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5 restaurants pour voyager en Italie sans quitter Paris

5 restaurants pour voyager en Italie sans quitter Paris

Le Figaro18-07-2025
Tout l'été, Le Figaro vous propose sa sélection de tables pour se croire en vacances dans la capitale. Première escale sur la Botte, entre pasta, pizza, vitello tonnato et tiramisù.
Le taulier: Osteria Ferrara
Figure de la cuisine italienne à Paris, le Sicilien Fabrizio Ferrra, passé jadis par le Relais Plaza d'Alain Ducasse, s'est installé il y a presque dix ans (l'an prochain !), dans un vieux bistrot de Faidherbe, qu'il a transformé en auberge lumineuse. À sa carte qui suit les saisons, des classiques soignés de toute la Botte (vitello tonnato, pâtes à la Norma, pannacotta), mais aussi des recettes qui sortent des sentiers battus (risotto citron, marjolaine et pecorino au poivre, raviolis à ricotta, moules et fleurs de courgette, soupe de melon et sorbet thym citron et miel). Sans oublier la terrasse !
Osteria Ferrara. 7, Rue du Dahomey (11e). Tél. : 01 43 71 67 69. Tlj sf dim. Carte : 50-60€. Menu déj. : 28€. Ouvert tout l'été.
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L'anglo-saxon: Altro Frenchie
Voici un peu plus d'un an que la sandwicherie gourmet de Greg Marchand, FTG, a laissé place à sa table transalpine d'inspiration new-yorkaise et londonienne. Dans un cadre de trattoria glamour, l'étoilé de Frenchie prend des libertés avec les recettes traditionnelles et convoque des produits de choix dans des assiettes pleines de caractère, des poissons crus et marinés (thon maturé, maquereau, daurade) à la tarte chocolat inspirée du Nemesis du River Café, en passant par les gnudi beurre sauge et la côtelette de veau à la milanaise.
Altro Frenchie. 9, rue du Nil (2e). Tél. : 01 42 21 96 92. Tlj. Carte : 45-90€. Menu déj. : 34€. Ouvert tout l'été (le soir seulement du 10 au 21 août).
Le pizzaïolo : Casa di Peppe
Envie d'une pizza napolitaine dans les règles de l'art, à la pâte moelleuse et aux rebords généreux ? Une escale chez Giuseppe Cutraro est toujours un succès ! Malgré l'expansion de son enseigne lancée début 2020 dans le quartier Saint-Blaise (20e), le Napolitain titré continue d'envoyer des disques à la pâte digeste (maturation de 36 h) qui figurent parmi les meilleurs de l'Hexagone, maîtrisant les classiques (margherita, marinara, regina) et s'autorisant des créations comme sa championne du monde (tomate jaune, bufala, provolone, jambon cru, amandes grillées, figue). S'en convaincre par exemple dans son adresse rive gauche dotée d'une vaste terrasse.
Casa di Peppe. 222, rue Saint-Jacques (5e). Tél. : 01 43 54 78 68. Tlj. Carte: 25-40€. Ouvert tout l'été.
Le branché : Scarpetta
L'ancienne salumeria Faggio de Fabio Lombardi, mitoyenne de son excellente pizzeria de Pigalle, s'est transformée il y a un an en temple des pâtes fraîches. En terrasse courue ou à l'intérieur façon trattoria rétro chic, place à une cuisine transalpine classique et parfaitement exécutée : beignets de fleur de courgette garnis de mozzarella, vitello tonnato, roulés d'aubergine alla parmigiana, maccheroncini poivron et saucisse, linguine tomates et gambas, saltimbocca romain, panna cotta aux pêches ou encore tiramisù. Le tout arrosé bien sûr de vins nature, français et italiens.
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Scarpetta. 72, rue Marguerite-de-Rochechouart (9e). Tél. : 06 88 91 06 43. Tous les soirs sf mar. et mer. Le WE au déjeuner. Carte: 45-55€. Ouvert tout l'été.
Le multicartes : Eataly
Chaque grande ville italienne a son magasin Eataly, enseigne lancée en 2007 à Turin par le Piémontais Oscar Farinetti autour d'un concept mêlant étals garnis de bons produits, restaurants et école de cuisine. Paris aussi, depuis 2019, entre Seine et Marais ! L'endroit idéal pour dénicher de quoi garnir un pique-nique ou préparer un dîner (mozza, charcuterie, fruits et légumes...), mais aussi prendre un aperitivo aux couleurs des différentes régions en terrasse, déguster un plat de pâtes, une salade ou une pizza sur le pouce à La Pizza (au centre du magasin), s'offrir une glace anti-canicule... Et même un buffet à volonté avec musique live, le dimanche soir (34€ par personne).
Eataly Paris. 37, rue Sainte-Croix-de-la-Bretonnerie (4e). Tél. : 01 83 65 81 00. Tlj. Ouvert tout l'été.
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L'univers des mascottes hérissons de Nigloland se dévoile en immersion à la Maison de Niglo
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Le Parisien

