PSG-Chelsea : suivez la finale de la Coupe du monde des clubs ; et Pays-Bas - France à l'Euro 2025 féminin
Live animé par Valentin Baudry et Yanis Soul
La Coupe du monde des clubs, « un énorme, énorme, énorme succès » ?
La nouvelle mouture de la compétition internationale de la FIFA, désormais quadriennale, a économiquement fait des heureux – « plus de deux milliards de dollars de revenus », selon son président Gianni Infantino –, mais quel en est le bilan sportif ?
Si les équipes sud-américaines, pour qui le tournoi tombait à pic au cœur de leur saison, ont révélé un potentiel jusque-là masqué par la domination européenne, leurs voisines outre-Atlantique ont longtemps traîné la patte. La faute à un calendrier encore rallongé – qui n'a toutefois pas empêché Chelsea et le PSG à se hisser en finale –, mais aussi à des conditions de jeu défavorables.
Enzo Fernandez, le capitaine argentin des Blues, a ainsi remis en cause la tenue des rencontres lors des fortes chaleurs: « L'autre jour, j'ai eu un léger vertige et j'ai dû m'asseoir par terre, confiait-il avant la finale. Jouer par ces températures est très dangereux, et évidemment, pour le spectacle, pour ceux qui viennent au stade pour en profiter, et pour ceux qui regardent à la maison, le rythme n'est pas le même, ça ralentit tout. »
Donald Trump et Gianni Infantino, une « bromance » à la Coupe du monde des clubs
Par Alexandre Lemarié
JIM WATSON/AFP
On l'a vu rire aux éclats lorsque Donald Trump a clamé son intention de renommer le golfe du Mexique en « golfe d'Amérique ». Seul grand dirigeant sportif présent lors du discours d'investiture du nouveau président des Etats-Unis, le 20 janvier, il a également multiplié les déclarations élogieuses à son égard en marge de la cérémonie, évoquant par exemple l'honneur « unique et magnifique » d'être invité à Washington. Gianni Infantino, le patron de la Fédération internationale de football (FIFA), ne ménage pas ses efforts pour s'attirer les faveurs du locataire de la Maison Blanche, qui le lui rend bien.
Mais la prochaine échéance s'approche à grandes enjambées, et le temps est quant à lui compté, pour les Etats-Unis, le Canada et le Mexique, avant l'accueil de la prochaine Coupe du monde des nations, qui se tiendra du 11 juin au 19 juillet 2026. Le Mondial des clubs aura-t-il servi de leçon ? Des ajustements seront-ils prévus d'ici un an ? Rien n'est sûr, mais Gianni Infantino, en pleine « bromance » avec Donald Trump, a préféré marteler combien ce tournoi était un « énorme, énorme, énorme succès »…
Bien le bonsoir !
Et le « good evening », sans oublier le « goedenavond »… Le ballon rond prend le relais de la Grande Boucle, et nous offre une soirée à deux affiches, à suivre simultanément. La première est une finale, qui opposera sur le sol américain l'insatiable Paris Saint-Germain à Chelsea, pour mettre fin à la Coupe du monde des clubs. La seconde est également une finale, ou presque, car l'équipe de France féminine de football affronte les Pays-Bas sur les terres helvètes, pour son dernier match de phase de groupes à l'Euro, et doit éviter la défaite pour assurer sa qualification en quarts.
En somme : du suspense, du jeu et du rythme, que vos liveurs tenteront d'orchestrer avec agilité. Le coup d'envoi des deux rencontres est prévu à 21 heures (en France métropolitaine), ce qui nous laisse deux bons tours d'horloge pour répondre à vos questions, interrogations, et autres revendications.
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