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Le Figaro
13 minutes ago
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Ligue 1 : «Une histoire un peu montée»... Les «doutes» de l'avocat d'Adrien Rabiot quant aux raisons évoquées par l'OM pour écarter son joueur
Dans un entretien accordé à RMC, Romuald Palao a confié son sentiment, ainsi que celui du clan Rabiot, placé sur la liste des transferts par les dirigeants phocéens. Adrien Rabiot officiellement placé sur la liste des transferts du côté de l'OM. Tel a été le coup de tonnerre de ce mardi sur la Canebière. Une décision prise après la violente altercation, le 15 août dernier à l'issue de la défaite inaugurale en Ligue 1 de l'OM sur le terrain de Rennes (1-0), entre l'international français et son coéquipier Jonathan Rowe. Néanmoins, pour Romuald Palao, l'avocat de l'ancien Parisien, ce contexte ne servirait que d'excuse, comme il l'a affirmé sur l'antenne de RMC : «Ce qu'a communiqué le club, on a des doutes. Forcément qu'on a des doutes. Quand le club indique que le joueur a eu un comportement qui a changé, c'est faux. C'est complètement faux. On a l'impression effectivement qu'il y a une histoire qui est un peu montée et qu'on se sert de l'épisode de vendredi pour évincer Adrien. Pourquoi, je ne sais pas, il faudrait leur poser la question.» Publicité L'avocat a ensuite poursuivi : «Moi-même et la famille Rabiot avons des rapports plus que cordiaux avec le club. C'est l'incompréhension la plus totale. Je ne sais pas s'il y a eu des excuses. Adrien reconnaît qu'il y a eu une altercation, il est autant surpris et déçu que les gens qui l'entourent, encore plus que nous, parce qu'il est impliqué dans le projet. Il a fait une grosse saison, il s'est senti très bien dans le club, complètement intégré et accepté par les supporters. Il a vécu une saison idyllique et on pensait sincèrement qu'on allait continuer sur la même dynamique.» En attendant, Adrien Rabiot va devoir se trouver un nouveau club, et rapidement vu que le mercato estival rentre dans sa dernière ligne droite. Ce qui n'inquiète pas Palao : «Le club a indiqué qu'il souhaitait se séparer du joueur mais on ne peut pas indiquer vouloir se séparer d'un joueur et venir réclamer des sommes hallucinantes. Oui, forcément qu'on va regarder ce qu'il se passe. Il y a des clubs qui sont venus dans le courant de l'été, certains se sont manifestés ces derniers jours et un peu plus aujourd'hui. Il va y avoir des propositions.»


Le Figaro
13 minutes ago
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Liga : un petit Real Madrid, vainqueur grâce à Kylian Mbappé
Les clubs favoris et les joueurs à suivre pendant la Coupe du Monde des Clubs 2025 Du 14 juin au 13 juillet 2025, les regards du monde entier seront tournés vers les États-Unis pour une première historique : une Coupe du Monde des Clubs élargie à 32 équipes. Un mois de compétition, 12 stades, des affiches de rêve… et une question centrale : qui soulèvera ce tout nouveau trophée ?

