logo
Les Blue Jays victorieux pour la 7e fois en 8 matchs

Les Blue Jays victorieux pour la 7e fois en 8 matchs

La Presse26-07-2025
Les Blue Jays victorieux pour la 7 e fois en 8 matchs
(Detroit) Bo Bichette a claqué un double de deux points et les Blue Jays de Toronto ont défait les Tigers de Detroit 6-2, vendredi, méritant une septième victoire à leurs huit dernières rencontres.
La Presse Canadienne
Les Jays ont perdu une seule fois depuis la pause du match des étoiles.
Bichette est au deuxième rang de l'Américaine avec 30 doubles.
Celui de vendredi soir a fait marquer Vladimir Guerrero et George Springer, en cinquième.
Guerrero a cogné deux coups de deux buts, dont un qui a valu un point.
Springer y est allé de trois simples, parmi les 13 coups sûrs des visiteurs.
Toronto a gardé le cap après inscrit quatre points en cinquième, prenant alors les devants 6-1.
Jose Berrios (7-4) a permis deux points et cinq coups sûrs en six manches, retirant six frappeurs au bâton.
Depuis le 21 juin, il montre un dossier de 4-1 en six départs.
Spencer Torkelson a frappé un circuit en solo pour les Tigers, qui ont perdu sept de leurs huit derniers matchs.
Torkelson a frappé la longue balle après un retrait en sixième.
Les Tigers n'ont placé aucun coureur sur les buts par la suite.
Keider Montero (4-3) a donné six points et neuf coups sûrs en quatre manches.
Samedi, les lanceurs partants seront Kevin Gausman et Tarik Skubal.
Gagnant du Cy Young de l'Américaine en 2024, Skubal a mérité cinq victoires de suite en juin. Il n'a pas savouré de victoire à ses trois dernières sorties, par contre.
Orange background

Essayez nos fonctionnalités IA

Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :

Commentaires

Aucun commentaire pour le moment...

Articles connexes

Victoria Mboko : la nouvelle reine du tennis à Montréal
Victoria Mboko : la nouvelle reine du tennis à Montréal

La Presse

time2 hours ago

  • La Presse

Victoria Mboko : la nouvelle reine du tennis à Montréal

À l'occasion de sa revue de presse, vendredi matin, Paul Arcand aborde la grande victoire de Victoria Mboko, alors que la jeune canadienne de 18 ans a remporté son match face à Naomi Osaka en trois manches de 2-6, 6-4 et 6-1 pour le premier titre de sa jeune carrière dans la WTA. Elle remporte le titre et se retrouve donc dans le top 25 des meilleures joueuses au monde. C'est une performance historique. Je vais vous dire, j'adore le titre de La Presse ce matin, ça résume tout. On l'appelle : la reine Victoria. Paul Arcand Il compare l'engouement des amateurs pour le tennis, à ce qu'on a connu lors des séries au hockey dans la LNH ce printemps. Une collaboration La Presse et Cogeco Média

