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« On continue de rêver et de réfléchir avec eux » : le retour réussi de Pulp à la Route du rock

« On continue de rêver et de réfléchir avec eux » : le retour réussi de Pulp à la Route du rock

Le Parisien2 days ago
Pour leur seule et unique date française, après douze ans d'absence dans notre pays, les dandys de Sheffield, menés par l'inénarrable Jarvis Cocker, ont choisi le festival de la Route du rock, dont l'édition 2025 a débuté mercredi 13 août, pour se terminer ce samedi 16 août. Un festival dont la programmation rock, punk et « indé » internationale — et surtout très britannique — s'affiche comme une évidence.
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Jane Fonda dans «Barbarella», l'égérie kitsch du Space Age
Jane Fonda dans «Barbarella», l'égérie kitsch du Space Age

Le Figaro

time25 minutes ago

  • Le Figaro

Jane Fonda dans «Barbarella», l'égérie kitsch du Space Age

LOOK D'ENFER (1/6) - En 1968, le monde découvre Jane Fonda sur grand écran en body sanglé, cuissardes argentées et brushing colossal. Les uns moqueront le mauvais goût de la super-héroïne, les autres loueront ses allures de sex-symbol. Flottant dans le cockpit de son vaisseau spatial tapissé de fourrure synthétique, vêtue de son scaphandre d'astronaute, on la reconnaît à peine. « It's a wonder, wonder woman, you're so wild (…) Barbarella, psychedelia… » Dans un strip-tease en lévitation, Jane Fonda, incendiaire, se défait lentement de ses gants argentés, de ses jambières et de sa combinaison de bibendum métallisée. Faute d'effets spéciaux numériques, pour simuler l'apesanteur, la belle se trémousse, filmée d'en haut, sur une vitre. Les lettres du générique, savamment placées, dissimulent ce qu'il faut de son corps pour échapper à la censure. « Mais je finissais tout de même totalement nue. Vadim m'avait promis que mes seins seraient couverts par le générique de début, mais ça n'a pas été le cas, se remémore Jane Fonda dans sa biographie My Life so Far. J'étais très timide, croyez-le ou non, et pour tourner cette scène, il fallait que je sois ivre. J'ai donc bu beaucoup de vodka ! En revoyant les rushs, on a compris…

Audiences TV : TF 1 s'impose facilement grâce à « Un petit miracle »
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Le Parisien

time25 minutes ago

  • Le Parisien

Audiences TV : TF 1 s'impose facilement grâce à « Un petit miracle »

Ce dimanche 17 août, TF 1 n'a pas eu à forcer pour prendre la tête des audiences. Le film inédit en clair « Un petit miracle », comptant au générique Alice Pol, Jonathan Zaccaï et Eddy Mitchell, a séduit 3,24 millions de téléspectateurs, soit 21,1 % du public devant la télévision selon Médiamétrie. Ce résultat est largement supérieur à celui de « Thor : Ragnarok » rediffusé le dimanche précédent (2,22 millions, 17,6 % de part d'audience). Lors de sa sortie en salle au début de l'année 2023, la comédie française avait enregistré un peu plus de 157 000 entrées. France 3 prend la deuxième place grâce à la rediffusion de l'ultime épisode de la série italienne « Commissaire Montalbano ». Intitulé « la Méthode Catalanotti », ce volet a attiré 1,90 million d'amateurs de polars (13 % de PDA). C'est bien plus que la moyenne des deux épisodes du « Silence de l'eau », autre série transalpine, dans la même case le dimanche 10 août (1,11 million, 8 % de PDA). L'épilogue des aventures de Montalbano se paie même le luxe d'être davantage regardé que lors de sa première programmation, le 28 août 2022 (1,80 million, 9,9 % de PDA). Ramzy fait un bide M 6 complète le podium grâce à un nouveau numéro de « Capital ». L'émission consacrée aux « vacances pas chères » a fédéré 1,44 million de curieux (9,7 % de PDA). Un score en légère hausse par rapport à la semaine dernière (1,32 million, 9,8 % de PDA). France 2 n'est qu'en quatrième position avec « Youssef Salem a du succès ». Inédit en clair et porté par Ramzy Bedia, le film a rassemblé 1,17 million de personnes (7,5 % de PDA). C'est moins que « le Médecin imaginaire », inédit également sur la même chaîne le 10 août (1,82 million, 12,6 % de PDA). Quand cette comédie est sortie au cinéma, au début de l'année 2023, elle avait engrangé près de 158 000 entrées. À voir aussi

