Labradoodle : héritier du labrador et du caniche, il ne perd quasiment pas ses poils

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Le HuffPost France

an hour ago

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La canicule arrivera à sa fin après un week-end encore chaud, mais pour laisser la place à de violents orages

MÉTÉO - D'une vigilance à l'autre. La fin de la canicule qui frappe la France depuis une semaine se profile enfin, même si les températures restent encore élevées ce week-end, avec 54 départements placés en vigilance orange par Météo-France ce samedi 16 août. Un « épisode caniculaire persiste sur une large partie sud du pays, jusqu'au sud Bretagne », note le prévisionniste. Mais celui-ci souligne également dans son dernier bulletin que la vague de chaleur commence à « régresser par le Nord ». Un recul qui se notera dès dimanche, où le nombre de départements en vigilance orange passera à 36, tandis que le vert gagnera du terrain sur la carte Météo-France, comme vous pouvez le voir ci-dessous. Attention cependant, la fin progressive de la vigilance canicule ne signifie pas que la météo a dit son dernier mot. « Ce répit thermique ne viendra pas seul », prévient La Chaîne météo, annonçant un « retour de l'instabilité » qui « s'accompagnera d'orages parfois violents » et « nécessitant une vigilance accrue ». D'après le prévisionniste, l'anticyclone qui provoquait la vague de chaleur dans l'Hexagone va progressivement s'en éloigner, se repliant au Sud vers le Maghreb et au Nord vers l'Islande. Résultat : l'arrivée d'air plus frais est « favorisée », occasionnant un recul des températures… mais favorisant aussi le « développement d'orages localement forts ». Une prévision que partage Météo-France, annonçant des orages pour la journée de mardi sur une large partie du pourtour méditerranéen et dans la vallée du Rhône, puis de façon plus généralisée le mercredi. Une carte partagée sur X par La Chaîne météo et que vous pouvez voir ci-dessous montre bien les importants cumuls de pluies qui sont envisagés dans une grande partie de l'Hexagone d'ici à jeudi prochain. La dégradation commencera dès la nuit de lundi à mardi dans « de nombreuses régions de l'est », annonce La Chaîne météo, avec des orages « pouvant s'accompagner de fortes rafales et d'intenses précipitations ». Les orages iront bon train mardi puis mercredi, laissant ensuite place à un temps « plus frais » et « variable », entre éclaircies et « passages nuageux », dès jeudi et pour la fin de semaine.

Le Parisien

an hour ago

• Le Parisien

Piscine gonflable : cette erreur fréquente jaunit votre pelouse, voici comment la sauver facilement !

L'été est synonyme de détente, de baignades et de moments en famille autour d'une piscine gonflable. Mais ce plaisir estival a un revers : une pelouse qui se transforme en tapis jaune, sec et sans vie. Pourquoi ce phénomène est-il si courant ? Que faire pour éviter que votre jardin ne se transforme en zone sinistrée ? Et surtout, comment offrir une seconde chance à votre gazon ? À voir aussi Pourquoi votre gazon jaunit sous une piscine ? Même si le gazon résiste bien à la chaleur estivale, il ne fait pas le poids face au poids. Une piscine gonflable installée plusieurs jours au même endroit prive l'herbe d'air et de lumière. Résultat : l'herbe meurt lentement, laissant place à des taches jaunes, voire à des zones complètement dégarnies. Le phénomène est similaire avec du mobilier de jardin ou des objets lourds laissés trop longtemps sur la pelouse. La pression comprime le sol, l'oxygène ne circule plus, et les racines s'asphyxient. À lire aussi Les 10 plantes incontournables et sans entretien à installer autour de la piscine Comment éviter que la piscine n'abîme la pelouse ? N'hésitez pas à installer votre piscine sur une bâche respirante : cela limite le contact direct avec le sol et réduit les dégâts ! Pour préserver votre gazon tout en profitant de votre piscine : Changez-la de place régulièrement : si possible, déplacez la piscine tous les 5 à 7 jours pour permettre à l'herbe de respirer ; : si possible, déplacez la piscine tous les 5 à 7 jours pour permettre à l'herbe de respirer ; Installez-la sur une bâche respirante : cela limite le contact direct avec le sol et réduit les dégâts ; : cela limite le contact direct avec le sol et réduit les dégâts ; Optez pour des zones peu exposées : placez la piscine là où la pelouse est moins fragile ou plus ombragée. Redonner vie à une pelouse abîmée : les bons gestes Si votre gazon est déjà jauni, tout n'est pas perdu. Voici les étapes pour le régénérer : Nettoyez la zone : ratissez délicatement pour enlever les herbes mortes ; Arrosez généreusement : utilisez un arrosoir à pomme fine ou un tuyau en pluie douce ; Aérez le sol : avec une fourche ou un outil à dents, percez le sol sur quelques centimètres ; Tondez légèrement : sans couper trop court (jamais en dessous de 4 cm) pour éviter d'aggraver le stress ; Éliminez les adventices : désherbez dès leur apparition pour ne pas laisser les mauvaises herbes s'installer ; Fertilisez : dès que les températures baissent sous 20 °C, un apport d'engrais ou de chaux peut aider la pelouse à se régénérer. Quand faut-il resemer ou remplacer le gazon ? Si, après quelques semaines de soins, certaines zones restent dégarnies, il peut être temps d'agir plus radicalement : Ressemez les parties touchées avec un gazon adapté à votre sol ; les parties touchées avec un gazon adapté à votre sol ; Posez du gazon en rouleau pour un résultat rapide et uniforme. Dans les deux cas, attendez la fin de l'été ou le début de l'automne pour de meilleures chances de reprise. Une pelouse, ça se mérite… mais ça se soigne !

