
Météo : les températures estivales vont-elles revenir cette semaine ?
Après un week-end plutôt instable et maussade par endroits, une météo plus franche serait la bienvenue. Malheureusement, le temps restera hésitant et pas vraiment radieux cette semaine, annonce La Chaîne Météo . Des averses et un vent du nord frisquet sont à attendre. En cause, l'anticyclone des Açores qui tarde à revenir sur la France.
Lundi : du vent violent au Sud
Alors que des nuages menaçants planeront sur une bonne partie de la France, il faut s'attendre à des averses. Dans le Sud-Est, des vents violents persisteront, faisant craindre de nouveaux départs de feu, côté Méditerranée.
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Mardi : les éclaircies s'élargissent
Dans le Nord-Ouest, une perturbation arrive avec des averses venant de la Manche. Toutefois, près de la Méditerranée, le mistral et la tramontane faiblissent. Des éclaircies dans le ciel dans de nombreuses régions, hormis les Pyrénées qui seront sous les nuages.
Mercredi : des températures à peine de saison
La perturbation arrivée mardi par le Nord-Ouest progresse dans les terres et apporte un temps instable. Des averses sont prévues de la Normandie jusqu'aux Alpes, parfois agrémentées d'orage dans les Ardennes ou le Jura. Un beau soleil dans le Sud, mais toujours du vent et une température assez faible en général.
Jeudi : amélioration sur l'Ouest et le Centre
Au nord de la Seine et jusqu'à la région Rhône-Alpes, les nuages sont menaçants. Mais dans l'ensemble, la tendance est à l'amélioration de l'Ouest au Centre. Le mistral et la tramontane seront toujours bien là sur la côte méditerranéenne.
Vendredi : une nouvelle dégradation
Tous aux abris ! Une nouvelle perturbation de la Manche pourrait amener des averses dans tout le nord et l'est du pays. Dans le Sud, résistance des éclaircies malgré tout.
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Versailles : centre de neurologie, maison de soins palliatifs, extension de l'hôpital… l'offre de santé s'étoffe
Trouver un médecin à Versailles (Yvelines) dans l'urgence n'est pas toujours facile, mais pas non plus une mission impossible. Contrairement à certains secteurs des Yvelines confrontées à la désertification médicale , la cité royale tire à peu près son épingle du jeu. Selon la caisse primaire d'assurance Maladie (CPAM), elle compte actuellement 73 généralistes, 75 dentistes, 15 ophtalmologues 24 gynécologues, 21 psychiatres pour près de 84 000 habitants. Des chiffres quasiment inchangés depuis cinq ans. Durant cette période, elle a perdu 2 généralistes, mais gagné 4 gynécologues.


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« La loi Duplomb ne passe pas » auprès des Français, des scientifiques et de « nombreux agriculteurs » car elle est « dangereuse pour la santé de nos concitoyens », affirme ce mardi une tribune de sociétés savantes et d'associations de patients. Elle appelle le Conseil constitutionnel à rejeter le texte. Celui-ci se prononcera « a priori » le 7 août. Alors que la pétition contre cette loi, qui permet la réintroduction sous conditions d'un pesticide interdit en France depuis 2018, a dépassé ce lundi la barre des deux millions de signatures , cette tribune publiée par Le Monde appelle les Sages à « répondre à l'exigence démocratique exprimée fortement par les citoyens français ». « Le Conseil constitutionnel doit constater l'incompatibilité de la loi Duplomb avec le principe de précaution inscrit dans la Charte de l'environnement » et ainsi « protéger les générations futures d'un texte qui compromet, sans l'ombre d'un doute raisonnable, la santé des jeunes, des enfants et de ceux à naître », affirment les signataires. Parmi eux : Fleur Breteau, fondatrice du collectif Cancer Colère, Magali Leo, coordinatrice d'Action Patients, Agnès Linglart, présidente de la Société française de pédiatrie, Maxime Molina, président du directoire de la Fondation pour la recherche médicale, Olivier Coutard, président du conseil scientifique du CNRS ou Gérard Socié, président du conseil scientifique de l'Institut national du cancer. « Nos règles constitutionnelles peuvent et doivent être interprétées à la lumière des données de la science », argumentent-ils. Or la loi a été élaborée « en ignorant ce que les professionnels de la santé et les scientifiques connaissent des effets de ces produits sur la santé humaine », pointe la tribune, rappelant qu'en 2021, « l'Inserm a analysé plus de 5 000 articles scientifiques et retenu une présomption forte de lien entre l'exposition aux pesticides et la survenue de certains cancers, de troubles neurodégénératifs, pulmonaires, endocriniens ». « Parmi les 53 personnalités auditionnées » au Sénat, on ne trouve « aucun médecin, toxicologue, épidémiologiste (…) représentant de l'Inserm, du CNRS, du ministère de la Santé ou du Travail » alors que « les pesticides sont des facteurs reconnus de maladies professionnelles », ni « de la Caisse nationale d'assurance maladie ou de la Mutualité sociale agricole », égrène la tribune. « La loi Duplomb est une loi qui ne passe pas » (…) pour les Françaises et les Français victimes des maladies induites par les pesticides, « les scientifiques, qui, constatant les effets dévastateurs des pesticides sur le vivant, ont alerté les parlementaires des conséquences prévisibles de cette loi », et « de nombreux agriculteurs (…) premières victimes des pesticides », dit-elle.