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Canicule : six départements supplémentaires du Sud en vigilance orange vendredi, 11 au total

Canicule : six départements supplémentaires du Sud en vigilance orange vendredi, 11 au total

Le Parisien3 days ago
La nouvelle vague de chaleurs extrêmes qui s'apprête à toucher la France va progressivement gagner en intensité. Six départements supplémentaires ont été placés ce jeudi après-midi en vigilance orange canicule pour la journée de vendredi, portant le total à 11 départements, a indiqué Météo France.
Le Lot, l'Aveyron, l'Ardèche, la Drôme, l'Isère et la Loire sont ainsi venus s'ajouter au Tarn, au Tarn-et-Garonne, à la Haute-Garonne, aux Hautes-Pyrénées et au Rhône.
Pour vendredi 08 août 2025 :
🟠 11 départements en Vigilance orange
Restez prudents et informés :https://t.co/JGz4rTUvHP pic.twitter.com/5HzhO267Zy — VigiMétéoFrance (@VigiMeteoFrance) August 7, 2025
Le thermomètre pourrait atteindre, vendredi après-midi, jusqu'à 40 °C localement dans le quart sud-ouest du pays et de 35 à 37 °C dans le Centre-Est. Cette vague de chaleur s'explique par une remontée d'air chaud en provenance de l'Afrique du Nord.
Il fera, au plus chaud de la journée, plus de 35 °C et localement 40 °C dans la moitié sud du pays. En région parisienne, 32 °C sont attendus vendredi après-midi.
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En plein cœur de l'été, les rameaux formés au printemps évoluent : leur base commence à se durcir, tandis que leur extrémité reste souple. C'est ce stade intermédiaire, dit « aoûté », qui marque le moment idéal pour bouturer. Ni totalement herbacée, ni complètement ligneuse, cette tige semi-ligneuse présente l'équilibre parfait pour s'enraciner rapidement tout en étant moins sensible au dessèchement. À voir aussi Quelles plantes bouturer au mois d'août ? Du côté des espèces méditerranéennes, la bouture aoûtée convient à l'olivier, la sauge, le romarin ou la lavande, qui supportent mal les boutures trop tendres au printemps. La bouture aoûtée convient à une vaste gamme de végétaux avec un taux de réussite généralement plus élevé que pour les boutures herbacées. Les arbustes d'ornement figurent parmi les champions de la reprise en bouture aoûtée : laurier-rose, lavande, weigelia, buddleia, fuchsia, forsythia ou hortensia. Leur bois encore jeune mais déjà partiellement lignifié, développe facilement des racines en quelques semaines. Les plantes grimpantes comme le jasmin étoilé, la clématite ou le chèvrefeuille figurent parmi les espèces les plus populaires à multiplier en août. Voilà une belle occasion de couvrir vos treillages, murs ou clôtures à moindres frais. Du côté des espèces méditerranéennes, la bouture aoûtée convient à l'olivier, la sauge, le romarin ou la lavande, qui supportent mal les boutures trop tendres au printemps. Enfin, de nombreux arbres fruitiers à petits fruits se prêtent très bien à la bouture semi-ligneuses : groseilliers, cassissiers, vigne, kiwi, et bien sûr le figuier. Les plants ainsi obtenus sont fidèles au pied mère, de quoi multiplier les récoltes dans les années à venir. Quel matériel pour réussir les boutures semi-ligneuses ? Avoir un sécateur ou un ciseau bien affûté et désinfecté est la base pour réussir vos boutures. Même si la réalisation des boutures aoûtées ne demande pas un matériel de pro, un minimum d'équipement reste indispensable pour garantir de bonnes conditions de reprise. Avoir un sécateur ou un ciseau bien affûté et désinfecté (alcool ou flamme) est la base : la coupe doit être franche et propre pour éviter d'écraser les tissus et de favoriser l'entrée de maladies ; ou un ciseau bien affûté et désinfecté (alcool ou flamme) est la base : la coupe doit être franche et propre pour éviter d'écraser les tissus et de favoriser l'entrée de maladies ; Prévoyez aussi des contenants : godets, caissettes ou pots en plastique, avec des trous au fond pour permettre un bon écoulement de l'eau ; ou pots en plastique, avec des trous au fond pour