
Mardi 19 août : tentez de gagner 250 millions d'euros mis en jeu à l'EuroMillions FDJ
Ce mardi 19 août, un jackpot exceptionnel de 250 millions d'euros est mis en jeu à EuroMillions – My Million. Et si c'était votre tour de décrocher la cagnotte ? Deux fois par semaine, la Française des Jeux offre à ses joueurs une chance unique de transformer leur quotidien. Pour participer, rien de plus simple : rendez-vous sur l'application mobile FDJ, sur le site officiel ou chez votre détaillant habituel. Une grille simple coûte 2,50 euros et vous permet de cocher 5 numéros parmi 50, ainsi que 2 étoiles parmi 12. Si tous vos choix correspondent aux résultats du tirage, vous remportez le gros lot !
Comment tenter votre chance à l'EuroMillions FDJ depuis votre téléphone portable ?
C'est très intuitif, même si vous n'avez pas l'habitude de participer aux tirages au sort de la Française des Jeux. Commencez par télécharger gratuitement l'application FDJ, disponible sur iOS et Android. Créez ensuite un compte joueur sécurisé en quelques minutes, avec vérification d'identité. Une fois connecté, sélectionnez le jeu EuroMillions – My Million, puis choisissez vos numéros et vos étoiles pour remplir une ou plusieurs grilles. Vous pouvez aussi opter pour une grille multiple, ou jouer en toute simplicité avec l'option « Flash ». Chaque grille validée vous attribue un code My Million, automatiquement inscrit au tirage du soir, avec 1 gagnant garanti à 1 million d'euros en France.
Vous souhaitez augmenter vos chances ? Activez l'option Étoile+ pour 1 euro de plus, et tentez de gagner même avec une seule bonne étoile. Pour aller encore plus loin, découvrez aussi les packs MultiChances ou abonnez-vous avec l'option ABO+ pour ne rater aucun tirage. N'oubliez pas que les prises de jeu sont ouvertes jusqu'à 20h15 le jour du tirage. Les résultats My Million tombent vers 20h20, et ceux d'EuroMillions vers 21h05, en direct sur TF1 ou sur fdj.fr. Et maintenant à vous de jouer !
Cliquez ici pour jouer à l'EuroMillions en ligne
La loi interdit la vente de jeux d'argent aux moins de 18 ans, dans les points de vente comme en ligne. Jouer comporte des risques : isolement, dépendance… Appelez le 09 74 75 13 13 (appel non surtaxé), si vous souhaitez une aide.
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Le HuffPost France
15 minutes ago
- Le HuffPost France
Les obsèques de Jean Pormanove financées par Drake et le streamer Adin Ross ?
MÉDIAS - Les enquêtes après la mort de Jean Pormanove sont en cours. Son décès alors qu'il était en plein stream sur la plateforme controversée Kick a suscité de nombreuses réactions politiques. Mais également du monde des streamers. Adin Ross, ex-star américaine de Twitch qui officie sur Kick, a annoncé vouloir prendre à sa charge le coût des obsèques du Français, avec le soutien du rappeur Drake. Adin Ross a publié un long message sur son compte X (ex-Twitter), peu après l'annonce de la découverte du corps de Raphaël Graven, alias JP - Jean Pormanove, près de Nice. « C'est terrible et immonde. Ceux qui ont participé à cette tragédie méritent d'en payer les conséquences. Je viens d'échanger avec Drake. Lui et moi allons payer les obsèques, cela ne le ramènera pas, mais c'est le moins que nous puissions faire », a-t-il promis ce mardi 19 août. Si le nom d'Adin Ross est inconnu pour beaucoup, il est en réalité une immense star sur certaines plateformes de streaming. Sur Twitch, où il streamait jusqu'à récemment, il cumule plus de 7 millions d'abonnés. Sur Kick, il en a, à date, plus d'1,8 millions, ce qui fait de lui l'une des personnalités les plus suivies. Comme il l'affirmait dans le podcast de Logan Paul, Adin Ross aurait touché 100 millions de dollars pour migrer sur Kick. Un choix pécuniaire donc (car la plateforme rémunère par ailleurs les producteurs de contenus bien plus que Twitch) mais pas uniquement. Adin Ross a aussi expliqué que c'était en raison de la plus faible modération instaurée par la plateforme australienne. Ses liens avec Kick sont donc avérés. Les liens de Drake avec Kick Quid donc de ceux de Drake ? L'interprète de Hotline Bling est présent sur la plateforme et cumule, lui, 331 000 followers. Il est par ailleurs directement lié par contrat depuis 2022 au casino virtuel Stake, pour lequel il fait de la publicité. Kick et Stake ont les mêmes fondateurs : Edward Craven et Bijan Tehrani. Outre leurs liens individuels avec la plateforme australienne (passés ou présents), Drake et Adin Ross ont déjà collaboré sur Kick. Ils n'avaient, en