Le sacre de la reine Victoria
Le sacre de la reine Victoria

La Presse

time8 hours ago

  • La Presse

Le sacre de la reine Victoria

Victoria Mboko a commencé son jeudi à l'hôpital pour passer un examen d'imagerie par résonance magnétique. Elle l'a terminé en levant le trophée le plus important de sa carrière au centre du terrain sur lequel elle a été formée. Dans son match de demi-finale contre Elena Rybakina, la veille, Mboko s'est blessée au poignet droit lors d'une chute en fond de terrain. Elle a reçu des soins, puis terminé le match avec la victoire. Néanmoins, quelques heures avant la finale, elle a tout de même ressenti le besoin d'aller à l'hôpital pour se soumettre à une IRM et un rayon X. Son poignet avait enflé depuis la veille. Il était rigide et elle avait de la misère à le bouger. Sa présence pour le match le plus significatif de sa vie était donc compromise. « Quand j'ai reçu le feu vert et qu'on a vu qu'il n'y avait rien de grave, je suis arrivée au stade, on a fait l'entraînement et on s'est préparé rapidement », a-t-elle raconté après la rencontre. Et la magie a opéré. En soirée, elle a été sacrée championne en trois manches de 2-6, 6-4, 6-1 contre Naomi Osaka. PHOTO DOMINICK GRAVEL, LA PRESSE Victoria Mboko Plus de deux heures après son couronnement, la nouvelle reine du tennis canadien souriait encore à pleines dents et ses yeux scintillaient toujours. « On peut dire que je me sens beaucoup mieux. » Mboko s'est adressée aux membres des médias de la même manière qu'elle l'a fait tout au long de la semaine. « C'était la finale. Je me disais que j'étais capable de jouer au moins un autre match », a-t-elle dit calmement sur un ton posé. Sous les projecteurs du court central, elle a vu le dernier revers d'Osaka atterrir dans le filet, après deux heures et quatre minutes de jeu. La balle n'avait pas fait son deuxième bond que Mboko était déjà au sol, à genou. La tête entre les mains, recroquevillée, seule, au milieu de 12 000 spectateurs debout. Toute la pression est tombée de mes épaules. J'ai regardé mes parents et ma famille. Et c'est tout. Victoria Mboko Une victoire imparfaite Cette victoire aurait pu échapper à Mboko plusieurs fois. En vérité, les deux assaillantes ont joué en accumulant les erreurs. Les joueuses ont perdu leur service 14 fois. PHOTO DOMINICK GRAVEL, LA PRESSE Victoria Mboko renvoie la balle durant son duel contre Naomi Osaka Cette donnée illustre surtout un manque de constance de part et d'autre. Mais une des deux joueuses rentre à la maison avec un trophée dans ses bagages. Cette joueuse, Mboko, a une fois plus prouvé qu'elle a sa place parmi les meilleures joueuses au monde. « Après la première manche, j'ai mis tout ça derrière moi. Je voulais entamer un nouveau chapitre. Je voulais changer mon état d'esprit. Dans la deuxième manche, j'ai beaucoup mieux joué défensivement », a-t-elle déclaré. Avec sa victoire, elle atterrit au 25e rang du classement. Un bond de 60 places qui fait d'elle la Canadienne la mieux classée au monde, deux rangs devant Leylah Annie Fernandez. Mboko sera donc l'une des têtes de série aux Internationaux des États-Unis. Osaka a gagné quatre titres en grand chelem en retournant tout, toujours. Comme un mur dans une cour d'école. Elle est restée au sommet du classement mondial pendant 25 semaines, parce qu'elle sait comment viser les lignes au bon moment. Et elle s'est rendue en finale du tournoi, car elle a servi comme elle en est capable. Osaka détient le meilleur rendement du circuit en première balle. Or, Mboko l'a limitée à un as et 54 % de points gagnés en première. PHOTO DOMINICK GRAVEL, LA PRESSE Naomi Osaka Si bien qu'Osaka, après avoir été brisée une deuxième fois en début de deuxième manche, a lancé sa raquette et la balle qui restait dans ses poches. Lorsqu'elle a constaté que Mboko retournait tout, elle a perdu toute sa concentration. Comme si elle ne voulait plus se battre. Entre les points, elle était expéditive. Au service, elle prenait la première balle qu'elle avait sous la main et ne lui faisait plus faire le moindre bond, comme c'est la coutume. Elle marchait vite aux changements de côté, visait les coups gagnants pour en finir le plus rapidement possible et contestait souvent les décisions du système automatique de détection de balles. Dépassée, Osaka a baissé les épaules. Frustrée, elle n'a même pas félicité Mboko lors de son très court discours d'après-match. La Japonaise n'a pas non plus voulu s'adresser aux médias au terme de la rencontre. À l'inverse, lorsque Mboko a senti que le vent tournait en sa faveur, elle a montré des signes de nervosité. Aux changements de côté, elle ne s'assoyait plus. Pendant les pauses, elle ne tenait plus en place. Avant de servir, elle sautait sans cesse. À la fin de la deuxième manche, elle voulait que chaque service tombe en jeu. Dans le dernier jeu de la deuxième manche, elle a poussé trois services de suite à 117, 120 et 130 kilomètres à l'heure. Près de 40 km/h sous sa moyenne habituelle. Pour le reste, Mboko n'a jamais levé le pied. « Je voulais juste mettre le plus de balles en jeu. Je voulais tellement gagner. » Elle a survécu à sept égalités et quatre balles de bris pour faire 3-1 en troisième manche. Ensuite, Mboko n'a plus donné un seul jeu. Mais elle a continué à donner de l'amour à un public en liesse. Celui qui a été debout pendant l'entièreté du dernier point. Comme la veille, elle a envoyé des baisers aux spectateurs situés des quatre côtés du terrain. D'est en ouest, elle a donné autant d'amour qu'elle en a reçu en remerciant tous les amateurs présents. D'un océan à l'autre, elle s'est mérité une place de choix dans le cœur des gens. L'histoire sous nos yeux Cette victoire entre dans l'histoire de plusieurs manières. Les nouvelles marques établies sont nombreuses. La plus frappante ? Elle était la cinquième joueuse classée au-dessus du 84e rang mondial à prendre part à une finale de tournoi WTA 1000. Et elle est la seule à avoir terminé la rencontre comme championne. PHOTO DOMINICK GRAVEL, LA PRESSE Victoria Mboko après sa victoire À la suite de son triomphe, Mboko a passé près d'une heure à autographier des balles, des pancartes et des casquettes. C'est encore plus gros que je l'avais imaginé. Voir autant de gens se lever pour moi, c'était surréel. Jamais je n'aurais cru que ça puisse arriver aussi rapidement. Victoria Mboko Si la perfection n'existe pas dans la manière de jouer, elle existe certainement dans la manière de gagner. Mboko l'a prouvé en cette journée de finale. Entre la panique d'un matin incertain et le couronnement d'une reine levant un trophée au bout de ses bras meurtris, la Canadienne a écrit l'histoire. D'ailleurs, le 16 juin dernier, La Presse a réalisé une entrevue avec Mboko. Elle se trouvait dans un café de Londres entre deux tournois. Elle pointait alors au 88e rang mondial. Un peu à la blague, pour clore l'entrevue, on lui a demandé si remporter l'Omnium Banque Nationale de Montréal faisait partie de ses objectifs de fin de saison. « Ce serait génial, avait-elle répondu le plus sérieusement du monde, mais c'est un long processus et ce genre de chose ne s'obtient pas facilement. Évidemment, ce serait chouette de gagner un tournoi comme celui-là. Si je donne mon 100 % à chaque fois, je pourrais être en belle position. J'y vais un jour à la fois. » 52 jours plus tard, très exactement, Mboko a triomphé. La championne devient la première Canadienne de l'ère Open à le faire à Montréal. Et elle y est parvenue en battant au passage quatre championnes en tournois du grand chelem. C'est pourquoi la jeune femme de 18 ans souriait autant. Même si à en croire ses propos, écrire l'histoire épuise. « Je suis fatiguée. J'ai joué [sept] matchs et le dernier a été difficile. Il y a eu beaucoup d'émotions. Je peux relâcher. »

