
Adolescence, Bref.2, Dying for Sex... Nos 10 séries préférées 2025 à (re)voir cet été
Comme il se révèle parfois bien difficile de choisir le roman ou la série qui embellira son été, Ni objective ni exhaustive, évidemment.
Elles nous ont émus, parfois bouleversés. Elles nous ont fait sourire, rire ou carrément pleurer. Elles nous ont interrogés aussi. Et, dans tous les cas, donné foi en l'existence. Le propre de toute bonne série qui génère de l'empathie, une forme de reconnaissance, et réconcilie avec le monde. Nos dix coups de cœur de ce premier semestre 2025, à rattraper ou revoir cet été. Avec, par ordre alphabétique...
Adolescence sur Netflix
Jamie, 13 ans, est brutalement sorti de son sommeil par la police et arrêté pour le meurtre d'une camarade de classe dont le corps a été retrouvé lardé de coups de couteau sur un parking. Atroce postulat. Aussi atroce que cette série britannique est rare. Déclinée en quatre épisodes, tournés chacun comme un long plan-séquence et en une seule prise, elle suit, en temps presque réel, la garde à vue du garçon, l'enquête qui suit, les rendez-vous psy, l'effroi grandissant des parents et le procès. L'idée est folle, d'autant qu'Owen Cooper, le jeune protagoniste, est quasiment de tous les plans…
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an hour ago
- Le Figaro
Rock : les années 1990 sont de retour
Réservé aux abonnés ENQUÊTE - Alors que le groupe Oasis donne le coup d'envoi d'une nouvelle tournée à Cardiff, la musique de cette décennie opère un come-back fracassant. Y compris chez les jeunes Dès le matin du 4 juillet, les spéculations allaient bon train afin de savoir quelles chansons le groupe Oasis allait inscrire au programme de son premier concert depuis sa séparation fracassante en 2009. Quelques minutes avant de monter sur la scène du festival Rock en Seine, une énième dispute entre les frères ennemis avait eu raison de leur destin commun, Noel Gallagher jurant qu'on ne l'y reprendrait jamais. Après seize ans de démentis permanents, le grand rêve des fans se réalise enfin. À découvrir TV ce soir : retrouver notre sélection du jour Abîmée par le procédé de la tarification dynamique des prix et la polémique afférente, la mise en vente des billets a confirmé l'attente. Financière au début, la spéculation s'est déplacée sur le terrain musical. Le jour même de leur prestation attendue à Cardiff (Pays de Galles), les réseaux sociaux regorgeaient de « set lists » hypothétiques et passablement délirantes. Le menu concocté par les frères Gallagher est un secret aussi bien gardé que l'état des relations entre l'aîné Noel (58 ans) et…


Le Parisien
2 hours ago
- Le Parisien
Mort de l'acteur Julian McMahon : entre audace et scandale, comment la série « Nip/Tuck » a marqué son époque
« C'est la série choc de la rentrée ». C'est par cette formule que commençait, en novembre 2004, le premier article du « Parisien-Aujourd'hui en France » sur « Nip/Tuck » désormais disponible sur Prime Video . À l'époque, cette fiction américaine, dont l'un des deux acteurs principaux, Julian McMahon, est décédé d'un cancer ce 2 juillet à l'âge de 56 ans, était diffusée sur Paris Première, chaque mercredi à 21 heures. Il n'y avait pas encore de plates-formes, mais l'ère des « séries événements », celles qui rendent les téléspectateurs totalement accros, avait déjà commencé. Trois ans plus tôt, le public avait été happé par « 24 heures chrono » , bouleversé par « Six Feet Under » et scotché par « Sur écoute » (« The Wire »). Cette même année 2004 avait vu naître « Lost », « Dr House » et « Desperate Housewives ». Dans ce paysage, « Nip/Tuck » s'est distinguée par son ton : sexy, gore, trash. Et sa façon de pousser le curseur très, très loin. La série met en scène deux chirurgiens esthétiques. « Nip » signifie « inciser » et « tuck » veut dire « retendre » : combinés, ces deux verbes désignent le concept du lifting. La fiction suit donc, dans leur vie personnelle et professionnelle, Sean McNamara (incarné par l'acteur Dylan Walsh) et Christian Troy (interprété par Julian McMahon), deux quadras qui possèdent une clinique à Miami. Alors que Sean, marié et amoureux de sa femme, tente d'exercer son métier de la façon la plus morale possible, Christian, beau gosse totalement cynique, multiplie les liaisons et ne recule devant rien pour attirer des clientes vers son lucratif business. Si « Nip/Tuck » a tapé dans l'œil des téléspectateurs, c'est grâce à ses dialogues et à ses scènes très crus – liposuccions et jets de sang en gros plans -, mais aussi à ses décors design et à sa réalisation léchée. Interrogés dans nos colonnes, des fans de la première heure saluaient « l'esthétisme » de la série et l'audace des scénarios « où tout peut arriver ». Beaucoup soulignaient aussi « le sex-appeal » de Christian, alias Julian McMahon… Mais dans l'Amérique puritaine et ailleurs, « Nip/Tuck » a fait scandale. Aux États-Unis, dès 2004, des associations familiales ont fait campagne pour que la série soit censurée et que