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«Une rentrée intense et pleine de défis» : Stéphane Plaza annonce son grand retour

«Une rentrée intense et pleine de défis» : Stéphane Plaza annonce son grand retour

Le Figaro17 hours ago
Sur ses réseaux sociaux, l'agent immobilier de 55 ans affiche depuis quelques semaines un regain d'énergie après un début d'année très difficile.
Des panneaux Stéphane Plaza Immobilier flambant neufs qui fleurissent un peu partout dans les rues de Paris, un énigmatique vélo bleu qui ne le quitte plus et des ventes à foison. Depuis quelques jours, Stéphane Plaza se réjouit sur ses réseaux sociaux des belles performances de son réseau d'agences. Après un premier semestre 2025 difficile marqué par une condamnation pour violences conjugales (dont il a fait appel) et une interpellation dans une affaire de trafic de stupéfiants, l'entrepreneur de 55 ans se focalise sur l'immobilier depuis le début de l'été.
« Je veux que vous sachiez que je suis là, plus déterminé que jamais. Je suis né pour faire de l'immobilier et un point c'est tout. Ça fait quand même 37 ans que je suis sur le terrain, aux côtés des clients, dans les agences, au cœur du marché. Un capitaine ne quitte jamais son équipage », a déclaré Stéphane Plaza dans une vidéo à l'attention de ses centaines franchisés qu'il est allé rencontrer ces dernières semaines un peu partout en France.
À lire aussi Violences conjugales, alcool et cocaïne : la descente aux enfers de Stéphane Plaza
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Un retour à la télévision pour Stéphane Plaza ?
Stéphane Plaza a également partagé sa fierté de voir son réseau d'agences immobilières être en tête des préférences des consommateurs pour la sixième année de suite. « Se recentrer, profiter et partager de précieux instants en famille. Avancer, toujours », a-t-il écrit mardi sur son compte Instagram en marge d'une photo où il joue à la pétanque aux côtés de son père. « C'est le repos du guerrier avant une rentrée intense et pleine de défis. »
Et d'ajouter : « Pas de compétition de pétanque cette fois mais une autre m'attend. Et celle-là s'annonce bien plus épique… Attendez-vous surtout à quelques cascades involontaires ! » Stéphane Plaza va-t-il revenir à la télévision ? Lors de la conférence de presse du groupe M6 organisée le 23 juin dernier, Guillaume Charles, directeur général des antennes de télévision et contenus, a écarté la possibilité d'un retour de son animateur à la rentrée.
« Rien n'est exclu pour le moment mais on a décidé lors du premier verdict de suspendre les diffusions de ses émissions », a-t-il ajouté. Le 19 mai dernier, auprès de Jordan de Luxe, Stéphane Plaza n'avait pas démenti ni confirmé les sollicitations d'un « grand groupe télé » pour produire une nouvelle émission sur l'immobilier. « Joker. Je n'aime pas mentir », avait-il répondu. Dans une story éphémère sur Instagram, il a plusieurs fois montré un vélo bleu, dans un jardin puis dans son bureau. « Vous allez bientôt comprendre pourquoi ce vélo me suit partout », a-t-il mystérieusement écrit.
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Arrivée au 10, Downing Street depuis peu, la Première ministre britannique Abigail Dalton est en position délicate. Le pays connaît une sévère pénurie de médicaments, notamment pour le traitement de différents cancers. De l'autre côté de la Manche, la présidente française Vivienne Toussaint est en pleine campagne pour sa réélection et accusée par ses détracteurs de jouer le jeu de l'extrême droite afin de servir sa carrière personnelle. Dans la mini-série « Hostage », mise en ligne sur Netflix ce jeudi 21 août, les deux femmes se retrouvent à Londres pour parvenir à un accord bénéficiant aux deux parties. Tout bascule quand le mari de la première, en mission pour Médecins Sans Frontières en Guyane française, est pris en otage par des terroristes. Ceux-ci exigent de la dirigeante britannique qu'elle démissionne, faute de quoi ils exécuteront son époux. L'intrigue de cette fiction en cinq épisodes démarre très fort. Mais elle devient encore plus intense quand la cheffe d'Etat française se retrouve victime de chantage pour l'empêcher d'aider Abigail Dalton à secourir son mari. Deux performances virtuoses Tendue et rythmée, cette mini-série tient en haleine de bout en bout. Sa plus grande réussite est d'avoir réuni à l'écran Suranne Jones et Julie Delpy dans les rôles principaux. La comédienne anglaise a déjà brillé à de nombreuses reprises sur le petit écran, dans « Docteur Foster », « Gentleman Jack » ou « Vigil ». L'actrice et réalisatrice française s'est de son côté illustrée dans le cinéma indépendant des deux côtés de l'Atlantique, notamment dans la trilogie de Richard Linklater « Before Sunrise », « Before Sunset » et « Before Midnight ». En femmes politiques aux tempéraments opposés, toutes deux livrent des performances virtuoses. Abigail Dalton est une mère de famille comblée, aussi amoureuse que déterminée à servir son pays. Julie Delpy a contracté un mariage de convenance avec un magnat des médias. Elle est prête à sacrifier ses convictions pour assurer sa réélection et se retrouve au cœur d'un scandale sexuel. Chaque scène où les deux héroïnes sont dans la même pièce est un délice. Leurs passes d'armes mêlant agendas politiques et intérêts personnels sont puissantes. Autant la première suscite l'empathie, autant la seconde provoque le contraire. Tout le sel de l'intrigue est de voir si ces deux-là vont réussir à coopérer ou si l'une va finir par écraser l'autre. Et c'est bien parce que leurs interprètes sont toutes les deux au sommet de leur art que cette confrontation est exquise.

