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La plainte en diffamation déposée par Kheira Hamraoui contre le journaliste Romain Molina annulée

La plainte en diffamation déposée par Kheira Hamraoui contre le journaliste Romain Molina annulée

L'Équipe14 hours ago
Le tribunal correctionnel de Paris a annulé jeudi la plainte de Kheira Hamraoui contre le journaliste Romain Molina pour diffamation, harcèlement moral et publication en vue d'influencer des décisions juridictionnelles. Elle avait été déposée par la joueuse en février 2022.
La plainte pour diffamation, harcèlement moral et publication en vue d'influencer des décisions juridictionnelles déposées par Kheira Hamraoui en février 2022 contre le journaliste Romain Molina a été annulée ce jeudi par le tribunal correctionnel de Paris. La joueuse le poursuivait pour avoir publié sur YouTube une vidéo dans laquelle le journaliste l'avait qualifiée de « mythomane » et estimé qu'elle avait « manipulé tout le monde depuis le début » au sujet d'une agression qu'elle a subie fin 2021, possiblement sur fond de rivalité avec son ex-coéquipière Aminata Diallo.
Un non-lieu avait également été requis par le parquet concernant Romain Molina. Le juge d'instruction avait décidé de renvoyer le dossier devant le tribunal correctionnel. Mi-mai, Me Mokhtar Abdennouri, avocat de Romain Molina, avait déposé des conclusions de nullité, avançant notamment que la date des faits visés et l'étendue de la poursuite n'étaient pas suffisamment précises, un avis partagé par le ministère public.
Hamraoui, qui jouait à l'époque des faits au PSG et évolue désormais à Al-Shabab en Arabie saoudite, a également déposé plainte en mai contre son ancien club qu'elle accuse de harcèlement moral. Selon une source proche du dossier, la milieu de terrain soutient que le PSG l'a mise à l'écart après sa convalescence afin de l'inciter à partir. Une enquête a été ouverte à Paris en juin et confiée à la Brigade de répression de la délinquance aux personnes (BRDP).

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À Wimbledon, Emma Raducanu plus forte que la pression médiatique
À Wimbledon, Emma Raducanu plus forte que la pression médiatique

