme le programme Revolut (et ses RevPoints), ou encore, les portails d'achats en ligne Flying Blue (Nike, Sephora, Leroy Merlin…). Autre piste est le parrainage qui s'avère un excellent moyen de booster votre solde (cf. notre précédent article « Voyager en hôtel de luxe à l'île Maurice »). Enfin, pour les plus engagés, certains programmes hôteliers comme Marriott Bonvoy ou ALL - Accor Live Limitless permettent également de transférer des points vers Flying Blue, même si ces transferts sont parfois complexes ou moins avantageux. Des Miles bien dépensés… En réservant au bon moment, notamment pendant les Primes Promo publiées chaque début de mois par Flying Blue, il est tout à fait possible de trouver des réductions intéressantes sur les vols prime entre Paris et New York. On peut parfois trouver un vol en classe affaires autour de 55 000 Miles et environ 300 € de taxes et frais d'aéroport. Pour une expérience encore plus exclusive, il existe également la classe La Première d'Air France, bien que son coût en Miles soit plus élevé. Une véritable aubaine pour les voyageurs futés. Une expérience exclusive entre Paris et New York Il est aussi possible de découvrir une autre manière de voyager en classe affaires, grâce à La Compagnie, transporteur haut de gamme 100 % classe affaires, qui s'est donné comme ambition claire d'offrir une expérience luxueuse à un tarif compétitif. Celle-ci opère des vols réguliers vers New York au départ de Paris-Orly (toute l'année) et de Nice (de mai à septembre). Ses Airbus A321neo n'accueillent que 76 passagers, tous en sièges full-flat, dans une cabine élégante au service attentionné, avec Wi-Fi illimitée et menus gastronomiques. Les tarifs débutent autour de 950 € l'aller simple, et des offres avantageuses sont parfois proposées. Une option à considérer pour ceux qui souhaitent allier confort et exclusivité, sans compromis. Les alternatives pour un vol à moindres frais Pour un confort supérieur à la classe économique, mais sans le prix fort, Condor ou French bee sont d'excellentes alternatives avec leurs produits économiques et premium. French bee, cette compagnie française low cost spécialisée dans les vols long-courriers, propose des vols directs Paris - New York avec une grille tarifaire flexible. Ses six niveaux de tarifs permettent de personnaliser son expérience à bord, selon ses envies, ou son porte-monnaie. Les prix sont très concurrentiels, débutant à 196 € pour la formule BEE LIGHT (ou 725 € en PREMIUM FLEX) l'aller simple dans les prochaines semaines. La compagnie allemande Condor, quant à elle, dessert New York au départ de Francfort et propose une gamme complète de classes : économique, premium economy et business. Condor propose des tarifs compétitifs également à partir de 529 € l'aller simple. Notez que les vols au départ de l'Allemagne peuvent nécessiter un vol supplémentaire depuis Paris, ce qui peut impacter le budget total et la durée du voyage. Enfin, même si vous avez initialement réservé un billet en classe économique, il est toujours possible de tenter un surclassement. Contactez la compagnie aérienne avec laquelle vous voyagez 24 à 48 h avant votre vol pour vous informer des disponibilités et des tarifs. Un surclassement est parfois proposé à un prix attractif, vous permettant d'améliorer votre confort de voyage pour un budget raisonnable. Au-delà du vol : optimiser son séjour à New York Une fois votre vol réservé, pensez à optimiser votre budget à New York grâce aux programmes de fidélité hôteliers tels que Marriott Bonvoy, Hilton Honors ou ALL - Accor Live Limitless qui permettent de cumuler des points et de bénéficier d'avantages (nuits gratuites, surclassements, petits déjeuners selon les statuts). Enfin pour obtenir les meilleurs prix, planifiez de réserver votre hébergement idéalement en basse saison et le plus tôt possible. Certaines cartes bancaires premium offrent également des avantages (accès aux salons d'aéroport, assurance voyage) et la possibilité de convertir des points en nuits d'hôtel ou réduire le coût de votre voyage, en appliquant les points sur vos dépenses. Conclusion New York n'est plus une destination inaccessible. En tirant parti des bons programmes de fidélité et d'une stratégie intelligente de carte, il est possible de voyager confortablement et de vivre une expérience haut de gamme sans exploser son budget. C'est ce que font chaque jour des milliers de voyageurs avisés qui suivent Milesopedia. Pourquoi pas vous ? À propos de Milesopedia Milesopedia est la référence depuis 10 ans pour optimiser les programmes de fidélité, principalement ceux liés au voyage. Lancé au Canada en 2015, puis en France et aux États-Unis en 2025, nous aidons des millions de consommateurs à planifier leurs escapades grâce à des contenus inspirants et pratiques.

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