timean hour ago

  • Le Parisien

L'univers des mascottes hérissons de Nigloland se dévoile en immersion à la Maison de Niglo

Ils ont franchi le pas. Après 38 ans passés à naviguer d'un endroit à l'autre du parc Nigloland , depuis son ouverture en 1987 dans le village de Dolancourt (Aube), pour trouver un endroit où dormir, Niglo et sa complice Niglotte ne sont plus des hérissons sans domicile fixe. Finie l'époque de ces squats à répétition chez tous leurs amis qui donnent vie au parc. Les deux mascottes ont acheté une maison en plein cœur de Nigloland, à deux pas de l'Envol des Papillons , l'une des dernières attractions à avoir vu le jour. La pendaison de crémaillère a eu lieu ce vendredi 25 juillet, la veille de l'ouverture au public, en présence des principaux acteurs du projet, dont les représentants de l'agence Century 21 Martinot Immobilier de Troyes (Aube). Quelques jours avant la remise des clés aux deux hérissons, des vidéos ont retracé, sur les réseaux sociaux, le parcours de primo-accédants de Niglo et Niglotte ainsi que les travaux pour que la bâtisse colle à leur goût. Directeur de Nigloland, Rodolphe Gélis rêvait d'offrir un toit aux mascottes depuis de nombreuses années. Dix mois de travaux et 600 000 euros d'investissement ont permis de concrétiser le projet. « Quand je suis revenu dans l'entreprise en 2017, je me suis dit que c'était dommage qu'on ne connaisse pas mieux un super personnage comme Niglo. On ne savait pas où il vit, où il dort, ce qu'il mange, ce qu'il fait. On ne connaissait pas sa personnalité », a-t-il souligné lors de la pendaison de crémaillère. « J'ai pensé que ce serait bien de créer un endroit pour que les visiteurs découvrent son univers. » Dès ce samedi 26 juillet, les fans des deux hérissons ont donc pu franchir le seuil de la Maison de Niglo. Impatientes de partager leur quotidien avec les visiteurs du parc, les mascottes ont laissé toutes les pièces de leur demeure d'environ 60 m2 en accès libre. D'une pièce à l'autre, avec un sacré souci du détail, on découvre la salle de bains avec sa douche à l'italienne, la cuisine avec son réfrigérateur rempli de vers de terre et, placardée au mur, la recette du gratin de vers à la mousse de champignons. On aperçoit aussi les clés des attractions soigneusement rangées, on s'émerveille devant leur chambre et on s'attarde dans le salon avec de nombreuses photos des temps forts de leur vie commune. Chez Niglo et Niglotte, l'immersion est totale. On peut toucher les objets pour ressentir davantage le quotidien des deux mammifères. À la sortie de la maison, les visiteurs peuvent prendre la pose avec Niglo et Niglotte. C'est aussi l'un des buts de cette nouvelle attraction, la quarante-quatrième du parc aubois : pouvoir rencontrer les mascottes en un lieu fixe tout au long de la journée, sans se soucier de la météo. Les hérissons ont négocié avec fermeté le prix de leur bien avec l'agent immobilier. Ils ont fait une bonne affaire. Le quartier de la Forêt de Niglo est en pleine expansion et va prendre encore plus de valeur dans les mois qui viennent. Un nouveau restaurant, baptisé « Le Terrier », ouvrira ses portes courant 2026 à deux pas de chez eux. Il sera tenu par le lapin Chochoï. Le panneau installé à l'emplacement du futur restaurant évoque déjà son sourire malicieux et son rire contagieux. Le parc a fait appel à des sociétés extérieures pour réaliser les façades de la Maison de Niglo et son mobilier sur-mesure. En revanche, c'est l'Atelier N, l'équipe créative interne de Nigloland, qui a imaginé et élaboré les plans de cette nouvelle attraction. Ils y ont glissé une pointe de malice. Chez Niglo et Niglotte, il faut bien ouvrir l'œil et parfois se baisser, surtout quand on est un peu trop grand... Sous le lit, une célèbre souris est prise au piège d'une tapette. Voilà ce qui arrive quand on n'est pas invité par les propriétaires des lieux !