Le Figaro

an hour ago

• Le Figaro

J'ai des douleurs aux seins, est-ce grave?

Tiraillements, tensions, picotements... Ces sensations familières attirent parfois notre attention, la main instinctivement posée sur la poitrine. Comment savoir si l'on doit consulter ? Une gynécologue répond. On coince nos seins dans des soutiens-gorge, on les surveille du bout des doigts, on les cache ou on les montre selon l'humeur ou le monde autour, mais dès qu'ils font mal, on panique. Parce que c'est sensible, parce que c'est intime, mais aussi parce que dans un coin de notre tête, la menace du crabe, comprenez le cancer du sein, plane. À lire aussi 6 conseils pour réduire le risque de développer un cancer du sein, le plus meurtrier chez la femme Attention aux confusions Ces doutes, Florence Ledoux, gynécologue médicale au Sénopôle de l'hôpital Saint-Louis AP-HP à Paris, les connaît bien. Elle reçoit régulièrement des femmes inquiètes de ressentir ces douleurs à la poitrine et les rassure. «Beaucoup viennent pour des douleurs 'dans les seins' qui n'en sont pas. En réalité, il s'agit du muscle pectoral, juste derrière, qui est affecté», nuance-t-elle. Publicité Un sac porté toujours du même côté, une séance de musculation un peu violente, un bébé dans les bras tout le week-end… Voilà comment un muscle peut se faire passer pour un sein en souffrance. «Généralement, je demande à la patiente de se pencher pour que la glande mammaire se détache vers l'avant. Ça me permet d'ausculter le pectoral et de déterminer s'il s'agit finalement d'une douleur de paroi», détaille la gynécologue. Autre coupable discret : les nerfs. Comme l'indique le Dr Florence Ledoux, une névralgie intercostale, c'est-à-dire un petit nerf coincé entre deux côtes, peut irradier sur le sein et semer la confusion. «Là encore, seul un examen médical pourra trancher sur ce doute», souligne la gynécologue. Et puis il ne faut pas non plus négliger le stress dans l'équation. «Une patiente anxieuse aura plus tendance à se plaindre de douleurs mammaires. Comme pour les douleurs au ventre, c'est une zone où l'on somatise», constate la spécialiste. Un désagrément cyclique Mais il arrive que la douleur vienne véritablement du sein. Et dans ce cas, la cause la plus fréquente est hormonale. «En deuxième partie de cycle, avant les règles, les femmes ressentent souvent des douleurs», rappelle le Dr Florence Ledoux. Elles font partie du syndrome prémenstruel : les seins deviennent tendus, gonflés, parfois douloureux au toucher. Selon la gynécologue, ce déséquilibre survient quand le taux d'œstrogènes reste un peu trop élevé par rapport à celui de la progestérone. On parle d'uniféroestrogénie relative. «Cela arrive plus souvent entre 40 et 50 ans, à l'approche de la ménopause. À ce moment-là, l'ovulation devient irrégulière, les taux d'hormones varient davantage, et les seins réagissent à ces fluctuations», précise-t-elle. À lire aussi Ces 8 petits changements qui montrent que vous entrez dans la ménopause Publicité Plus de densité, plus de sensibilité Certaines femmes ont des seins naturellement plus sensibles, non pas à cause de leur taille, mais de leur composition. «Certaines ont des seins plus glandulaires, c'est-à-dire plus denses, avec une consistance irrégulière», informe le Dr Florence Ledoux. Dans le jargon médical, on l'appelle la mastopathie fibro-kystique ou mastose, et elle rend la poitrine plus