L'Équipe

time12 minutes ago

  • L'Équipe

À Wimbledon, Emma Raducanu plus forte que la pression médiatique

Surmédiatisée en début de tournoi pour une supposée relation avec Carlos Alcaraz, la Britannique Emma Raducanu a réussi à faire abstraction de la pression pour défier ce vendredi après-midi la numéro 1 mondiale Aryna Sabalenka à Wimbledon. C'est allé jusqu'à l'overdose. Emma Raducanu et Carlos Alcaraz vont jouer le double mixte de l'US Open ensemble. Emma Raducanu est présente en tribunes pour un match de Carlos Alcaraz au Queen's. Emma Raducanu et Carlos Alcaraz aperçus dans les allées de Wimbledon. Un rien était prétexte à alimenter tout et n'importe quoi, avec des rumeurs montées par les tabloïds britanniques mais relayées par des sponsors et les réseaux sociaux du tournoi londonien. Une supposée romance entre les deux visages du tennis mondial, 22 ans chacun, qui s'est immiscée jusqu'en conférence de presse avant le début de Wimbledon, où Raducanu a dû se justifier et assurer qu'elle et l'Espagnol étaient « juste de bons amis ». Il y a assurément mieux, ou difficilement pire, pour préparer un Grand Chelem à la maison. Mais Raducanu, 40e mondiale, en a déjà vu d'autres depuis son titre surprise à l'US Open en 2021, qui l'a fait entrer dans une folle dimension, avec des attentes et une médiatisation inversement proportionnelles à ses résultats. Plus jamais aperçue en finale sur le circuit depuis son sacre new-yorkais il y a quatre ans, la Britannique n'a cessé d'enchaîner les changements de staff et les pépins physiques en tout genre, éloignée des courts pendant neuf mois en 2023 pour des opérations des deux poignets et d'une cheville, et récemment blessée au dos. « Les médias ont parfois tendance à en rajouter des couches, encore plus en Angleterre, et l'histoire avec Alcaraz, tout le monde a voulu surfer dessus pour faire parler » Alizé Cornet, à propos d'Emma Raducanu « La pression qu'elle a, c'est juste démentiel, raconte Alizé Cornet, présente à Wimbledon en tant que consultante pour beIN Sports et qui avait battu Raducanu au premier tour de l'US Open 2022 alors qu'elle était tenante du titre. Ce qui m'avait marqué à l'époque, c'est qu'elle avait l'air malheureuse sur le terrain. Elle est devenue une icône un peu malgré elle sans être prête et mature mentalement. C'était trop, elle n'avait que 18 ans. D'avoir gagné un Grand Chelem si jeune et d'être aussi très jolie, ce n'est pas que ça la dessert, mais elle rameute encore plus d'attention. Les médias ont parfois tendance à en rajouter des couches, encore plus en Angleterre, et l'histoire avec Alcaraz, tout le monde a voulu surfer dessus pour faire parler. Elle a fait le dos rond et l'a bien pris. Ce qui est important pour elle, c'est de faire parler d'elle grâce à ses résultats. Et c'est ce qui se passe cette semaine. » Arrivée avec le statut de numéro 1 britannique, Raducanu avait annoncé d'entrée « ne rien attendre » de son quatrième grand tableau à Wimbledon, manière habile de mettre la pression de côté et de se concentrer sur son jeu et rien que son jeu. Un cocktail jusqu'ici gagnant, puisqu'elle a collé le même tarif, 6-3, 6-3, à sa jeune compatriote Mimi Xu (17 ans et 318e mondiale) au premier tour mais surtout à la Tchèque Marketa Vondrousova, sacrée sur le gazon londonien en 2023 et récente vainqueure du WTA 500 de Berlin. Deux succès nets qui lui ouvrent les portes d'un duel royal sur le Centre Court ce vendredi après-midi face à la numéro 1 mondiale Aryna Sabalenka. « Sur ses deux premiers matches, elle semblait vraiment épanouie sur le court, complète Cornet. Elle joue très bien, avec une technique très propre et une belle attitude. Est-ce qu'elle n'est pas en train de trouver la clé pour mettre certaines choses de côté et ne pas tout absorber ? C'est quelque chose qui vient avec l'âge, elle a 22 ans maintenant, elle a pris en expérience. Si elle gagne contre Sabalenka, au moins, elle mettrait les points sur les i. Je pense que l'histoire avec Alcaraz, on va vite l'oublier. » Et sa présence en une de tous les journaux serait, cette fois, amplement justifiée. À lire aussi On a visité le camp de base des Bleus à deux pas des courts Rinderknech, les beaux jours sans fin Pourquoi le slice de revers est-il aussi efficace sur gazon ? Monfils, le fruit de la passion

« J'ai toujours perçu la France comme une force » : Sarina Wiegman, sélectionneuse de l'Angleterre, analyse le foot français
« J'ai toujours perçu la France comme une force » : Sarina Wiegman, sélectionneuse de l'Angleterre, analyse le foot français

L'Équipe

time12 minutes ago

  • L'Équipe

« J'ai toujours perçu la France comme une force » : Sarina Wiegman, sélectionneuse de l'Angleterre, analyse le foot français