permettre un bon écoulement de l'eau ; Une hormone de bouturage (en poudre ou en gel) est un plus, surtout pour les espèces réputées plus difficiles à enraciner. Une alternative maison consiste à utiliser une infusion de branches de saule, riche en acide salicylique naturel ; (en poudre ou en gel) est un plus, surtout pour les espèces réputées plus difficiles à enraciner. Une alternative maison consiste à utiliser une infusion de branches de saule, riche en acide salicylique naturel ; Enfin, prévoyez une cloche, un sac plastique transparent ou une mini-serre pour offrir des conditions optimales à vos boutures jusqu'à la reprise. Comment faire des boutures aoûtées ? Avant toute chose, préparez un substrat léger et drainant : un mélange à parts égales de sable et de terreau fin convient parfaitement. Vous pouvez aussi y incorporer un peu de perlite ou de vermiculite pour favoriser l'aération et limiter la rétention d'eau. Une fois tout le matériel préparé, il ne reste qu'à se lancer : Couvrez le contenant d'une cloche, d'un sac plastique maintenu par des tuteurs ou placez-le sous une mini-serre pour conserver l'humidité. Prélevez un rameau semi-ligneux d'environ 10 à 15 cm de long, sans fleurs ni fruits, en coupant juste sous un nœud ; Supprimez les feuilles de la base (sur un tiers à la moitié de la tige), et si besoin, raccourcissez celles du haut pour limiter la perte d'eau par transpiration ; Trempez la base de la bouture dans l'hormone de bouturage (ou infusion de saule) ; Plantez-la ensuite délicatement dans le substrat préalablement humidifié ; Tassez légèrement autour de la tige pour assurer un bon contact avec le substrat, puis arrosez en pluie fine ; Couvrez le contenant d'une cloche, d'un sac plastique maintenu par des tuteurs ou placez-le sous une mini-serre pour conserver l'humidité. Conservez vos boutures à la mi-ombre, dans une zone abritée, bénéficiant d'une chaleur douce et régulière (autour de 20 °C). Entretien des boutures aoûtées jusqu'à la reprise Les premières racines apparaissent en moyenne 4 à 6 semaines après la mise en terre, parfois un peu plus selon les espèces et les conditions. Pendant cette période, veillez à maintenir une humidité constante, sans excès, et à aérer régulièrement les protections (cloche, sac, mini-serre) pour éviter les moisissures. Dès que les premières pousses ou racines deviennent visibles sous le pot, commencez à aérer plus largement. Laissez la protection entrouverte quelques heures par jour pour acclimater progressivement la bouture. Lorsque le système racinaire est bien développé (environ 6 à 8 semaines), repiquez en godet individuel, dans un terreau plus riche et toujours bien drainé. Le jeune plant peut ainsi continuer sa croissance sans concurrence, tout en renforçant ses défenses avant la plantation en pleine terre. À lire aussi Réussissez toutes vos boutures de vigne grâce à cette méthode infaillible Comment prendre soin des jeunes plants bouturés pendant l'hiver ? Il est toutefois important de garder les jeunes plants bouturés à l'abri du froid et du gel la première année, d'autant plus pour les plantes frileuses. L'arrivée de l'hiver participe aussi au succès de la bouture aoûtée. En effet, la plante entre en repos végétatif peu de temps après l'enracinement. La sève redescend vers le réseau racinaire qui peut se renforcer pour mieux repartir au printemps suivant. Il est toutefois important de garder les jeunes plants bouturés à l'abri du froid et du gel (serre, garage lumineux, rebord de fenêtre non chauffé) la première année, d'autant plus pour les plantes frileuses. Réduisez drastiquement l'arrosage pendant cette période. Les jeunes plants pourront être replantés au jardin le printemps suivant, lorsque les températures seront plus clémentes. Liste récapitulative des boutures aoûtées à effectuer