L'Équipe
13 minutes ago
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« On ne met pas un mec dehors pour ça » : devenu indésirable à l'OM, Adrien Rabiot tombe de haut
L'international français Adrien Rabiot n'a absolument pas compris la décision de l'Olympique de Marseille à son égard, comme la grande majorité de ses coéquipiers. En quelques heures, très agitées, Adrien Rabiot est passé de cadre du vestiaire marseillais à élément indésirable invité à s'en aller dans les dix derniers jours du mercato. Véronique Rabiot, mère et agente du joueur, assurait mardi après-midi avoir appris, par le club, son souhait de voir partir le milieu de terrain, « officiellement à cause de son manque d'implication depuis le stage aux Pays-Bas ». L'international français (30 ans, 53 sélections) et son entourage n'ont pas compris la décision de l'Olympique de Marseille et n'acceptent pas qu'on puisse remettre en question son professionnalisme et son investissement. Un sentiment partagé dans le vestiaire marseillais. L'ancien Parisien s'en est ému auprès de ses proches, mettant en avant ses efforts pour venir à Marseille, pour s'y investir sur et en dehors du terrain, puis ceux réalisés pour rester une saison supplémentaire afin de vivre la Ligue des champions. Avant la première journée à Rennes (0-1, vendredi), Rabiot clamait encore son amour pour l'OM dans les colonnes de la Provence : « Je me suis vraiment concentré sur l'OM (cet été). Des clubs sont venus, mais j'avais donné ma parole au président (Pablo Longoria), à Medhi (Benatia, le directeur du football), et on est restés là-dessus. (...) Il y avait des offres alléchantes, mais je veux vivre des émotions, prendre du plaisir et en donner aux supporters. (...) Quand je suis quelque part, je m'investis pleinement. Je suis arrivé avec les meilleures intentions l'été dernier et j'ai apporté tout ce que je pouvais. (...) On a mis en place quelque chose avec le coach, le staff et tout le monde. Je voulais en faire partie. » « C'est le meilleur homme que j'aie eu dans un vestiaire dans toute ma carrière. » Pablo Longoria, président de l'OM, au sujet d'Adrien Rabiot dans un documentaire paru cet été À l'OM, Rabiot était plus qu'un joueur, puisqu'il n'était pas rare de le voir échanger avec Benatia, qui s'était d'emblée appuyé sur lui pour transmettre ses principes d'exigence. Star, international, guide pour le reste du groupe, l'ancien Parisien était tout cela à la fois et les dirigeants étaient unanimes sur ses qualités humaines : avec un tel gentleman, répétaient-ils, il n'y a pas besoin de signer des contrats, une poignée de main suffit car la confiance régit tout. « C'est le meilleur homme que j'aie eu dans un vestiaire dans toute ma carrière, disait Longoria dans un documentaire mis en ligne par le club cet été. C'est un exemple de travail, un exemple comme personne. » « J'ai connu beaucoup de tops joueurs, poursuivait Benatia. "Adri", au-delà d'être un top joueur, dans la tête, c'est du béton armé. » À l'OM, si l'on estime maintenant que le niveau de Rabiot, depuis son retour de vacances, n'était pas « satisfaisant », on expliquait mardi soir que c'était la bagarre avec Jonathan Rowe dans le vestiaire après la défaite à Rennes qui avait poussé le club à décider de se séparer des deux éléments. Et seulement cela. Une thèse rejetée du côté de Rabiot. On expliquait que de telles scènes pouvaient arriver dans tous les grands clubs du monde et qu'elles devaient être réglées en interne, par des sanctions sportives ou financières, mais jamais en souhaitant se séparer d'un joueur aussi important. « On ne met pas un mec dehors pour ça », disait-on autour du joueur. PSG, équipe de France... Avant l'OM, les autres « affaires Rabiot » On mettait en avant une théorie différente, loin de la confiance mutuelle affichée en public ces dernières semaines. En fin de contrat dans un an avec l'OM, après s'être engagé pour deux saisons en septembre dernier, Rabiot avait un accord avec ses patrons : s'il n'était pas satisfait, il pouvait partir libre en juin. Il était très heureux et il est donc resté, sauf que la suite était plus nébuleuse. Il négociait une prolongation avec ses dirigeants depuis plusieurs semaines, mais les discussions n'avançaient pas. Certains prêtent à l'OM une volonté de rentrer dans ses frais en utilisant « l'affaire rennaise » pour pouvoir vendre le Français avant la fin du mercato, et ainsi faire une opération financière. « Ce sera à nos conditions », lâchait-on à l'OM en parlant d'un futur transfert. Le club espère au moins 15M€ de la vente de Rabiot, mais ne s'est pas placé dans la meilleure position pour négocier. L'AC Milan de Massimiliano Allegri, ancien entraîneur du Français à la Juventus Turin, a déjà montré son intérêt, tout comme des clubs saoudiens. L'année dernière, Monaco était intéressé. Insultes, coups échangés : ces instants qui ont mené à une bagarre dans le vestiaire de l'OM