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SÉRIES TÉLÉ - Dexter Morgan est décidément immortel. Après avoir été « tué » par son fils dans Dexter New Blood, il est de retour sur Canal+ ce jeudi 21 août, plus en forme que jamais. Le tueur en série incarné par Michael depuis 2006 reprend vie dans Dexter : Resurrection, nouvelle série dérivée de l'univers dédié au spécialiste de la police scientifique de Miami, et Boucher de Bay Harbor à ses heures perdues. Un nouveau chapitre long à démarrer mais qui ne manque pas de saveur, même si ce n'est pas franchement à Dexter qu'on le doit. Il y a trois ans, nous avions laissé Dexter agonissant dans la neige dans une flaque de sang après que son fils Harrison lui a tiré dessus avec un fusil de chasse. Après un petit tour aux soins intensifs, Dexter est ressuscité (alléluia), se remet sur pied, est innocenté des crimes dont on l'accusait (alléluia bis), et trace sa route jusqu'à New York. Il y retrouve la trace de son fils, empêtré dans une enquête après un meurtre sordide. Parallèlement, Angel Battista (David Zayas) a retrouvé son ancien collègue et est bien décidé à prouver sa culpabilité. Au total, la saison Dexter Resurrection comptera 10 épisodes (nous avons pu en visionner 6), à raison d'un épisode inédit par semaine. Autant que vous soyez prévenus, la série prend tout son temps pour s'installer, un peu trop d'ailleurs. On a failli jeter l'éponge devant le défilé de fantômes de victimes au chevet de Dexter à l'hôpital. Les multiples apparitions et discours moralisateurs de son père et guide spirituel Harry (James Remar) ne nous avaient pas non plus manqué. Mais parce qu'on aime Dexter autant que le tueur aime le bacon, on s'est accroché, et on a bien fait. Car il fallait tout de même plus qu'une bonne bande originale avec du Black Sabbath et du Alt-J pour maintenir notre intérêt. Des tueurs 5 étoiles Dexter Resurrection met parallèlement en place plusieurs intrigues. La première suit Harrison qui se retrouve aux prises avec la policière plus tenace et efficace qu'on ait vue depuis longtemps. Une enquêtrice nommée Claudette et campée par la géniale Kadia Saraf qui ne peut réfléchir qu'en écoutant Staying Alive des Bee Gees. Il y a ensuite l'arc de Dexter lui-même. Au détour d'un meurtre, il fait la rencontre d'un groupe de tueurs en série dirigés et financés par un milliardaire obsédé par les meurtriers les plus célèbres de l'Histoire. Ce sont les dynamiques au sein de ce groupe qui tiennent le spectateur en haleine, et le casting 5 étoiles qui le compose. Peter Dinklage est le mystérieux milliardaire et Uma Thurman l'intransigeante bras droit de celui-ci. Du côté des tueurs, on retrouve Kristen Ritter (Breaking Bad), Eric Stonestreet (Modern Family) ou encore Neil Patrick Harris (How I Met Your Mother). De quoi donner un peu de fil à retordre à notre anti-héros, même si pour les connaisseurs, on est loin du charisme de Trinity. Paramount+ Enfin, le titre de Resurrection prend tout son sens grâce à la relation que Dexter noue avec Blessing Kamara (Ntare Mwine), un chauffeur de taxi qui le prend sous son aile et l'accueille dans sa famille. Dexter ressuscite-t-il car il retrouve son identité, son vrai nom et sa personnalité de Dark Passenger ? Ou bien est-ce plutôt une forme de renaissance pour le quinquagénaire qui semble changer lentement de personnalité et développer, pour la première fois de sa vie, de l'empathie ? Il faudra attendre la fin pour le savoir.