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COMPLEXE - « Je l'ai toujours vécu comme un véritable échec. Cette incapacité me renvoie constamment à une forme de vulnérabilité. » Kamelia a 27 ans et pendant longtemps, cette jeune Parisienne a caché un secret : elle ne sait pas nager. Elle est pourtant loin d'être la seule. Selon une enquête de Santé Publique France datant de 2016, près d'un Français sur six (16,3 % exactement) ne sait ni flotter, ni mettre la tête sous l'eau, et encore moins esquisser quelques mouvements de nage. Si les seniors n'ayant jamais acquis cette compétence sont les plus nombreux, les jeunes ne sont pas épargnés, puisque 5,2 % des 15-24 ans et 9,2 % de 25-44 ans ne se sentent pas capables de se baigner là où ils n'ont pas pied, qu'ils soient à la mer ou à la piscine, rapporte l'agence nationale. Une réalité, donc, plus fréquente qu'on ne le croit, mais que beaucoup taisent par peur du jugement. Comme Kamelia qui a longtemps esquivé les sorties à la plage et les invitations à la piscine. « Je me punissais moi-même en me disant : 'Pourquoi aller à la plage si tu ne sais même pas nager ?' C'était comme si je n'en étais pas digne. Du coup, je restais sur ma serviette à bronzer, en faisant croire que je ne voulais pas mouiller mes cheveux - c'était devenu mon excuse favorite pour éviter d'aller dans l'eau », relate la jeune femme, qui avoue même avoir longtemps caché à son mari ce qu'elle considère être son « plus gros complexe ». « J'étais tellement honteuse à l'idée qu'il puisse me juger… Je ne voulais pas qu'il pense que j'étais moins capable ou qu'il me regarde différemment. » Une forme d'exclusion sociale Ce sentiment de honte, Mickaël* l'a également longtemps ressenti. Lui qui n'a jamais reçu de leçon de natation à l'école primaire se remémore avec amertume les virées entre copains à la plage quand il était ado. « Ils allaient loin, nageaient jusqu'à la bouée, et moi je restais au bord, l'eau au niveau des genoux, comme les enfants », lâche le quadragénaire, qui se souvient de s'être senti honteux, même s'il n'a jamais été la cible de moqueries. « Quand je disais que je ne savais pas nager, on était plutôt surpris. » « Aujourd'hui ne pas savoir nager reste tabou car dans la tête des gens, tout le monde sait nager », confirme auprès du HuffPost Véronique Dufresnes. Depuis 1982, cette maître nageuse et psychopédagogue accompagne à Paris des adultes « de 25 à 70 ans » n'ayant jamais appris à nager au sein de l'association Le Pied dans l'eau, qu'elle a cofondée, et qui privilégie une approche douce, bienveillante et surtout personnalisée de la baignade. Comme le rapporte Santé Publique France, l'accès à l'eau et surtout, l'apprentissage de la nage, restent conditionnés par notre milieu social. Difficile aussi de découvrir dès le plus jeune âge le plaisir de la baignade ou même les rudiments de la nage quand personne n'est là pour nous guider dans l'eau. Pour Kamelia, cela ne faisait « tout simplement pas partie de son environnement ». « Autour de moi, ce n'était pas quelque chose de courant, surtout pour les filles », constate-t-elle tristement, tandis que Mickaël, dont les parents ne savent pas nager, se souvient d'un cours en 6 e « où on laissait ceux qui ne savaient pas nager dans le petit bassin sans rien à faire, si ce n'est aller chercher des anneaux sous l'eau. C'est la première fois que je me suis senti frustré et honteux ». Apprivoiser sa peur de l'eau Avant d'apprendre à nager la brasse coulée ou le dos crawlé, c'est aussi tout un imaginaire douloureux qu'il faut parfois déconstruire. « Ce sont souvent des adultes qui, plus jeunes, ont eu la peur de leur vie dans l'eau. Parfois, ils ont été humiliés, par exemple en étant poussés dans le grand bassin par un maître-nageur », observe Véronique Dufresnes. C'est exactement ce qu'a vécu Mickaël, qui angoisse encore en se rappelant cette leçon prise à ses 13 ans. « Je me débattais, je cherchais la perche. J'avais déjà peur de l'eau avant, mais ce moment a été un point de non-retour. » Pour Kamelia, c'est une balade en bateau à l'âge de 7 ans qui a ancré sa phobie de l'eau. « Celui qui naviguait tournait dans tous les sens, de l'eau entrait dans le