
Pierre-Emerick Aubameyang de passage à Saint-Étienne pour suivre la mise à l'essai de son neveu Enzo
Accompagné de Loïc Perrin, directeur sportif de l'AS Saint-Étienne, Pierre-Emerick Aubameyang a posé ce lundi avec le nouveau maillot stéphanois floqué de son nom. Alors que le bruit d'un retour commençait à se faire entendre sur les réseaux sociaux, les Verts ont vite démenti : « Ceci n'est pas une information mercato ! Aubame est simplement venu nous rendre visite ce matin, pour notre plus grand bonheur ! », a assuré le club sur ses réseaux sociaux.
Si l'attaquant de 36 ans évolue aujourd'hui en Arabie saoudite à Al-Qadsiah FC (36 matches pour 21 buts cette saison), il serait, selon le média saoudien Ariyadhiah, en discussions avec le club pour une rupture à l'amiable de son contrat, qui expire en juin 2026. Mais visiblement pas en vue d'un retour à Sainté, où il a évolué entre 2011 et 2013 en inscrivant 31 buts en 62 rencontres et remporté une Coupe de la Ligue.
Sur la vidéo publiée par l'ASSE, l'ancien buteur d'Arsenal et du Barça explique être seulement « venu accompagner le neveu (Enzo Aubameyang, 17 ans, qui évoluait à Pro Patria en Italie) qui passe des essais ici ». Le sourire aux lèvres, le Gabonais s'est réjoui face caméra de son passage dans le Forez. « Ça fait super plaisir de revenir, de voir des anciennes têtes ! »
Douze années sont passées depuis son départ de Saint-Étienne, mais sa légende perdure. « J'ai envie de donner beaucoup de joie aux supporters, comme des joueurs comme Aubameyang l'ont fait. Je le regardais beaucoup à la télé », admirait Chico Lamba, nouveau défenseur portugais des Verts, dans sa vidéo de présentation publiée ce lundi matin. Les fans non plus n'ont pas oublié « Aubame » et, sur les réseaux sociaux, beaucoup d'entre eux continuent à croire qu'un retour pourrait se cacher derrière cette visite anodine.
Hashtags

Essayez nos fonctionnalités IA
Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :
Commentaires
Aucun commentaire pour le moment...
Articles connexes


L'Équipe
18 minutes ago
- L'Équipe
Les 2000 places commercialisées pour le quart de finale de l'Euro de la France contre l'Allemagne à Bâle vendues en trois heures
La FFF a annoncé ce lundi que les 2000 places commercialisées pour les supporters français pour le quart de finale de l'Euro, samedi (20h50), contre l'Allemagne, s'étaient vendu en trois heures. Déjà nombreux dimanche soir, à Bâle, pour encourager les Bleues face aux Pays-Bas (5-2) lors de leur dernier match de la phase de groupes, les supporters français seront encore au rendez-vous, samedi, en quarts de finale, au Parc Saint-Jacques. La Fédération française de football a annoncé que les 2000 places qu'elle avait commercialisées pour ce match avaient trouvé preneur en trois heures seulement. Les supporters ayant manqué cette vente peuvent encore se rendre sur le site internet de l'UEFA pour tenter de décrocher une place.

