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A Guingamp, la technopole Anticipa confirme sa feuille de route

A Guingamp, la technopole Anticipa confirme sa feuille de route

Les Echos13 hours ago
Lancement officiel du Campus Cyber Alliance à Lannion, visite de Marc Ferracci, ministre de l'Industrie, renforcement des liens et échanges avec les armées… 2024, a été une année dense pour la technopole Anticipa. À l'occasion de son assemblée générale fin juin, à Guingamp, dans les Côtes-d'Armor, la structure, qui accompagne les projets d'entreprise à caractère innovants ou industriels sur le territoire de Lannion Trégor Communauté et de Guingamp Paimpol Agglomération, a fait le bilan de l'année écoulée et, a esquissé les priorités stratégiques pour 2025, entre soutien à l'innovation, transition écologique et souveraineté technologique.
Une activité soutenue en 2024

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Canal+ s'ancre un peu plus en Afrique avec son opération sud-africaine
Canal+ s'ancre un peu plus en Afrique avec son opération sud-africaine

Les Echos

time23 minutes ago

  • Les Echos

Canal+ s'ancre un peu plus en Afrique avec son opération sud-africaine

C'est une étape clé dans l'expansion de Canal+ à l'international : son OPA lancée sur son concurrent sud-africain MultiChoice a obtenu cette semaine le feu vert des autorités antitrust locales, permettant au groupe audiovisuel français de créer un leader à l'échelle du tribunal sud-africain chargé des affaires de concurrence ayant approuvé l'opération, Canal+ peut formellement lancer son offre valorisant MultiChoice plus de 3 milliards de dollars. Suivant le calendrier initial, le deal devrait être finalisé courant octobre.« Il s'agit d'un pas en avant extrêmement positif », s'est réjoui dans un communiqué mercredi Maxime Saada, le président du directoire du groupe Canal+, côté à Londres depuis la scission de Vivendi en décembre. Présent historiquement dans les pays francophones, Canal+ a fait de son expansion en Afrique un cheval de bataille. En intégrant MultiChoice, les deux principaux opérateurs du continent unissent leurs forces avec une base d'environ 25 millions d'abonnés. Les géants américains du streaming peu présent Ce type de taille critique est un atout face aux géants mondiaux du streaming. Pour l'instant, les abonnements à Netflix, Amazon Prime Video et Disney+ ne sont pas très répandus en Afrique où, surtout dans les zones rurales, les connexions Internet sont encore limitées. Or, la croissance et les efforts d'électrification font de l'Afrique un marché prometteur pour la télé payante (via satellite, fibre, etc.). Même si la conjoncture économique reste difficile pour MultiChoice dans plusieurs pays (inflation, coupures d'électricité poussant aux désabonnements en Afrique du Sud ou au Nigéria, etc.), l'union avec Canal+ devrait permettre des synergies notamment sur les investissements technologiques et les achats de droits sportifs. Quelle que soit l'issue de l'OPA, Canal+ est d'ores et déjà en mesure de contrôler MultiChoice. Depuis l'annonce de son offre au printemps 2024, Canal+ a racheté des actions sur le marché. Il en détient actuellement 45 % et est en passe d'acquérir un bloc pour monter à environ 48 % du capital. Création d'une nouvelle société Pour permettre l'opération, plusieurs mesures sont nécessaires. D'une part, comme en France, la loi sud-africaine pose des limites à la propriété étrangère de chaînes. Une nouvelle société sera créée, majoritairement à capitaux sud-africains, pour y loger les licences de télé de MultiChoice. D'autre part, Canal+ se conformera à la réglementation visant à corriger les inégalités économiques issues de l'apartheid. Le fonds Phuthuma Nathi, déjà présent au capital de MultiChoice, restera notamment impliqué dans le nouveau schéma. Enfin, le financement de contenus de divertissement et de sport en Afrique du Sud reste une priorité. Les avancées sur le dossier MultiChoice interviennent après deux grosses déconvenues pour la galaxie Bolloré, dans laquelle gravite Canal+. Vendredi, la Commission européenne a accusé Vivendi d'avoir enfreint les règles européennes en matière de concurrence dans le cadre de sa prise de contrôle du groupe Lagardère. Le même jour, l'Autorité des marchés financiers (AMF) décidait que - dans le cadre du découpage de Vivendi fin 2024 - le groupe Bolloré et Vincent Bolloré devaient déposer un projet d'OPA puis d'offre publique de retrait (OPR) sous six mois sur les actions Vivendi qu'ils ne possèdent pas. Groupe Bolloré en est l'actionnaire de référence avec 29,9 % du capital ; une telle opération pourrait être coûteuse si aucune décision de justice ne vient l'annuler.

