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Le Figaro
12 minutes ago
- Le Figaro
Droits TV : illustration de la crise, le champion de Ligue 1 en 2026 touchera moins que Montpellier, lanterne rouge la saison passée
À l'issue de la saison 2025-2026, les clubs de l'élite se partageront 80,5 M€ de droits TV, dont 4,67 M€ maximum réservés au champion de France. La Ligue 1 se serre la ceinture. Malgré le bon démarrage de la nouvelle chaîne Ligue 1+ mise en place par la Ligue de Football Professionnel (LFP), les revenus de droits TV réservés aux clubs de l'élite à l'issue de la saison 2025-2026 seront faméliques. Selon le quotidien L'Équipe, qui s'est procuré le «guide de répartition initial des droits audiovisuels et de l'indemnité de résiliation de DAZN Ligue 1 saison 2025-2026», seulement 80,5 M€ seront à partager après déduction de différentes charges, du pourcentage versé à CVC et de l'aide aux relégués en Ligue 2. À découvrir Le calendrier complet du PSG Ainsi, le total réservé au champion de France atteindra maximum 4,67 M€ en fin de saison. Et seulement si ce champion s'appelle le Paris Saint-Germain qui est le seul club à pouvoir figurer en tête de tous les critères de répartition (classement de la saison, classement des cinq dernières saisons, notoriété). 4,67 M€, une somme inférieure à celle touchée la saison passée par... Montpellier, lanterne rouge de Ligue 1. À l'issue de son calvaire en championnat, le MHSC avait perçu 5,18 M€ selon le guide de répartition provisoire distribué il y a un an et consulté par L'Équipe. Sachant que les clubs n'ont pas communiqué les sommes définitives tombées dans leurs caisses.
Le Parisien
12 minutes ago
- Le Parisien
Un maillot rouge à la Coupe du monde 2026 ? Le Brésil et Nike abandonnent l'idée face à la colère des fans
Un maillot rouge pour la Seleção à la Coupe du monde 2026 ? L'idée d'apparence saugrenue a été écartée par le président de la Confédération brésilienne de football (CBF) qui a révélé mardi avoir mis fin à la production de ce modèle après une pluie de critiques portant notamment sur la connotation politique de cette couleur. Les premières rumeurs sur un maillot écarlate pour les quintuples champions du monde ont commencé à circuler en avril. Samir Xaud, devenu président de la CBF en mai, a déclaré mardi à la chaîne Sportv avoir « demandé l'arrêt de la production » des maillots rouges lors d'une « réunion d'urgence » avec Nike, l'équipementier de la Seleção depuis 1996. Au Brésil, pays profondément polarisé politiquement, la couleur rouge est généralement associée au Parti des Travailleurs du président actuel de gauche Luiz Inacio Lula da Silva. À voir aussi Et le maillot jaune de l'équipe nationale a été massivement adopté par les partisans de son prédécesseur d'extrême droite Jair Bolsonaro (2019-2022). « J'étais totalement contre le rouge, mais pas pour des raisons politiques, que ce soit bien clair », a affirmé Samir Xaud. « Le bleu, le jaune, le vert et le blanc sont les couleurs de notre drapeau et ce sont les couleurs qu'il faut garder », a-t-il poursuivi. Le projet d'un maillot rouge, doté du logo Air Jordan au lieu de la virgule de Nike, a vu le jour sous la présidence de son prédécesseur, Ednaldo Rodrigues, destitué en mai sur décision judiciaire. Il était censé faire partie des jeux de maillots disponibles - en plus du jaune - pour la Seleção lors de la Coupe du monde 2026, au Mexique, au Canada et aux États-Unis.
Le Parisien
42 minutes ago
- Le Parisien
« Quand les promesses sont rompues... » : Alexander Isak explique son clash pour quitter Newcastle
Après plusieurs semaines de silence, Alexander Isak s'est exprimé mardi soir en story Instagram sur son conflit ouvert avec Newcastle. Nommé dans l'équipe de la saison lors des PFA Awards, l'international suédois n'était pas à la cérémonie. « Avec tout ce qui se passe en ce moment, je ne sentais pas que c'était approprié d'y être », a-t-il avoué. Désireux de voir ailleurs depuis le mois de juillet, l'attaquant est pour l'instant retenu dans un club dont il ne veut plus. De quoi faire couler beaucoup d'encre. Isak s'en est pris en story à ceux ayant profité de son mutisme pour « pousser leur propre version des faits », qui selon lui « ne reflète pas ce qui a réellement été dit et convenu à huis clos » avec son club. « La réalité est que des promesses ont été faites et que le club connaît ma position depuis longtemps, a-t-il déclaré. Agir maintenant comme si ces problèmes ne faisaient que surgir est trompeur ». Le message d'Alexander Isak. Une version que maintien le joueur depuis le début de l'affaire, en juillet. Le Suédois, auteur d'une belle saison avec 23 buts et 6 passes décisives en 34 matchs sous les couleurs des Magpies, n'a jamais caché son envie de départ, et son refus de continuer sa carrière dans le club du nord de l'Angleterre. « Quand les promesses sont rompues et que la confiance est perdue, la relation ne peut pas continuer », a-t-il condamné. À voir aussi Début août, Newcastle avait refusé une offre avoisinant les 138 millions d'euros pour sa vedette. Une somme jugée insuffisante malgré le blocage des relations entre Isak et son équipe. « C'est pourquoi un changement est dans l'intérêt de tout le monde, pas seulement du mien », a conclu l'attaquant. À l'heure actuelle, seule une offre conséquente pourrait débloquer la situation.
