logo
Rugby : «C'était juste une gêne au mollet», Andy Farrell rassurant après le forfait de Pollock contre les Waratahs

Rugby : «C'était juste une gêne au mollet», Andy Farrell rassurant après le forfait de Pollock contre les Waratahs

Le Figaroa day ago
Le flanker de Northampton avait dû déclarer forfait avant le troisième match des Lions britanniques et irlandais, ce samedi.
L'entraîneur des Lions britanniques et irlandais, Andy Farrell, a déclaré que le forfait d'Henry Pollock avant le coup d'envoi n'était qu'une mesure de précaution et a indiqué qu'aucun autre joueur n'avait été blessé à l'issue de la victoire contre les Waratahs de Nouvelle-Galles du Sud, ce samedi. Pollock, auteur d'une ascension fulgurante cette année, avait été titularisé au poste de troisième-ligne aile pour son troisième match avec les Lions, mais a été retiré de la feuille de match à la dernière minute avant la rencontre au Sydney Football Stadium.
«C'était juste une gêne au mollet, une petite contracture ressentie ce matin, donc avec les informations qu'on avait, il n'y avait aucune raison de prendre un risque», a expliqué Farrell aux journalistes après la victoire peu convaincante 21-10. Les Lions avaient déjà perdu des joueurs pour le reste de la tournée lors de leurs deux premiers matchs en Australie, avec la blessure aux ischio-jambiers du demi de mêlée Tomos Williams et la fracture du bras d'Elliot Daly. Farrell a confirmé qu'aucun joueur n'avait été blessé samedi. «C'est un point positif à ce stade», a-t-il déclaré.
Orange background

Essayez nos fonctionnalités IA

Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :

Commentaires

Aucun commentaire pour le moment...

Articles connexes

« Au réveil, tout le monde souriait » : un lendemain qui chante pour les Bleues après leur exploit face à l'Angleterre
« Au réveil, tout le monde souriait » : un lendemain qui chante pour les Bleues après leur exploit face à l'Angleterre

L'Équipe

time8 hours ago

  • L'Équipe

« Au réveil, tout le monde souriait » : un lendemain qui chante pour les Bleues après leur exploit face à l'Angleterre

