
« Un rétropédalage » : comment Boissy-Saint-Léger a sauvé son dernier distributeur de billets du centre-ville
Boissy-Saint-Léger
(Val-de-Marne), le dernier
distributeur automatique de billets
(DAB) du centre-ville ne disparaîtra pas.
Ce lundi 7 juillet en fin de journée, la Société générale a annoncé ne pas fermer son appareil, situé rue de Paris, dans l'artère commerçante de la commune, à quelques dizaines de mètres de la mairie et du marché.
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21 minutes ago
- Le Figaro
Le nombre de demandeurs d'emploi baisse en trompe-l'œil au printemps
En excluant les effets de la loi plein-emploi et des modifications des règles d'actualisation, le nombre d'inscrits à France Travail au deuxième trimestre 2025 aurait augmenté de 0,2% pour la catégorie A, selon les chiffres de la Dares publiés ce mardi 29 juillet. À première vue, le bilan de deuxième trimestre sur le marché de l'emploi serait bon, très bon même. Sur la période, le nombre de demandeurs d'emploi en catégories A, B, C baisse de 2,2 %. Le nombre de demandeurs d'emploi en catégorie A, qui regroupent les personnes sans emploi tenues de rechercher activement un travail, baisse de 5,7 % (-195 700). «Ces chiffres sont difficilement interprétables si l'on souhaite analyser l'information de façon conjoncturelle», avertit toutefois Pierre Leblanc, sous-directeur emploi et marché du travail à la Dares. Ils sont en effet chahutés par la loi plein-emploi. Publicité Déformation Depuis le 1er janvier 2024, la Dares doit composer avec la vague de nouveaux inscrits automatiquement à France Travail (bénéficiaires du RSA, jeunes accompagnés par des missions locales et personnes en situation de handicap suivies par Cap emploi.) Les nouvelles règles d'actualisation et de sanctions mises en place en ce début d'année viennent également déformer les chiffres. En excluant les effets de ces mesures, «l'évolution du nombre d'inscrits au deuxième trimestre 2025 aurait été de +0,2% pour la catégorie A et de +0,9% pour les catégories A,B,C», note la Dares dans sa publication. Plus d'informations à venir...


Le Parisien
21 minutes ago
- Le Parisien
Chômage : le nombre de demandeurs d'emploi en hausse de 0,2 % après neutralisation de différents effets
Le nombre de chômeurs inscrits à France Travail en catégorie A (sans activité) a enregistré une légère hausse de 0,2 % au deuxième trimestre en France (hors Mayotte) après neutralisation de différents effets, selon les chiffres publiés ce mardi par le ministère du Travail. Le nombre d'inscrits en catégorie A a baissé de 5,7 % à 3,2 millions en un trimestre et augmenté de 6,6 % par an, selon le service statistique du ministère du Travail (Dares). Mais ces résultats sont affectés par trois effets - la loi plein emploi, des changements de règles d'actualisation et de nouvelles règles en matière de sanction - qui, une fois neutralisés, aboutissent à une hausse de 0,2 % reflétant mieux « la situation conjoncturelle du marché du travail », selon la Dares. « Les statistiques sur les inscrits à France Travail sont fortement affectées depuis le 1er janvier par la mise en œuvre de la loi plein emploi et en particulier l'inscription automatique sur les listes des bénéficiaires du RSA » et des jeunes, avait déjà souligné la Dares lors d'un briefing à la presse au moment de dévoiler les chiffres du premier trimestre 2025 . « Pour cette raison, le nombre d'inscrits augmente fortement, sans que cette hausse ne reflète la conjoncture du marché du travail », avait poursuivi l'organisme, ajoutant que ces nouveaux publics sont « soumis à des règles d'actualisation spécifiques, ce qui affecte aussi les statistiques ». Depuis janvier, les nouveaux inscrits à France Travail restent en effet en catégorie A jusqu'à signature de leur « contrat d'engagement », ce qui vient gonfler la catégorie. Les nouveaux inscrits ne peuvent plus s'actualiser, réduisant ainsi le nombre de sorties pour défaut d'actualisation.


Le Figaro
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Le mojito n'est plus le cocktail le plus bu en France
Une étude s'est penchée sur les cocktails les plus vendus en France sur un mois. Et le mojito, habitué à truster la première place, est désormais dépassé par un autre classique de la mixologie. Le mojito était le cocktail préféré des Français depuis plus de 10 ans. D'autres indémodables ont toujours eu la cote comme la piña colada, le sex on the beach ou le kir royal, mais depuis quelques années, une recette venue de l'autre côté des Alpes vient troubler l'ordre de ce classement. Pour évaluer l'évolution des tendances de consommation, NielsenIQ (cabinet d'études de marché) en collaboration avec Fyre (fournisseur de données) ont analysé les ventes de cocktails à travers plus de 5 000 établissements de CHR (cafés, hôtels et restaurants) sur le mois de mai 2025, et le constat est sans appel. À découvrir Découvrez toutes les dates des foires aux vins d'automne 2025 Il est impossible d'y échapper, et d'autant plus l'été venu, le spritz est partout. Symbole du retour en force des amers, ce cocktail originaire de Venise grappille depuis des années maintenant des parts de marché, jusqu'à faire de l'ombre aux classiques historiques de la mixologie. Le spritz représente 24,2 % du chiffre d'affaires réalisé sur les cocktails en France, bien devant le mojito avec 18,2 % et le kir et ses 10,5 %. Une preuve de plus – s'il en fallait – que le cocktail vénitien est devenu l'incontournable des terrasses. Symbole de ce raz de marée – souvent à la robe orangée –, les ventes d'amers augmentent (+2.4% dont +8.3% pour Aperol) et celles de proseccos également (+19,5) depuis le début de l'année. Le spritz roi des cocktails. NielsenIQ Publicité L'une des raisons de ce succès est l'adaptabilité de sa recette, notamment au niveau de la liqueur choisit. Un cocktail qui revendique contenir de l'Aperol se vend en moyenne 9,50 € contre 9 € pour un spritz sans mention. Le Saint-Germain spritz se vend quant à lui en moyenne 10,60 €. La variante réalisée avec la liqueur française grappille elle aussi des parts de marché avec 0,6 point en plus sur le mois de mai et 2 % de chiffre d'affaires en plus sur la même période. À lire aussi La recette secrète du spritz, star indémodable des cocktails de l'été Dans la capitale, les tendances arrivent souvent plus rapidement et certaines modes s'essoufflent donc plus vite. Mais le spritz, lui, n'est pas en perte de vitesse, au contraire. Il est également le roi de la mixologie avec 28,1 % du chiffre d'affaires des cocktails vendus en CHR contre 21,4 % dans le reste du territoire. A contrario, le mojito n'a plus vraiment le vent en poupe à Paris avec 9.3% du CA sur Paris contre 20.2% dans le reste de la France.