bateau. J'étais tétanisée, je pleurais de peur que ça coule, alors que les autres riaient. » Dans ces conditions, difficile de se jeter sereinement à l'eau et d'apprendre à pratiquer la brasse. Mais cela, les maîtres-nageurs ont souvent du mal à le comprendre, déplore Véronique Dufresnes. « Eux restent sur le bord et donnent des frites à coincer sous les bras pour apprendre le mouvement de jambes. Sauf que les personnes n'en sont pas là, elles pensent que si elles mettent la tête sous l'eau, elles vont étouffer et couler. Ça ne peut tout simplement pas marcher », assure celle qui regrette aussi que la formation de maître-nageur soit davantage axée sur « le fait de trouver le nouveau Léon Marchand que d'apprendre à nager aux personnes ayant des difficultés ». Aller à son rythme et s'écouter Comment faire, alors pour enfin vaincre sa peur de l'eau ? Comme le rappelle Véronique Dufresnes, cela tient avant tout au bon environnement. Le Pied dans l'eau propose, par exemple, un encadrement par quatre professionnels présents dans le bassin, durant un week-end ou en soirée, pour que chacun puisse apprendre à son rythme à apprivoiser cet élément qui leur fait si peur. « Avant d'apprendre à nager, il faut savoir mettre la tête sous l'eau avec plaisir, savoir s'allonger sur le dos et sur le ventre, se laisser porter », résume la fondatrice qui, à la question « apprend-on à nager en un week-end ? », réplique : « Je dis toujours aux personnes qui viennent nous voir 'si je vous réponds oui, ne venez jamais nous voir, car cela veut dire qu'on n'est pas à l'écoute de votre besoin' ». Pour Mickaël, ces cours pris durant un trimestre il y a quelques années ont en tout cas été « une révélation ». « J'ai appris à me sentir bien dans l'eau et les rudiments du crawl », indique le père de famille qui envisage désormais de reprendre quelques cours pour perfectionner sa technique et ainsi enfin profiter pleinement des moments avec ses enfants au bord de la mer et de la piscine. De son côté, Kamelia a réussi à tenir la promesse qu'elle s'était faite en décembre dernier : apprendre à nager d'ici la fin de l'année. Soutenue par son mari, qui l'a accompagnée tous les dimanches à la piscine, et après « des premières séances très dures », elle a pris confiance en elle et s'est même initiée à la brasse. « Aujourd'hui, je ne me sens plus paralysée, ni inférieure aux autres. Je suis fière d'avoir osé franchir ce pas à l'âge adulte, et surtout d'avoir dépassé une peur qui m'avait suivie toute ma vie. »

Je suis jalouse d'une de mes amies : «J'ai la sensation qu'elle me fait de l'ombre»
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Réservé aux abonnés TÉMOIGNAGES - Aimer ses amies mais les jalouser en secret. Si le sentiment est inconvenant, tabou, il existe bel et bien. Témoignage de deux femmes et décryptage de la psychothérapeute Anne de Montarlot. Margot l'avoue, non sans honte : elle jalouse son amie Fanny. Son pouvoir de séduction, plus précisément. Elle la décrit comme «un aimant à hommes». «Lorsque l'on sort toutes les deux, personne ne m'approche, confie cette trentenaire sur qui le célibat pèse de plus en plus lourd. Elle, elle se fait draguer naturellement toute la soirée, sans qu'elle ne fasse rien pour et sans qu'elle veuille particulièrement être en couple.» Margot envie l'aura de Fanny et commence à développer une certaine méfiance à l'égard de son amie. «J'ai la sensation qu'elle me fait de l'ombre et que si je continue à sortir avec elle, je finirai mes jours seule.» À lire aussi Les secrets d'une vie heureuse, avec le ponte de la psychiatrie américaine Robert Waldinger Sans surprise, Margot culpabilise, croule sous la gêne. Comment peut-elle ressentir cela pour l'une de ses meilleures amies ? Comment peut-elle l'envier ? Comment ce pouvoir d'attraction peut-il l'atteindre à ce point alors qu'elle devrait se réjouir pour son amie ? Ces réflexions ne surprennent pas Anne de Montarlot, psychothérapeute…

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