Ben Shelton remporte la finale à Toronto
Ben Shelton remporte la finale à Toronto

La Presse

time9 hours ago

  • La Presse

Ben Shelton remporte la finale à Toronto

(Toronto) L'Américain Ben Shelton a vaincu le Russe Karen Khachanov en trois manches de 6-7 (5), 6-4, 7-6 (3) en finale de l'Omnium de tennis Banque Nationale, jeudi soir, à Toronto. La Presse Canadienne Shelton, quatrième tête de série, a ainsi mis la main sur le premier titre de catégorie Masters 1000 de sa carrière. « Je n'ai pas encore réalisé ce qui vient de se passer, a dit Shelton sur le terrain, après sa victoire. C'est un moment spécial, c'est certain. Je suis juste heureux d'avoir pu livrer une telle performance aujourd'hui. « J'ai été en mesure de me battre et de gagner ce tournoi. Je suis content pour mon équipe aussi avec qui je travaille fort chaque jour. Ça me donne beaucoup de confiance pour la suite. » J'ai joué du bon tennis cette semaine, mais je sais que je peux encore m'améliorer afin d'atteindre mon objectif de gagner des tournois du Grand Chelem. Ben Shelton Il s'agit d'un troisième sacre sur le circuit de l'ATP pour l'athlète de 22 ans, qui avait triomphé à Houston en 2024 et à Tokyo en 2023. Grâce à cette victoire, Shelton grimpera au sixième rang mondial lors de la publication du prochain classement de l'ATP. Il s'agit d'un sommet pour lui.

TÉLÉCHARGER L'APPLICATION

Commencez dès maintenant : Téléchargez l'application

Prêt à plonger dans un monde de contenu mondial aux saveurs locales? Téléchargez l'application Daily8 dès aujourd'hui sur votre app store préféré et commencez à explorer.
app-storeplay-store