Début mai, la sélectionneuse de l'Angleterre a évoqué le choc très attendu face aux Bleues, mais aussi son rapport au foot hexagonal et à ses figures marquantes, de Wendie Renard à Didier Deschamps. S'il y a une personne qui s'est réjouie de la mise à l'écart de Wendie Renard des Bleues, c'est bien Sarina Wiegman. Début mai, on avait en effet interrogé en visio la sélectionneuse double championne d'Europe en titre (avec les Pays-Bas en 2017 et l'Angleterre 2022), dans le cadre d'un entretien réservé aux médias hexagonaux, à propos des principaux atouts de la France, en vue du choc programmé samedi à Zurich (21 heures). Et la Néerlandaise de 55 ans avait spontanément évoqué la Lyonnaise, avant que celle-ci ne soit donc écartée par Laurent Bonadei : « Ce que Wendie Renard a accompli comme joueuse, c'est tellement impressionnant, et ce qu'elle a fait comme leader aussi. Elle est plus qu'une joueuse de football. La manière dont elle représente son pays et son club, c'est sensationnel. » Au-delà de Renard, Wiegman ne tarissait pas d'éloges au sujet de ces Bleues qu'elle avait affrontées deux fois en qualifications, avec à la clé une défaite 1-2 à Newcastle (le 31 mai 2024) et un succès décroché sur le même score à Saint-Étienne, le 4 juin 2024 : « La France est très puissante, avec des joueuses athlétiques. Les deux rencontres que l'on a disputées face à elle se sont révélées très différentes. (...) J'avais adoré notre première mi-temps à Saint-Étienne, une des meilleures que l'Angleterre ait disputées depuis que je suis en poste (en janvier 2021). » Puis, on a sollicité l'ancienne milieu de terrain internationale (1987-2001) et sélectionneuse des Pays (2017-2021), à propos d'un affrontement face aux Françaises qui l'aurait particulièrement marquée. « C'était une rencontre que j'avais disputée dans votre pays (France - Pays-Bas 2-1 le 15 avril 2000, à Castanet-Tolosan), lors de laquelle je suis devenue la joueuse la plus capée des Pays-Bas (Wiegman a terminé sa carrière avec 99 sélections). Sandrine Soubeyrand avait joué ce match. À cette époque Sonia (Bompastor) évoluait aussi en équipe de France, je me rappelle très bien d'elle en tant que joueuse, car elle était très forte... Je lui en reparlé récemment, mais elle n'avait aucun souvenir de m'avoir affrontée. Bon ça va, je ne le prends pas mal (elle sourit). J'apprécie beaucoup son travail aujourd'hui en tant que coach (à Chelsea). » « La France favorite ? Oui. Avec les qualités dont dispose votre équipe, oui » Sarina Wiegman Au final, malgré le palmarès vierge des Françaises, Wiegman associe celles-ci à une menace constante : « Depuis que je fréquente le football international, j'ai toujours perçu la France comme une force, même si elle n'a pas toujours progressé jusqu'en demi-finales des grands tournois (une seule disputée depuis 2013). » Dès lors, considère-t-elle que la formation entraînée par Bonadei comme l'une des favorites pour remporter cet Euro ? « Oui. Avec les qualités dont dispose votre équipe, oui. » Un constat qui l'incite à anticiper que le match de samedi sera « totalement équilibré ». On se risque alors à comparer la situation actuelle de l'équipe de France à celle de l'Angleterre avant l'Euro 2022, à savoir une sélection qui n'avait alors jamais remporté de titre majeur et dont la victoire finale lors de cette compétition a permis de renforcer outre-Manche l'intérêt pour le foot féminin. Un scénario comparable serait-il envisageable dans l'Hexagone en cas de triomphe des Bleues en finale le 27 juillet ? À écouter la réponse prudente de notre interlocutrice, on subodore, en creux, qu'elle n'est pas convaincue par les structures actuelles du foot pro féminin français : « Il y a trois ans, l'Angleterre était prête à gagner. L'infrastructure était là. On sentait que si on gagnait, tout pouvait s'enclencher. Notre victoire a été un incroyable stimulant pour le football féminin (...) mais les clubs étaient déjà prêts. Le Championnat était déjà aussi d'un niveau très relevé ». En guise de conclusion, on suggère à Wiegman deux potentielles sources d'inspiration françaises pour la suite de sa carrière : serait-elle de tentée de faire « une Deschamps », en s'installant sur le long terme sur le banc d'une sélection à succès, ou de faire « une Corinne Diacre », en tentant sa chance dans le management masculin, comme l'avait cette dernière à Clermont (2014-2017) ? La seconde hypothèse ne la tente guère : « Cette idée m'a traversé l'esprit... parce que vous journalistes me la posez tout le temps ! (...) Mais est-ce qu'y songe sérieusement ? Non. » Quant à la perspective de rester quatorze ans sélectionneuse de l'Angleterre, pour égaler la longévité de « DD » à la tête des Bleus, elle refuse de l'envisager, en dépit de la prolongation l'an dernier de son contrat avec la fédération anglaise jusqu'en 2027 : « Faire une Deschamps ? (elle rit) Il a fait un travail formidable. Mais pour être honnête je n'ai jamais eu de plan de carrière. Et si j'en avais eu un, il n'aurait pas été dans le foot, car, quand j'étais jeune il n'y avait aucune opportunité pour une femme d'entraîner (...). Aujourd'hui le foot féminin change si vite que je me demande souvent à quoi il va ressembler dans 5 ou 10 ans... ». En attendant de se projeter aussi loin, Wiegman a minutieusement préparé ce match déjà crucial face aux Françaises. Une rencontre que la Néerlandaise aborde, au vu de son CV et de celui de son équipe, en position de force, même si elle n'a cessé, face à nous, de prétendre le contraire. À lire aussi Les Bleues ont lancé leur préparation en public A Liverpool, des larmes et de la sidération Jota, un footballeur de plus fauché en pleine gloire Le PSG lui aussi meurtri par le décès de Jota