«J'en sors plus forte» : Caroline Roux revient sur son refus de présenter le «20 Heures» de France 2
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Le Figaro

timean hour ago

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«J'en sors plus forte» : Caroline Roux revient sur son refus de présenter le «20 Heures» de France 2

Deux mois après avoir refusé l'offre de sa direction de prendre la tête du journal télévisé de la Deux à place d'Anne-Sophie Lapix, la présentatrice de «C dans l'air» se confie sur son état d'esprit. «Je suis alignée, sereine», déclare Caroline Roux ce dimanche 27 juillet lors d'un entretien accordé à la Tribune du Dimanche. La journaliste a pu donner une réponse éclairante sur son état d'esprit après avoir refusé le «20 Heures» de France 2 en fin de saison, une offre qui, d'ordinaire, ne se décline pas. «J'ai fait un choix professionnel qui m'a demandé une grande introspection», a expliqué la présentatrice de «C dans l'air» avant de poursuivre : «J'en sors plus forte, pleine de projets et d'envies». Une décision qu'elle ne regrette pas donc, mais qui a pourtant créé l'étonnement. À lire aussi «Il paraît que ça ne se refuse pas. Eh bien, si» : pourquoi Caroline Roux a dit non au 20 Heures de France 2 Publicité Quelques heures après son refus de succéder à Anne-Sophie Lapix, évincée, Caroline Roux nous avait déjà livré dans un entretien au Figaro : «J'y ai beaucoup réfléchi et en réalité, je suis très attachée à mon émission 'C dans l'air' sur France 5 et à mes équipes. J'y suis profondément heureuse. Dans le contexte géopolitique actuel, cette émission est d'utilité publique. C'est un exercice qui me ressemble davantage». Objectif : remonter les audiences C'est finalement, Léa Salamé, la présentatrice de «Quelle époque !», qui a été choisie. Sur le plateau de «Quotidien» le 24 juin dernier, Delphine Ernotte avait expliqué son choix. «C'est un secret pour personne qu'elle allait arrêter la matinale de France Inter. Je ne voulais pas la voir quitter le service public. Je discute depuis plusieurs semaines avec elle. Dans la discussion avec Léa sur son avenir chez France Télévisions, je lui ai dit : 'Là, il faut que tu y ailles' (au JT, NDLR)» Quant à Anne-Sophie Lapix, elle rebondira dans le groupe M6, à la tête de la tranche du 18-20 heures sur RTL, et d'une émission hebdomadaire et politique le dimanche. «Le choix de quitter le '20 Heures' n'a pas été le mien, avait-elle commenté au Figaro au début de l'été. Lorsque vous êtes présentateur de JT, vous avez le nez dans le guidon et c'est rarement vous qui dites stop». Léa Salamé aura fort à faire dès son arrivée, comme inverser la courbe des audiences du JT de «20 Heures» de France 2, dont l'écart se creuse de plus en plus avec leurs concurrents mais néanmoins confrères de TF1.