L'Équipe
13 minutes ago
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Grâce à un penalty de Kylian Mbappé, le Real Madrid débute sa saison par une petite victoire contre Osasuna
Dans un match plutôt terne, le Real Madrid s'en est remis à un penalty obtenu et transformé par Kylian Mbappé pour remporter son premier match de Liga contre Osasuna (1-0) mardi soir. Le match : 1-0 Une reprise au petit trot, mais une reprise victorieuse pour le Real Madrid. Opposés à Osasuna, mardi pour leur premier match de Liga, les joueurs de Xabi Alonso se sont imposés petitement (1-0) grâce à un penalty obtenu et transformé par Kylian Mbappé (51e). Une victoire logique, acquise devant une équipe navarraise extrêmement regroupée devant sa surface (moins de 30 % de possession) et qui n'a tenté que 2 tirs sur l'ensemble de la partie. Le Real Madrid, avec les trois nouveaux défenseurs Dean Huijsen (ex-Bournemouth), Trent Alexander-Arnold (ex-Liverpool) et Alvaro Carreras (Benfica) au coup d'envoi, s'est d'abord englué dans un faux rythme. En dehors de deux occasions timides pour Mbappé (25e, 36e), les Merengues s'en sont remis à deux frappes de loin de leurs centraux pour inquiéter un tant soit peu Sergio Herrera, le gardien d'Osasuna, attentif devant Huijsen (18e) puis Éder Militao (26e). Les Merengues ont finalement bénéficié de l'une des seules erreurs de la défense adverse pour enfin faire sauter le verrou. Néanmoins, ils n'ont pas su se mettre à l'abri, malgré une occasion d'Aurélien Tchouaméni sur corner (73e) ou une frappe de l'entrant Franco Mastantuono (89e). Et ont même esquissé quelques frissons en fin de match, même si la pression d'Osasuna a paru trop timide pour réellement inquiéter le Real Madrid. À l'arrivée, seules les entrées conjointes de Dani Carvajal (68e), de retour au Bernabeu dix mois après sa rupture des ligaments croisés, et de la recrue argentine Mastantuono, tout juste 18 ans, ont donné un semblant d'intérêt au second acte - Rodrygo, lui, s'est échauffé mais n'est pas rentré en jeu, et son avenir à Madrid demeure incertain. Osasuna a, au passage, terminé à dix après le rouge de son piston Abel Bretones en toute fin de match pour une charge à l'épaule et sans ballon sur Gonzalo Garcia (90e + 4). Le joueur : Kylian Mbappé Il fallait un éclair pour débloquer un match si cadenassé, et Mbappé s'y est collé. En plaçant une accélération furtive à droite de la surface puis en feintant le centre, le nouveau numéro 10 madrilène a profité de la naïveté de Juan Cruz pour obtenir un penalty. Le Français l'a lui-même transformé (51e) en prenant Herrera à contre-pied. Au-delà de son but, il est apparu en jambes, à l'image de cette roulette au milieu de quatre défenseurs (66e), même s'il aurait pu mieux faire sur une frappe topée (25e) et une autre pas assez enroulée (36e) en première période.


Le Parisien
13 minutes ago
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Premier League : Mohamed Salah sacré joueur de l'année pour la 3e fois, un record
L'attaquant vedette de Liverpool Mohamed Salah est devenu mardi le premier joueur à remporter pour la troisième fois le titre de joueur de l'année en Premier League, décerné par la PFA (Association des footballeurs professionnels). L'Égyptien sort d'une saison florissante avec un 20e titre de champion d'Angleterre conquis par les Reds et un total personnel de 29 buts et 18 passes décisives. Salah avait déjà été sacré joueur de l'année lors des saisons 2017-2018 et 2021-2022. Ces derniers mois, le joueur de 33 ans a également reçu deux autres prix du joueur de l'année, décernés l'un par l'Association des journalistes de football et l'autre par la Premier League. Mohamed Salah is the PFA Players' Player of Year. 🏆#PFAawards — PFA (@PFA) August 19, 2025 Saliba dans l'équipe type Outre Salah, l'équipe de l'année 2024-2025 de la PFA Premier League compte plusieurs joueurs de Liverpool : Virgil van Dijk, Ryan Gravenberch et Alexis Mac Allister. Le défenseur hongrois Milos Kerkez, qui a rejoint les Reds en juin en provenance de Bournemouth, complète la liste tout comme le trio d'Arsenal composé de William Saliba, Gabriel Magalhaes et Declan Rice. Matz Sels et Chris Wood y figurent également après leur belle saison à Nottingham Forest (7e de Premier League), tandis que l'attaquant de Newcastle Alexander Isak, qui souhaite quitter le club, figure dans l'équipe après avoir terminé deuxième meilleur buteur derrière Salah. À voir aussi