Ballon d'Or : Nouvelle Donne, le documentaire
Toutes et tous rêvent de soulever le plus prestigieux des trophées individuels, qui récompense les performances des joueurs, le caractère décisif et impressionnant, les performances collectives, le palmarès mais aussi la classe et le fair-play. Ballon d'Or ® : Nouvelle Donne, un documentaire de 26 minutes revenant sur la liste des 30 nommés hommes et des 30 nommées femmes de cette nouvelle édition dont les lauréats seront sacrés lors de la cérémonie du 22 septembre, lors d'une cérémonie à suivre en direct sur la chaine L'Equipe.
À voir sur L'Équipe
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Le Parisien
23 minutes ago
- Le Parisien
PSG-Tottenham (2-2, 4-3 t.a.b.) : les images de la célébration des Parisiens après la remise du trophée
Une image qui restera à jamais dans l'histoire du Paris Saint-Germain. Au terme d'une remontée époustouflante face à Tottenham, signée Lee à la 85e minute puis Ramos à la 94e, et conclue par une séance de tirs au but suffocante (2-2, tab 4-3), les hommes de Luis Enrique ont soulevé la Supercoupe d'Europe sur la pelouse du stade Friuli, à Udine, en Italie. LE PARIS SAINT-GERMAIN DEVIENT LE PREMIER CLUB FRANÇAIS A REMPORTÉ LA SUPERCOUPE 🏆 #PSGTOT | #SuperCup — CANAL+ (@canalplus) August 13, 2025 Un moment historique. Jamais un club français n'avait remporté ce trophée. Les célébrations ne font que commencer, puisque la fête va se poursuivre pour le PSG dans les vestiaires. « Je pense que c'est difficile de parler de ce match, a déclaré Luis Enrique à Canal+. On s'est entraîné 5-6 jours et on gagne… C'est aussi grâce aux supporters qui sont là absolument partout où on joue. Pour nous c'est vraiment important d'offrir ce trophée aux pense que les joueurs de Tottenham ont joué un très bon match et il étaient plus forts que nous. Mais nous on a eu la capacité de lutter jusqu'au bout. Je ne sais pas si le résultat est juste mais c'est le football. J'espère toujours plus de mes joueurs donc je ne suis pas surpris ! » Ousmane Dembélé, de son côté, confie à quel point il connait les ressources de son équipe : « C'était difficile. A 2-0 on s'est dit qu'il n'y avait plus le temps de penser. Il fallait marquer et Gonçalo, Ibrahim et Kang-In nous ont fait beaucoup de bien. Et à 2-2, quand j'ai vu qu'on allait aux penaltys, je savais qu'on allait gagner. Et Lucas c'est costaud, surtout pour ses débuts, on est content. On récupère cette Supercoupe de l'UEFA ça fait plaisir. On en est à cinq trophées. » Décisif durant la séance de tirs au but Lucas Chevalier peut savourer son premier trophée avec le Paris Saint-Germain 🇫🇷🧤#PSGTOT | #SuperCup — CANAL+ Foot (@CanalplusFoot) August 13, 2025 À voir aussi Comme Dembélé, Marquinhos souligne l'é« tat d'esprit parisien, qui lui permet si souvent de renverser des montagnes. « On n'a pas trop de préparation mais on voit que le foot n'est pas que du physique, dit-il au micro de Canal+. C'est aussi du ballon et du mental. Le coach a fait les changements qu'il fallait. Gonçalo a fait du bien, on avait besoin d'un attaquant. Et je suis très heureux pour Lucas sur les tirs aux buts. Il est le bienvenu ! Le PSG c'est comme ça, il faut tenir la pression mais il est habitué, à Lille il l'avait déjà. Je suis très heureux d'être encore là et de nouveau gagner. Je vais tout faire pour garder ma place. »

L'Équipe
23 minutes ago
- L'Équipe
Les notes de PSG-Tottenham : Dembélé n'a pas lâché
Parfois brouillon mais volontaire, Ousmane Dembélé a profité de l'entrée de Gonçalo Ramos pour accélérer côté droit, avec à la clé un centre délicieux pour le Portugais qui a permis au PSG d'arracher une séance de tirs au but victorieuse (2-2, 4-3 aux t.a.b.) contre Tottenham en Supercoupe d'Europe. Tout se passait bien : une claquette devant Richarlison (23e), une frappe détournée du même Brésilien (47e), un superbe arrêt réflexe juste avant le but de Van de Ven (39e), mais surtout beaucoup, beaucoup de jeu au pied. Puis il y a eu cette 48e minute et cette tête de Romero repoussée dans son propre but par une main trop peu ferme. Mais cette séance de tirs au but a tout changé dans la lecture de son match. Une première finalement réussie ! Quatre-vingt-dix minutes d'une grande souffrance pour le Marocain. Des ballons perdus, des relances dans l'axe, des duels perdus... et un jeu offensif rendu logiquement difficile par son manque de condition physique. Il a cependant beaucoup mieux fini le match qu'il ne l'a commencé. Très motivé à l'idée de remporter un nouveau titre avec Paris, le Brésilien a parfois semblé vouloir trop en faire. Sa tête manquée sur l'ouverture du score anglaise en a témoigné. Comme ses coéquipiers, son physique lui fait prendre du retard sur de nombreuses interventions. Il a été le défenseur le plus solide dans les duels et dans ses relances. L'Équatorien a pris des risques et a emmené la plus belle action parisienne en première mi-temps (29e) en trouvant Ousmane Dembélé dans l'axe. Dans un match en plein coeur de saison, son physique l'aurait aidé à gommer ses erreurs. Beaucoup moins lors d'une reprise. C'est lui, par exemple, qui a concédé