
Eze vers Arsenal, Clauss pisté par le Bayer Leverkusen, l'OL pourrait perdre Fofana...Les 5 infos mercato du jour
Eberechi Eze finalement vers l'Arsenal FC
Une (nouvelle) belle pioche pour l'Arsenal FC. Alors qu'il semblait proche de s'engager avec le Tottenham Hotspur FC, Eberechi Eze (27 ans) devrait rejoindre le club d'Islington (Londres), rapporte Fabrizio Romano. Les Gunners auraient en effet conclu un accord avec toutes les parties pour s'attacher les services du milieu de terrain offensif, ou attaquant, britannique. Ils vont dépenser près de 70 M€, hors bonus, pour s'offrir le meilleur joueur du Crystal Palace FC. Il pourrait bien permettre à Mikel Arteta et ses hommes de franchir un nouveau cap.
Amine Adli à l'AFC Bournemouth (officiel)
Après l'Allemagne, l'Angleterre. Amine Adli a quitté le Bayer 04 Leverkusen pour rejoindre l'AFC Bournemouth, ont annoncé les Cherries. La formation britannique a dépensé 21 M€, hors bonus, pour s'attacher les services de l'attaquant marocain. Le joueur formé au Toulouse FC, un temps dans la short-list de l'Olympique de Marseille, s'est engagé avec son nouveau club pour cinq saisons, soit jusqu'en juin 2030.
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OGC Nice : Jonathan Clauss, pisté par le Bayer 04 Leverkusen, absent de l'entraînement...
Et s'il retournait en Allemagne ? Arrivé sur la Côte d'Azur l'été dernier en provenance de l'Olympique de Marseille, Jonathan Clauss (32 ans) serait courtisé par le Bayer 04 Leverkusen, comme l'a révélé le média allemand Kicker. Et RMC Sport nous apprend que le piston droit, touché à la cheville, était absent de l'entraînement de l'OGC Nice ce jeudi matin. De quoi relancer les rumeurs de départ de l'international français...L'ex-Lensois est lié aux Aiglons jusqu'en juin 2026.
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L'Olympique lyonnais contraint de vendre Malick Fofana ?
Un dilemme. En proie à de sérieux problèmes financiers, l'Olympique lyonnais – sauvé de la relégation administrative grâce à l'arrivée de Michele Kang au poste de présidente du club – doit encore vendre pour près de 40 M€ pour respecter ses engagements vis-à-vis de ses actionnaires et prêteurs, nous apprend L'Équipe . Une somme importante qui correspond plus ou moins à la valeur marchande...de Malick Fofana (20 ans). Les Gones, et Paulo Fonseca en premier, aimeraient conserver leur feu follet mais ils pourraient bien être contraints de le laisser partir, à moins que d'autres joueurs ne soient vendus pour atteindre le montant attendu. Une chose est sûre : il y aura encore du mouvement dans le Rhône dans les prochains jours.
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L'Olympique de Marseille piste un ancien Lyonnais
Le marché des transferts marseillais est loin d'être terminé. D'autant plus avec l'affaire Adrien Rabiot-Jonathan Rowe. Pour compléter leur effectif, les Phocéens cherchent entre autres un défenseur gauche et plus précisément un spécialiste du poste de latéral. Kóstas Tsimíkas est notamment pisté par les dirigeants olympiens, comme l'a révélé Foot Mercato. Mais le Grec du Liverpool FC n'est pas le seul joueur ciblé. En effet, les dirigeants de l'Olympique de Marseille suivraient aussi de près l'ex-Lyonnais Emerson Palmieri. «Des discussions ont même déjà eu lieu concernant la situation de l'international italien», indiquent nos confrères de Foot Mercato . Le défenseur âgé de 31 ans évolue au West Ham United FC.