TotalEnergies démarre la production de deux projets au large de l'Angola
TotalEnergies démarre la production de deux projets au large de l'Angola

Les Echos

time23 minutes ago

  • Les Echos

TotalEnergies démarre la production de deux projets au large de l'Angola

PARIS (Agefi-Dow Jones)-- Le producteur d'énergie TotalEnergies a annoncé mercredi le début de la production des projets Begonia et Clov phase 3, qui représenteront une production supplémentaire de 60.000 barils par jour au large de l'Angola. Situé à 150 kilomètres des côtes angolaises, Begonia est un projet d'une capacité de 30.000 barils par jour, dont les cinq puits sous-marins sont raccordés à l'unité flottante de production et de stockage (FPSO) de Pazflor, l'une des unités présentes dans les principales zones de production du bloc 17 au large de l'Angola. Situé à 140 kilomètres des côtes angolaises, Clov phase 3 est un projet d'une capacité de 30.000 barils par jour, composé de quatre puits sous-marins raccordés au FPSO Clov, une autre unité présente dans le bloc 17. -Pierre-Jean Lepagnot, Agefi-Dow Jones, pjlepagnot@ ed: JDO July 23, 2025 09:42 ET (13:42 GMT)

Les entreprises de BTP du Grand Est peinent à recruter, pénalisées par l'« effet frontière »
Les entreprises de BTP du Grand Est peinent à recruter, pénalisées par l'« effet frontière »

Les Echos

timean hour ago

  • Les Echos

Les entreprises de BTP du Grand Est peinent à recruter, pénalisées par l'« effet frontière »

Maçons, électriciens, plombiers et chauffagistes, ingénieurs… Ce sont quelques-uns des professionnels du bâtiment dans le Grand Est qui partent exercer de l'autre côté de la frontière, principalement vers le Luxembourg ou la Suisse, attirés par de meilleurs salaires, des conditions sociales avantageuses, un cadre fiscal plus favorable. Une enquête dirigée et publiée par l'Observatoire des métiers du bâtiment et des travaux publics se penche sur les difficultés des entreprises régionales à recruter et fidéliser les salariés dans ce contexte. 33 % des dirigeants de Moselle et 56 % de la Meuse, proches du Luxembourg, ainsi que 39 % du Haut-Rhin, frontalier de la Suisse, déclarent que la situation géographique de leur entreprise influe fortement sur leurs difficultés à fidéliser leurs salariés. Dans le Bas-Rhin, où les frontaliers travaillent principalement en Allemagne, 13 % des chefs d'entreprise dressent le même constat. « Il y a quelques années, l'Allemagne offrait des conditions salariales plus intéressantes, mais maintenant les flux de travailleurs frontaliers se dirigent majoritairement vers le Luxembourg et la Suisse », analyse Catherine Bétourné, directrice études, métiers, compétences et certifications à l'institut Paradoxes, qui a réalisé l'étude. Meilleur équilibre de vie Le document comporte un certain nombre de préconisations pour la branche professionnelle. Comme de mieux faire connaître les avantages que les entreprises peuvent offrir aux salariés - paniers repas, prêt de matériel… - encourager la formation et la promotion en interne, ou encore valoriser la qualité de vie au travail. « Certaines entreprises proposent la semaine de quatre jours. Elles peuvent aussi mettre en avant la proximité des chantiers, alors que les temps de trajet liés au travail frontalier représentent un vrai point négatif », reprend Catherine Bétourné. Des atouts pour trouver de nouvelles recrues ou fidéliser les salariés en poste, pointe l'étude, d'autant que l'équilibre entre la vie professionnelle et la vie familiale gagne en importance. « Nous avons interrogé des frontaliers qui sont revenus travailler en France après quelques années à l'étranger. Ils le font pour pouvoir s'engager plus pleinement dans leur vie de famille. Ce sont des réponses assez nouvelles par rapport à celles que nous aurions pu recueillir il y a cinq ou dix ans », explique Catherine Bétourné.

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