All Blacks-France : ces «petits» Bleus ne doutent de rien
All Blacks-France : ces «petits» Bleus ne doutent de rien

Le Figaro

time15 minutes ago

  • Le Figaro

All Blacks-France : ces «petits» Bleus ne doutent de rien

Raillées par la presse néo-zélandaise, promise à une déculottée, les doublures du XV de France affirment y puiser une forte motivation. Au point d'espérer signer ce qui serait le plus grand exploit de l'histoire tricolore. En Nouvelle-Zélande, depuis le début de la semaine, c'est la course à l'outrance chez les anciens All Blacks devenus consultants télé. «Manque de respect», tonne l'un ; «de la connerie totale», se révolte l'autre ; «l'équipe que la France envoie est clairement sous-dimensionnée», raille le dernier. «Il ne fallait pas les inviter», résument en chœur Jeff Wilson, Mils Muliaina et Justin Marshall. La cause de leur courroux ? Le sélectionneur du XV de France a laissé tous ses cadres au repos, à l'exception de Gaël Fickou. Fabien Galthié ne le fait pas de gaieté de cœur mais par pragmatisme, par obligation. Quand les internationaux néo-zélandais disputent une vingtaine de matchs par saison, les meilleurs bleus, entre Tournoi des six nations et Top 14, tournée d'automne et Champions Cup, en disputent presque le double. Il est donc impératif de leur laisser l'été pour se régénérer. Prendre des joueurs à 35 matchs, c'est du court-termisme. Si c'est pour se dégrader physiquement, nous mettre en danger jusqu'à la Coupe du monde 2027, ça n'a aucun intérêt Fabien Galthié Publicité Certains Bleus - Ntamack, Alldritt, Jalibert… - avaient plaidé pour traverser la planète ovale et honorer cette tournée prestigieuse. Ils n'ont évidemment pas été retenus. «World Rugby préconise une saison à 2.000 minutes (soit l'équivalent de 25 matchs, NDLR). Au-delà, on sait qu'il y a des contacts qui mettent en danger la santé du joueur, explique Fabien Galthié au Figaro. Prendre des joueurs à 35 matchs, c'est du court-termisme. Si c'est pour se dégrader physiquement, nous mettre en danger jusqu'à la Coupe du monde 2027, ça n'a aucun intérêt. Si les joueurs viennent avec trop de minutes déjà jouées et n'ont pas de plage de récupération après, je les ai perdus pour la Coupe du monde. Ils n'auront pas le temps de se régénérer, ni pour la tournée de novembre prochain - où l'on reçoit l'Afrique du Sud, les Fidji et l'Australie -, ni pour le tournoi 2026. Et, après, il y a une dette de régénération qui les met en danger sur leur niveau...» Il s'est donc passé de tous ses joueurs dits «premium», à l'exception de Gaël Fickou, promu logiquement capitaine de cette troupe sans expérience. Ainsi, lors de ce premier test, le XV de départ tricolore ne compte que deux joueurs à plus de 20 sélections (94 pour le centre du Racing; 57 pour Rabah Slimani, mais la dernière lors de la Coupe du monde... 