
« Parfois le candidat ne semble pas idéal, mais… » : comment Stains veut lutter contre les freins à l'emploi
Stains
(Seine-Saint-Denis), l'antenne de
l'Agence nationale pour la formation professionnelle des adultes
(Afpa) a officiellement inauguré son « Village des solutions ». Cette « boîte à outils » permet à l'organisme, fondé en 1949, de regrouper sur un même site des acteurs qui accompagnent des demandeurs d'emploi.
Les solutions pratiques qui leur sont proposées concernent l'ensemble des « freins » qu'ils subissent dans leur vie quotidienne, et qui empêchent parfois des recruteurs de les embaucher. Cinq grandes thématiques sont prises en charge : le logement, la santé, la mobilité, la parentalité et l'inclusion numérique.
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Le Figaro
15 minutes ago
- Le Figaro
La Rochelle : l'octogénaire qui avait percuté mortellement une fillette à vélo condamnée à 4 ans de prison avec sursis
Lors du procès, la famille de la victime âgée de 10 ans, avait été saisie par «l'absence totale d'empathie de la part de la prévenue». «C'était le trou noir», n'a-t-elle cessé de répéter à la barre. Ce mardi, la conductrice octogénaire qui a percuté mortellement Margot, 10 ans, à vélo à La Rochelle en 2024, a été condamnée à 4 ans de prison avec sursis par le tribunal correctionnel pour homicide involontaire aggravé. Une peine de prison conforme aux réquisitions prises lors de son procès qui s'est tenu fin juin. À lire aussi La conductrice de 83 ans qui a percuté un enfant à la Rochelle, évoque un malaise Josette, ancienne vendeuse de 83 ans aujourd'hui veuve, était jugée pour «homicide involontaire aggravé» pour avoir, le 5 juin 2024, emprunté à contresens une avenue limitée à 30 km/h, avant de percuter frontalement un groupe de douze enfants roulant à vélo. Casqués et dotés de gilets réfléchissants, ils étaient encadrés par deux animateurs et «avaient l'habitude de se déplacer à vélo», avait indiqué la mairie de La Rochelle à l'époque. Une fillette, Margot, avait succombé à ses blessures deux jours plus tard et six autres enfants avaient été blessés. L'octogénaire avait continué sa route, avant qu'un témoin ne l'aide à s'arrêter. Elle avait été contrôlée négativement à l'alcool et aux stupéfiants. Publicité «J'ai eu un malaise», s'est défendue à la barre la prévenue. «Je ne me rappelle pas. Je n'ai pas d'explication.» «Était-il prudent de prendre la route ce jour-là?», a demandé le président, faisant référence à son âge, à des malaises survenus avant les faits et à une connaissance partielle du Code de la route. «Quand je n'étais pas bien, je ne prenais pas le volant», avait simplement répondu l'octogénaire. Le père d'une victime s'était dit «sidéré» par «l'absence totale d'empathie de la part de la prévenue». Durant son procès devant le tribunal correctionnel de La Rochelle, elle a souvent tenu des propos confus et dénués d'émotion, avant de prendre la parole au dernier jour des débats pour présenter, en larmes, ses excuses aux victimes. «Cet accident aurait pu être largement évitable» En plus des quatre ans de prison avec sursis, la procureure avait requis une annulation du permis de la conductrice, une interdiction de le repasser pendant cinq ans et une contravention de 200 euros, sans retenir le délit de fuite. «Cet accident aurait pu être largement évitable», avait déploré la procureure, estimant que l'octogénaire, qui avait connu plusieurs malaises, «n'était pas capable» de conduire. Me Vincent Berthault, avocat de la défense, avait pour sa part sollicité la relaxe, estimant qu'aucun élément médical ne justifiait qu'elle ait dû «remettre son permis» avant l'accident. De son côté, Me Vincent Julé-Parade, qui défend plusieurs parties civiles dont la famille de Margot, avait livré un constat accablant: «Elle est la démonstration que notre système de conduite, qui se fonde sur l'autoévaluation, ne fonctionne pas bien.»


Le Parisien
15 minutes ago
- Le Parisien
Fillette à vélo tuée à La Rochelle : 4 ans de prison avec sursis pour l'automobiliste octogénaire
L'automobiliste de 83 ans, qui avait fauché un groupe de jeunes cyclistes , dont une fillette de 10 ans mortellement, en juin 2024 à La Rochelle (Charente-Maritime), a été reconnue coupable d'homicide involontaire aggravé, ce mardi 22 juillet, et condamnée à quatre ans de prison avec sursis par le correctionnel de La Rochelle. Le 6 juin 2024, au volant d'une Twingo, cette femme de 83 ans avait fauché un groupe de 12 enfants, âgés de 7 à 11 ans, qui circulaient à vélo à proximité du centre-ville de La Rochelle. Ils avaient été percutés « dans un choc frontal » par le véhicule , « arrivant à contresens » après s'être « subitement déportée sur la gauche, sans raison apparente », avait indiqué le parquet. Sept enfants avaient été blessés. L'un d'eux, M argot, une fillette de 10 ans, avait succombé à ses blessures deux jours plus tard . Après le choc, l'octogénaire avait continué sa route, avant qu'un témoin ne l'aide à s'arrêter. Elle avait été contrôlée négativement à l'alcool et aux stupéfiants. Le procès s'est tenu mardi 1er juillet devant le tribunal correctionnel de La Rochelle. La décision avait été mise en délibéré. Absente ce mardi, cette ancienne vendeuse, aujourd'hui veuve, avait tenu des propos confus et souvent dénués d'émotion au procès, disant seulement avoir fait un « malaise » et ne se souvenir de rien , avant de présenter, en larmes, ses excuses aux victimes. Le tribunal a suivi les peines requises par la procureure, prononçant également l'annulation du permis de la conductrice, une interdiction de le repasser pendant cinq ans et une contravention de 200 euros. « Cet accident aurait pu être largement évitable » , avait déclaré la magistrate, estimant que l'octogénaire, qui avait connu plusieurs malaises, « n'était pas capable » de conduire.


Le Parisien
15 minutes ago
- Le Parisien
Les États-Unis annoncent se retirer de l'Unesco
Les États-Unis vont quitter l'agence des Nations unies pour la culture et l'éducation, alias l'UNESCO. Le président Donald Trump continue de retirer son pays d'institutions internationales qu'il critique depuis longtemps. Cette décision est un coup dur pour l'agence basée à Paris, fondée après la Seconde Guerre mondiale pour promouvoir la paix par le biais de la coopération internationale dans les domaines de l'éducation, de la science et de la culture. Le New York Post a également fait état du retrait des États-Unis et cite un responsable de la Maison-Blanche qui évoque une institution trop « woke ». En 2017, Donald Trump avait déjà retiré son pays de l'Unesco en arrivant au pouvoir. Joe Biden avait annulé cette décision. >>> Plus d'informations à suivre