L'horoscope gratuit du lundi 28 juillet 2025
Chaque jour, retrouvez l'horoscope gratuit avec Christine Haas (Instagram : @chrishaasoff) sur le site du Figaro avec TV Magazine .
L'horoscope du lundi 28 juillet 2025
La colère est une émotion fondamentale, souvent mal comprise, qui trouve ses racines bien au-delà des événements immédiats. Aujourd'hui, nous abordons à nouveau ce sujet car le climat actuel, chargé d'incertitudes et de tensions, peut exacerber ce sentiment chez beaucoup d'entre vous, notamment si vous êtes Vierge, Poissons, Gémeaux ou Sagittaire. Ces signes, chacun à leur manière, semblent porter une colère intérieure persistante, qui pourrait paraître comme une part immuable de leur être. Alors, une question se pose : seriez-vous né en colère ? En astrologie, la manière dont vous gérez la colère, est intimement liée à la configuration de vos planètes à la naissance. Par exemple, la Vierge, signe de Terre mutable, est souvent associée à une critique intérieure intense et un besoin de contrôle. Cette tension silencieuse peut générer une colère intériorisée, une frustration accumulée face à un monde qu'elle trouve imparfait. Les Poissons, signe d'Eau mutable, sont profondément empathiques mais parfois submergés par des émotions qu'ils n'arrivent pas toujours à exprimer, ce qui peut créer une colère mélancolique et diffuse. Les Gémeaux, signe d'Air mutable également, ont tendance à rationaliser leurs émotions, mais cette mentalisation constante peut aussi cacher une irritation exprimée par un humour mordant. Quant au Sagittaire, signe de Feu mutable, il valorise la liberté et la vérité, et peut ressentir de la colère lorsqu'il se sent limité ou mal compris. D'un point de vue psychologique, la colère intérieure est souvent le reflet de besoins non satisfaits, de blessures anciennes ou de peurs inconscientes. Se demander « Suis-je né en colère ? » ouvre la porte à une prise de conscience essentielle : la colère n'est pas une fatalité, mais un message.
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Nouvelles collections, visites guidées, activités familiales : pas de vacances pour la Cité du Vitrail à Troyes
Plus de 180 000 visiteurs sur ses deux premières années d'existence ! 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Pour capter l'attention et donner envie au public de revenir, 60 % des œuvres ont été remplacées, notamment dans la fameuse galerie des vitraux qui permet de les contempler à hauteur de regard. « L'objectif était de trouver des œuvres qui soient à la fois percutantes, marquantes, esthétiquement un petit peu sensationnelles, et qui puissent créer un parcours qui ait quand même une cohérence chronologique », précise Anne-Claire Garbe, conservatrice du patrimoine à la Cité du Vitrail. Pour cela, la salle a été réorganisée en 3 espaces : le 1er autour du vitrail ancien et d'un cycle de plusieurs panneaux du XVIe siècle de l'abbatiale Saint-Férréol d'Essômes-sur-Marne (Aisne). Il propose de se plonger dans la vie de Saint-Augustin, théologien chrétien du Ve siècle. Ce personnage est indirectement lié à l'histoire de l'Hôtel-Dieu puisque les religieuses de l'ordre de Saint-Augustin lui ont donné une vocation hospitalière dès sa création en 1157. Parmi les vitraux mis en avant cet été à Troyes, un ensemble dédié à saint Augustin. LP/Jonathan Sottas La deuxième partie de la salle est consacrée aux expositions universelles à travers 4 ensembles de vitraux. « Pour l'histoire de l'art du vitrail, ces expositions universelles ont joué un rôle très important dans la considération du vitrail en tant qu'œuvre d'art et non plus seulement en tant qu'art mineur soumis à l'architecture », souligne Anne-Claire Garbe. L'occasion de retrouver la sainte Radegonde de Jean-Hébert Stevens, exposée en 2024 dans la galerie temporaire consacrée à Notre-Dame, et qui a été conçue pour l'exposition universelle de Paris en 1937. Le vitrail, un art contemporain Enfin, le troisième espace est consacré à l'époque contemporaine avec en point d'orgue une présentation du travail préparatoire des vitraux de Notre-Dame d'Acey (Jura) dans les années 1990 par le peintre Jean Ricardon et le maître verrier Pierre-Alain Parrot. 47 vitraux cisterciens seront ainsi présentés à travers 3 baies d'essai, des dessins préparatoires ou encore des maquettes en verres. « On a toujours à cœur de montrer l'ancrage de cette pratique dans notre époque, et insister sur le fait que des artistes et maîtres verriers travaillent toujours le vitrail aujourd'hui », ajoute la conservatrice. Ce vitrail est la deuxième partie de l'oeuvre "Le Labour - La Moisson", créée pour le salon des artistes décorateurs de Paris en 1929 par le peintre et graveur français Jacques Simon. 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«Vous avez réservé?» : le coupe-file, nouveau tube de l'été
