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Le Figaro

15 minutes ago

• Le Figaro

Coupe du monde féminine de rugby : calendrier et adversaires des Bleues, les 16 nations qualifiées, les favorites…

L'Angleterre accueille la 10e édition du Mondial. La compétition débute ce vendredi 22 août, le pays hôte qui affrontant les États-Unis. Finale le 27 septembre à Twickenham. Les quatre poules Pour cette 10e édition, le nombre d'équipes participantes est passé à seize, réparties dans quatre poules. Poule A : Angleterre, Australie, États-Unis, Samoa. Poule B : Canada, Écosse, pays de Galles, Fidji. Poule C : Nouvelle-Zélande, Irlande, Japon, Espagne. Poule D : France, Italie, Afrique du Sud, Brésil. Publicité Les deux premières équipes de chaque poule se qualifient pour les quarts de finale. Le programme des Bleues Le XV de France féminin est dans le groupe D, où les Bleues affronteront l'Italie, le Brésil et l'Afrique du Sud. Samedi 23 août : France-Italie, à Exeter (21h15, en direct sur TF1) Dimanche 31 août : France-Brésil, à Exeter (17h45, en direct sur France TV) Dimanche 7 septembre : France-Afrique du Sud, à Northampton (17h45, en direct sur France TV) Si elles terminent premières, les Françaises affronteront en quart de finale le 2e de la poule C (Irlande ?). Si elles terminent deuxièmes, elles défieront certainement les redoutables Néo-Zélandaises. Le calendrier de la phase finale Quarts de finale : samedi 13 et dimanche 14 septembre (coups d'envoi à 14h et 17h). Publicité Demi-finales : vendredi 19 septembre à 20h et samedi 20 septembre à 16h. Match pour la 3e place : samedi 27 septembre à 13h30. Finale : samedi 27 septembre, à 17h, dans le mythique stade Twickenham. À lire aussi Coupe du monde féminine de rugby : une vente de billets record Le palmarès Depuis le sacre inaugural des États-Unis en 1991, la Nouvelle-Zélande et l'Angleterre règnent sans partage. Les Red Roses ont été sacrées en 1994 et 2014. Les Blacks Ferns ont remporté, elles, six des neuf éditions, en 1998, 2002, 2006, 2010, 2017 et 2021. Il y a quatre ans, en finale, les Néo-Zélandaises se sont imposées, à domicile, face aux Anglaises, 34 à 31. La dernière défaite des Red Roses qui ont, depuis, remporté les 26 rencontres qu'elles ont disputées, bouclant au passage quatre Grands Chelems dans le Tournoi des six nations. Publicité Derrière ces deux immenses favorites, les Canadiennes (3e au classement World Rugby), les Bleues (4e), voire les Irlandaises, font figure d'outsiders. Le XV de France féminin tentera de faire mieux que la troisième marche du podium, son meilleur résultat décroché en 1994, 2002, 2006, 2014, 2017 et 2021. Il y a quatre ans, les Bleues avaient dominé le Canada en petite finale 36 à 0. À lire aussi Coupe du monde féminine de rugby : en images, la cérémonie d'accueil des Bleues à la cathédrale d'Exeter Sur quelles chaînes regarder la compétition TF1 a acquis les droits de la compétition, avant de rétrocéder douze rencontres à France TV. La chaîne privée diffusera ses 20 rencontres en direct sur ses antennes - TF1, TMC et TFX -, dont 15 matchs de poules (dont le premier des Bleues contre l'Italie), deux des quarts de finale (dont celui des Bleues), une demi-finale (celle de la France), la petite finale et la finale. Les autres rencontres - dont le match d'ouverture entre les Anglaises et les Américaines, ce vendredi 22 août à 20h30, France-Brésil et France-Afrique du Sud -, seront, elles, diffusées sur France TV.

L'Équipe

19 minutes ago

• L'Équipe

Donnarumma, Kolo Muani... Au PSG, l'heure des grands départs sur la fin de mercato

