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Besançon : un drapeau ukrainien volé, la mairie porte plainte

Besançon : un drapeau ukrainien volé, la mairie porte plainte

Le Figaro2 days ago
Celui-ci était «hissé sur l'esplanade des Droits de l'Homme depuis l'attaque russe en 2022» pour soutenir le «peuple ukrainien oppressé, bombardé, blessé, tué», selon la mairie de la commune.
La mairie de Besançon a annoncé ce mercredi avoir déposé plainte pour dénoncer le «vol» d'un drapeau de l'Ukraine, «hissé sur l'esplanade des Droits de l'Homme depuis l'attaque russe en 2022». «La Ville exprimait avec ce drapeau son soutien au peuple ukrainien oppressé, bombardé, blessé, tué», précise la communication de la mairie. «Nous portons plainte pour dénoncer cet acte». «Aujourd'hui même, les Convois solidaires partent de Besançon pour emmener en Ukraine du matériel nécessaire à la défense et à la survie du peuple ukrainien», a rappelé la Ville, soulignant les «élans de solidarité des habitants» et le concours des «entreprises, collectivités, professionnels de santé» pour ces affrètements.
Selon L'Est Républicain, le drapeau français avait aussi été décroché en juillet 2021 au même endroit, au lendemain d'une manifestation contre le passe sanitaire lié au Covid-19. Une plainte avait déjà été déposée mais l'auteur jamais identifié, selon le journal local.
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Les opposants à la maire demandent que l'étude d'impact environnemental de la manifestation soit ajoutée dans la convention signée entre la ville et les organisateurs. Cette évaluation permettrait de mieux accompagner le rendez-vous, à la manière de ce qui est fait avec le Hellfest. Les voitures anciennes vont devoir montrer patte blanche. Les élus écologistes de l'opposition municipale de Clisson, au sud de Nantes (Loire-Atlantique), ont émis quelques réserves au sujet de l'organisation, le mois prochain, de la cinquième édition d'un festival dédié aux Volkswagen de collection, notamment aux modèles de la gamme Coccinelle. Une manifestation qui attire quelque 450 véhicules en ville - en plus d'attirer près de 30.000 visiteurs - mais sans qu'aucun bilan carbone ne vienne examiner l'impact environnemental du rendez-vous. «Nous n'avons rien contre ce festival au succès croissant, ni contre les vieilles voitures , mais nous nous sommes étonnés de ne trouver aucun dispositif de bilan carbone dans la convention signée entre la mairie et les organisateurs de la manifestation», indique Yves Mignotte, élu d'opposition à Clisson. Lors d'un dernier conseil municipal, le 3 juillet, son groupe (Clisson s'invente ensemble) a demandé à la majorité des clarifications sur l'empreinte carbone du rendez-vous biennal, baptisé «Clisson Vintage», censé se dérouler cette année du 22 au 24 août. «Il s'agit d'une démarche de bon sens citoyen, pas d'un débat politique», ajoute Yves Mignotte. Publicité «Proposer des pistes d'amélioration» La maire de Clisson, Laurence Luneau, a rétorqué en conseil municipal que la préfecture n'exigeait pas d'éléments liés aux émissions carbone pour cet événement de taille moyenne. Elle a néanmoins proposé d'aborder plus en détail la question lors de la prochaine réunion de sécurité liée à l'organisation du festival, indiquent nos confrères de Presse Océan . Sollicitée, par Le Figaro, la mairie confirme la tenue, courant juillet, de cette réunion de sécurité, sans préciser ce qu'il est advenu de la proposition des écologistes locaux. À lire aussi Nantes : des familles roms obtiennent un accord tacite de non-expulsion de leur bidonville «L'idée serait d'avoir une base de travail pour proposer des pistes d'amélioration, en fluidifiant par exemple l'acheminement en train des visiteurs ou en encourageant les restaurateurs ambulants à se fournir avec des produits locaux», explique Yves Mignotte, qui déplore le «manque de lucidité» de l'édile de Clisson, alors que tous les élus de l'agglomération sont formés aux enjeux des empreintes carbone. «Ne pas y avoir songé révèle d'une pensée datée, où l'écologie se réduit à planter des arbres en ville», regrette l'opposant.

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