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« Je n'ai pas d'idées et personne n'a faim » : que manger en pleine canicule ?

« Je n'ai pas d'idées et personne n'a faim » : que manger en pleine canicule ?

Le Parisien2 days ago
Les sacs (légers) des clients de ce supermarché parisien donnent le ton des futurs menus qui seront sur la table à la maison : des concombres, une demi-pastèque, du jambon blanc, des miettes de thon à l'huile, des laitages et des hectolitres de gaspacho à la tomate pour l'essentiel.
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Sommet sur la guerre en Ukraine à Washington : l'ombre du fiasco de février plane sur la nouvelle rencontre Trump-Zelensky
Sommet sur la guerre en Ukraine à Washington : l'ombre du fiasco de février plane sur la nouvelle rencontre Trump-Zelensky

Le Parisien

time11 minutes ago

  • Le Parisien

Sommet sur la guerre en Ukraine à Washington : l'ombre du fiasco de février plane sur la nouvelle rencontre Trump-Zelensky

La dernière rencontre en février entre Donald Trump et Volodymyr Zelensky a laissé une profonde cicatrice. La visite du président ukrainien le 28 février dernier s'était soldée par un désastre : la délégation ukrainienne avait été priée de quitter les lieux par le secrétaire d'État Marco Rubio et le conseiller à la sécurité nationale Michael Waltz. La conférence de presse avait été annulée par Donald Trump, tout comme la signature d'un accord sur les ressources minières ukrainiennes. Un tête-à-tête catastrophique Donald Trump reprend alors les arguments russes. Il accuse en somme Volodymyr Zelensky d'être responsable de la guerre et de « jouer avec les vies de millions d'Ukrainiens et la Troisième Guerre mondiale ». Devant les caméras, le président américain lui rappelle que l'Ukraine « n'a aucune carte (à jouer) sans les États-Unis », que son armée manque de soldats et que seule l'assistance militaire américaine empêche une défaite rapide. VidéoZelensky quitte la Maison blanche de manière prématurée après son échange explosif avec Trump « Le problème, c'est que je vous ai donné les moyens d'être un dur à cuire, lance Donald Trump à Volodymyr Zelensky, mais je ne pense pas que vous seriez un dur à cuire sans les États-Unis ». Présent dans le bureau ovale, le vice-président américain J.D. Vance demande également à Volodymyr Zelensky « s'il a déjà dit merci » à Washington pour son soutien. « Il va être très difficile de faire des affaires dans ces conditions », ajoute Donald Trump aux journalistes, avant de conclure que cet échange tendu « va faire de la très bonne télévision ». Les Européens à Washington en soutien à l'Ukraine Dans les jours suivants, les États-Unis avaient suspendu l'aide militaire et le partage de renseignements avec l'Ukraine, avant de la rétablir une semaine plus tard. Entre-temps, Kiev avait dû accepter un cessez-le-feu temporaire de 30 jours, soumis à la validation de Moscou, une proposition rapidement rejetée par le Kremlin. Le dossier des ressources minières, gelé après ce fiasco, avait été relancé au printemps. Le 30 avril, Washington et Kiev ont finalement signé l'accord sur les ressources minérales entre l'Ukraine et les États-Unis, ouvrant la voie à des investissements américains dans le pétrole, le gaz et les minéraux rares ukrainiens. Suite à ce tête à tête tendu à Washington, le Premier ministre britannique Keir Starmer avait promis un « soutien indéfectible » à Volodymyr Zelensky. Emmanuel Macron, lui, avait de nouveau qualifié la Russie d'« agresseur » et l'Ukraine de « peuple agressé », insistant sur la nécessité de continuer à soutenir Kiev. Un nouveau sommet Ce lundi, la configuration est différente de celle de février. Le président ukrainien doit s'entretenir avec Donald Trump à 19 heures (heure de Paris), avant une réunion deux heures plus tard avec plusieurs dirigeants européens : Emmanuel Macron, Friedrich Merz, Giorgia Meloni, Keir Starmer, la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen. Tous affichent leur volonté de maintenir leur soutien à Kiev, malgré les inflexions de Washington. Le sommet doit aborder des questions difficiles : d'éventuelles concessions territoriales, l'adhésion de l'Ukraine à l'Otan et les garanties de sécurité. En février, Donald Trump avait déjà exhorté Volodymyr Zelensky à « prendre le cessez-le-feu », estimant que son homologue ukrainien finirait par « obtenir une trêve avant un accord (de paix) ». Pour rappel, en février dernier, lorsqu'une journaliste lui avait demandé ce que feraient les États-Unis si la Russie rompait le cessez-le-feu, le président américain avait simplement répondu que Vladimir Poutine « ne respectait pas Obama et Biden, mais qu'il me respectait ». Pour le chef de l'État ukrainien, le défi est double : préserver l'intégrité territoriale de son pays tout en maintenant l'alliance avec les États-Unis face à une relation de plus en plus chaleureuse avec la Russie. « Nous avons tous le profond désir de mettre fin à cette guerre rapidement et de façon fiable. Et la paix doit être durable », a-t-il déclaré sur X ce lundi à son arrivée à Washington.