Sauf transfert d'un élément sur lequel il compte cette saison, le PSG semble en avoir fini avec son recrutement. Sa priorité consiste à faire partir les joueurs dont il ne veut plus. Après Milan Skriniar, transféré définitivement à Fenerbahçe, et Nordi Mukiele, vendu à Sunderland, quel sera le prochain « indésirable » à quitter le Paris-SG ? À dix jours de la fin du mercato, l'énergie de la direction du club parisien se concentre essentiellement sur les départs. Randal Kolo Muani, Carlos Soler, Renato Sanches, Marco Asensio, Ilyes Housni : la liste des joueurs poussés vers la sortie est connue depuis plusieurs semaines. Elle s'est encore allongée depuis que le PSG a fait le choix du déclassement spectaculaire de Gianluigi Donnaruma au profit de l'ex-Lillois Lucas Chevalier. Cela n'empêche pas le PSG de rester « ouvert » pendant le mercato, comme l'a rappelé son entraîneur Luis Enrique avant la victoire obtenue à Nantes (1-0) lors de la 1re journée. Seule contrainte : l'arrivée d'une nouvelle recrue impliquera forcément un départ d'un joueur avec lequel le PSG se projette à l'instant T. Sollicité, Lee Kang-in (24 ans, sous contrat jusqu'en 2028) fait, par exemple, partie des éléments qui s'interrogent sur leur avenir, alors que l'idée du club de la capitale est plutôt de conserver l'international sud-coréen (36 sélections, 9 buts). « Un départ peut toujours arriver, mais ça signifierait aussi que ce serait à un montant auquel on ne peut pas dire non, entend-on au club. S'il y a un départ, il faudra bien le remplacer. » Que peut changer Luis Enrique pour surprendre les adversaires du PSG ? Kolo Muani, ça coince encore Depuis que les deux principaux objectifs de l'été - les signatures de Chevalier (23 ans) au poste de gardien et d'Illia Zabarnyi (22 ans) en défense centrale - ont été remplis, recruter n'apparaît plus comme une nécessité. Même au poste de latéral droit. Avec Joao Neves, Warren Zaïre-Emery, voire désormais Zabarnyi, le PSG a acté depuis plusieurs mois qu'il disposait dans son effectif des solutions à même de soulager Achraf Hakimi, 55 matches toutes compétitions confondues sous la tunique parisienne la saison passée. Indésirable au PSG, Randal Kolo Muani a trouvé un accord avec la Juventus Turin Pour Kolo Muani (26 ans, 2028) et consorts, les perspectives de temps de jeu passeront nécessairement par un départ. Comme indiqué dans nos colonnes, un accord sur les bases d'un contrat de cinq ans a été trouvé entre l'attaquant et la Juventus Turin. Le club bianconero, où il était prêté en janvier, est la priorité de l'international français. Un prêt avec option d'achat obligatoire est en discussions. Le principal point d'achoppement entre le PSG et la Juve porterait sur le montant de ladite option. Des portes de sortie se dessinent également pour Carlos Soler (28 ans, 2027). De retour d'un prêt à West Ham, le milieu a fait l'objet d'une première approche de Villarreal. Le Sous-Marin jaune devrait revenir à la charge cette semaine pour l'international espagnol, qui dispose aussi d'un marché en Angleterre. Brighton, Wolverhampton et un autre club dont l'identité n'a pas filtré restent attentifs à sa situation. Donnarumma a la cote à Manchester Alors que l'avenir de Renato Sanches (28 ans, 2027) semble s'écrire du côté de Trabzonspor, en prêt, malgré l'intérêt du Panathinaïkos, la Premier League pourrait également servir de terre d'accueil pour Marco Asensio (29 ans, 2026) et Donnarumma (26 ans, 2026). Le premier est dans le viseur d'Aston Villa, où il était prêté de janvier à juin. Le gardien italien s'imagine, lui, à Manchester City, avec lequel un accord contractuel a déjà été trouvé. Une possible arrivée chez les Citizens semble dépendre d'un départ d'Ederson à Galatasaray, et son entourage nous a indiqué hier qu'il n'y avait actuellement rien de neuf à son sujet. Il dispose dans tous les cas d'une certaine cote outre-Manche, où l'autre club de Manchester, United, fait également partie de ses courtisans.

Le HuffPost France

an hour ago

• Le HuffPost France

En pleine affaire Adrien Rabiot, une bagarre met fin à un match de l'équipe féminine de l'OM

Le match amical entre l'OM féminin et le Club Esportiu Europa a été définitivement interrompu ce mercredi 20 août au soir en raison d'une altercaltion entre les deux équipes. SPORT - Le timing n'est pas bon. Les footballeurs Adrien Rabiot et Jonathan Rowe ont été placés mardi sur la liste des transferts par leur club de l' Olympique de Marseille, en raison dans leur implication dans une bagarre. Alors que cette affaire prend de l'ampleur bien au-delà du vestiaire marseillais, le match amical entre l'OM féminin et le Club Esportiu Europa n'est pas allé à son terme, ce mercredi 20 mars au soir. Là encore à cause d'une violente altercation. Le Club Esportiu Europa rapporte sur son compte X (ex-Twitter) un accrochage entre les joueuses des deux équipes. Il a débuté après un désaccord sur un potentiel hors-jeu sur le deuxième but marqué par les Marseillaises, inscrit par Mathilde Bourdieu à la 86e minute. Le club catalan, situé à Barcelone, évoque précisément « une agression physique entre les deux équipes ». Le ton a fini par redescendre : « tout va bien, tout le monde va bien », rassure le Club Esportiu Europa. Néanmoins, le match n'a pas repris et l'OM s'est imposé 2-1. De son côté, le club marseillais a salué une victoire après « une seconde mi-temps très engagée ». Avant la mi-temps déjà, la tension était forte sur le terrain - dans le contexte d'un match qui aurait pourtant dû être « amical ». Pour preuve : deux cartons rouges avaient été infligés à des membres du staff marseillais après trente minutes de match, pointe BFMTV. Un « événement d'une gravité et d'une violence extrême » Cette bagarre fait donc suite à un incident lors de la première journée de championnat chez les hommes. Dans la foulée de la défaite 1-0 de l'OM à Rennes dimanche, une grave altercation a en effet opposé Adrien Rabiot (30 ans, 53 sélections en équipe de France) à l'espoir anglais Jonathan Rowe, dans les vestiaires. Dès lundi, les deux joueurs avaient été temporairement écartés de l'équipe première. Et mardi, l'OM a annoncé qu'ils étaient placés sur la liste des transferts. Jonathan Rowe, qui a peu joué la saison dernière, était de toute façon annoncé sur le départ. Mais le choix de se priver d'Adrien Rabiot, un cadre de l'équipe de France auteur d'une excellente première saison à l'OM (neuf buts et quatre passes décisives en 29 matchs de championnat) est en revanche une énorme surprise. « Vous pensez que moi, président de l'Olympique de Marseille, je suis content d'arriver à ce type de situation avec l'un des joueurs les plus performants de la saison dernière et que j'ai présenté comme un exemple ? Sincèrement, en tant que club, on subit la situation. On est victime d'une situation, une bagarre sans limite, qui est complètement inouïe dans le monde de football », a déclaré le président du club Pablo Longoria dans une interview à l'AFP. D'où la séparation inévitable de l'OM avec son milieu de terrain.