« Faire plaisir et faire de la place » : la médiathèque de Persan propose 6 000 livres, CD et vinyles à 1 euro
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Le Parisien

timean hour ago

  • Le Parisien

« Faire plaisir et faire de la place » : la médiathèque de Persan propose 6 000 livres, CD et vinyles à 1 euro

Sur les étagères de la médiathèque de Persan (Val-d'Oise) , des centaines de livres bien alignés dans une zone réservée près de l'accueil. Ce samedi après-midi (26 juillet) de nombreux doigts glissent sur les couvertures pour mieux en découvrir les titres : « L'envie » de Sophie Fontanel, « Rupture de contrat » de Harlan Coben, « L'Oiseau des ténèbres » de Michael Connelly ou encore le quatrième tome des « Chroniques d'Excalibur ». Un peu plus loin, d'autres mains fouillent parmi des albums de musique classique, de Sheryl Crow, Françoise Hardy ou Michael Bolton. Tous ne sont pas à emprunter mais bien à acheter. Depuis quelques semaines et jusqu'au 31 juillet, l'établissement public organise en effet une vente exceptionnelle de documents. Romans, essais, bandes dessinées, mangas CD, Vinyles, documentaires… pas moins de 6 000 documents sont ainsi à acquérir au tarif unique de 1 euro. « C'est un prix symbolique. L'idée est de rendre accessible la lecture au plus grand nombre », souligne Marie-Anne Jean, directrice adjointe de la médiathèque qui poursuit même avec cet événement un double objectif. « Faire plaisir et faire de la place », sourit-elle. Malgré la jolie surface du bâtiment – 1 200 m2 sur deux niveaux et pas moins de 30 000 références dans ses catalogues –, les murs ne sont pas extensibles. Il faut donc régulièrement faire sortir certains documents pour permettre d'en faire rentrer de nouveaux. Des commandes sont d'ailleurs régulièrement passées afin de proposer aux usagers, dont 2 147 adhérents en 2024, les dernières tendances. « En janvier, au printemps puis en août pour la rentrée littéraire et ensuite fin novembre pour la sortie des prix littéraires », précise la directrice adjointe. Chaque année, 29 000 euros sont ainsi investis par la médiathèque dans ces achats. Ce sont donc ces documents retirés de son fonds qui sont proposés à la vente. Et ça marche. Ce samedi pour le dernier week-end, avec une communication qui a bien fonctionné, les rayonnages dédiés ne désemplissent pas. « Je n'ai jamais autant joué à la marchande », s'amuse la bibliothécaire chargée de l'encaissement face à ses « clients » du jour. Parmi eux, Danielle, 74 ans, qui a fait spécialement le déplacement depuis Pontoise. « C'est ma fille qui m'a prévenue. Je fais mon petit marché de livres pour moi mais aussi pour les petits enfants, trop souvent sur leurs écrans. Il y a plein de choses intéressantes, c'est une belle initiative », se réjouit cette retraitée hésitant encore entre différents romans et mangas. Jolie occasion aussi pour Brigitte, 69 ans, le nez plongé dans les albums jeunesse. « Je m'occupe d'une petite bibliothèque et fais partie de l'association Lire et faire lire, je suis donc toujours à la recherche de nouveautés et là il y a pas mal de choix de qualité », apprécie cette habitante d'Enghien-les-Bains. Face à ce succès, avec plus de 1 000 références déjà vendues, la ville envisage déjà de renouveler l'expérience. « Car au-delà de faire partager la culture à petit prix, c'est aussi l'occasion, on espère, de faire découvrir ou redécouvrir à des gens la médiathèque et la ludothèque », remarque Marie Galopin, maire adjointe de Persan en charge de la culture. En effet, si les familles sont toujours très présentes parmi les adhérents , le public adulte a lui diminué ces dernières années depuis le Covid. L'établissement espère donc les attirer de nouveau. C'est le cas pour Sandrine par exemple, venue en voisine de Bernes-sur-Oise, qui revient ce samedi dans les lieux après plusieurs années d'absence. « Je venais souvent quand les enfants étaient petits, beaucoup moins aujourd'hui », note cette maman de 55 ans qui préfère acheter des livres plutôt que les emprunter. « Mais c'est vrai qu'ils proposent plein d'autres choses. » Ludo-Médiathèque Boris-Vian, 88, avenue Gaston-Vermeire. Vente jusqu'au 31 juillet. Mardi de 15 heures à 19 heures, mercredi de 10 heures à 18 heures, et jeudi de 15 heures à 18 heures.

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