2019 pour un retour inattendu à 35 ans). À l'inverse, on trouve cinq joueurs à zéro sélection, aucun champion de France toulousain, aucun champion d'Europe bordelais, mais des Bayonnais, des Clermontois, un pilier de l'Usap ou encore un Canadien évoluant à Montpellier (Tyler Duguid). Seulement quatre victoires en Nouvelle-Zélande Une jeunesse inexpérimentée dont les stars à la fougère argentée ne vont, donc, faire qu'une bouchée ce samedi matin (9h05, Canal +) à Dunedin. Le sélectionneur des All Blacks, Scott Robertson, a fait la moue en entendant cette affirmation des médias kiwis. Comme il a accueilli avec réserve les critiques des anciens. «Arrêtez de raconter qu'ils sont diminués, qu'il leur manque des joueurs. Après, ils se révoltent, et nous, on va se retrouver face à une équipe de France féroce. Les Français ont de la profondeur d'effectif et beaucoup de ressources avec tous ces jeunes talentueux qui arrivent. Et les Bleus ne sont jamais aussi dangereux que quand on les sous-estime...» À lire aussi «Petit, j'étais à fond pour les All Blacks» : à la découverte de Tom Spring, le plus néo-zélandais des Français Bon, ça n'arrive pas si souvent que cela. En Nouvelle-Zélande, où le XV de France ne s'était plus rendu depuis 2018 (trois raclées…), les Bleus ne se sont imposés que quatre fois : en 1979, en 1994 (2 victoires) et en 2009. À Dunedin, déjà. Et c'était pour le moins inattendu. Alors pourquoi ne pas croire à un nouvel exploit, qui serait encore plus sidérant ? «Quand on est outsider, ça nous réussit quand même souvent sur les tournées d'été..» «Sur les réseaux, les Néo-Zélandais font beaucoup de bruit, disent qu'ils vont mettre beaucoup de combat, de vitesse. Ils disent aussi être un peu déçus qu'il y ait des changements dans notre effectif. C'est une source de motivation pour montrer qu'on n'est pas en dessous. Quand on est outsider, ça nous réussit quand même souvent sur les tournées d'été, souligne tranquillement Gaëtan Barlot, talonneur du CO en partance pour l'UBB. Depuis trois ou quatre ans, c'est toujours pareil et on répond présent. Quand on enfile le maillot de l'équipe de France, on tient à lui faire honneur. Chez eux, sur la terre du rugby, c'est du seul contre tous. J'ai vraiment hâte de disputer ce match...» Publicité Comme ses partenaires, il sait aussi que briller face aux All Blacks, c'est l'assurance de marquer des points auprès du staff tricolore. «Pour moi, c'est une opportunité à saisir», confirme Barlot. Même son de cloche chez sa doublure, le talonneur du Stade Rochelais Pierre Bourgarit : «Cet été, je veux saisir ma chance à fond ! Si on prend trois branlées, tout le monde dira que c'est normal. Mais je vous rassure, on n'est pas venu là pour ça...» Pas certain que cela ne rassure les All Blacks.

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