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3 hours ago
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Jean-Philippe Mateta inscrit le premier but européen de l'histoire de Crystal Palace en Ligue Conférence
En barrages de Ligue Conférence ce jeudi, Crystal Palace a remporté le premier match européen de son histoire en dominant grâce à un but de Jean-Philippe Mateta les Norvégiens de Fredrikstad (1-0). Comme Brondby, les clubs scandinaves engagés ont assuré. Crystal Palace se fait peur, la Fiorentina assure Qui d'autre que Jean-Philippe Mateta pour inscrire le premier but européen de l'histoire de Crystal Palace ? L'attaquant français, opportuniste de la tête, a marqué le seul but des Eagles, finalement reversé en Ligue Conférence, contre Fredrikstad ce jeudi soir (1-0). Un succès finalement étriqué pour l'équipe d'Oliver Glasner, qui se rendra en Norvège dans une semaine pour valider son billet vers la phase de ligue. Opposée aux Ukrainiens du Polissya Zhytomyr, la Fiorentina a assuré à la Tatran Arena de Presov en Slovaquie (3-0) mais a perdu Moïse Kean, expulsé dans le premier acte (40e). Les clubs scandinaves à la fête, l'équipe de Riera l'emporte Alors que Brondby est allé chercher un bon match nul (0-0) chez Strasbourg à La Meinau, les Norvégiens de Rosenborg ont surpris Mayence (2-1). De leur côté, les Suédois d'Hacken ont étrillé Cluj avec notamment cinq passes décisives délivrées par l'international tunisien Amor Layouni (7-2). Une défaite cuisante qui s'ajoute au piteux début de saison du club en Championnat et qui a sonné le glas du coach roumain Dan Petrescu, démissionnaire juste après la rencontre. Les Slovènes de Celje, entraînés par Albert Riera, éphémère coach des Girondins de Bordeaux entre octobre 2023 et juillet 2024, l'ont eux emporté face au Banik Ostrava (1-0). Anderlecht, le Shakthar et Besiktas accrochés Trois rencontres ont terminé sur un match nul 1-1. Anderlecht a buté sur l'AEK malgré un Kasper Dolberg buteur. Le Chakhtior Donetsk a lui été surpris par une réalisation précoce de l'ex-Stéphanois Lamine Fomba avant d'égaliser. Enfin, Besiktas n'a pas su faire la différence face au Lausanne Sport à la Tuilière. Alkmaar et le Legia font le job, les Irlandais créent la surprise Supérieurs sur le papier, les Néerlandais de l'AZ Alkmaar ont dominé le Levski Sofia en Bulgarie (2-0). Quarts de finaliste de la compétition la saison dernière et battus par le futur vainqueur Chelsea (0-3, 2-1), le Legia Varsovie est revenu victorieux de son déplacement à Édimbourg face à Hibernian (2-1). Pas vraiment spécialistes des tours préliminaires habituellement, les Irlandais ont cette fois-ci fait coup double. Si les Shamrock Rovers ont réalisé un sacré coup en allant s'imposer à Santa Clara (2-1) au Portugal aux Açores, Shelbourne s'est offert le derby des voisins face aux Nord-Irlandais de Linfield (3-1).

L'Équipe
3 hours ago
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Spectateurs, diffusion, engouement... La Coupe du monde de rugby féminin en Angleterre partie pour être la compétition de tous les records
La 10e édition de la Coupe du monde qui débute ce vendredi en Angleterre et s'achèvera le 27 septembre à Twickenham sera la plus grande jamais organisée. Avec l'ambition de faire basculer le rugby féminin dans une autre dimension. Il reste des places à vendre. Pas pour la finale à Twickenham déjà à guichets fermés, prise d'assaut par le public anglais qui a anticipé la présence des Red Roses le 27 septembre prochain et qui permettra au rugby féminin de battre le record détenu par le Stade de France à l'occasion du tournoi à 7 des JO de Paris. Les rencontres des Anglaises affichent d'ailleurs complet à commencer par celle au Stadium of Light de Sunderland (48 000 places) pour le match d'ouverture ce vendredi soir (20h30) face aux États-Unis. Avant même que cette dixième Coupe du monde ne démarre, les records tombent. Ce sera la première à seize équipes (12 en Nouvelle-Zélande en 2021) et une représentation de tous les continents avec la première participation du Brésil. Elle se disputera dans huit villes, donc huit stades (contre trois il y a trois ans) dans lesquels les équipes engagées tourneront afin que l'ensemble du pays puisse profiter de l'événement. « 95 % de la population se trouve à moins de deux heures de trajet d'un des stades », insiste Sarah Massey, la directrice générale du tournoi. Nos favorites pour la Coupe du monde en Angleterre 375 000 billets ont été vendus sur 470 000 places disponibles, c'est trois fois plus que lors de la dernière édition. Les ventes de billets, d'hospitalités et de sponsoring ont explosé par rapport à l'édition précédente pour faire du rugby féminin un véritable enjeu commercial. Voilà pour les grandes lignes d'une Coupe du monde qui se voit comme un tournant pour le rugby féminin. Le modèle du football féminin L'Angleterre entend bien réaliser avec le rugby ce qu'elle est parvenue à faire avec le football féminin. Lancé en 2017, le plan de développement du football féminin a abouti à deux titres de championne d'Europe des Lionesses (2022 et 2025), une finale de Coupe du monde perdue face à l'Espagne (0-1, en 2023) et le titre d'Arsenal en Ligue des champions cette année. Les Red Roses, elles ne partent pas avec un palmarès vierge. Elles sont les incontestables numéros 1 mondiales et archi-favorites pour un troisième titre après ceux de 1994 et 2014. Manae Feleu, la co-capitaine des Bleues étudiante en médecine Et elles doivent également être des locomotives pour le développement de la pratique des femmes grâce à un plan d'action mené par World Rugby avec le soutien du gouvernement britannique : mobilisation médiatique (diffusion sur la BBC, énormes investissements sur les réseaux sociaux), investissements dans les infrastructures, développement de l'encadrement et bien sûr hausse des licenciées - + 9,3 % depuis un an - avec l'objectif de doubler le nombre de pratiquantes pour atteindre les 100 000 en 2027. Évidemment, toutes les nations espèrent profiter de cet élan. L'Australie, organisatrice de la prochaine édition, se met sur les rails. Les États-Unis et l'Afrique du Sud progressent. Les sélections britanniques ont évidemment marqué la compétition depuis longtemps et il suffit de voir la montée en puissance de l'Irlande depuis un an, passée de la 10e à la 5e place, pour s'en rendre compte. Aoife Wafer élue meilleure joueuse du dernier Tournoi des Six Nations et ses coéquipières ont bien l'intention de s'inviter. Les Françaises qui pourraient les affronter en quarts de finale et qui avaient beaucoup souffert pour s'imposer à Belfast au printemps dernier (15-27) sont prévenues. Le stade de Belfast avait rarement été aussi garni pour un match féminin et nombreuses étaient les filles de tous âges dans les tribunes, témoignage d'un intérêt nouveau et grandissant. La France veut surfer sur la dynamique du Mondial Et il y a la France, ambitieuse comme les autres. Sur le plan sportif bien sûr mais aussi en profitant de ce qui se passe outre-Manche avec dans le viseur 100 000 licenciées à l'horizon 2033, plus du double d'aujourd'hui. « On est aussi sur la rampe de lancement, explique Ariane Van Ghelue, en charge du haut niveau féminin à la FFR. On doit tirer profit de la dynamique que cette Coupe du monde va créer pour qu'en France, le rugby s'installe parmi les cinq sports collectifs majeurs avec le football, le hand, le basket et le volley. On est en train d'aligner tout ce qu'il est possible d'aligner avec le nouveau Championnat, la diffusion des matches sur Canal+ etc. » Marine Ménager : « On est persuadées qu'on peut la gagner » Il est vrai que cette année a été charnière avec la mise en place, enfin, d'un Championnat Elite 1 avec une poule unique de dix clubs et l'accord avec Canal+ pour diffuser quelques matches de Championnat (quatre lors de la saison régulière et la finale remportée par le Stade Bordelais face au Stade Toulousain). Le Tournoi des Six Nations a également fait le plein avec deux matches en France à guichets fermés (La Rochelle et Brive), 1,6 million de téléspectateurs en moyenne pour les quatre premiers matches, 2 millions pour l'Angleterre avec une pointe à près de 3 millions. « L'intérêt médiatique est évident, on le voit avec Canal+ et avec TF1 qui retransmet la Coupe du monde, reconnaît Van Ghelue. Et il y a aussi un réel intérêt de partenaires qui veulent aujourd'hui se positionner sur le rugby féminin, ce qui est très nouveau et encourageant ». Aux Bleues d'assumer leur rôle de locomotive.