Le meilleur moyen pour réduire les délais d'attente pour des attractions ou au musée est de réserver, si c'est possible et n'implique pas un surcoût trop important. « Bonjour, vous avez réservé ? ». Si vous répondez par l'affirmative, vous ne devriez pas attendre longtemps avant de déguster votre salade tomate et mozzarella au restaurant, ou découvrir votre chambre. Cette même question est de plus en plus posée à l'entrée de musées, de parcs d'attractions ou encore d'activités recherchées comme l'accrobranche. Pour éviter de faire le pied de grue, ils proposent de choisir à l'avance un créneau horaire précis. À découvrir Voyages sur mesure : découvrez les offres de nos partenaires Cela a d'abord été le cas des sites les plus visités. Ainsi, la tour Eiffel, qui est dans le top dix des sites touristiques nationaux payants les plus fréquentés, a mis en place dès 2005 un système de réservation en ligne, à la fois pour réduire le temps d'attente, mieux gérer les flux et renforcer la sécurité. Le choix de l'horaire, en plus de celui de l'étage et du mode d'accès -ascenseur ou escalier-, est possible depuis 2008. Il est devenu quasi obligatoire depuis le Covid. Publicité Filotomatix Même tendance à l'étranger : le Musée du Vatican à Rome ou encore, depuis 2019, le Guggenheim à Bilbao ont mis en place des accès dédiés pour les détenteurs d'un billet horodaté. « Aujourd'hui, 47% des visiteurs viennent avec des billets achetés en ligne, avec ou sans visite guidée, 6% ont un accès direct (Amis du Musée, invitations...), les autres les achètent sur place », explique-t-on chez cet établissement, partenaire du musée éponyme de New York. Le tout, précisons-le, sans surcoût. Dans les parcs d'attractions, grandes stars de l'été, l'accès coupe-file est en revanche monétisé. Il est considéré comme un service complémentaire, qui peut être personnalisé. Disneyland Paris propose, par exemple, deux offres Disney Premier Access, autrefois appelées « fastpass ». La formule « one » permet pour 5 à 18 euros d'accéder directement à une attraction choisie ; et l'« ultimate », laissez-passer pour 17 sur 53 attractions, au prix variant selon la période, de 90 et 160 euros. Le Parc Astérix propose même quatre formules de coupe-file -les bien nommés «Filotomatix»- permettant de diminuer, voire supprimer les files d'attente. Le Futuroscope, près de Poitiers, a imaginé deux formules- un pass premium, dès 40 euros, pour cinq attractions, un pass gold pour l'ensemble des manèges et spectacles à partir de 99 euros- plus une formule VIP. « 400 pass Premium et une centaine de pass Gold maximum par jour en cas de haute fréquentation (entre 10 et 15 000 visiteurs) sont prévus, précise-t-on. La formule « VIP Expérience » reste marginale compte tenu du faible volume vendu. Il s'agit d'une clientèle qui souhaite être accompagnée et bénéficier d'un service personnalisé, souvent une clientèle étrangère. » Sentiment d'urgence Une remarque qui a son importance. « Les billets coupe-file ne sont pas encore réellement démocratisés en France, ni en Europe », estime Grégory Cassiau, directeur des Conteurs, une agence bordelaise spécialisée dans l'accompagnement d'acteurs touristiques, qui a créé en 2020 le site PassPass pour mieux présenter l'offre en la matière, notamment européenne et française. Publicité « Les billets coupe-file sont souvent inclus dans des citypass, mêlant transports et accès aux lieux touristiques, ce qui permet à la fois d'optimiser la visite de la ville et de construire le programme à l'avance. Les étrangers les utilisent en France, mais les Français non, alors qu'ils le font ailleurs, expose ce spécialiste. C'est à la fois dû à ce moindre sentiment d'urgence, on se dit qu'on va revenir à Lyon ou Marseille et ce n'est pas grave si on n'accède pas à un musée, à l'habitude de dépenser moins pour des vacances en France et aussi parce que beaucoup de lieux ne sont pas encore digitalisés », complète-t-il. Péages Chaque été à sa chanson emblématique et « payer plus pour profiter plus » commence donc à en faire partie. Y compris l'hiver : dans le sillon des Arcs, les stations de ski s'emparent en effet des billets coupe-file. Ce n'est pas encore le cas des autoroutes, mais les péages à flux libre, sans barrières, qui se généralisent ont la même promesse : plus besoin de patienter. Présents sur l'A79, A4, A14, A13, et bientôt sur l'A69 et A40, ces péages calculent automatiquement les trajets et les paiements, avec un délai de 72 heures pour régler. Signalons, enfin, que dans de rares cas, la réservation permet, en plus du temps, d'économiser de l'argent. Ainsi, le complexe aquatique Aquaboulevard offre, pour une réservation effectuée plus de cinq jours avant la visite, une réduction de 10%. Avis aux intéressés !