la faute sur le premier but anglais (38e) et obligé Pacho à prendre un carton jaune après une passe du Portugais plein axe (58e). Il est celui qui a semblé avoir le meilleur niveau athlétique, et dont les interventions et les appels ont été les plus tranchants en première période. Mais il est devenu confus avec le ballon au fil des minutes et n'a pas mieux fini que les autres. Remplacé par LEE (67e) qui a tout changé par son but. Seul rescapé du milieu titulaire du PSG, au coup d'envoi, il a essayé d'être utile et actif en sentinelle, comme d'habitude, mais il n'a pas pu faire grand-chose de plus que de jouer le plus juste possible, même s'il est au départ de la bonne action de la 8e minute. Peu de rayonnement dans un contexte collectif assez pauvre. Dans un rôle de troisième milieu qu'il a déjà occupé, il n'a pas toujours été très précis, et il n'a pas toujours été servi, non plus, sur ses appels venus de l'arrière, comme si les Parisiens avaient un peu de mal, encore, à voir le jeu aussi nettement qu'à l'habitude. Mais c'est de lui qu'est venu le danger, souvent, comme sur sa belle frappe cadrée (66e). Remplacé par RAMOS (77e) qui a égalisé dans le temps additionnel (90e + 4). Son match a vraiment ressemblé à un premier galop estival. Pas d'éclairs, peu de volume, le Géorgien n'a créé aucun danger, et il a été contré au moment de finir la seule belle action collective du PSG en première période (8e). Et ce n'est sans doute pas parce qu'il jouait à droite : c'est juste qu'il n'avait pas les ressources pour jouer un match de ce niveau. Remplacé par RUIZ (60e). Il a rarement joué comme un avant-centre, et sa présence en position haute a manqué, quand même. En revanche, il a été plutôt intéressant dans ses décrochages, par sa capacité, notamment, à trouver Barcola dans la profondeur. Il n'a jamais renoncé, et il a commencé à peser à droite quand Ramos est entré dans l'axe. Sa passe décisive sur l'égalisation est superbe (90e + 4). Aligné côté gauche par Luis Enrique, il n'a pas tout réussi, mais c'est lui qui a fait le plus de différences en première période, et qui a offert le plus de profondeur. Ses centres en retrait n'ont pas toujours été à la hauteur de ses dribbles, mais la faible présence parisienne dans la surface n'a pas arrangé les choses. Il a disparu ensuite. Remplacé par MBAYE (67e) qui a vraiment réussi son entrée. Il avait prévenu qu'il ne savait pas ce que son équipe avait dans le ventre après une semaine d'entraînement. Il n'a pas eu de très bonnes surprises. Mais se passer de Fabián Ruiz, alors que João Neves était suspendu, était-ce vraiment un bon choix ? Ses entrées ont changé la physionomie du match, avec Lee et Ramos buteur. Cristian ROMERO (8), qui vient tout juste d'être désigné comme le capitaine de Tottenham après le départ de Heung-min Son, fait honneur à son statut, puisqu'il a été impliqué sur les deux buts de son équipe, remisant de la tête sur le premier (39e), avant d'inscrire le second (48e), suite à un coup franc de Pedro PORRO (6), très précis hier ballon au pied. Par ailleurs, Pape Matar SARR (7) et PALHINHA (6) ont impressionné par la qualité de leurs retours défensifs, tandis que RICHARLISON (6) et Mohammed KUDUS (6) ont été dangereux à tour de rôle avant la pause. Mais en fin de rencontre, les Spurs ont été pénalisés par Djed SPENCE (4), qui a de plus en plus souffert face aux raids d'Ousmane Dembélé, et par Guglielmo VICARIO (4), qui aurait sans doute pu mieux faire sur le but de Lee Kang-in (85e), et qui n'a pas été décisif dans la séance des tirs au but.


Le Figaro
23 minutes ago
- Le Figaro
PSG : «Le football, ce n'est pas que le physique, c'est le mental aussi», savoure Marquinhos
Le capitaine parisien a fait le point après la victoire renversante du Paris-SG face à Tottenham ce mercredi, à Udine, en Supercoupe d'Europe. Marquinhos (capitaine du PSG, après la victoire en Supercoupe d'Europe ) : «Je suis fier. On n'a pas trop de préparation, mais le football, ce n'est pas que le physique, c'est le ballon, le mental, être bien placé, bien tactiquement… Tottenham a deux erreurs, ils ont été beaucoup derrière, ils nous ont invités à venir. Et c'est dangereux d'inviter le PSG à venir comme ça… On a fait les changements dont on avait besoin. Gonçalo (Ramos) est très bien rentré, on avait besoin d'un 9 pour mettre le ballon au fond. Tous les entrants… Et après, les tirs au but. On a fait confiance à Lucas (Chevalier). On le connaît. Il vient d'arriver. C'était le moment pour se rassurer. Et nos tireurs ont fait le boulot. La pression pour lui ? C'est comme ça le PSG (sourire). Bienvenue à lui ! Il faut résister à la pression. Il est habitué. C'est un gardien de haut niveau. Lille, ce n'est pas si facile que ça, il est en sélection… Bienvenue à lui, une finale, un trophée, il fallait assurer et il l'a fait. La concurrence ? Je suis très heureux, je suis là pour aider, personne n'a une place assurée. On l'a vu depuis que le coach (Luis Enrique) est là… Il faut être au meilleur niveau, toujours donner le maximum et c'est ce que je vais faire pour qu'il soit content de moi et que je garde ma place.» (sur Canal+)