Un tête-à-tête entre Trump et Zelensky aura bien lieu dans le Bureau ovale, six mois après leur clash
Un tête-à-tête entre Trump et Zelensky aura bien lieu dans le Bureau ovale, six mois après leur clash

Le HuffPost France

time41 minutes ago

  • Le HuffPost France

Un tête-à-tête entre Trump et Zelensky aura bien lieu dans le Bureau ovale, six mois après leur clash

INTERNATIONAL - Faire bloc. Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, et des dirigeants européens dont Emmanuel Macron se rendent ce lundi 18 août à Washington pour appuyer la position de Kiev, sommé par le président américain d'accepter des concessions après le sommet Trump-Poutine en Alaska qui n'a pas permis d'arrêter les combats en Ukraine. Précédée de nouvelles frappes russes sur plusieurs villes ukrainiennes, cette rencontre à la Maison Blanche sera une première dans ce format depuis le début de l'invasion russe, en février 2022. Elle doit permettre d'aborder notamment de possibles concessions territoriales et la fourniture de garanties de sécurité, pour mettre fin au conflit. Mais elle marquera également le grand retour de Volodymyr Zelensky dans le Bureau ovale. Ce même lieu où le 28 février dernier, en direct sur les télévisions du monde entier, Donald Trump et J.D. Vance avaient cherché à humilier le président ukrainien à l'extrême, l'accusant de « jouer avec la Troisième Guerre mondiale » et de manquer de « gratitude » envers la première puissance mondiale. Il était parti sans avoir tenu aux côtés du président américain leur conférence de presse et leur déjeuner de travail prévus. Un large groupe de dirigeants européens présents Ces images avaient consterné les alliés européens des États-Unis et de l'Ukraine, et marqué un tournant dans les relations entre Washington et Kiev, après un soutien américain affirmé et jamais remis en cause durant la présidence de Joe Biden. Si les relations se sont un tant soit peu apaisées entre Trump et Zelensky depuis, c'est aussi pour éviter un scénario similaire que seront présents cette fois-ci à la Maison Blanche le président français Emmanuel Macron, le chancelier allemand Friedrich Merz, la Première ministre italienne Giorgia Meloni, le Premier ministre britannique Keir Starmer, le président finlandais Alexander Stubb, le chef de l'Otan Mark Rutte, et la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen. Tous ces dirigeants doivent arriver autour de 12 heures, heure locale (18 heures en France) à la Maison Blanche, tandis que Volodymyr Zelensky doit faire son arrivée à 13 heures (19 heures en France) et être par Donald Trump. Le dirigeant ukrainien, qui s'est réjoui de cette « unité » européenne, a souligné ce dimanche depuis Bruxelles qu'il ne savait « pas exactement » de quoi Vladimir Poutine et Donald Trump avaient parlé en Alaska et qu'il était impatient d'avoir plus de détails. D'abord un tête-à-tête Trump-Zelensky Au niveau du programme, Volodymyr Zelensky s'entretiendra tout d'abord ce lundi en tête-à-tête avec Donald Trump, a indiqué une source proche du gouvernement allemand. Une conférence de presse est également attendue avant leur entretien bilatéral, selon Politico, autour de 13 h 10 (19 h 10, heure de Paris). Une première mauvaise nouvelle est peut-être à redouter pour Volodymyr Zelensky : selon CNN, le vice-président américain J.D. Vance devrait de nouveau participer à la réunion, lui qui s'était montré particulièrement agressif à son encontre en février dernier. Toujours selon Politico, les différents dirigeants européens devraient ensuite se joindre à eux pour une « photo de famille » aux alentours de 14 h 30 (20 h 30 en France), avant une rencontre conjointe prévue à 15 heures (21 heures, heure de Paris). L'ensemble devrait se terminer entre 17 heures et 18 heures, heure locale (soit entre 23 heures et 0 h en France), même s'il est évidemment bien difficile de prévoir des horaires précis pour ce genre d'événements, notamment en raison du nombre de participants. « Contraindre la Russie à une vraie paix » Si l'on peut espérer que le niveau de tension soit loin de celui affiché en février dernier, reste que les positions du président américain demeurent toujours très éloignées de celles de son homologue ukrainien. « Le président ukrainien Zelensky peut mettre fin à la guerre avec la Russie presque immédiatement s'il le veut, ou il peut continuer à combattre », a averti Donald Trump dans une série de messages sur son réseau Truth Social où il a clairement mis la pression sur le dirigeant ukrainien afin qu'il renonce à certaines exigences. « Pas question » pour Kiev de récupérer le contrôle de la Crimée annexée par Moscou en 2014, ni d'entrer dans l'Otan, a ainsi averti le milliardaire, se félicitant qu'il n'y ait « jamais eu autant de dirigeants européens en même temps » à la Maison Blanche. De son côté, Volodymyr Zelensky a affirmé ce dimanche soir que l'Ukraine partage « le profond désir de mettre fin à cette guerre rapidement », ajoutant que « la paix (devait) être durable ». « J'espère que notre force conjointe avec l'Amérique, avec nos amis européens, contraindra la Russie à une vraie paix », a-t-il souligné sur les réseaux sociaux. On en saura peut-être un peu plus après cette réunion.