Denzel Washington assure qu'il n'a pas peur d'être « cancel », oubliant l'essentiel
Denzel Washington assure qu'il n'a pas peur d'être « cancel », oubliant l'essentiel

Le HuffPost France

time25 minutes ago

  • Le HuffPost France

Denzel Washington assure qu'il n'a pas peur d'être « cancel », oubliant l'essentiel

CULTURE - À l'heure d'Instagram, de TikTok, de X et du tout médiatique, Denzel Washington n'a pas peur de faire grincer des dents. La star de Highest 2 Lowest de Spike Lee a réaffirmé dans une interview son absence d'intérêt pour la « cancel culture ». L'acteur aux nombreuses statuettes n'est pas le seul à avoir cet avis tranché sur la question, mais a lui oublié un aspect crucial de la problématique. L'acteur, récompensé aux derniers Golden Globes pour son rôle dans Gladiator II, s'est exprimé sans filtre dans une interview avec le magazine Complex. Répondant à la question de savoir s'il avait « peur » ou non d'être un jour « cancel », Denzel Washington n'a pas tergiversé. « Mais ça veut dire quoi, en fait, d'être 'cancel' ? » a-t-il rétorqué. Lorsque la journaliste lui a précisé qu'il s'agit – en résumé – de perdre le soutien du public pour des actes problématiques, le comédien de 70 ans répliqué du tac au tac : « Qui en a quelque chose à faire ? Et depuis quand le soutien du public est si important ? » Plus largement, la star de Training Day a ensuite affirmé n'avoir aucun intérêt pour le système des « followers » – notamment sur les réseaux sociaux – et qu'on ne pouvait pas « guider et suivre » en même temps. Les stars et la « cancel culture » Denzel Washington n'est pas la première star de cinéma de cette stature à s'exprimer haut et fort contre la « cancel culture ». Sharon Stone avait par exemple avancé dans l'émission Just Jenny qu'il s'agissait de « la chose la plus stupide imaginable ». Alec Baldwin avait affirmé, comme le rappelle le Daily Mail, qu'elle « crée plus de problèmes qu'elle n'en résout ». Beaucoup d'autres, comme Jennifer Aniston, Bryan Cranston, Kelly Rowland ont également pris la parole pour mettre en avant la difficulté de naviguer dans l'industrie du divertissement avec cette nouvelle donnée, mais également l'importance de la nuance. « La rédemption est-elle impossible ? Je ne sais pas. Mais je ne mets pas tout le monde dans le même panier qu'Harvey Weinstein », avait expliqué l'actrice de Friends, comme le rappelle le Washington Magazine, pointant du doigt certaines dérives d'un système clivant. Le terme même de « cancel culture » ne fait, en effet, pas l'unanimité. Pour certains, il s'agit de cibler des personnalités aux propos objectivement discriminatoires et portant atteinte à la dignité de certaines communautés pour limiter la propagation de leurs messages haineux. C'est le cas par exemple de l'autrice britannique J.K Rowling, qui multiplie depuis plusieurs années les propos transphobes. Pour d'autres, il s'agit, dans l'ère post-#MeToo, de cibler des personnalités accusées de violences sexuelles, conjugales ou psychologiques, souvent avant même qu'un procès n'ait eu lieu. D'où, les accusations de « dérives » d'une « cancel culture » qui « ne pardonne pas le moindre écart ou la moindre erreur », comme le soulignait Bryan Cranston. Denzel Washington sans filtre Revenant sur le terme de « cancel » qui a initié la question, Denzel Washington est même allé encore plus loin « Vous ne pouvez pas être 'cancel' si vous n'avez pas adhéré à quoi que ce soit. Donc n'adhérez pas ! », a ajouté l'acteur, avant d'en rire. « Ne me faites pas rigoler. Je commence à avoir mal à la poitrine. Quand on parle de ça, ça se resserre là-dedans. » En disant cela, Denzel Washington oublie un aspect essentiel du sujet. Lui-même, comédien multirécompensé entré dans l'histoire des Golden Globes en étant l'acteur noir le plus nommé aux Golden Globes, est un modèle pour plusieurs générations. Si la « cancel culture » ne touche que les personnalités publiques c'est que justement, elles ont a priori un « devoir » de représentativité et d'exemplarité, surtout lors de leurs prises de parole publiques largement relayées sur Internet et dans les médias. Et même s'il ne possède pas de réseaux sociaux et se moque de savoir qui le « suit », il ne peut ignorer que c'est précisément le public qui décide ou non de porter un film au sommet du box-office. Ou pas.

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