revanche jamais streamé avec Jean Pormanove. Mais la plateforme Kick sur laquelle le Français avait 192 000 abonnés est précisément ciblée depuis l'annonce de la mort de JP. C'est en effet au cours d'un live qui durait depuis déjà 10 jours que Raphaël Graven est décédé. La vidéo a été coupée après que l'un de ses partenaires, Naruto, a découvert qu'il ne respirait plus. Un live streaming décrit par certains internautes comme particulièrement extrême au cours duquel il aurait notamment été privé de sommeil et forcé à ingérer des substances toxiques. Les violences physiques et les humiliations étaient d'ailleurs le concept principal de la chaîne de Jeanpormanove. Mais l'avocat de Naruto a nié toute implication expliquant que les vidéos étaient scénarisées. Très critiquée, Kick se défend mollement Kick a directement été interpellée par la haute-commissaire à l'Enfance Sarah El Haïry et par la ministre chargée du Numérique. « La responsabilité des plateformes en ligne sur la diffusion de contenus illicites n'est pas une option : c'est la loi. Ce type de défaillances peut conduire au pire et n'a pas sa place en France, en Europe ni ailleurs », a déclaré Clara Chappaz, ajoutant avoir saisi l'Arcom, fait un signalement sur Pharos, le portail officiel de signalement des contenus illicites de l'Internet, et contacté les responsables de Kick. En réponse, la plateforme a posté un long message sur X ce mercredi 20 août. Dans celui-ci, elle annonce avoir banni temporairement de la plateforme les co-streamers « ayant participé à cette diffusion en direct (...) dans l'attente de l'enquête en cours ». Kick affirme par ailleurs vouloir « collaborer pleinement avec les autorités dans le cadre de ce processus(...) Notre priorité est de protéger les créateurs et de garantir un environnement plus sûr sur Kick ». JP faisait partie d'un collectif nommé Le LokalTV avec les streamers Naruro et Safine, et Coudoux, un homme handicapé moteur (et second souffre-douleur de leurs concepts). Sur leur chaîne, les internautes pouvaient faire suivre ces séances d'humiliation en direct et faire des dons. Comme le mettait en avant Adin Ross, Kick ne modère en effet actuellement que très peu les contenus des utilisateurs, permettant par exemple à celui-ci de streamer son échange avec un interlocuteur faisant l'apologie du nazisme. Immédiatement après l'annonce de la mort de Jean Pormanove, la plateforme a banni, sa chaîne afin que la vidéo de son ultime live ne soit plus accessible. Toutes celles qui précèdent et dans lesquelles lui et Coudoux se faisaient violenter, insulter et humilier, ne le sont plus non plus.


Le Figaro
15 minutes ago
- Le Figaro
Une publicité Sanex bannie au Royaume-Uni pour «stéréotype racial»
Le régulateur de la publicité britannique a jugé que le spot publicitaire véhiculait l'idée selon laquelle «la peau noire poserait problème et la peau blanche serait supérieure». Le régulateur de la publicité au Royaume-Uni a interdit ce mercredi la diffusion d'un spot télévisé britannique pour le savon Sanex, jugeant qu'il véhiculait un «stéréotype racial» selon lequel «la peau noire poserait problème et la peau blanche serait supérieure». La publicité, diffusée en juin, montre une femme noire avec des marques rouges de griffures, puis une autre recouverte d'une matière craquelée proche de l'argile avec ce commentaire : «Pour ceux qui peuvent se gratter jour et nuit. Pour ceux dont la peau se dessèche même au contact de l'eau.» Puis elle poursuit avec l'image d'une femme blanche prenant une douche avec un savon Sanex : «Essayez de prendre une douche avec le nouveau Sanex Skin Therapy et son complexe d'acides aminés breveté. Pour une sensation d'hydratation de 24 heures.» Le spot se conclut avec un texte et une voix off : «Le soulagement peut être aussi simple qu'une douche.» Selon le communiqué de l'ASA, Colgate-Palmolive, propriétaire de la marque Sanex, a expliqué lors de l'enquête que la mise «en scène de modèles de différentes origines et couleurs de peau» faisait partie de son engagement «pour la diversité». Avec l'idée que le produit «convient à tous». Publicité Le régulateur reconnaît dans sa décision que le message n'est «pas intentionnel et peut passer inaperçu pour certains spectateurs», mais estime «que la publicité est susceptible de renforcer le stéréotype racial négatif et offensant selon lequel la peau noire poserait problème et la peau blanche serait supérieure». Contacté par l'AFP, Colgate-Palmolive n'avait pas répondu mercredi en milieu de matinée.