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ENTRETIEN - L'écrivain a suivi de près le développement de la série adaptée de son roman qui met en scène une capitaine de police défigurée enquêtant sur un cold case. Disponible aujourd'hui sur Il a brillé, en 2024, avec son roman Les Guerriers de l'hiver sur Simo Häyhä, tireur d'élite finlandais pendant la Seconde Guerre mondiale. Mais c'est grâce à ses polars qu'Olivier Norek, ancien capitaine à la section des enquêtes et recherches du SDPJ 93, s'est fait connaître en tant qu'écrivain : Territoires ou Dans les brumes de Capelans. S'il ne voit pas l'intérêt d'adapter ses propres ouvrages, il se plaît à collaborer à l'écriture de scénarios originaux - les séries Les Invisibles ou Tout le monde ment . Il a aussi suivi de près le développement pour France 2 de Surface, fiction en six épisodes avec Laura Smet et Tomer Sisley, produite par Quad Drama - Iris Bucher et Roman Turlure. 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Je lui ai dit un jour que je souhaitais écrire un personnage brisé qui remonte à la surface, inspiré d'elle. Elle m'a donné l'autorisation. Je lui ai offert la première édition. Après l'avoir lue, elle m'a dit : «Je vais pouvoir l'offrir à mes proches car je n'ai pas été capable de raconter ce que j'avais vécu, je n'ai pas trouvé les mots, les émotions, les sentiments». Publicité Comment avez-vous abordé sa «résurrection» ? En l'envoyant dans un petit village au bord d'un lac résoudre un cold case. C'est donc une femme qui ne veut pas montrer son visage car elle est défigurée et se sent amoindrie. Elle veut se cacher mais va au contraire devoir se révéler et aller vers les gens pour son enquête. Et pour cela s'accepter et se reconstruire. Cela m'intéressait plus que la résolution de l'affaire ! À lire aussi Un roman d'Olivier Norek adapté au cinéma, avec le producteur du Comte de Monte-Cristo Quelles étaient selon vous les principales difficultés pour l'adaptation ? Quand Iris m'a contacté, j'ai ri sous cape car je savais qu'il y avait 100 pages d'introduction dans un hôpital et que ça n'allait pas marcher. Plus un cold case sur 25 ans incluant trois familles différentes, composée de trois ou quatre personnes suspectes, plus d'autres suspects, bref une intrigue à 15 personnages… Un panier de crabes ! Autre écueil, une partie de l'histoire se passe sous l'eau, avec des effets spéciaux. C'est un projet coûteux pour être qualitatif. Iris, également productrice du Bazar de la charité, m'a invité à la première. L'incendie du Bazar m'a convaincu. « Lorsque j'ai vu Laura, ça n'allait pas du tout. Elle est beaucoup trop grande, trop féline, sûre d'elle » Olivier Norek Pourquoi ne pas l'avoir adapté vous-même ? Le job de l'adaptation c'est d'exploser le livre et de le reconstruire. Je trouve dommage de réécrire un scénario à partir des romans que j'ai écrit - j'ai tant à raconter que ça m'ennuierait presque. Je préfère découvrir la vision de quelqu'un d'autre. Qu'un orchestre entier se mette au service de mon livre. Même si la première vision est souvent difficile... Que pensez-vous du choix de Laura Smet pour incarner votre héroïne ? Quand j'ai appris le choix de Laura, je n'ai pas su quoi faire de cette information ! Je suis venu sur le tournage pour un caméo (coupé au montage, NDLR) et effectivement, lorsque je l'ai vue, ça n'allait pas du tout . Elle est beaucoup trop grande, trop féline, sûre d'elle. La scène se déroule dans un train, elle s'assied en face de moi, je regarde sa blessure et, par son propre regard bleu glacier, elle me fait baisser les yeux. Métaphoriquement, ça signifie ce n'est plus mon histoire, c'est son histoire. Je trouvais intéressant que l'auteur baisse les yeux, valide. Lorsqu'elle est entrée dans le wagon, c'était Noémie ! Elle était affaissée, assise sur son ventre qu'elle n'a pas avec un vieux sac pourri... Il y a eu un job d'appropriation du personnage. Laura n'existait plus. Laura Smet dans Surface. Fabien MAL0T / Fabien MALOT - Quad Drama - France Télévisions Pourquoi la série n'a-t-elle pas été tournée à Decazeville (Aveyron), comme dans le roman ? Quand j'ai écrit ce livre, je voulais faire une révérence au village de mes parents dans l'Aveyron, qui est devenu mon village, et aux communes alentour. Je me suis toujours dit que, si j'avais un jour un peu de célébrité en tant qu'auteur, j'écrirai sur le village de mon enfance, pour dire aux gens combien je les aimais. C'était l'essence même de mon projet. Et puis j'ai réalisé qu'il n'y avait pas de lac à Decazeville, je l'ai ajouté dans mon roman (rires) ! Publicité Peut-on imaginer une suite ? Il y a un vrai danger. L'enquête de Noémie, c'est aussi sa reconstruction. Si on écrit une deuxième saison, les gens qui vont la rencontrer vont faire le même pas en arrière alors que pour nous c'est réglé, et elle aussi s'est acceptée. Ce serait tirer sur la ficelle. À mon sens, c'est un personnage à histoire unique. Mais une série dérivée sur les autres flics de ce commissariat de village, pourquoi pas ?

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