Harcelé par la DZ Mafia, le propriétaire d'une épicerie contraint de fuir à l'étranger
Harcelé par la DZ Mafia, le propriétaire d'une épicerie contraint de fuir à l'étranger

Le Figaro

time41 minutes ago

  • Le Figaro

Harcelé par la DZ Mafia, le propriétaire d'une épicerie contraint de fuir à l'étranger

INFO LE FIGARO - Cet entrepreneur de Martigues est la cible d'intimidations opérées par des sbires se revendiquant de l'organisation criminelle sur fond de racket. Son domicile avait précédemment été visé par des tirs d'arme à feu. Des menaces si sérieuses qu'elles ont provoqué sa fuite au-delà des frontières de l'Hexagone. Selon nos informations, un entrepreneur installé à Martigues menacé par le gang criminel de la DZ Mafia a été contraint de plier bagage, se réfugiant à l'étranger pour se protéger des coups de pression répétés qui pleuvent depuis le début de l'été sur son épicerie. Comme révélé par Le Figaro début août, ce patron implanté depuis plusieurs années dans les Bouches-du-Rhône est la cible d'intimidations opérées par des sbires du cartel de la drogue sur fond de racket. Le 12 juillet dernier, deux individus au visage dissimulé par des masques chirurgicaux étaient entrés dans son commerce, violentant un employé avec la crosse d'une arme de poing avant d'exiger de parler au propriétaire des lieux. Le quadragénaire, absent au moment des faits, aurait contracté une dette auprès de la «DZ », qui exigerait un paiement en liquide. Publicité Le cauchemar de la victime s'est prolongé le lendemain, son propre domicile ayant été visé par des tirs d'arme à feu, un projectile terminant sa course dans la salle de bains de la propriété. Des «manœuvres d'intimidations» suffisantes pour déclencher l'ouverture d'une enquête pour des faits d'«extorsion en bande organisée» par le parquet d'Aix-en-Provence, qui en a saisi la brigade de répression du banditisme (BRB). Les enquêteurs ont depuis auditionné l'entrepreneur après son dépôt de plainte. Enquête en cours Pas de quoi refroidir les agresseurs de l'homme, ce dernier refusant de s'exécuter et de «payer» ses corbeaux. Le 11 août, le gang est revenu à la charge en envoyant un émissaire devant l'épicerie. D'après une source proche du dossier, l'individu est parvenu à entrer en contact avec la victime au téléphone via l'un des employés de l'alimentation, lui reprochant de ne pas «prendre au sérieux» les avertissements déjà formulés à son encontre. Le malfaiteur a ensuite quitté les lieux à bord d'un véhicule. Les faits ont été portés à la connaissance du parquet d'Aix-en-Provence, qui confirme au Figaro que l'enquête ouverte pour identifier ces inquiétants maîtres chanteurs était toujours en cours. Leurs méthodes, employées pour faire craquer la victime à tout prix, ont un temps plongé de nombreuses enseignes de Marseille et des Bouches-du-Rhône dans la terreur. Fin 2024, des restaurants, une discothèque et même des garages avaient fait les frais d'une équipe de la DZ Mafia spécialisée dans l'extorsion en série agissant avec impulsivité afin d'asseoir la domination de l'organisation criminelle.

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