L'Équipe
3 hours ago
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Temps orageux, mère déchaînée : Véronique Rabiot contre-attaque après les sorties de Longoria et Benatia
Véronique Rabiot, la maman et conseillère de l'international tricolore de 30 ans Adrien Rabiot a répondu jeudi aux sorties médiatiques des dirigeants de l'OM, donnant sa version des événements et son sentiment, corsé. La réponse de la bergère aux bergers. Jeudi après-midi, au lendemain des déclarations des dirigeants de l'OM, le président Pablo Longoria et le directeur du football Medhi Benatia, Véronique Rabiot s'est exprimée sur les ondes de RTL. Après l'offensive médiatique des huiles phocéennes, la mère et conseillère d'Adrien Rabiot a répondu avec la même vigueur. Si elle a confirmé la bagarre impliquant son fils et Jonathan Rowe, dans le vestiaire du Roahzon Park, vendredi après la défaite à Rennes (0-1), elle a relativisé les superlatifs utilisés par Longoria pour qualifier l'épisode : « Qu'est-ce que ça veut dire, "violence inouïe" ? Personne n'a été blessé, personne n'est allé à l'hôpital, il n'y a pas eu de nez cassé, pas de lèvres fendues. Pas de point de suture, pas de jours d'ITT, donc je ne comprends pas bien. S'il y avait eu vraiment de la violence extrême, on pouvait le mettre à pied immédiatement. » Il faudra bien se mettre autour d'une table pour préparer le départ du joueur Changements d'entraîneur, départs d'anciennes gloires comme Dimitri Payet ou de joueurs phares, réunion houleuse avec les groupes de supporters en septembre 2023... Depuis son accession à la présidence, Longoria a toujours tenté de contrôler la narration des évènements les plus houleux, pour donner le tempo et gagner l'opinion du public marseillais. Après une allocution tiède et hésitante de son avocat, Romuald Palao, mardi soir, Véronique Rabiot a tout de suite ciblé le créneau de « l'institution », utilisé comme bouclier par le duo Longoria-Benatia. « Vous pensez qu'ils sont sérieux ces gens-là quand ils parlent de respect de l'institution ? a-t-elle clamé. Le président, on l'a entendu la saison dernière hurler devant les caméras "corruption, corruption" pendant je ne sais pas combien de temps (à Auxerre, le 22 février). Monsieur Benatia, il a eu maille à partir avec les arbitres et il a été suspendu. Si quelqu'un ne respecte pas le club, qui, exactement ? » Medhi Benatia, le directeur du football de l'OM, évoque « un coup de poing dans la bouche » et « une agression physique » entre Rabiot et Rowe Et dire que d'ici au 1er septembre, il faudra se remettre autour d'une table pour préparer la sortie de Rabiot, qui ne peut rester sans jouer sur année de Coupe du monde... Il est bien loin le temps (septembre 2024) où Benatia vantait les qualités de Madame Rabiot et leur idylle professionnelle. La mère de l'international tricolore a raconté qu'elle avait cherché à le joindre, mardi, mais le dirigeant n'a pas répondu. Benatia a laissé son bras droit juridique, Benjamin Arnaud, le secrétaire général du club, prévenir le clan d'une décision validée par Roberto De Zerbi. « Je croyais qu'on avait vécu le pire avec le PSG, mais je me suis trompée » Véronique Rabiot sur RTL Véronique Rabiot y voit des dessous financiers, le joueur étant en fin de contrat en juin 2026 (« Il n'y a pas besoin d'avoir fait HEC pour comprendre. Bien sûr qu'ils mentent ») et a insisté : « Le président et le directeur du foot ont un costume trop grand pour eux (...) Ils ne m'ont pas déçue. Je pense qu'ils ne sont pas à leur place, ils n'ont pas le profil du poste, ils sont dévorés par leur orgueil et leur ego surdimensionné. Ils sont incapables de contrôler leurs émotions. Mais Adrien avait noué une relation de confiance avec eux, mon fils m'a convaincu de venir à l'OM. » « De Zerbi a été choqué » : dans l'affaire Rabiot, la stratégie floue mais offensive du duo Longoria-Benatia Voilà sans doute le coeur du sujet, côté clan Rabiot. La déception d'un joueur qui a fait des efforts salariaux conséquents pour venir à l'OM - toutes les parties en conviennent - pour réaliser une saison aboutie et aider le club à revenir en Ligue des champions - toutes les parties en conviennent - et qui pensait, après une grosse connerie, qu'il bénéficierait sans doute d'une certaine mansuétude aux yeux du trio à la tête du club. « Je croyais qu'on avait vécu le pire avec le PSG mais je me suis trompée », a conclu Véronique Rabiot. Elle comme son fils connaissaient bien mal l'histoire récente de Marseille, résumable ainsi : si les joueurs ne sont que de passage dans un club, ce passage est de plus en plus court à l'OM.