réactive aux variations hormonales. «C'est une configuration qui augmente le risque de douleurs mammaires», confirme la gynécologue. Fréquente et bénigne, elle n'est pas considérée comme un facteur de risque de cancer, mais peut justifier un suivi si les douleurs deviennent trop envahissantes. Une prise de poids rapide peut aussi rendre la poitrine plus sensible. La graisse produit certaines hormones et cette augmentation soudaine peut perturber l'équilibre hormonal et favoriser l'apparition de douleurs. Des traitements à ne pas négliger Parfois, la douleur s'installe discrètement et s'accentue sous l'effet d'un traitement médical. «Il y a certains déséquilibres de pilules contraceptives ou des traitements hormonaux substitutifs de la ménopause qui vont favoriser des douleurs», signale le Dr Florence Ledoux. C'est le cas par exemple des pilules dosées en œstrogènes, des traitements anti-acné ou des contraceptions continues utilisées pour gérer une endométriose. «Si une patiente a des douleurs mammaires sous traitement hormonal, c'est important d'en parler avec son médecin et de l'ajuster», insiste-t-elle. Même vigilance du côté des compléments alimentaires. «Certains contiennent du soja, de la sauge, ou d'autres plantes contenant des phyto-œstrogènes. Ces substances miment l'action des œstrogènes sur la glande mammaire et occasionnent des douleurs», signale la gynécologue. Et si c'était un cancer du sein ? C'est souvent la première pensée qui surgit quand une douleur traverse la poitrine : la peur du cancer du sein. Mais le Dr Florence Ledoux tempère : «la douleur mammaire est rarement un signe d'appel du cancer du sein. Souvent, le cancer n'est pas douloureux». Cela ne veut pas dire pour autant qu'il faut l'ignorer. «Toute anomalie mammaire inhabituelle mérite une consultation, encore plus si une boule douloureuse apparaît d'un seul côté, souligne-t-elle. Si on est en âge de faire une mammographie - tous les deux ans après 50 ans - et qu'on n'en a pas eu récemment, on en fait une. Pas pour s'affoler mais pour vérifier». La douleur mammaire est rarement un signe d'appel du cancer du sein Dr Florence Ledoux, gynécologue médicale Publicité Et l'autopalpation, utile ou non ? Selon la gynécologue, le geste n'est pas forcément utile pour toutes : «Le sein est difficile à palper. Les patientes vont souvent passer à côté ou s'inquiéter à tort. D'après les études sur le sujet, la valeur ajoutée de l'autopalpation est en réalité assez médiocre». Néanmoins, si on souhaite s'y mettre, elle recommande de le faire «toujours au même moment du cycle, de préférence en fin de règles car le sein y est le plus souple». À lire aussi En vidéo, la sage-femme Charline Gayault montre comment faire un auto-examen de ses seins Les bons gestes au quotidien En parallèle d'une surveillance médicale régulière, annuelle a minima, il existe des moyens simples de soulager les douleurs mammaires. Et le premier, c'est le soutien, au sens littéral du terme. «Le port d'une brassière de sport, même la nuit, peut vraiment limiter les douleurs prémenstruelles car elle offre un maintien ferme à la poitrine. Le principe est le même que pour les jambes lourdes : tenir le sein réduit le gonflement», illustre la gynécologue. Le massage aussi peut soulager, physiquement et psychiquement. Mais on le rappelle encore, si la douleur est inhabituelle, persistante ou localisée, mieux vaut consulter.