Alice Sombath et ses coéquipières de l'équipe de France, rentrées à Heiden dans la nuit de samedi à dimanche, ont savouré leur victoire avec panache sur l'Angleterre (2-1), tenante du titre. Dimanche, la plupart ont pu profiter de leurs proches. Dans la chaude nuit de Zurich, Lou Bogaert est d'humeur taquine après le succès initial des Bleues dans l'Euro face aux championnes d'Europe anglaises (2-1, samedi). La latérale gauche de 21 ans, qui s'apprête à monter dans le car, se tourne vers le parvis du stade du Letzigrund et crie, hilare, « salut les losers ! » en s'adressant à ses proches, venus nombreux pour assister à ce choc de la première journée. Pas entrée en jeu, elle avait encore beaucoup d'énergie, au contraire de ses coéquipières. « C'était très calme dans le car, on était mortes », souriait Alice Sombath, dimanche, à propos du trajet nocturne jusqu'au camp de base de Heiden, où une collation a été servie aux joueuses et au staff vers 3 heures du matin. Tout ce petit monde avait quitté le stade à 0 h 45 après avoir célébré la victoire dans le vestiaire et reçu la visite de Philippe Diallo et Jean-Michel Aulas. Le président de la FFF et le vice-président délégué au football féminin leur ont exprimé toute leur fierté. « Mais il ne faut pas s'enflammer », ont-ils rappelé. Le discours de Marie Barsacq a marqué un peu plus les joueuses. En substance, la ministre des Sports les a assurées de son soutien dans la promotion de leur discipline et a redit combien ce succès était important pour inciter les petites filles à la pratiquer. En attendant, les Bleues peuvent déjà compter sur des fans dévoués. Le virage français était plein (2 400 spectateurs) et bruyant, et il fallait voir les jeunes supportrices extatiques, tard aux abords du Letzigrund : parées de maillots floqués Sombath, Estelle Cascarino et même Perle Morroni, elles étaient très fières des Bleues. « Même moi j'étais surprise d'en voir autant, s'est enthousiasmée Sombath. On a voulu venir les voir et les remercier de leur soutien. » Avec une Selma Bacha en chef de file, immense drapeau tricolore en main, la communion a été magique. Mbock s'entraîne toujours à part Les « qui ne saute pas n'est pas français » ont raisonné dans ce stade qui avait été le cimetière des espoirs tricolores, en 2008, quand les Bleus de Raymond Domenech avaient été éliminés au premier tour de l'Euro par l'Italie (0-2). En plus des fans, les joueuses ont pu compter sur le soutien de leurs proches (160 personnes). Excellente remplaçante de Griedge Mbock (blessée), Sombath a disputé son premier match dans un Euro devant ses parents, son frère et plusieurs amis. « Cela fait du bien de voir de nouvelles personnes, parce que cela fait quand même trois semaines qu'on voit toujours les mêmes, s'est-elle marrée. On ne se lâche pas ! » La Lyonnaise de 21 ans n'a pas pu profiter de son entourage, déjà reparti vers Paris, lors du temps libre de dimanche : « On va sortir prendre l'air avec Marie (Katoto) et les autres. Comme d'habitude », a-t-elle plaisanté, bien contente dans le fond de passer encore plus de moments avec ses coéquipières. Les familles de Clara Mateo, Justine Lerond, Amel Majri, Melvine Malard et Constance Picaud, elles, ont pu prolonger leur séjour auprès des joueuses. Elles ont assisté à l'entraînement des remplaçantes et de celles qui n'ont pas joué contre les Lionesses, en compagnie de Mbock. Tandis que les titulaires sont restées aux soins, à l'hôtel Heiden, la capitaine française n'a toujours pas repris avec le groupe et a dû se contenter d'une nouvelle séance en salle. Touchée au mollet droit (fatigue musculaire), elle a surtout encouragé ses coéquipières, notamment la défenseuse Thiniba Samoura à laquelle elle a distillé de nombreux conseils. « Allez Kelly, la prochaine sera la bonne », a-t-elle lancé aussi à Kelly Gago quand celle-ci a manqué une frappe sur un exercice devant le but. À la fin de la séance arrosée par deux averses, Picaud a été rejointe par sa fille Anaë (1 an), toute contente d'avoir le gant de sa mère sur sa petite main. « Oh non, ça pue ! », a grimacé Lerond, la gardienne numéro 3 des Bleues. Laurent Bonadei, lui, est venu taper dans la main de chacune de ses joueuses pour les remercier et les féliciter de leur implication à l'entraînement. La bonne humeur est contagieuse dans l'équipe et une longue séance d'autographes a comblé de bonheur deux équipes normandes, dont une de Saint-Lô, de passage dans la région pour disputer un match amical sur les installations du FC Staad. Comme lors de la conférence de presse de la mi-journée, à laquelle ont pris part Marie-Antoinette Katoto et Sombath, l'ambiance était à la détente. Sans plus de pression ou d'excès de confiance. « Au réveil, tout le monde souriait, on était contentes de notre match, c'était important de commencer par une victoire », a confié la jeune défenseuse. « Ce n'est qu'un match de groupes, il ne valait que trois points », avait tempéré Elisa De Almeida, venue très tardivement en zone mixte. Mercredi, il faudra le faire fructifier face au pays de Galles. À lire aussi Miquel : «Le but refusé leur a mis un coup de boost» Comme des Lionnes d'entrée Comment le Bayern a réussi à bousculer le PSG Olivier Cloarec président, ça se précise

Euro féminin 2025: «Il fallait que je fasse une grosse performance», affirme Alice Sombath
Euro féminin 2025: «Il fallait que je fasse une grosse performance», affirme Alice Sombath

Le Figaro

time10 hours ago

  • Le Figaro

Euro féminin 2025: «Il fallait que je fasse une grosse performance», affirme Alice Sombath