L'Équipe
26 minutes ago
- L'Équipe
Arbitrage en mêlée : William Servat décrypte les raisons de la frustration du quinze de France face aux All Blacks
Ostensiblement exaspéré sur le banc pendant la rencontre perdue contre la Nouvelle-Zélande samedi (43-17), l'encadrement du quinze de France s'interroge sur l'application ou non des consignes pourtant générales de World Rugby sur l'arbitrage en mêlée. Décryptage du phénomène avec William Servat, expert du secteur chez les Bleus. Avant le deuxième test du quinze de France en Nouvelle-Zélande, largement perdu samedi à Wellington (43-17), Fabien Galthié avait eu quelques mots en conférence de presse à l'endroit des législateurs : « On travaille avec les arbitres. On a besoin que les phases de combat soient bien clarifiées. Que nos joueurs puissent bien comprendre comment seront arbitrés la mêlée comme les ballons portés, qui sont des armes pour nous. » Le match passé, il semble que le camp français n'a pas trouvé la lumière. Depuis notre poste d'observation au Sky Stadium, nous avons vu William Servat, adjoint en charge notamment de la mêlée, s'agacer à plusieurs reprises face aux décisions de M. Ridley. Nous l'avons donc sollicité pour qu'il nous explique les raisons de sa frustration. Il est venu avec son ordinateur, des séquences prédécoupées, décidé à se mettre dans les patins de l'arbitre afin de décrypter le processus. « On se place avec sa vision. Ce qu'il doit regarder, dit-il simplement. On est là pour décrypter son process afin qu'il puisse arbitrer une mêlée sans être spécialiste du poste. Il y a des observables qui ont été très clairement décidés lors de nombreuses réunions de World Rugby en présence des nations du Sud et du Nord. » « Breakfoot » et coude haut, des positions à scruter Avant de passer aux images, l'entraîneur des avants tricolores a voulu restituer le déroulement d'une entrée en mêlée. D'abord, l'arbitre ne doit pas être trop près de la mêlée pour une meilleure vision sur le « breakfoot ». Puis c'est un commandement lent pour chaque action : crouch, bind, set (baissez-vous, liez, entrez). Les joueurs prennent leur liaison en respectant ces ordres. Les deux talonneurs doivent garder une jambe devant pour contrôler l'équilibre et la stabilité de la mêlée sans pré-engagement. « C'est ce qu'on appelle le full breakfoot (frein à main). » C'est un premier observable de l'arbitre normalement obligatoire. « Sans cela, la pression tête-épaule avant l'entrée en mêlée pourrait engendrer des blessures aux cervicales », précise immédiatement Servat. « À la liaison (crouch), les piliers doivent se lier au maillot de l'adversaire. Leur liaison ne doit plus bouger jusqu'à la fin de la mêlée. » C'est un second observable. « Une fois l'entrée en mêlée effectuée, l'observable défini est le coude. Les deux joueurs doivent garder leur articulation en haut. » Comme souvent avec lui, Servat souhaite vous faire partager l'expérience. Sans échauffement pour un meilleur ressenti. À genoux au milieu du lobby de l'hôtel, vous voilà en position de pilier gauche en train de pousser contre lui, lié à son maillot, le coude haut en bon élève. De son bras droit, légèrement plus volumineux, il resserre l'étau vers le bas. Une action de vérin vers le bas qui vous fait immédiatement vriller la tête et les épaules vers l'intérieur, le bassin tordu. Une expérience de biomécanique version Docteur Maboule tout à fait convaincante. « Le fait de pousser avec le coude bas favorise l'écroulement (collapse), et un mauvais angle de poussée du gaucher. » Une autre faute sanctionnable est le changement de liaison du droitier, s'il vient se lier au bras de l'adversaire (interdiction formelle), ou s'il verrouille son coude sur la liaison de l'adversaire. « C'est une intention délibérée de tricher. Le gaucher adverse n'a aucun moyen de continuer à pousser, et la majorité du temps s'écroule : pénalité contre le droitier », insiste l'ancien talonneur international. « Si les deux joueurs conservent les coudes hauts, il est très simple pour un arbitre de voir un joueur jambes tendues qui s'effondrerait ou qui aurait un mauvais angle de poussée : les coudes levés, il est quasi impossible avec un dos droit de pousser en travers. L'inverse n'est pas vrai... » À lire aussi Bryn Evans, le coach qui a imaginé l'essai de Roigard Vingt minutes en enfer Quelle compo pour le troisième match ? Le soir où les Lions ont mangé du Coq


L'Équipe
26 minutes ago
- L'Équipe
Le onze type de la Coupe du monde des clubs dominé par Chelsea et le PSG
La FIFA et le diffuseur officiel DAZN ont annoncé lundi l'équipe type de la Coupe du monde des clubs. Chelsea et le PSG placent sept joueurs dans ce onze, où figurent aussi Thiago Silva et Gonzalo Garcia. La FIFA et le diffuseur officiel DAZN ont annoncé ce lundi le onze type de la Coupe du monde des clubs, au lendemain de la finale qui a sacré Chelsea face au Paris-Saint-Germain (3-0). Une composition dominée par huit joueurs européens, accompagnés de trois joueurs du reste du monde. Comme attendu, les deux finalistes sont omniprésents et placent sept joueurs dans cette équipe type. Auteur d'un doublé et d'une passe décisive en finale, le « meilleur joueur de la compétition » Cole Palmer est évidemment dans le onze de cette Coupe du monde des clubs. Il est accompagné par son compère sur l'autre aile, Pedro Neto, auteur de trois buts et de solides performances pour les Blues. Les deux Londoniens sont rejoints par leurs coéquipiers Marc Cucurella, impérial dans son couloir gauche et Enzo Fernandez, meilleur passeur du tournoi avec trois offrandes (en plus d'un but). Le milieu argentin est associé à Vitinha. Le Parisien - auteur d'un but et d'une passe décisive - a régné en maître dans l'entrejeu et a notamment été élu homme du match lors du premier match contre l'Atlético (4-0). Derrière, deux autres parisiens sont présents : Achraf Hakimi et Marquinhos. Le latéral marocain a étalé son talent à la face du monde jusqu'au bout d'une saison exceptionnelle, et a encore été ultra-décisif avec 2 buts et 2 passes. Avant la déroute contre les Blues en finale, le PSG n'avait concédé qu'un seul but dans la compétition. Aux côtés de ces sept finalistes, on retrouve en attaque le Colombien Jhon Arias. Auteur d'un but et une passe décisive, mais surtout nommé trois fois « joueur supérieur du match », l'avant-centre a été une des révélations du tournoi, et pourrait même découvrir la Premier League dans quelques semaines. Il est aligné avec Gonzalo Garcia sur le front de l'attaque, une autre révélation, cette fois-ci du côté du Real Madrid, auteur de 4 buts en 6 matches. Enfin, le capitaine de Fluminense, l'éternel Thiago Silva fait aussi partie de cette équipe type. Véritable moteur de sa formation du haut de ses 40 ans, il a été plus qu'essentiel pour mener le club brésilien jusqu'en demi-finales. Bien que ce soit Robert Sanchez (Chelsea) qui ait été nommé meilleur gardien de la compétition, c'est le portier marocain d'Al Hilal Yassine Bounou qui est aligné dans ce onze type de la Coupe du monde des clubs, après des performances XXL contre Salzbourg et Manchester City entre autres.