les annonceurs retirent leurs spots. Sur ce deuxième point, elles ont partiellement obtenu gain de cause : dès la deuxième saison de « Nip/Tuck », plusieurs grandes marques ont décidé de ne plus faire de pub pendant les épisodes. En France, où la série affichait une signalétique « déconseillé aux moins de 12 ans », le Conseil Supérieur de l'Audiovisuel (CSA) lui-même avait écrit à Paris Première. « Le réalisme et la crudité des scènes de chirurgie esthétique (…) risquent (…) de troubler durablement les plus jeunes », avait estimé l'ancêtre de l'Arcom. Le CSA avait préconisé une diffusion après 22 heures, mais son courrier était arrivé « après la bataille » : Paris Première avait déjà programmé tous les épisodes qu'elle avait achetés en prime time et prévu des rediffusions en deuxième partie de soirée… Ces polémiques n'ont pas empêché « Nip/Tuck » d'attirer des stars en « guests ». Au fil des cent épisodes de 45 minutes chacun, on peut ainsi voir défiler Alec Baldwin, Brooke Shields, Alanis Morissette, Bradley Cooper, Melanie Griffith ou même Catherine Deneuve. Dans un volet de la saison 4, la comédienne française campe Diana Lubey, une patiente qui souhaite se faire implanter des prothèses mammaires contenant les cendres de son défunt époux. Le créateur de la série, Ryan Murphy, avait expliqué à l'époque que Deneuve « coûtait 40 000 dollars de plus que les autres (acteurs) », mais qu'il voulait tellement l'avoir dans son casting qu'il avait payé « lui-même » ces 40 000 dollars. Après six saisons et un scénario qui s'achève sur une vraie fin, « Nip/Tuck » s'est arrêtée. Ryan Murphy, lui, s'est attelé à d'autres séries. Parmi elles, « Glee » , « American Horror Story » , « Feud », « Pose », « Ratched » ou encore « The Watcher » .


Le Figaro
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- Le Figaro
La Royal Box de Wimbledon, cette tribune mythique et ultra-sélect réservée aux stars, têtes couronnées et milliardaires
À Wimbledon, les stars défilent dans les tribunes. Tous se rendent dans la célèbre Royal Box, cette loge réservée aux personnalités d'exception. Wimbledon est toujours un passage obligé pour les membres de la famille royale britannique. Pour cela ils ont le droit aux meilleures places dans les tribunes. Encore mieux, une loge, appelée la Royal Box, leur est réservée. Alors que tout le monde attend le moment où Kate Middleton fera son arrivée au célèbre tournoi de tennis, comme chaque année, plusieurs personnalités ont déjà défilé dans les rangs de cette fameuse loge. En effet, avec ses 74 places, cette tribune n'est pas seulement réservée à la couronne britannique. Selon le site internet de la compétition, la Royal Box est utilisée pour le «divertissement des amis et des invités de Wimbledon depuis 1922». La Royal Box lors du tournoi de Wimbledon. (Londres, le 30 juin 2025.) PA Photos/ABACA En plus du clan Windsor, les familles royales étrangères peuvent y siéger, tout comme les chefs de gouvernement, les personnalités issues du monde du tennis, les partenaires commerciaux, les forces de l'armée britanniques et bien d'autres célébrités. Ainsi David Beckham, Cate Blanchett, Russell Crowe, Sarah Ferguson et sa fille, la princesse Beatrice, ou encore John Cena se trouvaient dans la célèbre loge cette année. Située à l'intérieur du court central, elle se compose de chaises en osier Lloyd Loom de couleur vert foncé. De plus, les invités présents dans cette tribune ont aussi accès au Clubhouse pour le déjeuner, le thé ou l'apéritif en fin de journée. À lire aussi Lunettes de soleil et tailleurs assortis : l'élégance de Cate Blanchett et sa mère, June, dans les tribunes de Wimbledon Publicité Un règlement strict Pour pouvoir siéger dans la Royal Box, les invités doivent suivre certaines règles. Tout d'abord, les billets pour cette tribune ne sont pas mis en vente sur le site internet de Wimbledon. La seule façon de s'en procurer un est d'avoir été invité. «C'est au président du All England Club (le club sportif privé qui organise le tournoi Wimbledon, ndlr) de distribuer les invitations pour les deux semaines de compétitions sportives, avec des suggestions soumises par les membres du comité d'organisation des championnats, de l'Association de tennis sur gazon et d'autres sources pertinentes», peut-on lire sur le site internet du tournoi. Les stars à Wimbledon En images Voir les 17 photos Voir les 17 photos Une fois l'invitation reçue, il est important de suivre un certain code vestimentaire, surtout si un membre de la famille royale est assis juste à côté. Le site officiel de Wimbledon rappel alors le protocole à suivre : «la tenue vestimentaire est élégante, costumes/veste et cravate, etc. Les dames sont priées de ne pas porter de chapeaux, car ils ont tendance à obscurcir la vision de ceux qui sont assis derrière elles». Cette dernière règle avait, toutefois, été enfreinte par Kate Middleton et Meghan Markle, en 2018, lorsqu'elles étaient apparues dans la Royal Box avec des couvre-chefs pour se protéger du soleil.