Remplaçante de Mbock ce samedi, Alice Sombath est revenue sur sa titularisation et sur la victoire des siennes contre l'Angleterre (2-1). Alice Sombath, alignée à 21 ans en défense centrale de l'équipe de France à la place de Griedge Mbock, forfait, savait «qu'il y avait des attentes autour» d'elle, après sa performance solide face aux Anglaises, championnes d'Europe en titre. «J'étais sereine, je suis une personne calme, il y avait de la pression mais une bonne pression, je sais en jouer», a réagi après la victoire des Bleues (2-1) la jeune défenseuse en zone mixte. «C'était à moi de faire une grosse performance, je savais qu'il y avait des attentes autour de moi, j'ai juste donné le meilleur de moi-même», a-t-elle dit. «C'est avec des matches comme cela que je prends de l'expérience, je continue d'apprendre», a ajouté la native de Charenton-le-Pont, en banlieue parisienne. «C'était un gros match donc il fallait que je fasse une grosse performance», a-t-elle poursuivi. Publicité Elle a fait plusieurs interventions importantes devant l'attaque anglaise dont Alessia Russo, qu'elle avait rencontrée en demi-finale de Ligue des champions avec l'OL Lyonnes contre Arsenal. «Cela m'a aidé de jouer contre la même attaquante même si c'est différent avec l'équipe nationale», a-t-elle commenté. Avec cinq sélections, elle a été alignée aux côtés de Maëlle Lakrar (25 ans) en charnière centrale en raison du forfait de la capitaine Griedge Mbock, touchée à un mollet. Les deux joueuses avaient jusque-là 17 minutes de jeu ensemble.

« Regarder les All Blacks dans les yeux jusqu'au bout » : Laurent Sempéré plante le décor de la revanche des Bleus contre la Nouvelle-Zélande
« Regarder les All Blacks dans les yeux jusqu'au bout » : Laurent Sempéré plante le décor de la revanche des Bleus contre la Nouvelle-Zélande

L'Équipe

time13 hours ago

  • L'Équipe

« Regarder les All Blacks dans les yeux jusqu'au bout » : Laurent Sempéré plante le décor de la revanche des Bleus contre la Nouvelle-Zélande