Le Figaro
15 minutes ago
- Le Figaro
Julia Ducournau : «On rêverait tous de pouvoir dire à sa mère 'c'est bon, tu as tout bien fait'»
Avec Alpha, son quatrième long-métrage, la réalisatrice s'attaque à la figure maternelle, à la transmission des traumas comme à la façon dont on les combat. Son film le plus personnel à ce jour. Que fait-on après un film choc ? Après un thriller horrifique et mutant vous inscrivant comme la nouvelle maîtresse du cinéma de genre ? En 2021, Julia Ducournau, 38 ans, déjà remarquée avec Grave en 2017, devient la deuxième femme, après Jane Campion, à décrocher une Palme d'or avec Titane au Festival de Cannes. Quatre ans plus tard, c'est à nouveau sur la Croisette qu'elle a présenté son Alpha aussi mystérieux qu'attendu. Du film, on savait tout juste qu'il mettait en scène Golshifteh Farahani et Tahar Rahim, émacié à faire peur après avoir perdu 22 kilos pour son rôle. À Cannes, on a découvert l'histoire d'Alpha, adolescente grincheuse et tourmentée (Melissa Boros), qui doit grandir entre une mère ultraprotectrice et un oncle junkie dans un monde où un virus transforme les malades en statues de marbre. Lyrique et ambitieux, confus et agaçant pour certains, moins «gore» que Grave ou Titane, Alpha exprime ouvertement, au gré de moments intimes (un repas de l'ado avec ses tantes algériennes, directement inspiré des souvenirs de famille Julia Ducournau) et de bangers connus de tous (du Let It Happen de Tame Impala à l'ultradramatique 2e mouvement de la 7e symphonie de Beethoven), des sentiments, tendresse et rédemption, que l'on ne faisait, jusqu'ici, que deviner dans les films de la réalisatrice. Qui s'est autorisée à toucher son public avec un frisson d'amour plus que d'horreur. Madame Figaro.- Quelle a été la première idée, l'étincelle qui a donné naissance à Alpha ? Julia Ducournau.- Il n'y a pas vraiment d'étincelle. C'est un sujet que j'avais en tête depuis très longtemps, mais que j'ai repoussé indéfiniment : j'imaginais qu'il fallait que je sois beaucoup plus vieille, plus mature, plus expérimentée pour le faire. À plein d'égards, c'était un film qui me mettait dans l'inconfort. Après Titane, j'ai commencé à développer un autre film, mais j'ai réalisé, en l'écrivant, que je me répétais, que j'étais dans une zone de confort. Ce qui est dit est dit, ce qui est fait n'est plus à faire et surtout, je pense que le confort est créativement stérile : j'ai donc tout mis à la poubelle. D'une certaine manière j'ai l'impression que de film en film, ce que je recherche est d'aller de plus en plus vers l'émotion, de m'exposer, de donner beaucoup plus de moi en retirant les couches. Cela ne veut pas dire que je m'éloigne du cinéma de genre puisque je fonctionne de manière très visuelle, par images, ma tête est faite comme ça. Mais laquelle est venue en premier pour Alpha ? Je ne peux vraiment pas le dire. En tout cas, j'avais en ligne de mire ce mouvement d'émotion final, un endroit où la catharsis ne se ferait pas par une réaction organique ou horrifique, mais par le trajet de mes personnages et leurs rapports entre eux. Publicité Alpha aborde de nombreux thèmes : la transmission, le trauma, la maladie, l'adolescence... Pourtant vous parlez d'un «sujet» au singulier. Duquel s'agit-il ? Du rapport à la figure maternelle. Sur Grave et Titane, j'ai abordé l'émancipation du regard paternel. Mais quand il s'agit de s'émanciper de la figure maternelle, on parle de l'amputation d'une partie de soi, de la symbiose originelle, mais aussi de la fusion qui s'est poursuivie une fois qu'on est né. Autant on peut «tuer le père», mais on ne peut pas «tuer la mère» sans tuer aussi une partie de soi . Il faut donc se réinventer totalement. Qu'advient-il d'Alpha à la fin du film, de son mouvement d'émancipation ? Mes films se ferment toujours d'une manière à ce que