Après avoir analysé le premier test des Français face aux All Blacks, perdu de peu samedi (31-27), Laurent Sempéré, entraîneur adjoint de Fabien Galthié en charge des avants, a planté le décor de la montée vers la revanche, dans six jours à Wellington. Il est 20 heures, à l'hôtel Rydges de Wellington. La nuit noire est tombée sur la capitale, le froid mord sèchement la ville. Le bar de l'établissement où les Bleus viennent de poser leurs valises partage sa salle avec un steakhouse dont les effluves de viande grillée chatouillent les naseaux et les papilles. Laurent Sempéré, entraîneur en charge des avants, n'a pas encore dîné. Le transit depuis Dunedin a été long, et une réunion s'est tenue dès l'arrivée afin de poser sur la table la lecture du match de chacun. Une méthodologie autant qu'un rituel, que détaille l'adjoint de Fabien Galthié : « On le fait le lendemain de match, chacun dans son coin, chacun par son prisme, sans être pollué par les avis des autres. Ensuite, on se rejoint et on fait un débrief ouvert, qui dure souvent plus de deux heures, où l'on échange sur des images. Chacun dit ce qu'il veut : des choses positives, négatives, et potentiellement des éléments qui peuvent nous servir pour le match suivant. » Comment préparer une équipe en cinq entraînements chrono ? Galthié aime répéter que l'environnement du XV de France est un univers stressé, où le temps est un luxe que l'on peut tout juste regarder en vitrine. Alors, quand il s'agit de configurer une équipe avec autant de novices pour défier les All Blacks, finalement vainqueurs de justesse, samedi (31-27), par quoi commence-t-on ? « Un de nos grands principes, c'est de maîtriser les choses simples, avec une stratégie bien précise, comprise et portée par tous, poursuit Sempéré. Avant le test de Dunedin, on avait cinq entraînements, et un match à Twickenham. Ce match a été super important dans la construction de ce groupe, parce qu'il a permis à des mecs de toucher un niveau international qu'ils ne connaissaient pas, et parce que, malgré un scénario contraire, ils sont allés chercher une victoire (24-26). » Chaque jour, chaque heure étant comptés, le staff fait passer le message à tous, spécialement aux nouveaux, qu'il faut gagner du temps, et donc communiquer le plus ouvertement et le plus vite possible. « Pour gagner du temps, il faut casser cette bulle qu'on a tous autour de nous » Laurent Sempéré, entraîneur des avants du XV de France « Il n'y a pas de questions bêtes, et nous, coaches, devons être disponibles 24/24, affirme le technicien de 40 ans. C'est aussi l'avantage d'être en tournée. Pour faire germer l'idée que la performance est possible, pour dénouer un noeud chez un joueur, ça peut se passer au café, dans l'ascenseur, à la muscu ou en tapant à la porte de sa chambre. Si tu vois le joueur arriver de l'autre côté du couloir et qu'il tourne la tête, peut-être que c'est le moment de le laisser tranquille (sourire). Il y a eu des discussions fortes, oui. » Plus terre à terre, ce qui a aidé cette équipe à croire en elle, c'est « le niveau des entraînements à 42, effectif contre effectif. Une prise de conscience s'est produite. Un seul entraînement a été moins bon, le premier en arrivant ici. C'est peut-être la pression d'arriver sur le sol des Blacks, de mesurer l'enjeu. » Sur la route de Dunedin, un autre signal a permis de sentir que le ciment prenait : l'entraînement du capitaine, la veille du match, fut, au dire du staff, un des meilleurs de l'ère Galthié, par sa précision et son intensité. La mi-temps, l'autre « moment fort de la journée » C'est humain, et même rassurant : un des faits saillants du débrief de ce premier test reste la note d'amertume, la même au coucher qu'au réveil, « parce que les occasions de gagner en Nouvelle-Zélande sont très rares, souligne Sempéré. Mais pour le reste, l'état d'esprit des joueurs a été formidable. On a noté aussi ce qui s'est passé pendant la mi-temps, les clés qu'on a chacun pu amener, le rôle du capitaine (Gaël Fickou), tout a été très bénéfique. La mi-temps a été un moment fort de la journée. » L'ardeur déployée pour rattraper les coups et pour plaquer a été relevée, comme l'ont été les erreurs, parfois grossières, qui ont ouvert des espaces aux Blacks. « Le plus gros de la performance défensive ce week-end, ç'a été la façon dont on a pu perturber les libérations des Néo-Zélandais, ralentir leurs rucks. Ils nous ont joué pas mal de côtés fermés. On ne s'y attendait pas. On a bien réussi à bloquer leur jeu de passes devant la défense, notamment en fermant bien à l'extérieur. Mais on s'est fait breaker par un retour intérieur. Tout mis bout à bout, le bilan, c'est que tout ce qu'on a travaillé, tout le temps investi, les joueurs l'ont rendu sur le terrain. Il n'y a pas eu de déperdition. » La fierté comme « plus gros levier » de préparation La belle performance de Dunedin ne fera pas oublier au staff que ce premier résultat rageant entre dans un ensemble, avec une intention réelle derrière : « On est obligés de se projeter très vite sur le match. On a eu un peu le sourire dans le vestiaire, mais il a fallu vite se mettre au travail pour le deuxième test », insiste l'adjoint de Galthié. Pour le deuxième match de la série, samedi (9h05) à Wellington, quelle sera la tentation : faire confiance à l'équipe qui s'est procuré une balle de match, ou changer ? « On est conscients qu'on va amener des évolutions, mais toujours en maîtrisant le temps que cela prend pour les entraîner, pour les introduire, affirme Sempéré. Là, on récupère les finalistes (Pierre Bochaton, Nicolas Depoortère, Bastien Vergnes-Taillefer, Pierre-Louis Barassi et Joshua Brennan). Ils vont nous amener de la fraîcheur. Il va falloir les intégrer à ce projet. On va donc mesurer un peu le bénéfice-risque de l'évolution. » Des nouvelles séances de la semaine naîtra l'équipe du second test, avec toujours le même levier de motivation. « Le plus gros levier, c'est de les regarder dans les yeux jusqu'au bout et gagner une nouvelle balle de match, assure l'ex-talon parisien. C'est ce qui, cette semaine, va nous motiver. Tout en sachant qu'en face, on a une machine très bien huilée. » Et que les intentions néo-zélandaises devraient rester les mêmes, avec une chance de les voir progresser, encore, eux aussi. « On sait qu'ils veulent mettre de la vitesse. Ils ont réussi à le faire, mais on leur en a ralenti aussi, et ils ont eu aussi beaucoup de déchets. Est-ce que ce sont eux qui n'ont pas bien fait, ou nous qui avons bien fait ? » À lire aussi Holland, le colosse qui a contenu les Bleus pour sa première avec les All Blacks Pas réalistes, maladroits, surpris : les Blacks en ont bavé Ces Bleus n'ont rien d'une équipe «bis» Un pari réussi par les Bleus

TÉLÉCHARGER L'APPLICATION

Commencez dès maintenant : Téléchargez l'application

Prêt à plonger dans un monde de contenu mondial aux saveurs locales? Téléchargez l'application Daily8 dès aujourd'hui sur votre app store préféré et commencez à explorer.
app-storeplay-store