le destin de mon personnage s'ouvre à ce moment-là. À lire aussi «J'ai perdu le goût» : Tahar Rahim se confie sur son impressionnante perte de poids pour le film Alpha La maternité, et ce qui se transmet à travers elle, est un motif que l'on retrouve dans vos trois films… Avez-vous le sentiment d'avancer sur le sujet, où d'y revenir sans cesse ? Les deux. L'idée de reproduire les mêmes recettes est complètement stérile pour moi. Je pense qu'il faut creuser, mais dans des endroits inconnus. C'est là que c'est difficile : il faut aller plus loin dans le fait de se dévoiler, au monde mais d'abord à soi. Évidemment, il y a quelque chose d'infiniment psychanalytique dans le fait de faire des films, de la peinture ou quoi que ce soit. Je cite toujours cette phrase d'un réalisateur : «faire des films, c'est regarder le même diamant à chaque fois à travers une facette différente». Tahar Rahim, Julia Ducournau et Melissa Boros au Festival de Cannes 2025. (Cannes, le 20 mai 2025) Stephane Cardinale - Corbis / Corbis via Getty Images Vous avez déclaré, dans une interview, avoir encore un pied dans l'adolescence. Comment cela se traduit-il ? L'adolescence, pour moi, est un endroit de non-définition, de transition, et je me sens en transition perpétuelle. Si je devais me définir, je suis quelque part entre un enfant de 5 ans et une dame de 86 ans. Je suis un mix des 2, ce qui doit correspondre, quand on fait la moyenne, à quelque chose autour de 13, 14 ans. Je crois qu'on est en mutation permanente, que l'on continue à décider chaque jour de qui l'on est. Cette idée d'un espace transitionnel me paraît être un terreau hyperintéressant pour les personnages, dans la mesure où dans tous mes films, ils partent d'un point A qui va se transformer totalement pour arriver, non pas à un point B, mais à l'infini, à une étendue de possibilités. À la liberté, tout simplement. Le film évoque l'épidémie du Sida, mais aussi la crise climatique, le harcèlement… Que dit-il de ce que l'on s'apprête à laisser aux générations futures ? À mon sens, tant que les traumas ou les situations de crises ne font pas l'objet d'une réparation, d'un deuil, on ne peut que les transmettre. Tant que la souffrance n'est pas nommée, vécue et acceptée, cela provoquera un effet domino qui ne s'arrêtera jamais. Il fallait donc que je confronte mes personnages, ainsi que moi-même à la parole. Ce qui n'était pas le cas sur mes autres films, par pudeur : j'ai toujours peur que les mots soient trop explicatifs, qu'ils viennent atténuer une émotion. Dans Titane, quand les personnages se disent «Je t'aime», ce sont des phrases que j'ai enlevées, remises, enlevées, remises… C'est un tel poncif, si difficile à utiliser, mais j'ai compris que prononcer ces mots participait à l'héroïsme de mes personnages. Dans Alpha, c'est un peu pareil : à la fin, quand la petite dit à sa mère «c'est bon, c'est passé, tu as tout bien fait», c'est difficile, mais je pense qu'on rêverait tous de pouvoir le dire sa mère. À lire aussi Golshifteh Farahani : «Pour connaître l'âme d'un homme, c'est intéressant de voir comment il se comporte avec sa mère, sa femme, ses amies» Votre mère a-t-elle vu le film ? Ma mère lit tous mes scénarios, elle voit mes films avant tout le monde. Je l'implique énormément parce que je ne veux pas qu'il y ait de malentendu, ni de sentiment d'agression par rapport aux émotions, aux souvenirs que je convoque. Alpha est un film très personnel à plein d'égards, mais qui s'est fait dans le respect de chacun, tant envers ma famille que les acteurs. Je demande énormément à ces derniers : leurs blessures, leur passé... Je souhaite que l'on communie autour de nos souffrances communes. Je veux qu'il n'y ait de mauvaises surprises pour personne mais qu'on soit tous dans la même catharsis. Et qu'au fond, on accouche de nous-mêmes.